Les Théocraties et les dogmes religieux.
Partie 1 du Dossier Les Dictatures dans les Systèmes de pouvoir.
Mise à jour de la conclusion : 07/08/2025
Introduction
Les systèmes de pouvoir soumettent les peuples en imposant la culture des vainqueurs et, au centre de celle-ci, nous trouvons une théocratie ou au minimum quelques dogmes théocratiques qui légitiment le Pouvoir de la minorité dirigeante.
Les systèmes de pouvoir et leurs dictatures ne se sont développés qu’en pillant et en détruisant une civilisation ou une période florissante comme dernièrement la période médiévale en Europe. Ensuite ils interdisent l’accès à ce savoir qui menace leurs intérêts et les périodes florissantes sont oubliées. Cette alternative pour vivre mieux sans ces tyrans, n’existe tout simplement plus dans l’esprit et la mémoire des citoyens.

Nous allons ici approfondir ce sujet, nous qui voulons quitter ces systèmes de pouvoir.
Nous allons donc présenter une civilisation florissante qui, mis à part ses monuments gigantesques, a été détruite et oubliée jusqu’à ces dernières années et une Théocratie avec ses dogmes religieux qui fait partie des fondements de la culture occidentale judéo-chrétienne.
Nos lecteurs depuis février 2002 connaissent notre démarche : nous critiquons et nous indiquons les méfaits commis par ces autocrates manipulateurs et ces tyrans agressifs et destructeurs ; mais surtout nous montrons comment fonctionnent les organisations en Réseaux de Vie et leurs civilisation florissantes humanistes. Nous commençons cet essai, en Partie 1, par les Institutions des Réseaux de Vie et dans cette Partie 2, nous expliquons le fonctionnement des systèmes de Pouvoirs.
Dans ce chapitre nous allons confronter l’une après l’autre l’exemple de la civilisation florissante égyptienne depuis ses origines en Ahâ-Men-Ptah, le continent englouti, et l’exemple de la théocratie qui sert de base à la culture judéo-chrétienne en Occident. Nous devons re découvrir cette civilisation essentielle dans notre humanité sur Terre et la confronter à la théocratie juive avec ses Livres sacrés, ses dogmes religieux qui se retrouvent dans l’Ancien Testament de la Bible chrétienne.
Un dogme se définit comme une proposition théorique établie comme vérité indiscutable par l’autorité qui régit une certaine communauté. C’est un point de doctrine établi ou regardé comme une vérité fondamentale, incontestable (dans une religion, une école philosophique). Un dogme représente une construction intellectuelle rationnelle. Lorsqu’il se déclare provenir d’une révélation spirituelle et divine, le dogme est une vérité présentée sans preuve et sans aucune démarche initiatique spirituelle puisque les systèmes de pouvoir interdisent tous l’utilisation de notre première source de savoir.
Ce travail intellectuel rationnel s’impose par l’actualité du monde actuel, ses guerres, ses conflits religieux, ses désastres climatiques et sismiques liés à la vie de notre planète.
Pour établir ce choix de civilisation, nous complétons ici le choix du Savoir qui nous sert à développer une nouvelle civilisation sans systèmes de pouvoir et sans théocraties, sans leurs dogmes religieux mais avec à nouveau un développement spirituel brillant capable de conduire nos travaux intellectuels, rationnels, scientifiques.
Ce chapitre est donc plus long que les autres parce que nous devons connaître ce qu’ils interdisent : les connaissances qu’ils ont mises au secret pour défendre les dogmes sur lesquels leur tyrannie repose (situation 1). Mais aussi nous devons montrer les connaissances qu’ils utilisent pour soumettre les peuples, piller leurs richesses ou bien pour détruire ces peuples qui osent leur résister (situation 2).
Nous n’avons pas voulu séparer la première partie, la civilisation atlante puis égyptienne, de la seconde partie, les dogmes de la théocratie juive. Lire l’ensemble du même coup, comprendre ces deux cultures humaines l’une après l’autre, rend de suite son verdict. Nous savons que choisir, où aller. Présenter deux pages web séparée n’a pas le même impact : lire l’une sans l’autre ne nous permet pas d’arriver à ce constat que nous devons nous séparer de l’une et re développer l’autre !
Le résultat de cette confrontation est d’avance connu : nous préférons vivre dans une civilisation humaniste florissante et nous souhaitons éliminer les systèmes de pouvoirs et les théocraties.
Les dirigeants du système de pouvoir néo libéral conservent scrupuleusement le tabou sur l’origine du dogme de la prédestination des élites à gouverner le monde dont ils abusent depuis deux mille ans en Occident et dorénavant à travers le monde entier. Alors que ce dogme trouve son origine dans une secte religieuse à partir de laquelle ce dogme s’est transmis à la plupart des dictateurs et tyrans tout comme à la secte des puritains anglo-saxons qui dirige un gouvernement mondial fondé sur l’oligarchie financière anglo-saxonne.
Dans la Partie 5 de l’essai, nous avons décrit le fonctionnement de l’oligarchie financière anglo-saxonne. La liaison, le rattachement de ces chapitres avec celui-ci est le même : l’argent, l’or, la monnaie, la puissance financière de leurs banques centrales privées avec lesquelles ces despotes corrompent et achètent les décideurs politiques, deviennent propriétaires des journaux et des média actuels pour laisser les populations dans l’ignorance de leurs agissements et les saouler de faits divers, d’histoires criminelles, de récits de destructions et finalement de crimes et de morts.
Nous devons trancher ce nœud de fables criminelles pour quitter, abandonner ces systèmes de pouvoir !
Nous allons reprendre la culture de cette civilisation florissante et enseigner à nouveau son Savoir fondé sur aucun dogme religieux mais au contraire sur la connaissance approfondie de la Vie et du Créateur.
L’Alliance avec notre Créateur, une anti-religion.
Nous invitons nos lectrices et nos lecteurs, le cas échéant, par commencer ici à lire notre chapitre de la Partie 3 Les survivants du dernier Grand Cataclysme. Nous poursuivons ici le récit d’Albert Slosman sur l’organisation de la civilisation d’Ahâ-Men-Ptah puis celle fondée par les Survivants sur les bords du Nil.
L’immense civilisation égyptienne, nous l’avons indiquée dans le chapitre sur les Survivants du dernier Grand Cataclysme, possède comme première date retenue dans son histoire connue, l’avant dernier Grand Cataclysme qui eut lieu le 11 février 21 312 avant le début de notre ère.
L’effondrement d’une partie du nord du continent nommé par la suite chez les grecs Atlantide, a servi d’évènement pour mettre en place un Savoir que nous n’avons pas encore compris dans son ensemble ou pire, que nous ignorons parce qu’il a été interdit et détruit par les dirigeants des systèmes de pouvoir : les Perses mais aussi les romains et les évêques chrétiens, les turcs, les arabes. Mais à toutes ces périodes, des réseaux de résistances sont restés fidèles à la civilisation égyptienne et à Ptah, le Créateur de toute Vie dans la création et des vestiges de ce Savoir nous été transmis.
Cette histoire millénaire mouvementée, détruite, restaurée, finalement interdite en Occident pour défendre les dogmes théocratiques de l’Ancien Testament et du Nouveau Testament, ces deux parties de la Bible chrétienne mises sur le même plan d’égalité et d’importance, nous allons ici l’analyser et la comprendre en suivant notre méthode habituelle sur fileane.com.
L’utilisation de nos deux sources de Savoir
La civilisation égyptienne et son Savoir ont été redécouverts dans notre période contemporaine
pendant l’expédition militaire et scientifique dirigée par Napoléon Bonaparte.
Cette expédition militaire et scientifique retrouva sur les bords du Nil, avec le général Desaix, notamment le temple de Dendérah gardien du Savoir fondé sur la Loi divine et les Mathématiques célestes utilisées pour suivre les combinaisons astrales et la Vie de notre univers qui influence si fortement la Vie de notre planète Terre et ses espèces vivantes.
Puis cette redécouverte s’amplifia lorsqu’enfin nous avons pu déchiffrer et comprendre le langage hermétique des hiéroglyphes. Une nouvelle ère s’est ouverte pour développer le Savoir et nos connaissances directement à partir des traductions des stèles, des papyrus et des récits gravés sur les murs des temples, des tombes, des monuments.
Cette source directe de lecture des textes égyptiens met aussi fin à cette longue période contemporaine pendant laquelle seules les sources grecques ou perses servaient de référence pour comprendre ce qu’avait été la civilisation égyptienne.
Nous utilisons ici essentiellement les livres d’Albert Slosman comme pour le chapitre sur les Survivants du dernier Grand Cataclysme que nos lecteurs ont lu ou devraient lire avant d’aller plus loin ici, dans ce texte.
La transmission de l’exceptionnel développement spirituel
« Le temple de Dendérah a conservé la totalité des textes traditionnels en hiéroglyphique pure, par delà la nuit des temps. Il est le monument actuel bâti sur les fondations successives de cinq édifices l’ayant précédé qui n’a pas encore pu se répertorier dans sa totalité. Le premier de ces textes est la prière d’Iset qui a obtenu de Dieu le retour à la vie de son époux, par sa prière d’intercession.»
Cette prière de la survivante Iset pour sauver son époux, fait suite à sa prière pour sauver son fils Hor le jour du dernier Grand Cataclysme. Cette prière est citée dans notre chapitre Les survivants… en partie 3 des Réseaux de Vie.
Cette indication montre de suite la priorité donnée à l’utilisation de notre première source de savoir et à l’exceptionnel développement spirituel des initiés qui dirigeaient cette civilisation pour la conduire et la préparer à l’exode, à la survie vers une nouvelle terre promise lors du prochain Grand Cataclysme.
Ceci est complètement antinomique, contraire avec un système de pouvoir religieux théocratique fondé sur un Dieu qui règne sur sa création parfaite à son image et devant lequel nous devons obéissance, soumission toute aussi parfaite pour ne pas subir son courroux et ses justes châtiments…et qui interdit fermement l’utilisation de notre source de savoir spirituelle qui contredit ces dogmes religieux.
Une anti-religion ?
D’où notre interrogation que nous allons développer : ce Savoir est-ce un mouvement spirituel qui conduit nos travaux intellectuels rationnels scientifiques, une anti-religion en quelque sorte ou bien seulement une religion monothéiste dans un système de pouvoir théocratique ?
Albert Slosman et les égyptologues, semble-t-il, n’abordent pas cette question qui certes est essentiellement d’ordre spirituel.
Un initié à la Vie d’après la vie humaine qui a réussi sa plus haute initiation dans le temple de Dendérah, quittait ce temple avec le titre de fils de dieu et il avait le droit de parler du mystère de l’Apocalypse, mais pas le droit d’écrire sur tout ce qui touche aux mystères. Cette initiation la plus haute peut cependant se dérouler ailleurs sans forcément les moyens mis en œuvre dans ce temple. Elle est possible depuis l’aube de notre humanité sur Terre comme ailleurs.
Et aujourd’hui l’initié(e) se pose naturellement cette question puisqu’il développe une vison du monde sans systèmes de pouvoir et sans théocraties. Vu les résultats obtenus par le monothéisme judéo-chrétien depuis deux millénaires, cette question est primordiale.
Ce mouvement spirituel atlante puis égyptien ne se contente pas de former uniquement des postulants à la réussite de l’initiation la plus haute pour rencontrer les mystères de la Vie et vivre déjà un moment de la Vie d’après la vie humaine dans leur condition humaine sur Terre. Ces initié(e)s se mettent logiquement, naturellement, au service de leurs peuples pour développer une civilisation florissante humaniste dans une Alliance avec le Créateur de toute Vie. Ce mouvement spirituel ne nous mènent pas alors dans un système de pouvoir théocratique ou autre mais bien dans une civilisation florissante sans systèmes de pouvoir et sans dogmes théocratiques.
Nous sommes en présence d’une Anti-Religion fondée sur la complémentarité entre nos deux sources de Savoir. Le premier pilier de savoir spirituel guide le second pilier de savoir intellectuel, rationnel, scientifique. La civilisation florissante se développe alors à partir des deux valeurs essentielles de notre humanité : l’Amour et la Paix.
En principe la démarche initiatique conduit nos travaux intellectuels et rationnels. Elle devrait donc être prioritaire. Comme nous allons le montrer, ce n’est pas le cas dans la civilisation égyptienne.
Ici et fait exceptionnel, le savoir intellectuel, rationnel, scientifique est le pilier le plus important puisqu’il provient des fondateurs de cette civilisation qui ont permis son développement remarquable. C’est ce savoir intellectuel, scientifique et technologique qui contredit tous les dogmes des théocraties et c’est à cause de lui que ce Savoir est interdit même par le rationalisme scientifique actuel au service des dirigeants des systèmes de pouvoir.
Nous en connaissons la cause : la transmission de ce Savoir par les voyageurs célestes venus trouver un refuge sur Terre dans les Andes, à Tiahuanaco.
Nous en connaissons aussi la conséquence : le développement d’une civilisation très avancée par rapport aux autres peuples qui vivent encore à l’âge de la pierre taillée. Comme nous par rapport aux derniers peuples d’Amazonie qui ne veulent surtout pas rencontrer l’homme « civilisé et moderne », tant il détruit tout de leur environnement de vie.
Ce savoir intellectuel, une fois transmis, a été ensuite développé grâce à un dialogue intime, spirituel, permanent avec le Créateur, dans un mouvement spirituel développé par les initiations que les temples et leur double-maison de Vie pratiquaient, sans théocratie. Et assurément, les voyageurs célestes utilisaient et utilisent toujours ce dialogue intime avec le Créateur de toute Vie.
Dans la version actuelle de l’Histoire de la civilisation égyptienne, ce Savoir qui utilise nos deux sources de connaissances, est défini comme une religion monothéiste mais en l’examinant de plus près, nous ferons remarquer que la priorité donnée à l’initiation spirituelle et au dialogue avec le Créateur, nous met en présence d’un mouvement spirituel et non pas d’une religion ou alors face à une anti-religion.
Les théocraties, leurs religions et leurs dogmes, gouvernent et conduisent l’ensemble de l’activité humaine essentiellement intellectuelle puisque l’utilisation de notre première source de savoir est interdite, y compris pour les prêtres qui sont limités à l’apprentissage et à l’interprétation des livres sacrés qu’ils ne peuvent remettre en cause.
Dans la civilisation atlante puis égyptienne, ce n’est pas du tout pareil. C’est le contraire d’un système de pouvoir théocratique qui utilisent des dogmes religieux. Les mots anti-religion expriment plus clairement cette différence fondamentale entre la nature et la portée des deux organisations de la vie humaine.
Les différences entre les théocraties et une anti-religion fondée sur l’utilisation de nos deux sources de savoir.
La complémentarité entre nos deux sources de savoir permet de suivre l’évolution de la Vie de la Création et celle des combinaisons astrales. Le savoir intellectuel, rationnel, scientifique s’adapte à cette évolution de la Vie de la Création et en cas de difficultés, l’utilisation de notre source spirituelle de savoir questionne directement le Créateur. Nous avons développé une Alliance pour conserver une confiance entre lui et nous.
Nous ne devons pas trahir cette confiance au risque de perdre son aide et de ne pas pouvoir survivre aux cataclysmes liés à la Vie de notre planète particulièrement instable mais aussi au risque de ne plus savoir à quelle période semer les graines, quand viendra la prochaine crue du fleuve, quand les influences astrales seront bonnes ou mauvaises pour entreprendre de grands travaux ou des expéditions lointaines.
L’initiation à la rencontre des mystères de la Vie est développée pour justement disposer de correspondants éprouvés avec le Créateur et assurer cette relation directe, sans intermédiaire religieux, dans le cadre de l’Alliance avec lui.
Une fois la plus haute initiation réussie dans le temple de Dendérah, l’initié rejoint les prêtres et grands prêtres mais pas pour se limiter au déroulement des seuls offices religieux. Au contraire il va travailler avec eux au calcul de l’évolution des combinaisons astrales mais aussi au développement des constructions des édifices décidées par le pharaon, au suivi des récoltes, au développement de l’éducation, à la pratique de la médecine, des activités culturelles et artistiques.
Dans les premières dynasties, lors des périodes de disette, le pharaon distribuait la nourriture à la population avec les autres membres de sa cour et avec les prêtres. Il ne se servait qu’en dernier, une fois tous les participants ayant eu de quoi manger.
Cet exemple sera poursuivi plus tard par les moines bénédictins qui hériteront des vestiges du Savoir des temples égyptiens à travers les pères et les moines du désert.
Il en va de même aujourd’hui encore dans le bouddhisme. Les moines ne se limitent pas qu’à l’initiation spirituelle, ils occupent ensuite dans l’utilisation de notre seconde source intellectuelle, rationnelle de savoir, des niveaux d’expertise dans les différents métiers, professions dont la vie en société a besoin, nous dirions, comme chez les atlantes puis chez les égyptiens.
A l’inverse, dans une théocratie religieuse, en principe, vous ne rencontrerez pas un prêtre, grand prêtre, sur un chantier en train de bâtir un édifice ou se rendre dans une maison pour soigner les malades. Il restera dans son édifice religieux pour surveiller étroitement si les fidèles suivent à la lettre les commandements des textes sacrés et d’inspiration prétendue divine. Il formera les fidèles à l’interprétation et à la compréhension des commandements religieux. Son pouvoir religieux sera représenté par le nombre et le niveau de ses condamnations envers les mécréants qui ne suivent pas les commandements et les dogmes religieux et aussi par le niveau de terreur avec lequel il soumet les peuples.
Le mouvement spirituel bouddhiste
Nous sommes bien plus loin dans le développement d’une civilisation humaniste que par exemple, le mouvement spirituel du Bouddhisme. L’explication est connue. Le prince Siddhartha, même en devenant le Bouddha n’a pas voulu changer le système des castes sociales hérité des Aryens qui ont conquis la région. Le terme brahmanisme est utilisé au sens large, pour désigner le système social et religieux des hindous orthodoxes.
En Inde, la période védique peut se situer au IIe millénaire av. J.-C. et au Ier millénaire av. J.-C. jusqu’au VIe siècle av. J.-C. De 642-320 av. J.-C., durant la période shishunaga-nanda, l’autocratie royale ne peut être contrecarrée que par les brahmanes. Les tribus s’intègrent progressivement aux royaumes. Une nouvelle catégorie sociale apparaît : celle des courtisans qui englobe les purohita (grands prêtres), les généraux, les chambellans.
Le bouddhisme est une religion et une philosophie dont les origines se situent en Inde aux VIe – Ve siècles av. J.-C. Ces dates sont à retenir car cette période correspond à celle de la rédaction des textes sacrés par les Lévites présents dans la tribu de Juda qui ont été ensuite repris dans l’Ancien Testament de la Bible.
Le bouddhisme, au départ, a condamné le système social de castes puis il a renoncé à ce combat politique pour éliminer le pouvoir des Brahmanes.
Dans la civilisation atlante puis égyptienne, il n’y avait pas de castes sociales et le groupe des prêtres avait une toute autre mission que de se contenter de diriger les offices religieux !
Pour terminer cette présentation générale introductive de la civilisation atlante puis égyptienne, n’oublions pas les dates historiques et l’exceptionnelle longévité de cette civilisation qui a survécu au dernier Grand Cataclysme.
Du 11 février 21 312 sur le continent d’Ahâ-Men-Path jusqu’au début du pouvoir de Rome sur l’Égypte en l’an 30 avant notre ère, la période est de 21 282 ans ; jusqu’au 11 février 2025, cette période est de 23 337 ans.
Ces chiffres illustrent l’exceptionnelle utilisation, conservation et transmission de ce Savoir que nous allons étudier… avant l’arrivée du prochain Grand Cataclysme, dont aucun de nos dirigeants parmi les systèmes de pouvoir économiques, théocratiques, militaires et policiers n’a connaissance ou pire, refuse follement de nous parler, hier, aujourd’hui, demain !
Après cette présentation générale, nous allons donc approfondir l’apport du Savoir de cette civilisation dans l’utilisation de notre seconde source intellectuelle, rationnelle et scientifique.
Dans ce Savoir hérité des réfugiés sur Terre, tout de suite, semble-t-il, la plupart des technologies pour continuer à mener des voyages célestes ont été perdues mais sans conséquences graves puisque repartir sur une autre planète du système solaire a été et reste impossible. Il subsiste la question de savoir un jour si d’autres expéditions célestes sont parties de cette planète devenue inhospitalière vers d’autres directions, d’autres planètes habitées dans d’autres univers.
La primauté de notre source intellectuelle rationnelle dans le Savoir de la civilisation d’Ahâ-Men-Ptah puis égyptienne.
Nous présentons d’abord les éléments intellectuels, rationnels qui constituent ce Savoir. Il provient de cette autre civilisation qui vivait sur une autre planète et il nous a été transmis par les traductions des textes égyptiens et leurs commentaires des livres d’Albert Slosman.
La transmission de ce Savoir par la première civilisation développée dans la région qui servit de refuge pour ces voyageurs célestes, Tiahuanaco proche du lac Titicaca dans les Andes, a été détruite par les espagnols lors de leur conquête de l’Amérique du sud et du Mexique parce que ce Savoir et cette civilisation plus avancée que celle d’Europe, contredisait la Bible. La papauté de Rome imposa cette destruction car il y avait aussi la trace de la présence des templiers français qui s’étaient réfugiés dans les Andes pour participer au développement des empires inca et aztèque.
Par contre le Savoir atlante puis égyptien a été conservé puis traduit notamment par Albert Slosman après 1960 et publié dans ses livres chez Robert Laffont à Paris. Il sert de documentation pour la rédaction de la première partie de ce chapitre.
Les textes qui vont suivre ici sont une suite du chapitre sur les Survivants du Dernier Grand Cataclysme de la partie 3 de notre essai et le titre de ce chapitre est aussi celui du livre d’Albert Slosman.
La Loi divine enseigne ce qu’est le lien qui rattache toute enveloppe charnelle humaine au Créateur.
Loi divine est une expression quelque peu trompeuse pour ce qui concerne la civilisation égyptienne. Cette expression a la connotation des théocraties : Dieu dicte ses commandements et malheur à ceux qui n’obéissent pas ! Or ce n’est pas du tout cela.
Les origines des fondateurs, les voyageurs cosmiques, expliquent qu’ils ont compris comment fonctionne la création et la Vie que le Créateur lui a donnée. Donc nous sommes ici en présence d’une loi scientifique, astronomique, physique et certainement aussi chimique et biologique.
« Car c’est lui seul qui a fait le Souffle animant notre âme. Ainsi l’âme insufflée par les Douze célestes du Créateur a pris la place de l’esprit charnel dans un corps. Ainsi la Vie Humaine s’est introduite dans nos enveloppes charnelles avec cette Parcelle Divine qu’est l’Âme.»
Cet extrait de la prière provient du papyrus hiératique découvert en Haute Égypte par l’égyptologue russe W. Golénitscheff et qui est conservé au musée de Saint Petersbourg sous le nom « Papyrus Hiératique N° 1116 ». Et notre texte reprend le texte d’Albert Slosman dans son livre Et Dieu ressuscita à Dendérah, pages 54-55.
Pour continuer avec les connaissances de l’Égypte ancienne et reprendre un passage d’Albert Slosman dans son livre Et Dieu ressuscita à Dendérah, page 104, le Cercle d’Or construit à côté du temple principal, dans sa crypte de la naissance, enseigne dans la Loi Divine ce qu’est le lien qui rattache toute enveloppe charnelle humaine au Créateur :
Les parcelles divines des Douze constituent Ptah, elles déterminent l’âme à la naissance.
« L’enveloppe charnelle qui est modelée dans la mère ne prend sa forme humaine qu’à la séparation du lien qui a servi de racine dans le ventre. Dès cet instant, il devient un être vivant car il est alors imprégné de sa Parcelle Divine par le souffle émanant des Douze, et qui lui est personnel. »
Les Douze étoiles fixes forment le Cœur de Ptah. Dès sa naissance l’humain est investi de son nom d’Homme, et il en est pleinement responsable vis à vis du Créateur.
Cette connaissance des influences des astres du zodiaque sur le comportement d’un être humain s’étudie encore aujourd’hui en Astrologie.
Les connaissances en Astronomie conservées dans le Cercle d’Or de Dendérah ont pour but d’éviter aux descendants des survivants de commettre les erreurs funestes de la plus grande partie des habitants du continent englouti. En ne suivant pas les connaissances des Lois divines et des Mathématiques célestes, nous l’avons vu, ils ont péri et pire, ils avaient détruit une grande partie des mandjits et des réserves de vivre entreposées dans les ports d’Ath-Mer, leur capitale du continent englouti. Ceci ne doit plus se reproduire lors du prochain Grand Cataclysme !
Les « Combinaisons-Mathématiques-Divines», les rouages de la mécanique céleste.
document :
« Au commencement, ces paroles enseignèrent les Ancêtres, ces Bienheureux de la Terre première : Ahâ-Men-Ptah, Ils y vivaient pareillement aux Images du Cœur-aimé : le Cœur-Aîné.
Ainsi furent les premières paroles : – Je suis le Très-Haut, le Premier, le Créateur du Ciel et de la Terre, je suis le modeleur des enveloppes charnelles, et le pourvoyeur des Parcelles divines. J’ai placé le Soleil sur un nouvel horizon en signe de bienveillance et en gage d’Alliance. J’ai fait s’élever l’Astre du Jour sur l’horizon de mon Cœur ; mais pour que cela soit, j’ai institué la Loi de la Création qui agit sur les Parcelles de mon cœur afin de les animer dans ceux de mes Créatures. Et cela fut.»
…/… Ces rouages de la mécanique céleste portent le nom imagé de « Combinaisons-Mathématiques-Divines». »
source Albert Slosman, la Grande Hypothèse.
La Vie n’est pas achevée et donc le cosmos n’a pas un fonctionnement parfait, sans cataclysmes planétaires. Le cosmos vit et il n’est pas figé dans une organisation parfaite. Par contre nos humanités dans le cosmos peuvent sauver leurs vies en suivant strictement les Mathématiques célestes qui permettent de connaître ces bouleversements dans le cosmos.
Nos humanités ne peuvent pas changer cette évolution du cosmos et la Vie même de la Création. C’est la base du Mystère de l’Apocalypse que nous avons présenté dans le chapitre sur les Survivants du dernier Grand Cataclysme et que nous n’aborderons plus ici.
Les calculs pour suivre l’évolution de la mécanique céleste.
Document, extraits du Grand Cataclysme d’Albert Slosman
En haut, les constellations zodiacales, ces « clans célestes »,éléments vitaux de la trame constitutive de l’Âme de chaque être, cette parcelle Divine : le Rayon de Vie accordant la Force Agissante, pouvaient commencer leur Action. Elles émettaient – et elles le font toujours par l’entremise de leur Soleil central – un rayonnement si puissant bien qu’invisible, qu’un laboratoire soviétique sibérien a calculé qu’il transperçait la Terre en son plus grand diamètre, en 1/200e de seconde… Chacun de ces douze Soleils diffusant sur des longueurs d’ondes particulières forme des schémas, des trames caractéristiques, que les « Maîtres » des « Combinaisons-Mathématiques-Divines » connaissent évidemment dans leur intégralité.
…/… Devant ces « canevas stellaires », navigue à reculons le Soleil, introduisant ainsi le cycle précessionnel de la « Grande Année », dont le Nombre parfait est de 25 920 ans. Il est le second maillon de la chaîne reliant l’Âme terrestre au Ciel.
…/… La longueur des constellations n’est pas de 300 comme dans les signes zodiacaux. Il en découle que la durée équinoxiale n’est point la même pour toutes. Elles sont chiffrées comme suit à Dendérah : Lion et Vierge, 2 592 ans chacune ; Cancer et Gémeaux 1 872 ans chacune ; Taureau et Bélier : 2 304 chacune ; Poissons et Verseau : 2 016 ans chacune ; Capricorne et Sagittaire : 2 448 ans chacune ; et Scorpion et Balance : 1 728 ans chacune. Ce qui donne 25 920 ans pour 3600.
Le troisième chaînon incomba aux bâtisseurs qui s’établirent sur des terrains prédestinés afin que, par les constructions qu’ils élevèrent à la gloire de Dieu ainsi qu’à la conjuration du mauvais sort jeté par Lui sur Ses premières créatures, ils parviennent à l’Alliance. Pour ce faire, ils érigèrent les Demeures de Dieu, en les faisant resplendir de toutes les richesses disponibles.
…/… Car le Grand Cataclysme avait eu lieu le 27 juillet 9792 avant J-C, soit au moment où le Soleil traversait apparemment cette configuration stellaire (du Lion), et où également par le phénomène de la précession équinoxiale et du pivotement de l’axe de la Terre se trouvant dans son cycle de la « Grand Année », il se mit à reculer au lieu de continuer à avancer. Ce qu’il continue toujours de faire après douze mille ans !
…/… Ainsi il apparaît que la protection demandée au Lion, n’a rien à voir avec la royauté en elle-même mais plus simplement avec la majesté solaire, à qui il est demandé, tant qu’elle sera en constellation du Lion, de bien vouloir y naviguer en toute tranquillité. Car le phénomène précessionnel, prouvé mathématiquement, était toujours susceptible de se reproduire ! D’où l’imploration incessante de tout un peuple désirant une harmonie réelle afin d’éviter le retour d’un nouvel et aussi effroyable bouleversement.
…/… Lorsque le recul précessionnel parvient à 180 degrés, il s’est écoulé 12 960 ans et il était inéluctable pour les Maîtres des « Combinaisons-Mathématiques-Divines », que le déséquilibre de l’Âme humaine entraîne une rupture d’équilibre lors du déséquilibre géologique !
Qu’est-il entendu par là ?… C’est qu’un déséquilibre permanent règne au sein de la Terre en tant que « matière ». Le recul précessionnel de la croûte terrestre est plus ou moins lent que celui de la masse en ignition qui se trouve comprimée à l’intérieur. Ce qui revient à dire que le Magma, cette masse colossale de quelque quinze milliards de milliards de tonnes, en majorité métallique, subissant l’attraction plus ou moins lentement par rapport à la croûte qui l’enferme, subira un autre mode de pression.
Et lorsque par ce phénomène précessionnel différemment ressenti dans sa progression par la croûte et par le magma, un point quelconque dépassant de l’autre, rencontrera un point quelconque de l’autre – et peut-être de plusieurs milliers de mètres – le raclement qui se produira tout d’abord, se transformera en éclatement de la croûte, dont la faible épaisseur et la mollesse de la matière ne peuvent résister à la formidable pression du magma.
Fin du document.
Les livres d’Albert Slosman contiennent d’autres exemples de calculs que nos lecteurs peuvent découvrir en les achetant.
Comprendre ce qui se passe dans la vie instable de la planète Terre.
Pour les voyageurs célestes qui ont trouvé un refuge dans les Andes et pour leurs descendants, la priorité a été de comprendre les causes et les conséquences de l’instabilité de la planète Terre pour organiser la survie des espèces vivantes et de notre humanité, lors des cataclysmes.
Le fait remarquable est que tout a été noté dans les Annales puis gravé dans le temple de Dendérah. Ces informations précises sont certes contraires à ce que raconte la Bible et les livres de l’Ancien Testament, nous y viendrons plus loin.
Document : extrait du livre d’Albert Slosman Le Grand Cataclysme.
Cet avant dernier Grand Cataclysme eut lieu le 11 février 21 312 avant le début de l’ère chrétienne. Une période de fortes gelées s’installa sur toute cette partie du monde, accumulant les glaces en une calotte polaire uniforme. La Sibérie elle-même, qui était alors une région assez tempérée, vit brûler sa verdoyante végétation et anéantir les mastodontes qui n’avaient pas pu fuir à temps le recouvrement par les glaces.
Tout cela ne fut pas cependant le fait d’un cataclysme total, et l’axe de la terre ne « pivota » pas. Il n’y eu pas de rupture d’équilibre, mais un simple « glissement » rapide du globe, dans le même plan de l’axe et qui l’avança 72° plus loin apparemment, pour l’observateur terrien.
Après cet avertissement, et à partir de cette date, l’histoire d’Ahâ-Men-Ptah commença réellement, la chronologie se servant très logiquement de ce bouleversement que la mémoire humaine a entériné comme tel pour marquer les annales d’un début caractéristique. …/… De ce jour, où une méthode graphique figurative fut instituée, ils observèrent attentivement, et notèrent méticuleusement la marche des planète, du Soleil, de la Lune, leurs figurations et leurs configurations, ainsi que celle aux formes plus géométriques des douze constellations de l’écliptique équatorial céleste, et encore celles plus lointaines d’Orion et de Sirius, aux particularités singulières. Les répercussions des « Combinaisons » sur la Terre en découlèrent, tant en ce qui concernait le comportement des hommes que l’évolution de la nature.
Fin du document.
Dans le cas des habitants d’Ahâ-Men-Ptah (que les grecs vers 500 avant notre ère, nommeront Atlantide), l’effondrement partiel du nord de leur continent fut le signal pour mettre en place des moyens rationnels et scientifiques de manière à comprendre ce qui se passait et surtout pour déterminer la date du prochain effondrement du reste de ce continent.
Ils ont observé ainsi en 16 000 avant notre ère, le cataclysme qui ouvrit le détroit de Gibraltar. Leurs bateaux ont ainsi pu se rendre en Méditerranée et dans la région de l’Égypte actuelle pour rejoindre la Mer Rouge qui permet l’accès à l’Inde et à l’Asie. Leur continent est encore relié au continent européen et asiatique tout comme il est relié au continent américain (les cartes sont dans notre chapitre Les Survivants…). La voie terrestre pour aller du continent américain jusqu’en Asie existe sauf qu’elle est largement recouverte par la grande glaciation de cette région d’Hyperborée qui descend sur chacun de ces trois continents. La voie maritime en dessous de la limite des glaces est devenue plus intéressante avec l’ouverture du détroit de Gibraltar.
C’est après ce cataclysme que la veuve du roi fut touchée par la grâce divine et enfanta un fils nommé Geb qui se maria avec Nout, descendante du roi du nord qui était resté sur place cinq mille an plus tôt lors de l’avant dernier grand cataclysme. Geb est le premier chef de la dynastie qui dirigea la civilisation d’Ahâ-Men-Ptah.
En 9792, lors du dernier Grand Cataclysme, l’engloutissement du contient d’Ahâ-Men-Ptah a provoqué le rétrécissement du détroit de Gibraltar dans sa largeur actuelle.
Comprendre cette Vie de notre planète et la menace de destruction de leur continent, a permis aux savants et initiés de commencer ce dialogue scientifique et spirituel avec le Créateur. La réponse des êtres humains, à chaque fois, commence par une question claire nette et précise. Le Créateur dialogue avec des êtres humains qui comprennent la Vie de sa création. Il n’a que faire d’une question aussi stupide qui lui serait posée pour savoir si la Terre est plate ou bien ronde…
Suite à ce travail scientifique de longue haleine sur des millénaires, lorsque le grand Cataclysme arriva à la date prévue, le Créateur parla aux dirigeants qui auront la mission de préparer la survie de leur peuple pour échapper à la destruction d’Ahâ-Men-Path puis pour conduire les survivants vers un deuxième et nouveau « Cœur de Dieu ».
Nous sommes ici en présence du Mystère d’Ousir et d’Iset (Osiris et Isis en grec) tel qu’il est rapporté dans les annales et les autres textes gravés sur les murs des temples et des monuments, spécialement dans le premier temple construit lors de l’arrivée des descendants des survivants sur les bords du Nil à Dendérah.
Suivre la Loi divine dans le Cercle d’Or.
Nous venons de présenter la Loi Divine et les « Combinaisons-Mathématiques-Divines» et nous avons expliqué quand, comment et pourquoi cette observation rigoureuse quotidienne des variations des combinaisons astrales a été mise en place.
Maintenant, il s’agit de les appliquer, de les faire vivre jour après jour pour rester dans l’Alliance avec le Créateur. En observant et en comprenant l’évolution des combinaisons astrales, nous pouvons calculer les influences des astres sur la Terre et déterminer les périodes favorables et néfastes à la vie sur notre planète.
Ceci implique l’utilisation des centres d’études et d’observation capables de maîtriser les calculs scientifiques, astronomiques.
L’observation scientifique porte aussi bien sur le cosmos que sur la vie sur Terre et tout ce qui se passe chez les êtres vivants et dans la nature, les mers et les océans, bref sur l’ensemble de la Vie de la Création dans laquelle nous faisons partie intégrante.
Nous revenons au récit de la consécration du Cercle d’Or fait par Albert Slosman à partir du papyrus cité plus haut.
« Trois cent soixante générations de Pontifes, Gardiens des Textes de notre Langue Sacrée, ont aidé à la conservation intacte de cette Connaissance. A chaque moment primordial de la vie, sans discontinuer. Durant les cinq millénaires écoulés ils ont indiqué les desseins favorables de l’Éternel qui, seul, présente les signes à suivre ou bien à rejeter formellement… »
« La Loi intangible et indivisible sera léguée à vos élèves telle que vous l’avez reçue, sans rien lui ôter, car elle constituera toujours, partout, le rempart indestructible et nécessaire à la survie de nos fils et de leurs arrière-petits enfants ! Il en a été ainsi depuis notre origine en Ahâ-Men-Ptah. L’horrible expérience vécue par ceux qui ont tenté de contrefaire et de contrevenir à la Loi Divine doit nous servir de leçon à tous ! Nul ne tentera donc de vouloir faire prévaloir sa propre loi contre celle de Dieu, car il est impossible à un être humain de créer ce que le Créateur a mis dans le monde pour assurer votre vie terrestre.
C’est pourquoi vous jurerez, comme je l’ai fait il y a bien longtemps, d’obéir inconditionnellement aux commandements de la Loi Divine…/… Voici en des termes simples, ce que m’inspire ce moment d’une gravité exceptionnelle : le début des travaux du Cercle d’Or.
…/… La gigantesque école des « Combinaisons-Mathématiques-Divines » surgira grâce à votre travail acharné à tous. Les aspects célestes de ce jour sont les plus bénéfiques, preuve que nos Aînés avaient une maîtrise absolue dans la connaissance des combinaisons astrales. Nous entrons dans une ère de prospérité sans aucun précédent, et qui ne se reproduira pas avant de longues années de Dieu. …/… Aujourd’hui, Râ darde ses rayons les plus bienfaisants sur notre Deuxième-Coeur, influencé par celui des Douze qui est dans sa meilleure position : le Cœur du Taureau ! C’est pourquoi, en ce jour trois fois béni, ici même, notre Cercle d’Or antique d’Ath-Mer l’engloutie va renaître de son passé prestigieux grâce à Dieu, et au travail de toutes ses créatures. …/… Le Soleil entrant aujourd’hui pour plus de deux mille ans dans la constellation qui lui est dédiée en symbole éternel de reconnaissance, nous pourrons bientôt renaître de nos propres cendres avec la reproduction de tout notre passé révolu, mais bien présent dans nos cœurs. Que Ousir, le glorieux Fils du Père, intercède auprès de son Créateur, qui est aussi le nôtre, afin que le Cercle d’Or, qui ne verra son inauguration que longtemps après notre retour dans l’Au-Delà de la vie terrestre, résiste non seulement à l’assaut du temps, mais surtout à celui des enveloppes charnelles envieuses et jalouses de notre civilisation. »
Suivre ou rejeter ces signes est devenu une évidence pour les êtres vivants qui ont du quitter leur planète Vénus pour se réfugier dans les Andes. Ils ont transmis cette science cosmique à leurs descendants puis des milliers d’années plus tard, leurs descendants venus s’installer sur le continent de l’Atlantide, ont réussi à reprendre ces observations astronomiques pour repérer les évolutions cycliques, comme ce fut le cas pour le calcul deux mille ans avant, du jour du prochain Grand Cataclysme.
Le Cercle d’Or fait partie de la Double Maison de Vie de Dendérah, son bâtiment est à côté du temple principale de la Dame du Ciel. Cependant, dans une chapelle sur la terrasse au dessus de ce temple principale, se trouvait une Cercle d’Or plus petit qui servait aux mesures des combinaisons astrales. Celui-ci est connu parce qu’il contenait le Zodiaque de Dendérah.
Une anecdote rapportée par Slosman à propos de Khéops lorsqu’après avoir détruit le temple de Dendérah pour chercher l’endroit du Cercle d’Or, il décide pour demander pardon de reconstruire ce temple encore plus majestueux. Khéops utilise alors les plans originaux dessinés sur les peaux de gazelles. Ceci indique que ces plans ont été réalisés lors de la migration des descendants des survivants dans le Sahara vert et ont été conservés intacts depuis. Nous avons présenté quelques uns de leurs dessins rupestres peints au cours des cinq millénaires de cette migration.
Le dialogue dans le Cercle d’Or
Replaçons nous dans le Cercle d’or d’Ahâ-Men-Ptah ou plus tard celui de Dendérah. Vous êtes un moine du collège des Combinaisons Mathématiques Divines.
Sur les murs de ses couloirs, sont gravés les Combinaisons Mathématiques Divines, c’est à dire l’expression mathématiques des influences des différents astres sur la planète Terre de manière à pouvoir dire quand un nouveau basculement de l’axe de la Terre se produira. « Ce gigantesque ensemble astronomique constitue le Cercle d’Or. La Loi de l’Univers en perpétuel mouvement se grave dans ses moindres détails afin de rétablir l’Harmonie entre le Ciel et la Terre pour l’Éternité ». La ceinture céleste qui concentre les influx des Douze est présentée en ses milliers de combinaisons astrales.
En Ahâ-Men-Path avant sa destruction, le collège des gardiens des Lois Divines et des Mathématiques célestes avait réussi à calculer la date exacte du prochain basculement de l’axe de la Terre et de la destruction du continent de l’Atlantide, deux mille ans auparavant. Le même défi attendait dorénavant les prêtres maîtres d’œuvre dans le nouveau Cercle d’Or de Dendérah.
L’influence des Douze est décrite dans la voûte céleste du grand temple de Dendérah qui représente la carte du ciel à la date du jour du Dernier Grand Cataclysme, le 27 juillet 9792 avant notre ère, dans la période zodiacale du Lion. Cette influence s’exerce sur la navigation céleste de la Terre dans son univers mais elle s’exerce aussi sur les particules célestes qui à un moment donné forment le souffle qui anime notre Âme.
La compréhension de ces rouages de la mécanique céleste utilise notre source intellectuelle et rationnelle de Savoir mais les évolutions des combinaisons astrales, les changements d’orbite des planètes et des étoiles et leurs multiples causes induisent rapidement la question lancinante : où va l’univers, qu’est-ce que le Créateur veut nous signifier à travers ces mouvements célestes dont les influences sur la Terre modifient nos conditions de vie ou pire provoquent des cataclysmes qui détruisent la Vie sur Terre.
Une réponse est possible et il faut alors utiliser notre première source de Savoir et établir un dialogue directe avec Ptah, le Créateur. Nous allons y venir en examinant le pilier de la connaissance et de l’expérience spirituelle. Pour le moment et terminer nos propos sur le Cercle d’Or, nous avons des indications dans les livres d’Albert Slosman sur la complémentarité entre nos deux sources de Savoir utilisée par les savants du Cercle d’Or.
En Ahâ-Men-Ptah l’annonce de la date exacte du dernier Grand Cataclysme, deux mille ans avant sa survenance, par le collège des savants du Cercle d’Or, a suscité une question immédiate par le roi et son conseil : avez-vous vérifié vos calculs auprès de Ptah ? Et la réponse du Grand Prêtre responsable du Cercle d’Or a été affirmative. Oui, il était entré en relation avec Ptah au cours de son dialogue régulier avec lui pour lui poser directement cette question sur l’exactitude de leurs calculs et Ptah avait répondu que ces calculs étaient exacts et que dans le cadre de son Alliance avec cette civilisation, il allait intervenir pour l’aider à préparer la survie de celles et ceux qui resteraient fidèles à son Alliance avec lui.
Nous présentons l’explication de ce dialogue plus loin dans la partie sur le pilier du Savoir qui utilise notre première source de connaissances, la source initiatique spirituelle.
Comprendre nous aussi aujourd’hui Ptah avec nos connaissances intellectuelles et rationnelles
La Loi Divine n’est donc pas un dogme qui contient la volonté supposée de Dieu pour faire ceci ou cela. Elle représente le travail des êtres humains qui ont réussi à comprendre comment fonctionne l’univers, le cosmos créé par Dieu, l’unique Créateur du monde.
Ce fut le cas pour les voyageurs célestes venus trouver un refuge sur la planète Terre, comme ce fut le cas pour les descendants sur le continent d’Ahâ-Men-Ptah puis sur le continent africain et les bords du Nil, comme c’est encore le cas aujourd’hui pour comprendre les changements de la Vie de notre planète.
Nous prenons quelques exemples de questions et de recherches intellectuelles, de découvertes technologiques et scientifiques qui nous permettent de mieux comprendre la Vie de la création.
Il n’y a pas de séparation entre Ptah et sa création dont notre humanité est une partie intégrante.
Il vit en nous, nous l’expliquons plus loin au niveau des connaissances spirituelles.
Durant notre condition humaine sur Terre, le fondement de l’Alliance entre nous et le Créateur repose sur nos travaux intellectuels, rationnels, scientifiques pour comprendre le fonctionnement de l’univers. Ensuite nous devons respecter les périodes favorables et défavorables dans le cheminement des Douze constellations autour de la Terre et de son Soleil.
Le Créateur agit, il vit aujourd’hui de cette manière dans le fonctionnement de l’univers, alors sur Terre l’humanité doit agir de son côté de telle ou telle manière pour trouver l’harmonie avec son Créateur. Et toute ceci se calcule parmi les combinaisons astrales !
Cette Loi divine n’a pas été dictée par Ptah et cette Alliance non plus.
Notre humanité, nos peuples, nous, nous devons demander à Ptah d’établir ensemble une Nouvelle Alliance pour vivre en harmonie parmi la création, certes après avoir compris ce qu’elle est et comment elle évolue dans sa Vie de la Création. Notre but, nous le savons maintenant, est d’obtenir son aide pour survivre aux cataclysmes provoqués par l’instabilité de la planète Terre sur son axe, instabilité favorisée aussi par les influences néfastes d’autres planètes et étoiles de notre univers ou d’autres univers.
Et c’est ce que nous sommes en train de développer.
Les découvertes scientifiques à l’aide des satellites, des sondes cosmiques, nos équipements d’observation du ciel, se multiplient et nous permettent de constater que la création du Créateur ne se limite pas à notre univers. Les témoignages des êtres humains qui ont vécu un moment de la Vie d’après la vie humaine, indiquent eux aussi qu’ils ont reçu la proposition d’aller poursuivre la vie de leur esprit et de leur âme sur une autre planète habitée aux conditions de vie plus stables avec un art de vivre nettement supérieur et bien meilleur que sur Terre. Nos télescopes cherchent ardemment à découvrir ces planètes habitées ou au moins à repérer les exoplanètes. Plusieurs ont été découvertes récemment.
Nous comblons ainsi notre retard sur le Savoir de la civilisation égyptienne,
du moins sur ses connaissances qui ne sont plus interdites ou perdues ou pas encore redécouvertes.
Reste l’obstacle de l’acceptation aujourd’hui par les peuples de la Terre que ce Savoir a été apporté par des voyageurs célestes.
Ce que nous venons de présenter avec l’aide des livres d’Albert Slosman est très clair et compréhensible pour les descendants des voyageurs du cosmos qui ont trouvé un refuge sur Terre.
La Terre n’est qu’un refuge de Vie car notre planète est particulièrement instable et des Grands Cataclysmes s’y produisent de manière cyclique. Sauf que les moyens technologiques pour construire sur Terre des vaisseaux cosmiques ont été perdus. Les livres sacrés de l’Inde parlent des visites sur Terre de ces vaisseaux cosmiques. Les dessins de cosmonautes, de vaisseaux cosmiques se rencontrent sur tous les continents. Dans le chapitre sur Les survivants, nous avons présenté des dessins de cosmonautes ou de martiens peints sur les rochers des abris du tassili des Addjers au cours des cinq millénaires passés par les descendants des survivants dans le Sahara vert avant d’aller s’installer sur les bords du Nil.
Sur le plan intellectuel et rationnel, ce peuple peut logiquement nourrir un sentiment de perte d’une origine extraordinaire et magnifique. Le refuge trouvé sur Terre dans les Andes puis sur le continent de l’Atlantide se vit alors comme un exode contraint par le fonctionnement de l’univers et le changement d’orbite de Vénus vers une autre planète particulièrement instable où les destructions cycliques de toute vie compromettent l’espoir de vivre en paix et en harmonie avec la nature.
Par contre sur le plan de la démarche personnelle initiatique spirituelle pour chercher la rencontre avec les mystères de la Vie dans notre condition humaine, tout reste possible comme avant sur Vénus ou sur une autre planète habitée dans notre univers ou dans d’autres univers. Nous allons y venir.
L’énergie de Vie qui anime ces univers
peut se personnaliser dans le concept d’un dieu unique présent à travers les univers et les planètes habitées.
Pourtant, dans la civilisation égyptienne, il n’est pas question d’utiliser le mot « dieu » qui signifie d’ordinaire un dieu séparé de sa création et qui se trouve au sommet d’une hiérarchie humaine, le mot qui convient est « Cœur ». Le cœur qui pulse l’énergie de Vie dans la création et dans nos cœurs d’humains et des autres espèces vivantes.
Ptah est le Créateur. Pour nous qui vivons sur la planète Terre, nous pouvons l’appeler dieu, une espèce de partie de Ptah localisée sur Terre. Dieu signifie dans ce cas « Ptah présent sur Terre ». Nous verrons que sur le plan spirituel, nous nous adressons directement à Ptah le créateur de toute vie dans sa création. L’utilisation dans cette civilisation du mot dieu est d’ordre intellectuel et rationnel. C’est un mot du langage courant, pratique à utiliser mais qui n’a pas de signification spirituelle puisque nous dialoguons directement avec le Créateur.
L’énergie de Vie qui influence toute la création et nos parcelles divines rassemblées dans Ptah se situe dans un Cœur qui fait vivre sa création. Sur Terre, « Le « Cœur Aîné » se nomme Ahâ-Men-Ptah, l’Amenta, surnom phonétisé de ce qui était depuis si longtemps le Royaume des Ancêtre du Continent perdu.
Il est devenu le Pays du Couchant et le lieu du Couchant se nomme Ta Mana, là où les survivants accostèrent sur les rivages du Maroc. Il fut le point de départ des descendants d’Ousir comme de Set, suivant deux voies truffées de gravures rupestres, écartées l’une de l’autre de quelque trois cents kilomètres, et suivant pendant huit mille kilomètres, à peu de chose près la ligne imaginaire dite « Tropique du Cancer ».
Le lieu tant attendu et enfin trouvé, fut appelé Ta Mérit en un premier temps : « Lieu Aimé », appellation qui lui fut conservé jusqu’à ce que le premier roi de la première dynastie unifie le territoire entier en un « Deuxième-Coeur-de-Dieu » : Ath-Kâ-Ptah, nom qui fut décidé de lui donner des millénaires avant leur arrivée par les Survivants d’Ahâ-Men-Ptah, les rescapés de l’Atlantide, lorsqu’ils promirent de sceller ainsi la Seconde Alliance avec Ptah. Ce fut d’ailleurs ce nom Ath-Kâ-Ptah que les Grecs phonétisèrent en Ae-Guy-Ptos, dénomination reprise en français par Égypte ».
Ce Savoir repose sur la connaissance scientifique des ondes émises par les différents corps célestes de notre univers et certainement aussi des autres univers. L’influence de ces ondes se mesure ou du moins se constate. Il est possible de suivre leurs variations cycliques ou non cycliques et ceci sur des milliers d’années pour la civilisation d’Ahâ-Men-Ptah puis égyptienne.
Ce prodige garantit un point essentiel au niveau de la sécurité de la civilisation : anticiper l’arrivée d’un cataclysme majeur et organiser la survie.
L’observation quotidienne des changements dans les combinaisons astrales.
Les monuments, les temples et leurs textes gravés, nous indiquent comment cette civilisation avait organisé l’observation quotidienne de la Vie qui anime la création et comment elle a utilisé ces mathématiques et ses connaissances scientifique pour développer tout ce qui est nécessaire pour satisfaire les besoins de ses populations.
Les découvertes récentes nous apprennent une bonne partie des technologies qui furent employées pour construire les bâtiments, cultiver les champs, développer les moyens de transport, équiper l’armée, utiliser les ressources des fleuves et les ressources minières, soigner les gens. D’autres réalisations restent encore inexpliquées.
Nous souhaitons ici illustrer ce Savoir intellectuel, rationnel, scientifique, technologique avec quelques anecdotes présentées dans les livres d’Albert Slosman, qui concernent cette mission primordiale du Cercle d’Or et des Grands prêtres : le suivi des variations des combinaisons astrales. N’oublions pas que la plupart des autres peuples sont à cette période au stade des outils de pierres taillées.
Les Survivants sont capables de suite de s’orienter malgré le changement de la cartographie du ciel.
« Du fond des âges, depuis le plus lointain passé décrit, les Pontifes qui se succédèrent à la tête de la « Double-Maison-de-Vie » enseignant les « Mathématiques Divines » à Dendérah, les configurations célestes avec les combinaisons géométriques qui les harmonisaient, avaient pour repères de véritables points fixes : des points lumineux dans l’espace, qui avaient des propriétés très particulières. Et Sirius fut l’un d’eux ».
Il est aisé de dater avec précision les représentations célestes grâce au recul précessionnel de la Terre dans l’Espace.
Sirius étant la Fixe par excellence, elle détermine le début d’une « Année de Dieu » qui durait 1 461 années de nos révolutions solaires annuelles. Elle a donc servi à établir le calendrier sothiaque, celui de Sep’ti l’« Étoile-Guide ».
Cette étoile-repère Sep’ti a servi de point fixe pour assurer la route des Survivants depuis les rivages du Maroc à Ta Mana jusqu’à Dendérah en suivant la ligne imaginaire du Tropique du Cancer. Le soleil avait changé de place, il se lève dorénavant là où il se couchait, mais Sep’ti n’a pas changé de place.
« Dendérah se situe sur une énorme boucle du Nil, la seule sur un long cours, qui laisse une grande vallée fertile disponible avant de se fermer par une longue chaîne de monts d’un côté et le désert sur l’autre rive du fleuve ». La construction du temple commença le premier jour d’une nouvelle « Année de Dieu ».
Il n’y a donc pas eu de rupture, de perte de connaissances sur ce point à cause de la destruction du continent d’Ahâ-Men-Ptah. « Ce ne fut que près de 5 000 ans plus tard que les Grecs se targuèrent d’inventer l’astronomie et ils furent surpris par cette étoile de première grandeur, très brillante qui les narguait. La longueur de ce temps rythmique dépassant leur entendement ne leur permit pas de délimiter clairement les supputations émanant des calculs complexes de leurs antiques prédécesseurs sur terre ».
Le cadran qui va guider les Survivants.
L’An-Nu, le Pontife, après la résurrection d’Ousir, s’est occupé à examiner le « trésor inestimable » qui lui avait été confié par un colon d’Ahâ-Men-Ptah présent dans cette région d’Agadir avant le dernier Grand Cataclysme.
« L’homme lui avait expliqué que « l’engin » était en sa possession depuis un très long temps, après avoir fait un troc avec un nautonier (pilote expérimenté des navires côtiers qui commerçaient jusqu’à l’extrémité du monde) qui l’avait échangé contre du Kesber ( c’est un dérivé métallique très précieux par ses propriétés. Il s’agissait vraisemblablement de l’orichalque, dont parlait Hérodote. Dans les textes hiéroglyphiques, ce nom venait tout de suite après l’or dans l’énumération des métaux précieux). C’était un Gô-men très ancien, datant de bien avant le cataclysme qui prenait aujourd’hui une valeur exceptionnelle que nulle autre chose à Ta Mana ne concurrençait ».
Nous résumons la description technique précise donnée dans ce livre par Albert Slosman.
Cet engin comprend une cuvette grossièrement évidée faite en bois qui contient l’instrument qui nage au gré des mouvements du liquide qui s’y trouve. Cette roue pleine qui flotte reste à l’horizontale quel que soit le mouvement du baquet. Une tige se dresse perpendiculairement à cette roue et la grandeur de l’ombre portée permet de repérer l’endroit exacte recherché, les opérations de calcul s’effectuant quotidiennement à l’instant nul du zénith.
« Une série de cercles concentriques gravés dans le bois à des largeurs différentes précisément définies à l’avance, permettaient à son possesseur d’aller à n’importe quel endroit. Le développement de la navigation, dû au commerce extérieur d’Ahâ-Men-Ptah, avait nécessité la mise au point d’un tel appareil bien des millénaires auparavant. Il n’avait été abandonné au profit de cadrans perfectionnés que bien plus tard ».
Le Pontife qui avait étudié les Combinaisons sur le Cercle d’Or d’Ath-Mer comprit qu’il était pas trop compliqué de façonner avec les moyens du bord un cadran plus « moderne ». Il représenta ainsi les 24 fuseaux égaux d’une représentation terrestre dont le premier plan serait le méridien de Ta Mana. « Le Soleil, décrivant uniformément sa nouvelle navigation céleste, coupera les cercles horaires du côté occidental la nuit, et du côté oriental pour la journée …».
Ce engin là permit à l’An-Nu d’apprendre aux néophytes toutes les données antiques qui avaient précédé le Cataclysme. C’est à dire apprendre tous les rouages des « Combinaisons-Mathématiques-Divines » pour comprendre l’accomplissement du dernier Grand Cataclysme mais également pour prévoir le mécanisme qui permettrait de renouer la Nouvelle Alliance entre Dieu et son deuxième Cœur.
Le Pontife pouvait dès lors réfléchir aux moyens les meilleurs d’organiser spirituellement le voyage vers la Lumière du deuxième Cœur. « l’engin baignant au sein d’une myriade de reflets solaires lui en fournissait la possibilité car il assurait à son possesseur exclusivement la connaissance exacte de la route à suivre pour arriver au « Second-Coeur », Ath-Ka-Ptah !
…/… Le point inconnu en était fort éloigné, certes mais les « Combinaisons » appropriées en seraient peut-être plus simples à étudier qu’il n’y paraissait, car il se situait sur le même parallèle qu’Ath-Mer. Les manuscrits étaient formels et c’est pour cette raison que cette terre avait été désignée par Dieu (Ptah)
Dans sa jeunesse studieuse, l’An-Nu avait appris que si chaque cadran n’était calculé que par rapport à un seul lieu donné pour son repérage, il pouvait être reproduit d’une manière identique pour tout autre endroit de la Terre situé sous le même méridien, pourvu qu’il soit disposé en une situation parallèle à celle qui était la sienne auparavant.
Or la Maison de Vie des Combinaisons-Mathématiques-Divines du Temple d’Ath-Mer avait les mêmes coordonnées que l’endroit actuel, ce que démontrait le chemin des étoiles fixes qui, elles, n’avaient pas changé de cap, et avaient les mêmes configurations que l’endroit choisi comme point de ralliement dans la Seconde Patrie pour y établir le nouveau lieu de calcul des données célestes. Les Descendants vivraient sous un même ciel retrouvé grâce à leur Alliance ancestrale avec Dieu .
La route des étoiles fixes étant toujours identique par rapport à la route contraire effectuée par le Soleil dans les grandes configurations, comme celle du Lion, l’observation nocturne d’Orion et de Sirius donnerait la position qui mènerait sans faillir dans la seconde Patrie ».
Ainsi comme les textes l’affirmeraient plus tard :
« L’Est uni à l’Occident par le Cœur-du-Lion guidera l’arrivée dans Ath-Ka-Ptah, le Deuxième-Coeur-de-Dieu ». Le Cœur-du-Lion est l’étoile « Régulus du Lion », dont l’éclat très vif, mais fort variable, la fait ressembler aux palpitations d’un cœur. ».
Le calcul de la hauteur du pôle.
Plutarque nous renseigne sur la méthode des égyptien pour calculer la hauteur du pôle. « Il était témoin oculaire, plein de respect envers les possesseurs de sciences qu’il considérait comme inexplicables humainement. Tel ce passage explicatif : « Les Égyptiens mesuraient par exemple la hauteur du pôle avec une tablette en forme de tuile, qui formait un angle droit avec un plan niveau. De cette description, il est facile de reconnaître un type de cadran équinoxial en usage en Thébaïde encore au IIe millénaire avant Jésus-Christ ».
Albert Slosman pour montrer que les Grecs n’ont rien inventé, cite Clément d’Alexandrie « qui savait bien de quoi il parlait, connaissant parfaitement le contenu des archives de sa ville, constatait mélancoliquement dans ses Stromates : « s’il fallait que je cite ici tous les plagiats et tout le Savoir que les Grecs ont emprunté aux Égyptiens, tout le contenu de ce livre ne suffirait pas pour écrire le nom de leurs auteurs!»
Restons un instant sur ce calcul de la hauteur du pôle car il est très important. Dans le cas où cette hauteur baisse, il indique que le pôle s’aplatit et par conséquence que la déformation du globe se répercute sur l’équateur qui se gonfle et s’élargit. La déformation de la croûte terrestre a commencé et ceci annonce l’imminence d’un prochain cataclysme avec ou sans basculement de l’axe de la Terre mais avec assurément une importante destruction de la Vie sur terre suite à l’activité sismique, volcanique avec ses gaz toxiques, ses coulées de lave et ses pluies torrentielles lorsque le magma est en contact avec la mer ou l’océan.
En 1990, à Sophia-Antipolis, un soir en quittant le bâtiment, je vais voir dans un bureau l’équipe qui travaille sur la production des petites pièces en céramique dont les gravures forment un signal acoustique. Ces pièces vont aller dans le calculateur de l’altimètre radar Topex-Poséidon dont la mission est de mesurer la hauteur des mers et des océans. Sa première mission est de suivre le déplacement d’eau chaude dans l’océan pacifique et de caractériser ainsi les effets el nino et el nina sur les changements de climat : sec ou pluvieux.
L’équipe est joyeuse, excitée, bruyante. Je sais que nous avons beaucoup de difficultés pour réussir la gravure compliquée de ce lot de composants destinés à ce satellite. Les collègues me montrent l’écran informatique : les traits fins et longs accolés les uns aux autres sont très réguliers, exactement les mêmes sur toute la largeur de l’écran qui les fait défiler. Le chef de projet tout heureux m’indique qu’ils viennent de réussir cette innovation mondiale et que ce compresseur d’impulsions acoustiques dans ce calculateur de l’altimètre radar va donner des résultats jamais obtenus auparavant.
Au moment de quitter l’équipe, un peu à part, ayant lu les livres d’Albert Slosman et notamment ce calcul de la hauteur du pôle, j’indique au chef de Projet qu’après la hauteur des océans, il s’agit de mesurer la hauteur du pôle comme les égyptiens le faisaient depuis la terrasse au dessus de leurs temples, notamment à Dendérah. Avec la condition que cette mesure quotidienne se déroule au moins pendant 72 ans,le temps que l’axe de la Terre modifie son inclinaison d’un degré. En souriant, il me répond qu’un altimètre radar n’a aucune difficulté pour y parvenir. Sur la question des 72 ans, il m’indique que l’on peut retrouver par triangulation une position fixe pour le satellite et garantir ainsi l’exactitude des mesures quotidiennes. Pour lui, cette innovation mondiale ne représentait qu’un début. Ensuite la cartographie précise du fond des océans était au programme. Les masses d’eau chaude des océans ne s’expliquent pas seulement par l’activité solaire mais probablement bien plus par l’activité du magma au fond des océans, surtout lorsqu’il remonte près de la surface de la croûte terrestre. Mon collègue m’expliqua qu’il faut surveiller les chaudières magmatiques et avec ces altimètres radars, le calcul égyptien de la hauteur du pôle perd de son importance.
Il est tout de même surpris par ma question. Il savait que je suis juriste et un littéraire, poète actionnaire du Cherche-Midi pendant 6 mois en 1978 lorsque notre éditeur Michel breton avec son équipe ont tenté de sauver notre maison d’édition mise en liquidation sur ordre du Ministre de l’Intérieur, Michel Poniatowski, sous prétexte que pour la bourgeoisie française, il était devenu intolérable que nous conservions depuis 10 ans l’esprit et la lettre de mai 1968… Ce que je lui avais déjà raconté parce qu’il avait vu cette mention sur mon curriculum vitae, lorsqu’il avait participé à mon recrutement dans l’équipe de Direction.
Il fut satisfait de mon intervention sur le calcul de la hauteur du pôle par les égyptiens, qu’il ne connaissait pas même s’il savait que les égyptiens ont été des savants brillants à leur époque.
L’intégration dans les bâtiments du contrôle des combinaisons astrales
À Dendérah :
» Du nombre des ruines, la plus merveilleuse est Tentyris ( le nom grec de Ta-Nout-Râ-Ptah, transformé plus tard en Dendérah ). Elle a 180 fenêtres, et le Soleil y pénètre chaque matin par une fenêtre différente jusqu’à ce qu’il arrive à la dernière; après, il retourne en sens contraire le même voyage » El-Makrisi, description de l’Égypte, 1468.
« Gloire vous soit rendue, ô vous les deux jumelles divines, Iset et Nek-Bet, les célestes habitantes de nos cœurs et nos protectrices.
Voici ma demeure, Dendérah,
celle de la Dame du Ciel, Hathor, nom composé des deux hiéroglyphes Coeur et Horus pour désigner Isis qui porta en elle le coeur de son fils Horus dont elle est la mère. Hathor, patronyme d’Isis en tant que bonne mère, la mère des survivants.
Dendérah fut construit par les Suivants d’Horus à partir du 24 mai 4608 avant notre ère, premier jour du cycle du Taureau Céleste … Tu vois la maison de vie, elle fait partie de la double maison de vie des » Combinaisons-Mathématiques-Divines » qui expliquent la géométrie du ciel pour prévoir les cataclysmes qu’engendrent la navigation céleste de la Terre et permettre à l’humanité d’y survivre.
Sous le temple, dans ce que les Grecs appelleront le grand labyrinthe, les douze chambres d’initiation instruisaient les postulants sur les mystères de la vie et de notre univers afin que la connaissance dirige la marche des peuples… La treizième porte mène au cercle d’or enfoui sous les sables du désert et son chemin ensablé reste perdu ».
(texte rédigé librement à partir des écrits d’Albert Slosman).
G.Maspero ( extrait d’une lettre du 27 juin 1900 ) :
» Dendérah ! Ce nom évoque chez tous ceux qui ont fait le pèlerinage classique de l’Égypte en felouque sur le Nil la première vision réelle de la beauté la plus pure et la plus antique qu’ils aient eue d’un temple égyptien !
Document :
« Le 21 septembre 1799, poursuivant sa descente vers le Sud, l’armée de Bonaparte découvre le Temple de DENDERAH. En le visitant, ils découvrent un magnifique planisphère représentant les constellations. Cette expédition est racontée dans le livre écrit par Sébastien Louis Saulnier et Claude Lelorrain, « Notice sur le voyage de M. Lelorrain en Égypte », Éditions Sétier, paru en 1822. Il finit par être exposé au Musée du Louvre depuis le 20 ème Siècle après l’avoir été à la Bibliothèque Royale au 19 ème Siècle. Le Temple qui contenait le disque était ensablé durant des Siècles, ce qui explique sa conservation.
Le plafond sera découpé et ramené à Paris en 1821 où il est conservé. C’est aussi l’année du décès de Napoléon Bonaparte, mais l’empereur et les scientifiques avait déjà des croquis du ZODIAQUE. L’arrivée du ZODIAQUE à Paris fût un événement car il remet tout en question. Il est le précurseur de la Laïcité Française et la Loi de séparation des Églises et de l’État en 1905, C’est grâce à cette planisphère circulaire, que la France et d’autres pays ont pu devenir laïc.
La date de juillet 9.792 avant l’ère chrétienne serait donc inscrite sur le calendrier égyptien de Dendérah. Plusieurs sources indiquent que le cataclysme eut lieu le 27 JUILLET 9792 avant notre ère, mais en étudiant la carte du ciel gravé au plafond d’une salle du temple de Dendérah avec la précession la date de 9679 semble plus juste. Nous ne pourrons que constater que cette année regardée comme celle du Grand Cataclysme se rapproche de près de la date indiquée par le voyant Edgar Cayce ainsi que de multiples chercheurs indépendants comme Colin Wilson, Charles Berlitz, Graham Hancock…
Cette époque marque aussi la fin de la dernière grande glaciation, certainement accélérée par la catastrophe, cet événement n’est pas obligatoirement astronomique, il pourrait marquer une invasion et la destruction d’un empire par les envahisseurs (Seth).
Selon une théorie, les rescapés ont accosté à Ta Mana, au Maroc et ont fondé leur survie sur la mémoire de cette catastrophe. Après une errance de quelques 5000 ans, et des luttes fratricides entre les partisans d’ OUSIR (Osiris), le descendant de l’Aîné de l’ AHÂ-MEN-PTAH et SETH, son frère Rebelle, ces multitudes venaient d’aboutir sur le plateau qui dominait au loin cette immense boucle du fleuve et à l’intérieur de laquelle croissait une si verdoyante oasis, le Delta du Nil pour le » Deuxième Cœur.»
fin du document.
autre document :
Une cité et une nécropole vieilles de 7 000 ans découvertes en Égypte
Des huttes, de la poterie, des outils en pierre et quinze grandes tombes ont été trouvées en Haute-Egypte, non loin du temple du pharaon Séthi 1er à Abydos.
Des archéologues ont découvert une cité et un cimetière antiques en Égypte datant de 5 300 avant Jésus-Christ, a annoncé mercredi 23 novembre 2016 le ministère des antiquités.
La cité et la nécropole – abritant vraisemblablement des hauts fonctionnaires – ont été découvertes en Haute-Egypte à quelque 400 mètres du temple de Séthi 1er dans la cité antique d’Abydos, a affirmé le ministre Mahmoud Afifi. Elles dateraient de 5 316 avant J.-C.
« Cette découverte pourrait éclairer de nombreuses informations sur l’histoire d’Abydos », souligne-t-il dans le communiqué de son ministère.
Située à 550 km environ au sud du Caire et célèbre dans l’antiquité pour avoir abrité le tombeau d’Osiris, le dieu des morts, le site prédynastique d’Abydos est connu pour ses temples, notamment celui de Séthi 1er et ses nécropoles.
Source : https://www.lemonde.fr/archeologie/article/2016/11/24/une-cite-et-une-necropole-vieilles-de-7-000-ans-decouvertes-en-egypte_5036855_1650751.html.
N.D.L.R de fileane.com : Séthi 1er (comme avant lui Pépi 1er) a participé à la restauration et au développement du temple de Dendérah qui avait déjà plus de trois millénaires à son époque. Les deux reçurent dans ce temple la plus haute initiation pour un pharaon (identique à celle d’un grand prêtre).
À Abou Simbel
Document :
Égypte : le 22 février, quand la statue de Ramsès II, à Abou Simbel, est irradiée par les rayons du soleil
Par Bernadette Arnaud le 21.02.2022 à 15h42 Science et Avenir Archéologie
La statue du célèbre pharaon Ramsès II sera illuminée ce mardi 22 février 2022, un phénomène qui ne se produit que deux fois par an.
L’alignement solaire du temple du pharaon Ramsès II (13e siècle avant notre ère) à Abou Simbel, sera officiellement célébré en Égypte, en présence du Dr. Khaled El-Enany, le ministre du Tourisme et des Antiquités, comme l’ont signalé des médias égyptiens.
Chaque 22 février et 22 octobre, il fait aussi l’objet d’un évènement spectaculaire, lorsque les rayons du soleil pénètrent à l’intérieur du temple sur plus de 60 mètres jusqu’à atteindre, en son extrémité, le saint-des-saints, ou naos : une pièce où sont présentées assises sur une banquette, côte à côte, les statues du dieu Ptah, d’Amon, de la divinité Rê-Horakhty munie de son disque solaire, ainsi qu’une statue déifiée de Ramsès II.
…/… Pendant quelques minutes, dans les faisceaux de l’aurore, les puissants rayons du soleil viennent alors irradier d’une lumière bienveillante les statues présentes dans le naos. Chaque 22 février, s’illumine d’abord celle du dieu Amon, puis celle de Ramsès II, les drapant d’une teinte d’or ; puis le 22 octobre, dans le sens contraire, s’enflamme en premier lieu l’effigie de Rê-Horakthy, puis celle de Ramsès II. Dans les deux cas, Ptah n’est jamais atteint par les rayons du soleil, car considéré par les anciens égyptiens comme un dieu des ténèbres, il doit rester dans l’ombre.
Source :
Note de la Rédaction de fileane.com : vous corrigerez ce texte avec les informations précises que vous venir de lire dans ce chapitre à propos de qui est Ptah. Il en va de même pour quasiment toutes les informations disponibles sur Internet et les Réseaux sociaux actuellement.
Le changement climatique actuel et le Gulf Stream.
« Fait étrange, le maelstrom qui tourbillonna en spirale lors de l’effondrement du continent est devenu un vent tiède, bienfaisant, qui tourne toujours autour de la même vaste zone : c’est le Gulf Stream, qui encercle encore aujourd’hui parfaitement l’immense superficie de l’Atlantique qui était Ahâ-Men-Ptah.
Buffon écrivait déjà dans son Histoire naturelle :« Des courants venant de l’occident et se dirigeant vers l’orient sont très violents. De sorte que les bateaux peuvent venir en deux jours de Moura à Rio de Bénin.»
Plus précisément encore, M. Dapprès rapporte dans son Hydrographie française :« Ce qui fait que des navires croyant parvenir à Ténériffe, dans les Canaries, et ne connaissant pas le nouveau courant porteur, se sont retrouvés au cap Noun, dans le sud marocain ! » »
source : Les Survivants du dernier Grand Cataclysme, Albert Slosman.
La cap Noun porte toujours le nom de Nout, la reine mère d’Ousir et d’Iset, Nekbet, Sit. C’est précisément le promontoire où accostèrent Iset et son fils Hor.
Le Gulf Stream qui est un bienfait de la nature pour les îles de Grande-Bretagne donne des signes de faiblesse ces dernières années et peut prochainement disparaître.
Document :
Climat : ce scénario sous-estimé où une grande partie de l’Europe se refroidit
source : L’Express, 29/01/2025
Un effondrement de l’AMOC, une circulation complexe de courants marins dans l’Atlantique, aurait des effets en cascade pour le continent… Et bien au-delà, alertent les scientifiques.
Tandis que le sud de l’Europe ne connaît presque plus d’hivers en 2100, subissant de plein fouet les effets du changement climatique, imaginez Londres grelotter sous des températures dignes du Canada – ou des pays scandinaves, au choix. La Tamise gelée, les transports au ralenti, y compris le fameux Tube de la capitale. Les matchs de football de la sacro-sainte Premier League sont reportés en raison des conditions météo. Comme les premières rencontres du tournoi des VI nations de rugby. Les supporters sont assignés à domicile – même la bière se glace en extérieur.
Délire des climatosceptiques anglais ? Scénario de science-fiction ? Pas pour Tim Lenton, directeur du Global Systems Institute de l’université d’Exeter, titulaire d’une chaire sur le changement climatique et la science du système terrestre. Le scientifique a participé à l’élaboration d’un rapport alarmant publié en octobre dernier outre-Manche. Les auteurs y critiquent « l’angle mort » des autorités concernant « les points de basculement climatiques », et en particulier celui de l’AMOC (acronyme anglais de « circulation méridienne de retournement de l’Atlantique »), un ensemble de courants océaniques qui contribue, entre autres, à maintenir un climat doux en Europe.
Il suffirait que celui-ci se dérègle pour que tout le Royaume-Uni et l’Irlande soient fortement impactés. Et les conséquences ne se limiteraient pas à des désagréments aussi triviaux que le report des rencontres sportives. Le refroidissement produit par la modification des courants océaniques « éliminerait fondamentalement les cultures arables au Royaume-Uni, provoquerait une crise de l’eau dans le sud-est et nécessiterait des changements majeurs au niveau des infrastructures, notamment de transport », prévient Tim Lenton.
Fin du document
Le dialogue entre le Créateur et les humanités présentes sur les planètes habitées de la Création.
Nous arrivons maintenant à l’utilisation de notre première source de savoir, celle qui n’a pas besoin de savoir et écrire, la source personnelle initiatique spirituelle.
Nous indiquons dans notre titre « les planètes habitées de la Création » pour rappeler que l’origine de la civilisation atlante puis égyptienne se trouve sur une autre planète habitée, Vénus, qui certes n’est plus habitée depuis son changement d’orbite.
Cette indication est aussi fondée sur l’apport du savoir spirituel et la proposition qui nous est faite, pas à notre corps charnel évidemment, mais à notre âme fusionnée avec notre esprit ou plutôt notre conscience, d’aller poursuivre notre Vie sur une autre planète habitée. La science actuelle a découvert les exoplanètes et parmi elles, elle cherche à déterminer lesquelles sont habitées.
Les voyageurs célestes venus trouver refuge dans les Andes connaissaient probablement ces autres planètes habitées vers lesquelles d’autres voyages célestes ont permis de sauver d’autres partie de leur peuple. D’après les textes sacrés de l’Inde et d’autres peuples, des voyageurs extra-terrestres sont venus visiter notre planète, avant mais aussi après le dernier Grand Cataclysme.
L’histoire de la fin du continent d’Ahâ-Men-Ptah ainsi que celle des survivants raconte un dialogue constant entre le Créateur et le peuple de ce continent qui va être englouti sous l’océan lors du dernier « Grand » Cataclysme. Celui qui vit en nous et est le même en chacun d’entre nous, le Créateur qui vit à travers sa création dont notre humanité sur Terre fait partie intégrante, ne laisse pas sa création abandonnée face aux conséquences néfastes de l’évolution des combinaisons astrales.
Cette expérience de Vie représente le pilier du Savoir obtenu à travers notre première source de savoir, la démarche personnelle initiatique spirituelle.
L’expérience spirituelle de la rencontre avec les mystères de la vie dans notre condition humaine.
Les initiés à la Vie d’après la vie humaine, lorsque nous revenons sur Terre, reçoivent un aperçu sommaire de ce qui les attend dans la suite de leur condition humaine et le cas échéant, ils emportent une aide pour surmonter les difficultés et les périls qu’ils vont rencontrer.
Cette expérience spirituelle vécue lors de notre rencontre avec les mystères de la Vie ouvre notre évolution humaine et notre recherche du partage de ce vécu indicible avec notre source de Vie. La traduction en langage conventionnel de cet indicible, cet art de trouver les mots pour dialoguer avec les autres, sont assurés dans notre humanité par les poètes.
Nous présentons cette troisième rencontre à travers notre second recueil de poésie, Illuminations, rédigé 12 ans après notre accident de montagne à Notre Dame de la Gorge derrière les Contamines dans le massif du Mont-Blanc. La première rencontre et décorporation puis la seconde décorporation sont également présentées sur fileane.com .
Parmi les autres poètes, Arthur Rimbaud avait retenu une phrase devenue célèbre d’un poète français romantique assez vite désabusé par le contexte politique, économique, social de son époque, la fin du Ier Empire et la Restauration puis les Révolutions de 1830 et 1848.
Le grand-père de ce poète romantique était aussi poète, et son père était un spécialiste de Jean-Jacques Rousseau, dont il édita les œuvres. La figure de Rousseau jouera en l’occurrence un rôle essentiel dans l’œuvre de ce poète romantique. Mais nous nous sommes déjà exprimé sur Rousseau pour montrer l’impasse de cette conception philosophique de l’être humain dénuée de tout apport spirituel. C’est pourquoi nous comprenons qu’il soit devenu dépressif et alcoolique, et qu’il écrivit de moins en moins après l’âge de 30 ans.
Pourtant il a bien compris non pas le drame des poètes, la poésie n’est pas une scène de théâtre, mais l’impérative nécessité pour eux de trouver leur Source d’inspiration et de vivre avec elle un dialogue que Rimbaud nommera en tant que voyant, le dialogue de l’âme pour l’âme. Ce dialogue essentiel dans l’utilisation de notre première source de Savoir, la source personnelle initiatique spirituelle, que nous remettons en place et à l’honneur à travers nos textes sur fileane.com .
Alfred de Musset l’a fait remarquer : « dieu parle, il faut qu’on lui réponde !» C’est simple, direct, complet et terriblement véridique.
Oui terrible comme l’est chaque initiation réussie, et le poète l’a compris : la vérité n’est pas de ce monde, elle nous est transmise depuis un ailleurs différend de la Terre. Par contre, il est dégoûté de ce qu’il a du apprendre sur Terre à travers les enseignements « véridiques » de la théocratie catholique romaine (et de Rousseau) qui ne forment que des ignorants puisqu’elle interdit l’initiation personnelle, sauf évidemment pour les poètes qui n’ont que faire de ce genre d’interdiction malhonnête et invraisemblable, scandaleuse :
« Quand j’ai connu la vérité
J’ai cru que c’était une amie
Quand je l’ai comprise et sentie
J’en étais déjà dégoûté
Et pourtant elle est éternelle
Et ceux qui se sont passés d’elle
Ici-bas ont tout ignoré ».
Notre Créateur n’exige pas de nous des dons particuliers, un niveau de compétences ou des actions préalables pour nous purifier avant de se présenter à lui, pour capter son attention et lui plaire. Nous n’avons pas besoin de savoir lire et écrire pour aller à la rencontre avec les Mystères de la Vie, ce que nous appelons le langage du cœur suffira amplement et notre âme, nos parcelles divines l’utilisent depuis toute éternité ! Mais pour partager cet indicible, la traduction est tout un art depuis le langage hermétique jusqu’au langage conventionnel.
Le Créateur sait tout et s’il s’adresse à nous d’une manière parfaitement intelligible, il sait aussi que nous sommes capables de lui répondre.
Et répondre non pas par des longs discours plus ou moins philosophiques ou pire, théocratiques, mais simplement en lui demandant quelque chose pour nous aider, nous et nos proches qui vivons dans sa création.
Oser prononcer une demande à celui qui vit en nous et est le même en chacun d’entre nous puisque tous nous sommes dans le Créateur qui vit dans sa Création, ce formidable Tout unique et éternel.
Le dialogue de l’âme pour l’âme
entretenu par notre démarche personnelle initiatique spirituelle et son partage traduit par les poètes, prouvent tout au long de notre condition humaine l’Amour qui unie le Créateur et sa création.
« Aimer c’est savoir dire je t’aime sans se parler. » Victor Hugo.
L’amour utilise le langage du cœur, nous n’avons pas besoin d’apprendre le langage des êtres humains et de savoir lire et écrire. Dans le vocabulaire du management de la communication interpersonnelle, nous disons que la communication non verbale peut suffire pour exprimer l’amour entre êtres humains. Nous pouvons dire « je t’aime » sans nous parler et il en va de même dans le dialogue de l’âme pour l’âme avec le Créateur.
Dans le Savoir de cette civilisation florissante, il n’y a pas besoin d’intermédiaires religieux pour s’adresser à un Dieu présent au dessus de sa création. Cette séparation et cette hiérarchisation des intermédiaires n’existe pas.
Nous pouvons également estimer que ce dialogue a déjà existé entre le Créateur et les initiés de la planète d’où ces voyageurs célestes sont venus se réfugier sur Terre. Ce dialogue s’est poursuivi lorsque ce peuple s’est développé sur Terre et a rencontré de nouvelles menaces sur son existence. Et toujours dans cette évidence, ce dialogue existe entre les êtres humains sur les autres planètes habitées, là où nous recevons une invitation à y aller.
Ce dialogue fait vivre la Création.
Notions de base sur le développement spirituel
pour conduire l’activité intellectuelle rationnelle et permettre des réalisations exceptionnelles au service du groupe social.
La présentation du développement spirituel dans l’essai Les Réseaux de Vie se trouve dans les Institutions culturelles, en première partie (pas encore publiée à ce jour). Pour le moment, certaines explications sont ici nécessaires de manière à comprendre comment les prêtres, moines et savants d’Ahâ-Men-Ptah puis ceux des temples des bords du Nil ont utilisé leurs expériences d’initiés.
Le développement spirituel
Est présenté dans notre Roman D’Éleusis à Dendérah, l’évolution interdite, épisode 5 Le week-end à Baden-Baden, partie 1/3.
Pierre présente au groupe lors de la première réunion du week-end, le vendredi soir. Le sous-groupe de Pierre, Dominique, Carine, Anke, Laurie commença par présenter un compte-rendu de son travail sur le développement spirituel, but de leur activité commune et objet de l’activité du club qu’ils avaient décidé de créer.
Cet épisode 5 du roman sera repris dans la partie 1 de l’essai et le chapitre sur les Institutions culturelles, non publié à ce jour, sera complété par d’autres développements non présents dans ce roman.
Le cheminement initiatique spirituel emprunte 4 voies qui mènent à la rencontre des Mystères de la Vie.
Plusieurs chemins sont possibles pour poursuivre une initiation spirituelle.
- le dépassement des limites de notre corps charnel à travers des épreuves sportives, des randonnées en montagne, des expéditions dans des espaces naturels préservés…
- la fusion des corps dans l’extase amoureuse, chemin spirituel disponible pour chaque être humain qui rencontre l’Amour.
- la voie mystique qui utilise les enseignements des initiés qui ont vécu avant nous sur Terre. Elle repose sur les prières qu’ils nous ont transmises. Nous devons bien distinguer cet enseignement spirituel des dogmes religieux imposés par les théocraties.
- la voie directe du dialogue de l’âme avec l’âme et l’utilisation de l’écriture poétique qui puise son contenu auprès de la source de vie présente en chacun de nous, une fois que nous l’avons découverte à travers notre cheminement spirituel.
La démarche personnelle initiatique spirituelle suit 3 étapes
Dans l’essai, partie 1 et le chapitre Le travail dans les Réseaux de Vie, les trois étapes du cheminement initiatique spirituel sont présentées.
L’involution mène le postulant à l’initiation aux mystères de la Vie .
L’être humain, peu importe son âge commence par chercher et trouver celui qui vit en lui et est le même en chacun d’entre nous. C’est lui qui va nous aider à aller jusqu’à la rencontre avec les mystères de la Vie, après avoir éliminé notre peur de la mort du corps charnel. Cette première étape est difficile et souvent longue. Elle met à rudes épreuves le postulant qui peut se décourager et abandonner.
Le point de départ de cette recherche de nos raisons de vivre est similaire à celui d’une passion et il est lié à notre histoire personnelle. Avec notre caractère et notre personnalité, l’histoire forme notre identité humaine.
Au cours de l’involution, nous sommes attirés vers une autre identité non plus humaine et au minimum immortelle puisqu’elle contient la promesse d’une vie après la vie humaine.
Cette identité va commencer par être une source de connaissance et d’inspiration. En poésie, depuis Arthur Rimbaud, cette étape porte le nom du dialogue de l’âme pour l’âme. Nous avons conscience d’un monde bien plus vaste que la seule planète Terre.
Le jeune poète doit avec le courage et mieux l’insouciance, s’engager sur son chemin initiatique et aller, bien loin, au delà de l’univers, à la rencontre de l’amour infini, au don d’amour absolu.
La rencontre avec les mystères de la Vie.
Nous reprenons notre texte du chapitre sur le Travail. La condition de cette rencontre est de ne plus être dans notre corps charnel dont les limites physiologiques nous empêchent d’être dans les mêmes dimensions que celles des présences qui nous aident lors de ce contact avec ce que les égyptiens et les initiés nomment les puissances du monde supérieur. Ces techniques de sortie du corps charnel sont identifiées dans le temple de Dendérah et ses cryptes souterraines.
Elle peut se dérouler en une fois ou pour nous, en deux fois. Le plus souvent elle est brutale lors d’un accident mortel.
Dans le cas d’une démarche spirituelle commencée autour de l’âge de 4-5 ans, chez Pierre, la première véritable rencontre a eu lieu à 17 ans lors de sa seconde décorporation et elle s’est poursuivie à l’âge de 22 ans lors de sa troisième décorporation pendant un accident de montagne. Il a compris qu’il n’était pas un cas spécial isolé lors de la lecture du livre du Docteur Moody, La Vie après la Vie, trois ans après cette rencontre. Il a écrit son second recueil de poèmes sur cette rencontre avec les mystères de la vie 12 ans après cette rencontre lors de sa troisième décorporation
L’évolution dans notre condition humaine.
Elle est tout aussi compliquée que l’involution mais cette fois c’est différent. Lors de l’involution, l’être humain ne comprend pas ce qui se passe en lui. A partir de l’évolution, il a du mal à comprendre pourquoi les autres ne le comprennent pas ou ne veulent pas l’écouter surtout lorsqu’il ose exprimer sa nouvelle vision du monde et de la vie entre êtres humains. Il doit alors trouver à travers sa présence, sa conduite, sa sagesse des moments de partage pour distiller même au goutte à goutte son expérience de la vie après la vie humaine.
D’ordinaire l’évolution se remarque chez un être humain par son absence de peur, y compris face à des tyrans et des criminels patibulaires. Il est certes difficile à cerner par les autres mais il possède un je ne sais quoi qui interpelle et comme pour les poètes, il voit plus loin que l’horizon. Il sait qu’il est un précurseur qui a toujours raison même s’il faut attendre 25 ans avant que tous comprennent qu’il avait raison.
Il reste la question sur laquelle nous reviendrons plus loin : lors de la rencontre avec les mystères de la Vie, l’initié a-t-il pu disposer des puissances du monde supérieur et, pour aller plus loin encore, des puissances du monde double ?
C’est ici l’enseignement de la plus haute initiation pratiquée uniquement dans le temple de Dendérah chez les égyptiens. Pythagore a du patienter près de vingt ans avant de l’obtenir, juste avant l’invasion des Perses et il est expulsé comme esclave ou prisonnier d’Égypte à Babylone, par Cambyse II, roi de Perse venu conquérir l’Égypte en 525 av. J.-C.
Albert Slosman nous le raconte dans ses deux livres sur la vie et les connaissances de Pythagore.
L’utilisation de la voie mystique,
parmi les quatre voies du développement initiatique spirituel, repose sur un travail commun dans le cadre d’un culte religieux avec ses rites.
Ce travail commun rassemble des initiés qui avancent dans leur évolution humaine avec d’autres participants qui commencent leur involution. Ce partage de l’expérience initiatique dans des rites se réalise dans une communion où chacun trouve sa raison de prier. Le postulant à l’initiation va chercher à travers ces rites à approfondir son dialogue de l’âme pour l’âme et sa connaissance de celui qui vit en lui.
L’initié qui avance dans son évolution humaine trouve l’occasion dans ces rites de renouer le contact avec celui qui vit en nous et à l’occasion de réaliser une prière réussie pour apporter de l’aide à un proche.
Ce message est toujours le même forcément car la création ne se modifie pas au fil du temps puisqu’elle repose sur l’énergie d’éternité. Par contre la Vie des univers et des astres, des planètes est constamment en mouvement parce que la création n’est pas « finie ». En restant à l’écoute du Créateur nous pouvons comprendre l’évolution quotidienne des combinaisons astrales qui influencent la Vie de la Terre et la Vie des parcelles divines que nous avons reçues à l’instant de notre naissance.
Le dialogue de l’âme pour l’âme des poètes et des initiés.
Un poète n’écrit jamais seul. Il puise à sa source les ingrédients qu’il va traduire en mots du niveau de langage qui convient à son texte. Cette aide au départ spectaculaire et inquiétante pour le jeune poète va rapidement devenir habituelle et quotidienne. De la même manière que pour les médiums, ce dialogue de l’âme pour l’âme va trouver un rythme adapté au déroulement de la vie humaine de l’être humain. Il restera vite en éveil permanent pour capter les différents signaux transmis par sa source de vie et les utiliser dans la progression de son évolution humaine.
Cette relation intime avec notre source de vie n’est pas réservée qu’à des poètes même si ce sont eux qui en parlent le plus. Un être humain qui poursuit une recherche dans le domaine scientifique ou artistique, qui écrit un roman, qui mène une exploration géographique, peut importe l’activité, est invité par sa source de vie à l’écouter et à la suivre. Tous nous avons accès à notre première source de savoir, la source initiatique spirituelle.
Le dialogue reste ouvert du côté des présences qui nous aident. Lorsque nous nous posons des questions qui engagent nos travaux et nos décisions, il est possible qu’elles viennent se manifester à côté de nous, sans jamais oser nous perturber et encore moins nous faire peur. Après la rencontre avec les mystères de la Vie, la qualité de ce dialogue évolue et s’améliore nettement en une complicité de chaque instant. Au cours de l’écriture, ce jeu devient captivant surtout grâce à internet. Vous écrivez sur une sujet et sur les réseaux sociaux, lors de votre visite vous trouvez une image, une citation, un texte qui vient illustrer et compléter vos propos. C’est une sorte de télépathie qui vous pousse à poursuivre votre écriture.
L’expérience de la rencontre avec les Mystères de la Vie
Après la traversée du puits de Lumière, celui qui vit en nous et est le même en chacun d’entre nous intervient pour nous aider. Après avoir coupé tous les liens avec notre corps charnel resté sur Terre, une offre se présente pour aller poursuivre notre Vie sur une autre planète bien plus stable que la Terre et rejoindre ainsi une civilisation nettement plus évoluée que celle dans laquelle nous étions dans notre condition humaine. Une seconde offre similaire est faite le cas échéant.
Lorsque nous hésitons et cherchons une autre solution, celui qui vit en nous et est le même en chacun d’entre nous demande l’aide d’une autre présence pour décider si le retour sur Terre doit être organisé ou non. En principe à ce stade, il n’est pas question d’une mise à l’écart et de l’intervention de l’envoyé des ténèbres. Lorsque le retour sur Terre se justifie et est retenu par les deux présences, celui qui vit en nous demande à l’autre présence de se préparer pour nous accompagner.
Celui qui vit en nous ne dispose pas les pouvoirs exceptionnels du monde supérieur qui utilisent l’énergie d’éternité la plus puissante car d’une part, ils sont en principe inutiles dans notre condition humaine sur une planète et d’autre part, nous les rencontrerons de toute manière après la mort de notre corps charnel lorsque nous serons dans le monde supérieur et dans la Vie d’après la vie humaine.
Le retour sur Terre en principe n’est pas prévu car il pose de sérieux problèmes pour l’être humain qui se trouve là et pour les deux présences.
Le corps charnel humain est déclaré mort par les proches qui l’entourent. Vous avez coupé tous les liens avec votre corps charnel, donc il faut les reconnecter, spécialement votre âme et conscience avec votre ancien corps charnel. La présence venue donner de l’aide doit s’équiper avec les pouvoirs du monde supérieur pour utiliser les capacités de l’énergie de Vie.
Celui qui vit en nous connaît notre futur et il sait que votre retour sur Terre va être très mal vécu par vos proches. Ils vont considérer que vous avez parfaitement simuler votre mort et qu’ainsi vous vous êtes moqué d’eux, voire pire. Celui qui vit en nous sait aussi que vous allez, le cas échéant, avoir une fin de vie horrible mais il ne vous en dira pas plus. Après avoir reçu le don d’Amour absolu lors de l’entrée dans la Vie d’après la vie humaine, les deux présences ne peuvent pas vous abandonner sur Terre et vous laisser seul affronter les périls qui vous attendent.
La solution est mise en œuvre : la présence venue donner de l’aide s’équipe avec les pouvoirs du monde supérieur pour restaurer les liens coupés avec votre corps charnel sur la planète Terre. Tous les trois présences fusionnées autour de celui qui vit en nous, nous repartons vers la Terre. Lorsqu’elle apparaît devant nous, les deux présences se séparent de vous et seul vous regagnez votre corps avec effectivement vos proches qui s’effraient, crient, s’écartent lorsque vous vous relevez pour marcher.
Par la suite, lors d’une menace d’accident mortel, celui qui vit en nous et celui qui possède les pouvoirs de l’énergie de Vie se manifestent et celui qui utilise l’énergie de Vie intervient pour vous sauver de la mort. Ainsi vous avez définitivement compris qu’ils sont toujours présents en vous mais vous avez aussi la preuve que votre fin de vie sera horrible puisque cette seconde présence est restée avec vous pour ce moment là.
Nous expliquerons en Partie 1 de l’essai dans le chapitre sur les institutions culturelles des Réseaux de Vie, les relations entre les présences qui se manifestent dans la Vie d’après la vie humaine et nous. Tous nous faisons partie de la création. Plus loin, dans quelques instants, nous aborderons les parcelles divines qui constituent Ptah. Nous comprendrons alors un peu mieux cette fusion des êtres et leurs manifestations selon nos besoins pour vivre. Pour le moment, nous sommes deux présences dans notre corps charnel humain qui forment une parcelle divine. Lorsque nous revenons sur Terre après la mort de notre corps charnel, nous sommes trois présences dans notre corps charnel.
Les initiés de la civilisation d’Ahâ-Men-Ptah puis les égyptiens, nous allons y venir, définissent l’être humain comme une parcelle divine. Ptah est l’ensemble des parcelles divines de la création.
Une fois revenu dans sa condition humaine, l’initié sait que ces deux présences sont en lui jusqu’au décès de son corps charnel. Nous sommes alors trois présences dont deux divines avec des pouvoirs différents du monde supérieur, qui ont fusionné dans notre corps charnel humain pour former une parcelle divine plus complète. Ainsi notre parcelle divine plus complète est prête pour affronter des épreuves plus difficiles, plus terribles dans notre condition humaine… Ce n’est pas gratuit et inutile !
Trois exemples d’utilisation de la démarche initiatique spirituelle
dans la civilisation d’Ahâ-Men-Ptah et chez les Survivants du dernier Grand Cataclysme.
Ces trois situations ont été vécues avant, pendant et après le dernier Grand Cataclysme, lorsque les êtres humains ont eu le plus besoin de l’aide du Créateur de toute Vie et, justement, ils l’ont obtenue. Cette aide a été exceptionnelle et à la hauteur des périls qu’il a fallu surmonter. Mais cette aide n’est pas réservée à ces cas particuliers exceptionnels mais très rares dans le parcours d’une humanité. Le dialogue de l’âme pour l’âme est quotidien, nous l’avons écrit.
1) Les mathématiques célestes sont vérifiées par les initiés les plus avancés, les grands prêtres.
En utilisant le dialogue de l’âme pour l’âme, l’initié entre en relation avec celui qui vit en nous pour accéder aux contacts des présences qu’il a rencontrées lors de ses moments de la Vie d’après la vie humaine. Il utilise alors ses pouvoirs du monde supérieur pour demander à ces présences la validation des calculs faits par des êtres humains sur Terre. Et la réponse lui sera donnée à sa question précise grâce à son très haut niveau d’expertise humaine.
C’est de cette manière que fut communiqué à la cour royale, la date précise du prochain Grand Cataclysme, deux mille ans avant qu’il se réalise.
Actuellement, nos recherches scientifiques concentrent leurs efforts pour connaître la navigation des autres exoplanètes récemment découvertes. Remonter leur navigation dans le temps pour mesurer leurs orbites bien plus elliptiques et variables que celle de la Terre autour du soleil, permet également de chercher à résoudre le cas de la planète Vénus qui a changé d’orbite poussée par Jupiter comme ce fut le cas pour la planète Mars. Vénus est alors venue se rapprocher de la Terre et du soleil sous la forme d’une comète et elle est la cause de quelques Grands Cataclysmes : son influence a accéléré et précipité le changement de l’axe de la Terre et le basculement cyclique de cet axe pour retrouver un nouveau centre de gravité.
Les descendants des voyageurs célestes venus de Vénus pour trouver un refuge sur Terre, à n’en pas douter, ont su poser les questions précises sur l’influence de leur ancienne planète sur notre Terre. La prédiction d’un Grand Cataclysme sur Terre avec le basculement de l’axe du globe, deux mille ans avant sa survenance, est tout à fait dans les compétences de ces présences qui veillent sur nous. Encore faut-il leur poser la question précise à partir de nos compétences humaines dans les Mathématiques célestes et la géométrie du ciel.
Cette méthode est plus directe, simple, rapide et surtout fiable parce qu’ils avaient déjà rencontré ces présences au cours de leurs moments de Vie après la vie humaine lors de leurs rencontres avec les mystères de la Vie. Son utilisation est réservée à des initié(e)s qui ont rencontré les mystères de la Vie dans la Vie d’après la vie humaine.
Ce qui implique l’enseignement de la démarche initiatique dans une Double Maison de Vie et son Temple. L’Égypte a pratiqué les deux initiations , sèche et humide. Dendérah a utilisé l’initiation humide, celle que nous avons vécu en partie lors de notre seconde décorporation.
2) La prière d’Iset faite le jour du dernier Grand Cataclysme.
Dans le chapitre sur les Survivants du Dernier Grand Cataclysme, nous avons présenté la prière d’Iset pour que Ptah sauve son fils Hor en faisant déverser les pluies diluviennes qui vont refroidir les fleuves de magma pour obtenir des croûtes de lave solide et moins brûlante. Iset a ainsi pu traverser le passage qui la séparait d’Hor et les deux ont pu embarquer sur une mandjit pour prendre la mer et quitter le continent qui commençait à s’enfoncer sous les eaux.
Le jour même du Grand Cataclysme, le 27 juillet 9 792 avant J-C lors de la destruction d’Ahâ-Men-Ptah, dans le cas d’Iset, en elle, ils sont aussi trois parce qu’elle a été initiée comme sa sœur et son frère (et comme certainement son autre frère Sit) et cette trinité va agir.
En réponse à la prière d’Iset, l’envoyé aux pouvoirs les plus élevés du monde supérieur va intervenir sur les ondes, les forces de la Nature, pour déclencher de suite les pluies diluviennes qui sont la conséquence des fleuves de lave qui se jettent dans la mer et également la conséquence de la lave qui s’échappe de la faille qui s’est ouverte au fond de la mer et dans laquelle le continent va disparaître. Cette vapeur d’eau va provoquer des pluies diluviennes qui dureront quelques millénaires dans certaines régions de la planète, autant qu’elles commencent de suite pour sauver Hor, celui qui va diriger les survivants en tant que nouveau roi.
Rappel : Iset avec Nek-Beth avaient découvert le corps de son époux Ousir enveloppé dans une peau de taureau et sa sœur l’a emmené avec elle sur une mandjit pendant qu’ Iset cherchait à sauver son fils Hor.
3) Le cas de la résurrection d’Ousir (Osiris)
Dans son livre Les survivants de l’Atlantide, Albert Slosman, à partir de la traduction des Archives des Quatre Temps, raconte l’utilisation d’un des pouvoirs du monde supérieur acquis par Nek-Bet, initiée au plus haut niveau et épouse de l’An Nu, le grand prêtre.
Elle accoste sur le rivage avec le corps démembré d’Ousir enveloppé dans une peau de taureau. Ousir a été conçu directement par Ptah dans le ventre de Nout. Il a donc pu épouser sa sœur jumelle Iset. Peu après, le groupe de Nek-Bet retrouve le groupe de Nout, leur mère et la dernière reine de l’Atlantide. Suite au décès de Geb son époux lors du cataclysme, son fils Ousir (Osiris) est le nouveau roi, sauf qu’il est mort lui aussi. Seule reste vivante la nouvelle reine, Iset qui a accosté avec son fils Hor, non loin des deux autres groupes.
Nek-Bet sait que ses compétences dans les pouvoirs du monde supérieur acquis dans la Vie d’après la vie humaine peuvent redonner vie au corps meurtri de son frère conçu directement par Ptah, pour qu’il devienne le nouveau roi des survivants. Tous connaissent le niveau élevé d’initiation de la sœur jumelle d’Iset (Isis) la nouvelle reine des survivants. Iset donne son accord et le Pontife organise le cérémonie pour la « résurrection » du corps charnel d’Ousir. Et Ousir revient à la vie dans son corps charnel.
L’explication initiatique est simple même si peu d’êtres humains arrivent à ce haut niveau de pratique des pouvoirs du monde supérieur. Tout simplement parce que la présence parmi nous d’un enfant conçu directement par Ptah est extraordinaire même si ce cas s’était déjà produit une fois chez les Atlantes.
Entourée d’un groupe d’initiés certes d’un niveau inférieur à elle, Nek-Bet organise leur prière commune dans une pratique mystique d’extrême intensité pour obtenir une prière réussie, comme ce fut le cas pour Iset. La réponse à cette prière réussie permet à l’âme de Nek-Bet, décorporée de son corps charnel, de trouver l’âme d’Ousir là où se trouvent les âmes en attente d’une nouvelle existence dans un corps charnel sur l’une ou l’autre des planètes habitables. La mort d’Ousir ne datait que de quelques jours. Nek-Bet demande alors la fusion de leurs deux âmes et leur voyage de retour vers la Terre jusqu’à l’endroit de leurs corps charnels.
Jusqu’ici, il n’y a rien d’extraordinaire car telle est la vie des âmes dans le monde supérieur.
Alors sur Terre et sans l’environnement du monde supérieur avec ses énergies disponibles, avec la seule énergie de la fusion de leurs deux âmes à laquelle s’ajoute l’énergie humaine de la prière mystique de leur groupe de survivants qui demande l’intervention des pouvoirs du monde supérieur pour l’aider, Nek-Bet doit se relier à celui qui vit en nous pour lui demander l’intervention divine avec les pouvoirs du monde supérieur. Celui qui vit en elle et est le même en chacun d’entre nous est ainsi rejoint par une autre présence du monde supérieur qui dispose des pouvoirs les plus puissants pour utiliser l’énergie d’éternité et naturellement Nek-Beth demande au père d’Ousir, Ptah lui même, de sauver son fils. Ce qui s’est réalisé.
Les grands-prêtres d’Ahâ-Men-Path qui avaient réussi cette initiation complète aux mystères de la Vie, connaissaient ces deux interventions avec chacune un pouvoir du monde supérieur bien précis.
Dans le cas de Nek-Bet, en elle, ils sont donc trois, et cette trinité va agir pour répondre à la prière commune des survivants.
Les trois présences se rendent dans la Vie d’après la vie humaine. Celui qui vit en nous dirige le voyage jusqu’à l’endroit où se trouvent les âmes en attente de repartir dans une autre vie. Il va chercher l’âme d’Ousir pour la fusionner avec leurs trois présences. Tous les quatre présences reviennent sur Terre. A l’approche de notre planète, celui qui vit en nous reste fusionné avec l’âme de Nekbet et celui qui possède les pouvoirs d’éternité reste fusionné avec l’âme d’Ousir. Les quatre présences sont donc devenues deux parcelles divines. Sur Terre, celui qui vit en nous dirige son retour avec l’âme de Nekbet dans le corps charnel de Nekbet.
Nekbet s’éveille et reprend la direction de la prière commune. Devant le corps charnel de son frère Ousir, elle demande l’accord d’Iset, sa sœur et épouse d’Ousir. Iset fait sa prière devant l’assemblée pour demander à Ptah le retour à la vie humaine de son fils à lui qui est aussi son époux à elle. Nekbet prie celui qui vit en nous pour lui demander d’intervenir auprès de la présence munie des pouvoirs d’éternité fusionnée avec l’âme d’Ousir, pour prendre possession du corps charnel d’Ousir et de le ramener à la vie humaine.
Ousir revient dans sa condition humaine, il est ressuscité à la vie dans son corps charnel sur Terre.
La parcelle divine d’Ousir comme celle de Nekbet comprend trois présences puisque les deux êtres humains ont été dans la Vie d’après la vie humaine au moins une fois et sont revenus dans leur corps charnel humain. Iset en tant qu’initiée, comme pour tous les initiés qui ont vécu un moment de la Vie d’après la vie humaine et sont revenus dans leur corps charnel sur Terre, a elle aussi alors une parcelle divine avec les trois présences : son âme, celui qui vit en nous et l’envoyé aux pouvoirs d’éternité du monde supérieur qui a permis le retour sur Terre.
Nous n’oublions pas l’accord de Ptah pour que son fils revienne dans son corps charnel sur Terre, accord qui porte sur l’intervention de la seconde présence divine munie des pouvoirs d’éternité
La résurrection d’Ousir peut s’expliquer en partie aujourd’hui avec nos récentes découvertes scientifiques en biologie et en connaissance des génomes du corps humain.
Par exemple, la reconstruction d’un corps démembré utilise nos récentes recherches dans les cellules souches, les cellules à l’ADN modifié avec, par exemple, un bout de génome de l’Hydra Vulgaris qui a la particularité animale de pouvoir se régénérer indéfiniment et de se reconstruire entièrement. L’utilisation de la molécule du phénix permet aussi de remettre en ordre de fonctionnement un corps humain en éliminant les tumeurs et les cellules qui nuisent à sa santé. Ce ne sont que deux exemples, sans oublier le pouvoir des plantes pour guérir un corps humain…
La résurrection d’Ousir sera conservée dans la mémoire des survivants et de leurs descendants comme le mystère d’Ousir (ou d’Osiris pour l’écriture grecque de son nom).
Le don d’Amour absolu
Obtenir l’intervention de cette trinité est la marque essentielle du don d’Amour absolu qui nous est partagé dans la Vie d’après la vie humaine et que revenu sur Terre ou sur une autre planète, nous devons utiliser pour mener notre évolution humaine à son terme…
Retrouver les rites initiatiques pour rencontrer les mystères de la Vie.
Cette haute initiation spirituelle pratiquée au départ à Dendérah a perdu ses rites lors des périodes de déclin et notamment après l’arrivée des Hycksos au pouvoir car ils n’ont pas eu cette initiation puisqu’ils étaient des étrangers. Ensuite, vers -1500, lorsque Amosis a chassé les Hycksos, ces rites n’ont pas été retrouvés et furent définitivement perdus.
Aujourd’hui, au cours de deux accidents mortels comme ce fut notre cas, nous avons découvert deux étapes singulières : sur terre, dans ma chambre, la rencontre avec l’envoyé des ténèbres et mon sauvetage au dernier milliardième de la dernière nanoseconde qui m’était accordé pour briser la stupeur qui me possédait et demander à celui vit en nous de l’aider à rentrer dans mon corps charnel. Ce qui fut réalisé immédiatement. Au cours de la seconde étape, grâce aux enseignements de la première étape, la rencontre avec les mystères de la Vie a eu lieu dans la Vie d’après la vie humaine. Mais à chaque fois ce fut au cours d’un accident mortel.
Évidemment à Dendérah, les rites initiatiques pour vivre la rencontre avec les mystères de la Vie et vivre un moment de la Vie d’après la vie humaine furent très différent, sans accident mortel imprévu. Nous estimons que cette rencontre a été le prolongement naturel de l’intense dialogue de l’âme pour l’âme dans l’apprentissage des Combinaisons Mathématiques Célestes avec leur vérification auprès de celui qui vit en nous, Ptah, le Créateur.
Le moment crucial est l’autorisation d’aller au-delà du puits de Lumière, dans notre Vie d’après la vie humaine puis de revenir dans notre corps charnel avec la présence au pouvoir d’énergie de Vie éternelle, de revenir en tant que trinité. Cette rencontre prévue et organisée présente cependant une étape critique : vous n’avez pas encore rencontré l’envoyé des ténèbres et donc vous ne savez pas comment lui échapper.
A la sortie du puits de Lumière, si vous l’avez déjà rencontré et que vous lui avez échappé, cette étape franchie une fois, il suffit de couper tous vos liens avec votre corps charnel pour avancer avec celui qui vit nous dans la Vie d’après la vie humaine.
Dans le cas où vous n’avez pas déjà rencontré l’envoyé des ténèbres, vous pouvez évidemment être pris aussi de stupeur face à lui. Et ce n’est que vous qui pouvez briser cette stupeur en demandant l’aide de celui qui vit en nous. Ce risque mortel pour votre corps charnel déjà mort, est encore plus mortel pour la fusion de votre conscience et de votre âme.
Les rites initiatiques les plus élevés peuvent pour préparer à cette situation mais pas à écarter de suite cette stupeur face à l’envoyé des ténèbres. Le grand prêtre le plus savant et bienveillant qui vous a préparé et permis d’entrer dans le saint des saints pour réaliser cette initiation, ne sera pas là et ne pourra rien pour vous. Il n’y a que votre expérience de la Vie obtenue dans vos rencontres précédentes sur terre et dans votre corps charnel, le plus souvent en état de décorporation, qui vous apportera le secours indispensable pour que l’envoyé des ténèbres s’en aille et vous laisse en Vie.
Aujourd’hui nous ne sommes plus dans une civilisation qui vit une Alliance avec le Créateur comme ce fut le cas pour les atlantes puis les égyptiens. Et les théocraties avec leurs dogmes religieux, en interdisant la pratique de notre première source de Savoir, ne sont d’aucun secours sauf à travers la voie mystique si vous l’avez utilisée et de votre propre initiative, vous avez pu obtenir des prières « réussies » pour aider vos proches.
Dans le chapitre sur le monothéisme, en Partie 3 de l’essai, nous présentons un tableau :
Les traductions de la rencontre surnaturelle et des contacts avec les mystères de la vie humaine
En nous éloignant des théocraties et de leurs dogmes, l’être humain a toute liberté pour utiliser :
la traduction 4 et les défunts qui nous aident,
la traduction 3 : il n’y a que Dieu. Nous sommes quasiment au contact de la Vie de la nature et de la création et donc aussi très proche du Créateur, sans toutefois collectivement établir une nouvelle Alliance avec lui.
La traduction 2 : les mouvements spirituels, nous venons d’en parler dans ce chapitre.
L’utilisation de la spiritualité pour « écouter les étoiles »
chez les Bochimans du désert du Kalahari, un peuple ancestral profondément connecté à la nature.
Cet exemple provenant d’Afrique du Sud et cité par Laurens van der Post, dans son livre The Lost World of the Kalahari, montre que la civilisation atlante puis égyptienne n’avait pas l’exclusivité de la connaissance de l’évolution des combinaisons astrales. Cette pratique se retrouve chez la plupart des peuples premiers de tous les continents de la Terre. Elle fait partie de l’animisme et de notre relation intime avec la Nature.
Écouter les étoiles va plus loin qu’une simple méditation devant le ciel. Nous sommes en présence ici comme chez les prêtres et les moines du Cercle d’Or de Dendérah d’une observation quotidienne avec la mise en mémoire des données pour calculer une prédiction à partir de l’influence changeante des étoiles.
Document :
Laurens van der Post, dans son livre The Lost World of the Kalahari, raconte son expérience de cohabitation avec les Bochimans du désert du Kalahari, un peuple ancestral profondément connecté à la nature.
L’un des récits les plus choquants est lorsque les Bochimans ont été surpris de découvrir que Van der Post ne pouvait pas « écouter les étoiles ». Au début, ils pensaient que je plaisantais ou que je mentais, mais en comprenant que je disais la vérité, ils étaient remplis de tristesse. Pour eux, ne pas entendre le murmure de l’univers n’est pas un simple manque, mais un signe de maladie spirituelle : une déconnexion totale avec le monde naturel.
Mais le livre va au-delà de cette histoire. Van der Post réfléchit à comment la civilisation occidentale a perdu quelque chose d’essentiel en s’éloignant de ses racines primitives. Décrivez les Bochimans non pas comme des « arriérés », mais comme des gardiens d’une sagesse que nous avons oubliée. Leur capacité à traquer les animaux, à lire la langue terrestre et à vivre en harmonie avec leur environnement nous rappelle que la vraie connaissance ne se mesure pas toujours dans les progrès technologiques.
L’auteur souligne également que, pour ces peuples, la solitude n’existe pas comme nous la comprenons. La nature n’est jamais un vide : le vent, la terre et les étoiles sont une compagnie constante. Au lieu de cela, l’homme moderne, entouré de bruit et de technologie, souffre d’une solitude plus profonde : celle d’avoir perdu la connexion avec le monde naturel et donc avec lui-même.
Fin du document
Monothéisme ou pas monothéisme ?
En guise de conclusion sur l’utilisation de notre première source de Savoir, revenons sur cette question lancinante et déterminante.
Le haut niveau d’expertise dans l’utilisation de notre démarche personnelle initiatique spirituelle de cette civilisation de l’Atlantide, est complémentaire avec le haut niveau d’expertise dans l’utilisation du travail intellectuel et rationnel.
La grande Hypothèse d’Albert Slosman
Albert Slosman à travers son œuvre liée à la traduction des textes gravés sur les murs des temples ou des monuments égyptiens, a cherché à montrer qu’il y a un monothéisme unique dans l’humanité, celui qui nous relie au Créateur. Ce monothéisme supprimerait, remplacerait alors toutes les théocraties.
La démonstration apportée par la civilisation des descendants des survivants d’Ahâ-Men-Ptah est claire, limpide et essentielle : seul le dialogue direct avec le Créateur et le suivi quotidien du fonctionnement de sa création, justifie notre démarche personnelle initiatique spirituelle pour aller à la rencontre des Mystères de la Vie. Il n’y a pas l’adoration d’un Dieu fut-il le Créateur.
Nous ne suivons pas Albert Slosman dans sa grande hypothèse pour trouver le monothéisme capable de remplacer toutes les théocraties. Sans être prétentieux, présomptueux, suffisant envers lui que nous respectons grandement et que nous remercions chaleureusement pour tout son travail admirable et talentueux, nous constatons simplement qu’il n’a pas été initié, au moins suffisamment pour sortir du cadre de la Religion en tant que système de pouvoir.
Juif lui-même, sa recherche au cours d’une période qui a suivi la tragédie de la seconde guerre mondiale et de la Shoah, a été suivie et aidée autant par ses employeurs qui disposaient des premiers ordinateurs, que par les jésuites et la bibliothèque de Chantilly. Il utilisa également, comme il le raconte si bien dans la Grande Hypothèse, les péripéties de son état de santé ou de ses accidents qui l’ont mené en convalescence au Maroc.
De notre côté, nous apportons à cette œuvre magistrale, notre vision poétique initiée mais aussi nos connaissances intellectuelles de juriste et de manager pour bien repérer le droit positif et le droit interdit par les systèmes de pouvoir, pour bien distinguer les organisations en Réseaux de Vie d’une part et d’autre part les systèmes de pouvoir. Grâce à son œuvre, nous pouvons aller plus loin.
Cette redécouverte de la civilisation d’Ahâ-Men-Ptah sur tous les plans, spirituel, intellectuel, rationnel, scientifique, culturel, artistique, sociologique, humaniste, militaire, technologique, ne cesse de se compléter de nouvelles découvertes.
Pourtant le fonctionnement du «Cœur » où bat la Vie de la Création, requiert l’utilisation de notre première source de savoir, la source personnelle initiatique spirituelle.
Or tous les systèmes de pouvoir et toutes les théocraties l’interdisent ou dans le meilleur des cas, la tolère tant qu’elle ne vient pas s’opposer aux dogmes religieux des théocraties.
Dans ce chapitre sur le monothéisme, nous avons écrit :
Le monothéisme n’est pas la solution optimale et il présente des dangers.
Le choix du monothéisme est d’abord un choix politique fait par des dirigeants qui veulent imposer leurs dogmes religieux et fonder des théocraties et des sectes ou tout au moins un système de pouvoir religieux.
Il correspond à l’utilisation de notre seconde source de savoir, la source intellectuelle et rationnelle et à l’interdiction ou la mise à l’écart de notre première source de savoir, la source personnelle initiatique spirituelle.
Dans notre tableau : Les traductions de la rencontre surnaturelle et des contacts avec les mystères de la vie humaine, nous avons dit que la Traduction 2 faite par les mouvements spirituels est bien plus indiquée pour répondre à nos raison de vivre et de mourir dans notre condition humaine car la rencontre avec les Mystères de la Vie nous fait participer personnellement au fonctionnement de la Vie et de ce qui anime la création qui ne peut être séparée de son Créateur.
Dans les livres d’Albert Slosman, le monothéisme atlante puis égyptien se présente ainsi comme un système de pouvoir religieux qui n’a pas de dogmes théocratiques. C’est une réelle avancée pour abandonner les théocraties et leurs méfaits contre l’humanité.
La religion égyptienne, celle des fidèles de Ptah, devient alors un savoir religieux mixte avec une partie spirituelle pour dialoguer avec Ptah et une partie rationnelle dans le suivi de l’évolution des combinaisons astrales. L’utilisation complémentaire de nos deux sources de Savoir est le socle de ce mouvement spirituel.
Sauf que ce dialogue est réservé au roi ou au grand prêtre qui accède seul au sycomore du jardin interdit aux autres pour dialoguer avec Dieu. Ce qui peut s’interpréter comme un système de pouvoir avec sa hiérarchie entre le roi ou le pharaon, le collège des grands-prêtres gardiens de la Loi divine et des combinaisons astrales, et le reste du peuple qui suit les rites religieux mais nous sommes également très proches d’un mouvement spirituel commun à un peuple.
En réalité il y deux niveaux de relation spirituelle directe avec Ptah
Le roi est l’initié au plus haut niveau, comme le grand prêtre, qui a la mission politique de conduire son peuple. Il est le délégué, le mandaté par son peuple pour consulter le Créateur en cas de difficulté ou en cas de besoin face à une tâche politique difficile. Il a son espace protégé interdit aux autres, le sycomore sacré, où il sait par convention que Ptah viendra dès qu’il le lui demandera.
Les autres initiés à la rencontre avec les mystères de la Vie, et ils sont plus nombreux parmi les prêtres, les moines et dans la famille royale parmi laquelle tous les enfants sont destinés à réussir la plus haute initiation, tous ils ont les connaissances spirituelles et le vécu de la rencontre avec les mystères de la Vie, rencontre lors d’un moment de vie dans la Vie d’après la vie humaine. Dès que nécessaire pour agir pour la sécurité et l’intérêt du peuple, ils peuvent contacter directement le Créateur à travers l’utilisation de la voie mystique et de la prière réussie.
D’où les difficultés pour nous aujourd’hui de comprendre cette civilisation car elle très bien organisée. Ce qui ne signifie pas que , comme dans les systèmes de pouvoir que nous connaissons pour y vivre depuis deux à trois mille ans, cette remarquable organisation de leur civilisation utilise le pouvoir pyramidal avec au sommet une divinité et toutes les autres caractéristiques des systèmes de pouvoir.
La pratique de la démarche personnelle initiatique spirituelle enseignée dans une Double Maison de Vie permet de développer un mouvement spirituel non monothéiste.
Dans la Création du Créateur, il n’y a pas une place spéciale pour un Dieu et encore moins pour des dieux ! Mais le devoir de vivre dans l’Alliance avec le Créateur, nous mène au travail intellectuel et rationnel du calcul des combinaisons astrales pour connaître les périodes aux influences célestes fastes et les autres néfastes avec ici en priorité le calcul de la date des prochains cataclysmes. Ce travail intellectuel suffit-il à transformer un mouvement spirituel en une religion monothéiste ? L’observance de la Loi divine du Créateur occupe-t-elle la place d’un Dieu ? Faut-il la vénérer comme celle d’un Dieu en plus de la vénération du Créateur ?
Autre question théologique : le fait que Ptah de temps à autre avant un Grand Cataclysme, s’arrange pour concevoir directement un fils auprès d’une future reine de manière à ce que son fils dirige la survie de son peuple lors du Grand Cataclysme, ce fait surnaturel extraordinaire suffit-il à transformer un mouvement spirituel fondé sur l’harmonie avec le Créateur en une religion Monothéiste, à cause de ce Fils du Créateur qui deviendrait un Dieu à part du Créateur alors que spirituellement, comme les autres êtres humains, tous sont vivants dans le Créateur et en parfaite égalité et harmonie ?
En Ahâ-Men-Ptah, il y a eu successivement deux cas répertoriés de Fils de Dieu
pour aider le peuple à surmonter les dégâts causés par un Grand Cataclysme.
La « simple » présence de celui qui vit en nous et est le même en chacun d’entre nous, ne suffit plus, spécialement parce que tous au même moment ne le découvre pas en eux. Un Fils de Dieu est bien plus visible pour commander l’entreprise de survie.
Ptah est réellement plus présent pour traverser l’épreuve de Vie et surmonter les périls.
Sinon, à Dendérah, tous les initiés au plus haut niveau qui ont fait l’aller-retour avec la Vie d’après la vie humaine et qui donc n’ont pas laissé un corps charnel définitivement mort dans le Saint des Saints du Temple… puisqu’ils ont réussi à revenir dans leur enveloppe charnelle, ces initiés ont porté le titre honorifique de fils de dieu et ils ont eu le droit de parler aux gens du mystère de l’Apocalypse.
Ces éléments de connaissances, pour nous, indiquent que nous sommes en présence d’un mouvement spirituel bien organisé à travers le dialogue constant avec le Créateur et sans aucune présence d’éléments d’organisation propre aux systèmes de pouvoir.
Pour conclure sur ce débat entre monothéisme ou pas monothéisme, notre propos ici élargit ceux d’Albert Slosman.
Par rapport à ses recherches et ses travaux de traduction, il n’a pas déjà fait la distinction comme nous, entre systèmes de pouvoir et organisation en réseaux de Vie. Il n’a pas eu le souci d’ouvrir sa recherche pour distinguer les théocraties d’une part et d’autre part les mouvements spirituels. Enfin, il n’a pas cherché à comprendre que les théocraties, les tyrannies, les dictatures ne surviennent qu’après une période florissante qui a multiplié les richesses produites par le travail de tous. Leur finalité essentielle porte sur la conquête, le pillage et la destruction de ces civilisation florissantes.
Le cas d’Osiris déclenche la destruction de l’Égypte par le roi des Perses.
Cette intervention directe de Ptah pour donner son fils et aider ainsi le peuple à survivre à un Grand Cataclysme présente cependant un risque important : la bêtise humaine refuse d’accepter cette possibilité d’un être humain conçu directement par le Créateur. Évidemment, ce personnage hors du commun des mortels a de quoi interloquer, choquer et mettre en fureur destructrice, un tyran dont le pouvoir repose essentiellement sur une théocratie sanguinaire envers les incroyants, les infidèles et un fils de dieu qui représente la menace mortelle de venir détruire lui aussi toutes les théocraties.
Et ce fut le cas avec Cambyse roi des Perses lorsqu’en -525, il envahit l’Égypte.
« Mais entre-temps, une idée fixe prenait corps dans l’esprit fêlé du roi des Perses : « s’il venait à mourir, qu’en adviendrait-il de lui ? » Il ne croyait plus depuis longtemps dans la valeur des Mages persans, pas plus que dans leurs dieux. Par contre il avait pu se rendre compte de la foi des prêtres égyptiens qui se laissaient tous pourfendre sans crier ni se défendre, en priant simplement leur dieu Osiris de les recevoir à son côté. Son dépit de ne pas connaître le grand secret ne dura point, car il apprit d’un des dissidents grecs passés sous son commandement que le grand temple de ce Dieu de l’Égypte était au sud du pays, et non dans le nord : tout près de Thèbes.
Il mit à feu et à sang la ville de Thèbes. Dans son délire, il criait « Cassez-moi tous ces béliers ! Fini le temps des béliers ! C’est le taureau Apis qui est le Dieu ! Je veux honorer Osiris en son royaume… »
Quand il partit vers Dendérah, Pythagore, qui en venait, était fait prisonnier devant Thèbes ».
Cambyse demanda au Grand Prêtre d’aller dans la crypte de l’Âme du Monde à la rencontre d’Osiris. Tout le mur était occupé par une gravure étrange : un homme était étendu sur son lit mortuaire veillé par deux femmes agenouillées. Cambyse éclata de rire devant ce Dieu qui est mort. Le grand prêtre lui répondit : « Il était mort, mais il est ressuscité. Son épouse et sa sœur ont rappelé sa Parcelle Divine du centre de l’Âme du Monde, où elle était repartie, afin qu’il soit parmi nous, pour juger les vivants et les morts ! »
source : La Grande Hypothèse, Albert Slosman, chapitre Dieu oublia l’Égypte : Cambyse le Fou.
Cambyse refusa de demander pardon à Osiris. Il préféra sortir et il s’en prit au Grand Prêtre. En le bousculant, la torche que celui-ci tenait enflamma sa tunique. Et la vengeance de Cambyse fut terrible. Il fit tuer tous les prêtres et il détruisit le temple quine fut reconstruit que trois siècles plus tard sous les Ptolémées.
Une religion sans intermédiaire entre le Créateur et sa création
Une solution historique est connue et elle respecte à la lettre le culte mystique de Ptah sans hiérarchie entre le Créateur et sa Création dont nous sommes.
A la période de Jésus, le culte nazoréen dans la république de Gamala en Galilée, n’ a pas d’intermédiaires religieux entre le Créateur et sa création, donc pas de prêtres, de rois choisis par Dieu ou par le Dieu de tel peuple. Il est donc identique au culte originel de Ptah.
Le site de Gamala connaît une importante occupation à l’âge du bronze ancien, sur le bord du plateau du Golan, au même moment que celui de l’arrivée des égyptiens sur les bords du Nil.
Les nazoréens se sont opposés à la tribu de Juda et au pouvoir religieux de sa capitale Jérusalem, les pharisiens et les sadducéens tout comme ils se sont opposés au roi de cette tribu de Juda. La guerre civile se déroule entre les galiléens de Gamala et les zélotes de Jérusalem. la campagne menée par l’empereur Vespasien s’achève en 67 par la prise de la forteresse de Gamala, désastreuse pour les Juifs.
Lors de la destruction de Jérusalem, ce sont les galiléens réfugiés là après la perte de leur région, qui combattirent les romains. Les juifs fidèles au Sanhédrin avaient quitté la ville pour rejoindre leur nouveau centre religieux de Yavné.
Gamala est une cité fortifiée dès la période de – 1 500 ans et l’exode des hébreux et des fidèles de Ptah conduit par Moïse.
Le livre de Robert Ambelin ; Jésus ou le mortel secret des Templiers, édité par Robert Laffont, 1970, explique pourquoi l’ordre du Temple, à partir de la seconde moitié du XIIIe siècle, imposa à ses nouveaux affiliés le rejet de la croyance en la divinité de Jésus et revint au Dieu unique.
Cette question religieuse traverse aujourd’hui encore la chrétienté avec la controverse millénaire de l’arianisme. L’arianisme affirme que Jésus n’est pas de même nature que Dieu, son Père, mais qu’il est inférieur à lui, en clair Jésus est une être humain même s’il a été conçu directement par Dieu.
Cette controverse n’existe pas dans la religion atlante puis égyptienne et chez les nazoréens.
La complémentarité entre nos deux sources de Savoir
Après avoir vu ce que contient le Savoir intellectuel et spirituel de cette civilisation, brièvement, nous allons présenter quelques particularités de cette civilisation à travers l’utilisation complémentaire de nos deux sources de Savoir. Nous montrons quelques exemples de la vie pratique de cette civilisation.
L’organisation économique et sociale
La fondation d’une nouvelle société
« Les Annales conservent le nombre minime de 144 000 êtres vivants parvenant en ce lieu du Couchant, Ta Mana, à l’extrême limite de leur endurance tant physique que morale, qui ne furent sauvés que grâce à l’insubmersibilité des « Mandjit », frêles mais magnifiquement conçues et réalisées. La volonté et l’endurance des pauvres hères jetés dans cette tourmente n’y auraient pas suffit ». L’échouage des survivants fut facilité par les plages de sable au sud et au nord d’Agadir.
8 jours plus tard, la nouvelle que la dépouille d’Ousir avait abordé en compagnie de Nekbeth circula parmi les survivants. Puis un éclaireur annonça que Nout, la reine mère était vivante. L’ensemble des survivants se rendirent sur cette plage de Ta Mana et tous comprirent qu’une nouvelle société était devenue possible. Nout dirigea les travaux pour construire de nouvelles habitations en tressant les feuilles de palmiers.
La Maison de Vie ouverte pour assurer la Conservation des Traditions resta à Ta Mana durant cette longue période où régna la dynastie des «Héros ». L’activité économique s’installa à Ta Ouz pour les mines de fer et la production des forgerons. Malgré le départs des techniciens pour Ta Ouz, Ta Mana conserva son importance du début grâce à l’apport d’éléments qui continuaient d’arriver. L etitre de grand centre spirituel lui resta pendant plus d’un millénaire.
« Le Sahara était alors une région très fertile, couverte d’une luxuriante végétation tropicale qui avait succédé à une période glaciaire intense. Les eaux roulaient des flots fougueux au sein de fleuves encaissés entre de profondes gorges. Ce fut en longeant ces rives paradisiaques, tout au moins dans les premiers moments de leur exode, qu’ils gravèrent leur histoire et racontèrent les péripéties de leur longue marche « vers la Lumière ». Ce fut durant ces millénaires d’avance épuisante que ce peuple essaima en de nombreuses familles qui devinrent, plus tard, les Touaregs, les Kabyles, les Berbères et qui tous parlèrent un idiome semblable, barbare à nos oreilles, rappelant les rugissement du lion, parfaitement identique dans ses définitions au langage des Guanches, les habitants des îles Canaries.
Encore de nos jours, dans diverses peuplades très fières de leur origine, les femmes sont aptes à exercer le pouvoir politique. J’ai vu par moi-même en 1974, dans l’Atlas marocain, une femme chef d’une tribu berbère, qui avec une sérénité remarquable assurait une administration dont tous louaient la justesse ».
Les Berbères, à la différence des Arabes, sont monogames. L’égalité de l’homme et de la femme concerne tous les domaines. Sur le plan spirituel, le signe de reconnaissance de ces tribus est la croix. Elle se retrouve partout : dans l’alphabet, sur les armes, les boucliers, et surtout dans l’unique tatouage qu’ils se font. Une simple croix à quatre branches égales sur le front pour les hommes, afin que leurs âmes se souviennent éternellement de la Loi première ; et sur le dos de la main gauche pour les femmes, afin que, cette main sur le cœur, elles fassent le serment d’élever leurs enfants dans la Foi d’un seul Dieu.
L’exode des rescapés se finira dans ce qui deviendra une « mer sans eau » et qu’ils appelèrent SA-AHA-RA ou « Terre-Brûlée par l’Ancien-Soleil ». Dans le tassili n’Addjer, ils graveront dans la roche l’image de la vache qui pleure, parce qu’elle n’a plus d’eau.
La médecine égyptienne : un exemple
Les anciens Égyptiens utilisaient du pain moisi pour soigner les plaies et les infections, sans comprendre pourquoi. Ce n’est qu’en 1928, avec la découverte de la pénicilline par Alexander Fleming, que le monde comprit le pouvoir de la moisissure dans la lutte contre les bactéries.
- Une intuition incroyable en l’absence de science
Sans connaissance des microbes ni des antibiotiques, les Égyptiens avaient remarqué que les plaies recouvertes de pain moisi guérissaient plus vite. C’était un traitement empirique, mais aux résultats étonnamment efficaces.
- Fleming et la révolution des antibiotiques
Des milliers d’années plus tard, Fleming découvrit par hasard que la moisissure Penicillium notatum stoppait la croissance des bactéries. Ainsi naquit la pénicilline – le premier antibiotique au monde – qui transforma à jamais la médecine et sauva des millions de vies.
- Quand la tradition rencontre la science
Ce qui semblait être une pratique primitive s’est révélé être une intuition médicale extraordinaire. La médecine empirique des Égyptiens avait, sans le savoir, anticipé l’une des plus grandes découvertes de l’histoire de l’humanité.
L’organisation politique
« Les différentes ères de la civilisation atlante puis égyptienne :
– L’ère du « Descendant » : l’Ahâ ou l’Aîné, fils de Geb, après l’avant dernier Dernier Grand Cataclysme le 11 février 21 312 avant notre ère. Sa progéniture régna le temps d’une longue dynastie divine, qui intégra la multitude naissante en un peuple dont la terre fut appelée L’aîné-de-Dieu, Ahâ-Men-Ptah ;
– L’ère des descendants des « demi-dieux ». Ce furent les fils d’Hor (Horus), et ceux de Sit (Seth). Ils guidèrent les rescapés de l’engloutissement, en tentant de s’anéantir l’un l’autre, vers le second pays qui leur était promis ; (à Nagadah, on continue à dégager des « chambres d’accès à l’Au-Delà de la Vie terrestre » qui sont des tombeaux abritant des rois prédynastiques, ces fameux « Suivants d’Hor » qui régnèrent bien avant Ménès) ;
– L’ère des descendants appelés « Héros ». Ce furent ceux qui instituèrent l’unité gouvernementale du « Deuxième-Coeur-de-Dieu », Ath-Ka-Ptah. Ils prêchèrent pour le retour au monothéisme originel, et ils furent renversés par les idoles du clan ennemi ;
– L’ère des seuls descendants humains. Ce furent les usurpateurs des Pêr-Ahâ. Les antiques pharaons d’essence divine cédèrent la place à des tyrans zoolâtres qui firent du bélier Amon le nouveau dieu. Il préluda à al décadence et à la perte de la civilisation dont plus rien ne subsista lors de l’invasion perse en 525 avant notre ère.
Ainsi se perdit peu à peu tout contact avec le Souffle Divin qui engendrait les Âmes. L’Homme se prit alors lui-même pour un dieu ! »
L’iconographie monumentale, à une échelle d’un gigantisme inimaginable, conte non seulement les hauts faits civilisateurs d’un passé méconnu, mais aussi les évènements chronologiques qui perturbèrent et anéantir pour finir ce peuple qui avait été « Aimé-de-Dieu ». …/… Les mêmes hiéroglyphes composant les textes de la Langue Sacrée se retrouvèrent jusque sous les Ptolémées. Il en fut ainsi pour le temple de Dendérah.
source : Les Survivants de l’Atlantide, Albert Slosman.
La perte de la lecture des hiéroglyphes entraîna celle de leur signification divine et elle ouvrit la période de leur fausse interprétation, notamment chez les grecs. « Les écritures « civilisées » ont surgi, beaucoup plus tard, se développant au temps des Phéniciens, des Chaldéens et des Grecs.
L’organisation politique repose sur la dualité de nos sources de savoir.
Deux initiés sont formés, homme ou femme, à la Vie d’après la vie humaine et aux connaissances des pouvoirs des mondes supérieur et double. Mais il n’y a pas de conflits possibles entre eux. Chacun reste dans son domaine d’attribution.
Le roi, le pharaon dirige son peuple avec notre source de savoir intellectuelle et rationnelle.
Sa principale mission repose sur la conservation de la mémoire et du savoir sauvé d’Ahâ-Men-Ptah pour développer un « Deuxième Cœur de Dieu » dans la région choisie par les descendants des survivants, les deux clans réunis. Cette mission primordiale a pour principal objectif la construction de lieux de mémoire et de célébration de la gloire de Ptah, le Créateur.
Chaque pharaon va ainsi décider de construire des bâtiments nouveaux, toujours plus grands et somptueux que ses prédécesseurs. La main d’œuvre disponible est à sa disposition selon les crues du Nil.
Le pharaon assure la direction de cette importante production immobilière, intellectuelle et agricole, pastorale. Lors des premières dynasties et de la pratique des plus hautes initiations, en période de disette et de famine, le roi servait à la population le bol de céréale comme les autres et il était le dernier, en public, à se servir son bol et à manger. Plus tard avec la perte de ces plus hautes initiations, les pharaons et leurs dynasties se sont comportés comme des cours royales qui dirigent un système de pouvoir monarchique. D’où l’inéluctable affaiblissement et nous allons le voir, la disparition momentanée du pouvoir politique du pharaon.
Le Grand Prêtre
dirige le collège des prêtres et des moines chargés de développer le Cercle d’Or et la conservation de la Loi divine et des combinaisons astrales.
Il a reçu le même niveau d’initiation que le roi, le pharaon. Son domaine d’attribution repose sur notre première source de savoir, la source personnelle initiatique spirituelle. Sa mission n’est absolument pas à partir de cette source personnelle et de sa plus haute initiation, de commencer à rédiger des dogmes religieux, un catéchisme et des directives prétendument proclamées « divines ».
Sa mission est double :
Conserver l’utilisation des rites initiatiques pour permettre à des nouveaux initiés à la Vie d’après la vie humaine de conduire les travaux intellectuels rationnels.
Travailler chaque jour à l’observation de l’évolution des combinaisons astrales pour déterminer les périodes favorables et néfastes au développement de la Vie sur Terre. Et dans le cadre de cette mission, avertir la population des changements néfastes et de l’arrivée certaine d’un nouveau cataclysme. Après avoir vérifié les calculs de son collège de savants, auprès des présences dans la Vie d’après la vie humaine, comme nous l’avons vu faire en Ahâ-Men-Ptah.
Les grands prêtres, à travers le rite pour honorer les défunts, vont ainsi consacrer les temples bien entendu à Ousir et à Iset et les fidèles du clan de Sit vont bâtir des temples consacrés à Râ, le soleil. Faut-il pour autant aujourd’hui prétendre que ces égyptiens étaient polythéistes et qu’ils adoraient en même temps le dieu Ousir, la déesse Iset, le soleil, voire les animaux utilisés pour nommer les douze constellations du Zodiaque ?
Roi et Grand Prêtre travaillent ensemble
pour coordonner le travail de leurs équipes et chacun dirige un peu plus la population selon les crues du Nil : le Roi lorsque la terre est fertile, le Grand Prêtre lors des crues du fleuve lorsque tous travaillent dans la construction et l’embellissement des temples, monuments et villes. Tous pouvaient alors se familiariser avec les textes anciens, les mythes qui racontent l’histoire des survivants et des ancêtres du continent englouti. Cette démarche mystique les mènent ainsi vers leur initiation personnelle à la rencontre des mystères de la Vie. L’ensemble de la population est alors capable d’utiliser un savoir global à partir de deux sources de connaissances dont le pharaon et le grand prêtre sont garants de leur véracité et disponibilité.
Le problème politique et sa racine religieuse insoluble.
Le problème politique n’a pas été résolu avant le Grand Cataclysme et le pouvoir royal de la capitale Ath-Mer n’avait plus la direction du pays longtemps avant la destruction de ce continent.
Chaque région était devenue autonome et se gouvernait comme bon lui semblait. Les groupes de brigands régnaient dans dans les forêts et Sit était devenu leurs chefs. Ils avaient détruit les stocks de vivres et de matériels pour quitter le continent le jour fatal et ils ne croyaient absolument pas aux prédictions des prêtres sur l’imminence de la destruction de leur continent. Le père de Geb, Ahou, durant son règne avait fait construire vingt mille embarcations de tout tonnage et plusieurs belles forêts avaient été coupées pour y parvenir. Sit et son armée détruisirent une grand partie de cette flotte.
Ce problème politique lié au conflit entre les deux frères repose sur une racine religieuse : la naissance divine d’Ousir conçu par Ptah et non pas par Geb, le roi et époux de Nout. Dans l’histoire de cette civilisation, ce fut la seconde fois que ce cas s’est produit. Geb et Nout savaient que quelques milliers d’années auparavant ce cas s’est produit pour sauver la civilisation d’un péril imminent. Ils ont donc accepté leur sort que Ptah leur réservait. Mais cet évènement n’a eu aucune conséquence politique favorable pour réunir à nouveau les cinq provinces et les soixante millions d’habitants du royaume du sud du continent.
Document :
Le ciel rougit déjà des péchés commis dans le débordement des mœurs ! C’est le prélude au flamboiement du feux céleste. Plus rien n’est sain, ni sage, en Ahâ-Men-Ptah ! Tous ses états sont infectés par l’impiété et le blasphème ! … Hélas ! Le temps du Grand Cataclysme est très proche ! Temps terrible : ô suspend ton vol ! Ton rugissement venant du Lion, brisera même la force du lion !
Les Quatre temps (temple de la Dame du Ciel, Dendérah), texte cité par Albert Slosman dans Le Grand Cataclysme.
Pour les descendants des survivants, la victoire de l’armée des descendants d’Ousir sur celle des descendants de Sit lors du dernier combat sur les bords du Nil dans la région de Dendérah a scellé une nouvelle Alliance entre les deux clans et Ptah.
L’évolution du pouvoir politique dans les nombreuses dynasties qui se sont sont succédées fait l’objet d’un chapitre dans la Partie 3 de l’essai, l’Histoire des conflits. La présenter ici rallongerait de manière trop conséquente cette première partie sur la civilisation atlante puis égyptienne.
Cette évolution des dynasties est d’autre part bien documentée sur les réseaux sociaux ou sur Wikipédia, avec la réserve déjà mentionnée ici, les textes sont basés sur les écrits des auteurs grecs qui ne savaient pas lire les hiéroglyphes sauf Solon que Platon et d’autres ont largement repris en ne comprenant pas tout le plus souvent.
Prévoir l’aide aux autres peuples moins avancés dans leur Savoir.
Au lieu d’anéantir ou simplement d’ignorer les peuples qui un jour les rejoindraient sur les bords du Nil,les « Descendants », se feraient un devoir de leur montrer les moyens de s’adapter et de s’élever aux mêmes structures civilisées. Ceci allait prendre du temps.
Dans le cycle précessionnel où le Soleil paraît rétrograder, ce recul est de un degré en 72 ans. Une génération est donc décomptée pour 36 années.
Les prévisions devaient donc porter sur les ères suivant le Lion. Le Soleil se lèverait ensuite en Scorpion à la signification mortelle, puis en Gémeaux, les deux ennemis irréductibles. L’éducation de ces jeunesses montantes ne serait pas une petite affaire
Le développement économique
Pendant que les autres peuples étaient encore au stade des outils de pierre, très vite depuis Ta Mana des équipes étaient parties dans les hautes montagnes de l’Atlas pour se procurer du cuivre et du plomb dans des mines déjà ouvertes avant, à une dizaine de journées de marche. La difficulté serait de refondre les minerais pour en tirer du métal.
Les forgerons du fer.
Très rapidement, le clan d’Ousir retrouva les mines des montagnes de l’Atlas pour notamment fabriquer des armes en fer, plus solides que celles en bronze. Elles leur permirent de vaincre dans les premiers combats le clan de Sit.
Lors du premier combat entre les deux clans, Ousir fut transpercé par la lance de son frère Sit. En mourant, sa dernière volonté fut que sa demeure soit à l’endroit où se trouve le fer. L’Aîné surveillera tous les Cadets au long des siècles pour… en expirant il dit : « O Dieu je reviens près de toi ! ».
Ousir comme son peuple, savait qu’il fallait retrouver et poursuivre la fabrication du fer comme cela avait été le cas à la fin de la civilisation engloutie. Cette connaissance technologique était prioritaire pour garantir leur sécurité.
« Ta Ouz, lieu où Osiris s’était retiré avec ses proches, est un poste frontière algéro-marocain, plus au sud, à l’entrée du désert. Là, les mines de fer abondent ainsi que les minéraux purs dérivés : sidérite, magnétite, goethite, hématite. Tout au long, la route est parsemée de vestiges préhistoriques et de gravures rupestres. A Ta Ouz même, il y a des monuments funéraires de « l’antiquité la plus reculée ». Le clan de Sit, quant à lui, s’était établi bien plus haut dans le nord du Maroc, puis à Figuig également sur la frontière. Les dessins rupestres sont d’une autre facture, par exemple au col de Zénaga, un bélier dont la tête est surmonté d’un globe solaire, emblème des Râ-Sit-Ou.
Pour se protéger contre les attaques des rebelles de Sit, les forgerons de Ta Ouz décidèrent de se constituer en une unité combattante de représailles et ils devinrent des lanciers. Les ouvriers du métal, les « Astiou », devinrent les défenseurs, les « Masniou » ou « Manistiou », les fameux guerriers attachés à la personne même du Per-Ahâ plus tard sur les bords du Nil.
Les forgerons d’Horus sont devenus ainsi célèbre.
« Le caractère belliqueux d’Horus justifie suffisamment cette présence autour de lui d’une armée de forgerons, d’ouvriers en métaux. Horus emploie la lame et la javeline contre tous ses ennemis. Il les charge de chaînes, pas de cordes. Aussi les textes précisent que le métal employé est le fer ! »
G. Maspéro, les Forgerons d’Horus.
« Gezer est prise ! Yenoam est rendue inexistante ! Israël n’est qu’un désert où sa race n’est plus. La Palestine est devenue veuve pour l’Égypte ! Tous le spays sont réduits à l’impuissance, pacifiés par les forgerons de « Mêr-Né-Ptah ! »
J.H. Breasted, Ancien Records of Egypt.
Plus de 8 000 ouvriers de la métallurgie fondée par Ousir à Ta Ouz proposèrent au Conseil situé à T a Mana de se constituer en une armée. Ils avaient forgé les armes de toutes sortes et fabriqué aussi des roues pour seize chariots qui porteront le ravitaillement et les munitions et deux roues ciselées pour porter le char du commandant.
Cette armée prit le nom de la Compagnie des Lanciers-Forgerons d’Hor.
G. Maspéro écrivit dans son livre L’Age de Bronze en Égypte qu’il trouva deux dépôts d’objets en fer dans la pyramide d’Ounas et dans la pyramide de Dashour bien plus ancienne. Cela prouve nettement l’arrivée en Égypte avec les outils en fer. Les traductions apportées par Albert Slosman montrent que le travail du fer connu en Ahâ-Men-Ptah a repris rapidement à Ta Ouz sous la direction d’Ousir.
La production agricole et le travail dans les bâtiments sont liés.
Le choix de la vallée du Nil permet une combinaison du travail agricole avec celui de la construction des bâtiments.
Le plus souvent l’agriculture n’est pas possible la moitié de l’année à cause de ses crues et de l’attente nécessaire pour que le limon déposé soit cultivable. Durant cette période, l’ensemble de la population travaille à la construction et à l’embellissement des temples et des monuments ainsi qu’au développement des villes. Le cultivateur se mue en maçon, peintre, sculpteur, scribe, etc. C’est aussi le moment d’envoyer des éclaireurs, des caravanes, des navires de mer pour le commerce et les relations diplomatiques avec les autres peuples rescapés du dernier Grand Cataclysme descendus du Caucase, de l’Himalaya, d’Éthiopie ou d’Afrique, des Andes de Tiahuanaco.
Lorsque le limon est utilisable pour l’agriculture, tous travaillent aux champs pour obtenir les trois récoltes qui éviteront les famines lors des crues du Nil. La loi économique des rendements décroissants propres à l’agriculture permet de dégager un surplus de main d’œuvre pour pétrir la terre et réaliser une production de poterie mais surtout une production de briques pour poursuivre les constructions lors des crues du Nil.
Le choix de s’installer sur les bords du Nil s’explique ainsi judicieusement dans l’utilisation de la Vie du grand fleuve avec ses périodes bénéfiques et ses périodes néfastes comme le Grand Fleuve cosmique qui anime la création.
La monnaie s’échange avec un taux d’intérêt négatif.
Le suivi des combinaisons astrales permet de calculer les périodes les meilleures pour semer et récolter les plantes que nous consommons dans notre nourriture et aussi les cycles de périodes favorables et moins favorables. Le stockage des récoltes pour se prémunir contre les périodes de disette est alors essentiel. La civilisation égyptienne a développé sur ce plan un savoir faire tout aussi remarquable que dans les autres domaines de son organisation de Vie. Le rôle des chats qui défendent les silos de grains contre les souris, les rats, les serpents, et les autres nuisibles est particulièrement connu à travers les honneurs qui leur ont été rendus.
La gestion des stocks de blé et des autres produits agricoles est confiée au personnel des temples qui utilise la propriété commune, gérée directement par le groupe social, ou la propriété collective déléguée par le groupe social aux prêtres et aux moines des temples. Un indice précieux sur cette utilisation de la propriété commune ou de la propriété collective provient du calcul d’un taux d’intérêt négatif pour rémunérer le coût du stockage et du gardiennage des récoltes.
Document
“La civilisation qui a duré le plus longtemps, c’est la civilisation égyptienne. 3000 milles ans d’histoire. Une civilisation relativement pacifique, qui n’était pas esclavagiste, comme beaucoup le pensent, en fait, vivait avec des taux d’intérêt négatifs, et a vécu pendant 3000 ans avec des taux d’intérêt négatifs. Alors, ça peut être un petit peu paradoxal parce que c’était pas une économie monétaire, c’était une économie agricole. Et donc, les agriculteurs, en Égypte, la source de vie, l’élément primordial de la vie en Égypte, c’était la culture du blé et c’était l’évolution du Nil. Les crues du Nil, et puis le fait que le Nil dépose des sédiments sur des terres qui soient fertiles, puis faire repousser du blé. Et donc, la question de la vie a créé la question de la monnaie. Si certaines années, le Nil ne montait pas, il fallait avoir des réserves. Et donc la civilisation égyptienne avait mis en place, dans les temples, des immenses greniers à blé. Et donc les agriculteurs venaient déposer le blé dans la réserve, le stock, et recevaient des petites tablettes en échange. Des tablettes qui pouvaient être réutilisées dans des échanges marchands, dans d’autres endroits et pouvaient acheter du matériel, etc.
Et si vous veniez avec votre tablette en disant : « j’avais déposé 100 kg de blé, je voudrais les récupérer. » En fait, jamais les gens ne récupéraient leur 100 kg de blé. Parce que le temple disait : « ah mais, les souris sont passées, moi aussi le temple, je dois garder ce blé, il y a toute une série de gardes autour du temple, j’ai des frais dans l’aménagement, je dois garantir l’imperméabilité du temple. » Et donc, en fait, les 100 kg que tu as déposés, tu n’en reçois plus que 95.
Et donc, en fait, cette civilisation qui était probablement une des civilisations les plus pacifiques, qui nous a laissé les plus beaux monuments de l’histoire, a vécu pendant 3000 ans avec des taux d’intérêt négatifs sur une monnaie réelle qui s’appelle le blé. Et si aujourd’hui, quand on dit : « j’ai beaucoup d’argent, j’ai beaucoup de blé. » Croyez-moi que c’est pas une expression qui est là par hasard dans notre tête. C’est une expression qui vient de très loin dans notre histoire, et probablement qu’elle vient de ces origines-là, où en fait le blé c’était la source de la vie, c’était la source de l’argent et c’était la source de la richesse.”
source :
conférence : Dominer le monde ? Vers une monnaie mondiale privée dominant les États, André Peters, 17 janvier 2020, banlieue de Bruxelles
L’économie égyptienne utilise ainsi une monnaie réelle fondée sur des biens tangibles. La tablette avec l’identifiant du propriétaire et la quantité de la production peut servir le cas échéant d’effet de commerce si elle est transmise à quelqu’un d’autre. Mais il ne semble pas que ce fut le cas dans la civilisation égyptienne. La finalité principale est ici également la survie de la population et de la civilisation. La production est planifiée pour garantir cette survie à moyen terme et elle est gérée en tant que des biens communs par des dirigeants qui ont réussi leur initiation personnelle spirituelle à la rencontre des mystères de la Vie avec l’aide du Créateur qui vit en chacun de nous.
Le commerce avec les voisins
« Ils connaissaient tous les contours avant, la navigation étant très développée. Mais apparemment, ce territoire leur apparaissait totalement étranger, comme s’il était situé dans un lointain indéfini, un autre ailleurs. Ils y avaient été projetés au gré de la fureur des flots et des vents à peine calmés.
…/… Tout au long de la côte africaine, le cataclysme avait été bien moins ressenti. Mais les autochtones et les colons installés là avaient gagné des hauteurs assez éloignées par prudence. Le commerce florissant avant, et l’exploitation des mines avaient favorisé l’implantation d’un personnel spécialisé qui, par la suite, pourrait venir en aide aux rescapés.
source : Les survivants de l’Atlantide, Albert Slosman.
Ces extraits du récit des Survivants indiquent que très rapidement, des éclaireurs sont partis vérifier dans quel état se trouvaient leurs anciennes colonies et les régions de leurs alliés avec lesquels ils faisaient du commerce.
Les expéditions maritimes et commerciales
reprennent de suite pour aller voir les nouveaux contours des continents européen et africain, ainsi qu’américain, surtout l’Amérique du Sud et la région des Andes de Tiahuanaco, berceau de leur civilisation et premier refuge des voyageurs célestes qui ont du quitter leur planète devenue inhabitable.
Un évènement significatif pour la marine et le commerce des Survivants: la fondation de Byblos bien avant 5 000 ans avant notre ère, port admis par de nombreux chercheurs comme étant une véritable colonie égyptienne qui pratique le culte d’Osiris (Ousir). Byblos puis Tyr sont des ports en eau profonde qui ne subissent pas la variation du débit d’un fleuve comme le Nil. D’autre part l’arrière pays comprend d’immenses forêts de cèdre qui permettent de développer une construction navale sur place et d’envoyer ce bois en Égypte. Enfin, ces ports sont aussi des terminaux pour l’ancienne route de la soie jusqu’en Chine. La soie de Chine se retrouve dans les momies égyptienne comme le tabac d’Amérique et les feuilles de coca des Andes.
Elle fait aussi commerce de textile et de vêtements avec la Mésopotamie, notamment avec la ville de Mari et également avec les Minoens de Crète. Les souverains amorrites de Byblos se font enterrer dans des tombeaux avec des objets égyptiens (Tombeau d’Ahiram, roi au XIe siècle av. J.-C.)
Byblos est aussi un port actif qui exporte le vin et les bois du Liban vers l’Égypte et importe du papyrus égyptien pour le revendre à travers toute la Méditerranée.
Les liens entre l’Égypte et Byblos étaient si étroits que certains historiens et savants affirmèrent que Byblos était pratiquement une colonie égyptienne.
Bien plus tard les phéniciens de Byblos et de Tyr vont fonder la colonie de Carthage alors que l’Égypte connaît une période de déclin.
A partir de 1580, Amosis
poursuit avec succès la reconquête du delta du Nil, qui s’achève par l’expulsion des Hyksôs. Il restaure la domination thébaine sur l’ensemble de l’Égypte et réaffirme la puissance égyptienne au-delà de ses frontières. Les anciens territoires de Nubie et de Canaan repassent sous son contrôle. Il réorganise l’administration du pays, rouvre des carrières, des mines et des routes commerciales. Il entreprend de grands projets de construction, d’une ampleur jamais atteinte depuis le Moyen Empire, et qui comprennent l’édification de la dernière pyramide d’Égypte. Le règne d’Amosis Ier jette les bases du Nouvel Empire, durant lequel la puissance égyptienne atteindra son apogée.
Le contrôle du delta et de la Nubie permet désormais d’accéder à des ressources absentes en Haute-Égypte : l’or et l’argent viennent de Nubie, le lapis-lazuli des régions éloignées de l’Asie centrale, le cèdre de Byblos. Les mines de turquoise de Sarabit al-Khadim dans le Sinaï sont rouvertes.
Si l’on en croit une inscription de cette carrière, il utilise du bétail asiatique pris en Phénicie pour transporter ces pierres.
Les constructions sur le plateau de Gizeh au bord du Nil.
Une expédition, partie dès que possible après l’arrivée à Ta Mana au Maroc, construisit le temple et le Sphinx sur le plateau de Gizeh, terre promise qu’ils avaient choisi pour seconde terre de leur nouvelle alliance avec Ptah. Les conditions climatiques et météorologiques n’étaient pas encore favorables, les pluies diluviennes et la fonte des glaces se poursuivaient alors.
« …/… Un temple de Ptah aux blocs monolithiques imposants s’éleva sur le plateau de Gizeh bien avant la première dynastie, et près de lui, sculpté dans le roc, apparut dans le même temps celui que les Arabes nomment encore Abou l Hol, le père de l’effroi.
…/… Par ses yeux toujours ouverts – tels ceux du lion qui ne se ferment jamais – fixant l’occident et l’Amenta des Ancêtres morts au loin, le Père de l’Effroi rappelait ainsi le Grand Cataclysme et la Puissance Divine ».
« Le scribe de Khoufou (Khéops) dit ensuite que le Temple était enfoui dans les sables du désert, lorsque des ouvriers travaillant au nettoyage du Sphinx le révélèrent fortuitement. « Sa Majesté, au règne des millions de fois béni par Dieu, le Pèr-Ahâ Khoufou, ordonna alors immédiatement le déblaiement du monument.»

« Quand on se rappelle que ce règne béni se situe environ quatre mille ans avant notre ère, on reste confondu par l’antiquité réelle de ce Temple, dont il faut bien admettre que la construction remonte, au minimum à un millénaire auparavant!»
Esquisse d’un Bilan sur la civilisation égyptienne
Ce bilan, n’est qu’indicatif et personnel ; il va servir lors de la rédaction des institutions culturelles des Réseaux de Vie et il n’a pas d’autres prétention historique.
Les éléments positifs à retenir
La transmission du Savoir a été réussie
L’expérience avait été acquise depuis des millénaires et l’arrivée des voyageurs célestes dans les Andes.
Le choix de trouver un refuge sur la Terre a été assumé tout au long de cette civilisation. Le but de cette transmission est très lointain, à des milliers d’années de distance dans le temps futur : préparer les peuples à l’arrivée du prochain cataclysme terrestre et les aider à survivre.
Le savoir scientifique et spirituel du Cercle d’Or a été enfoui sous les sables du désert assez rapidement pour être mis en sécurité. C’est à nous qu’il doit servir puisque 12 000 ans se sont écoulés et que nous commençons à entrer dans la période critique de la grande année de 25 920 ans période dans laquelle le Soleil fait un tour complet sur lui-même, soit 360 degrés.
Nous avons vu que Khéops, dès sa période, ignorait, en tant que pharaon, l’endroit où il se trouve enfoui sous les sables. Pour retrouver son accès, il n’hésita pas à raser le temple de Dendérah et face à son erreur, il fit reconstruire ce temple selon les plans originaux peints sur peaux de gazelles certainement lors de la traversée du Sahara vert. Parce que les Survivants ont transmis leur mémoire des temples d’Ath-Mer, les générations suivants pendant cinq mille ans ont conservés ces plans de manière à les utiliser de suite lors de leur arrivée sur les bords du Nil.
Depuis les traductions des textes en hiéroglyphique, ce Savoir est devenu accessible et compréhensible, même s’il reste interdit parce qu’il est contraire à la Bible et aussi parce que son origine n’est pas uniquement terrestre.
Deux raisons qui sont suffisantes pour tout dirigeant d’un système de pouvoir de le combattre férocement. Établir une Alliance directe avec le Créateur et dialoguer avec lui sans intermédiaire, sans dirigeants politiques, sans chefs d’une théocratie, sans tyrans d’une dictature militaire et policière, sans oligarchie financière qui veut gouverner le monde, n’est en effet pas supportable pour ces imposteurs qui ambitionnent la domination les peuples pour s’enrichir et satisfaire leur folie à travers leurs élites qui se proclament prédestinées à gouverner le monde, leur monde fantasmé, inhumain, suprémaciste, raciste, dans lequel le Créateur n’a plus aucune place.
C’est dire l’actualité brûlante et urgente de ce Savoir pour quitter ces systèmes de pouvoir et développer à nouveau nos civilisation florissantes humanistes en Alliance avec le Créateur de toute Vie.
L’initiation spirituelle
La rencontre des mystères de la Vie et le dialogue direct avec celui vit en nous n’ont pas été perdus. Ils ont certes été écartés lors de la prise du pouvoir par les Peuples de la Mer et les Hycksos à partir de – 2100 jusqu’à – 1500.
Durant cette période de déclin du Pouvoir, ce sont les rites destinés à l’initiation la plus haute, celle utilisée en Ahâ-Men-Ptah et par les Survivants, Nout, Ousir, Iset, Nek-Bet, l’An-Nu et le Pontife puis par les pharaons et les grands-prêtres qui ont disparu.
Les autres rites moins importants n’ont pas été perdus et l’initiation spirituelle s’est poursuivie pour permettre aux postulants, l’accès aux connaissances techniques et scientifiques. Comme ce fut le cas pour Pythagore et d’autres savants grecs ou étrangers. Par contre nous ne disposons plus de textes qui relatent le dialogue direct entre un pharaon, des grands prêtres, des initiés au plus haut niveau et le Créateur, comme ce fut le cas, en dernier, pour Ousir, Iset, Nekbet.
Cette initiation au titre honorifique de fils de dieu qui a le droit de parler du mystère de l’Apocalypse, était ouverte aux postulants d’autres pays, dont les grecs. Pythagore a réussi cette initiation. Solon certainement puisqu’il obtient le droit d’utiliser la hiéroglyphique sacrée qu’il appris pendant quatre années. Platon n’est pas resté suffisamment longtemps pour être retenu à cet enseignement initiatique.
L’initiation spirituelle reposait aussi sur l’apprentissage de cette hiéroglyphique sacrée qui permettait l’accès aux textes les plus secrets et au travail réalisé dans le Cercle d’Or.
Nous retrouvons ici la problématique vécue par tout initié(e) dans la traduction de sa rencontre avec l’indicible et le début de son évolution humaine. La solution est d’utiliser la démarche artistique avec son langage premier hermétique hors de compréhension pour celles et ceux qui ignorent la démarche initiatique spirituelle ou qui sont encore dans la phase de l’involution.
Les hiéroglyphes sont restées incomprises des grecs, des romains, des chrétiens et de toutes les théocraties qui justement interdisent notre première source de savoir.
Les rites initiatiques provenant d’Égypte, de Grèce avec notamment le temple et la grotte d’Éleusis, ou les rites initiatiques des autres civilisations du Moyen-Orient ou de la civilisation celte, ont été interdits à partir du Concile de Nicée en 325 pour défendre les dogmes de l’église chrétienne et de la Bible.
Albert Slosman, cite l’exemple de l’arrivée du planisphère ou zodiaque de Dendérah à Paris en 1822 par M. Lelorrain.
« En 1830, l’horizon chronologique de l’Histoire des Peuples était singulièrement rétréci. L’Histoire Sainte, qui ne pouvait être contredite sous peine d’ex-communication hérésiaque, ne faisait remonter le premier homme qu’au Ve millénaire avant notre ère.
…/… Le planisphère de Dendérah a d’ailleurs continué d’opposer les « pour » et les « contre » depuis qu’il est arrivé en France. Une polémique très vive (note de Slosman : les tempêtes d’injures qui bouleversèrent, cent années durant, de doctes savants, tels Ampère, Arago, Cuvier, l’astronome Dupuis, et tant d’académiciens!) entraîna dans des discussions fort savantes tout ce que la France et ses diverses académies comptaient d’érudits de renom.
Dupuis joua le perturbateur en déclarant qu’en opérant une demi-conversion céleste du planisphère, tout devenait clair par la grâce du recul précessionnel, puisque les Égyptiens le connaissait. Ainsi, les antiques configurations zodiacales primitives se retrouvaient à leur place, dans l’Espace de ce temps là, il y avait quelque 12 000 années.
A l’Académie des Sciences un beau tintamarre se déclencha contre lui. Durant une bonne vingtaine d’années, la polémique s’amplifia parmi les membres de cette Académie savante, où la simple vérité logique de Dupuis fut qualifiée d’hérétique. A cette époque, il ne pouvait être question d’entériner une thèse qui assurait une telle antériorité humaine, alors que la vérité biblique ne faisait remonter le déluge que cinq millénaire avant notre ère.
…/…. Les livres de M. de Volney et de M. Dupuis …/… ne tendent à rien moins qu’à anéantir l’autorité des Livres Saints, afin de détruire toute idée de religion ! »
Albert Slosman, par ailleurs, fait remarquer que l’arrivée du planisphère de Dendérah a eu pour conséquence, parmi les érudits et les citoyens éclairés, le rejet des dogmes de la Bible sur l’origine de l’humanité et la date du Déluge. Le rationalisme scientifique ne céda pas devant l’Église et il poursuivit son action en 1905, à travers la loi de séparation des Églises et de l’État qui est considérée comme le texte fondateur de la laïcité. Principe qui établit la neutralité de l’État en matière religieuse en France.
De notre côté, nous faisons remarquer à nos lectrices et lecteurs, qu’avec notre chapitre sur les Théocraties et leurs dogmes, en retenant le Savoir des atlantes puis des égyptiens, une évidence connue dès notre introduction, nous n’utiliserons plus la Loi de 1905 ni son principe de laïcité dans le développement de Nos Réseaux de Vie, puisque nous abandonnons les systèmes et les théocraties, et tout ce qu’ils contiennent de livres sacrés et de dogmes religieux !
Par contre nous conservons le planisphère de Dendérah que nous avons découvert au musée du Louvre dans les années 1986-1987. Christiane Desroches Noblecourt avait eu l’intelligence et la sensibilité spirituelle de le présenter dans une crypte située après les fondations des remparts de Philippe Auguste, roi de France formé chez les Templiers.
Installé au plafond et éclairé à jour frisant, devant lui le sphinx en granit rose de Tanis veillait sur cette cartographie du ciel datée du jour du dernier Grand Cataclysme. La crypte, en hauteur, avec sa distance vis à vis du public, se dévoilait dans son mystère, hors de portée de nos mains, visible uniquement à celles et ceux qui osaient lever leurs regards vers ce témoin du ciel conservé non pas sous les sables du désert derrière le temple de Dendérah, mais sous le sol de Paris.
Quelques année après, je l’ai revu installé par terre dans une salle d’exposition avec d’autres objets antiques, comme perdu, et j’ai été désolé qu’il soit ainsi délaissé. Il a sa place aujourd’hui dans l’aile Sully du Louvre, à Paris, exposé de face sur un mur.
Et laissons dans l’oubli les explications de Wikipedia : il ne date que de la dernière reconstruction du temple de Dendérah, certes pour ce qui concerne le bâtiment, mais aussi de la configuration du ciel lors de cette dernière reconstruction. Quant à sa signification réelle du dernier grand Cataclysme, aucune mention. Le débat de 1822 et des années suivantes a visiblement été tranché pour rester conforme aux dogmes de la Bible. Le rationalisme fanatique d’aujourd’hui, écarte toute présence spirituelle.
L’égalité Homme – Femme dans une société humaine.
Cette égalité découle de la Loi Divine qui stipule que nous sommes une partie de la création et que le Créateur nous a donné à chacun d’entre nous, à notre naissance, une parcelle divine associée à la sienne.
La civilisation atlante puis égyptienne a respecté cette égalité homme-femme jusqu’à son terme, spécialement dans les attributions du pouvoir temporel et spirituel, même si la priorité a été donné aux hommes pour les postes d’An-Nu (pharaon) ou Pontife (chef des grands prêtres).
Une conséquence de cette égalité homme-femme se trouve dans le mariage monogame, certes avec des concubines pour le pharaon ou certains dignitaires. Ces concubines sont le plus souvent des filles de rois ou de dignitaires de pays voisins placées dans la cour de pharaon en gage d’alliance diplomatique ou commerciale, et de paix.
« Il était fréquent que l’Égyptienne portât un vêtement extrêmement léger, souvent en lin transparent, le byssos, que les femmes du palais travaillaient dans les ateliers. Elles confectionnaient ainsi des tuniques qui moulaient le corps et qui laissaient parfois paraître leur peau. La mode des fourreaux ajouta à la sensualité de ces vêtements dont la forme fut reprise à l’époque de Napoléon. Le courant « Le retour d’Égypte » vit resurgir les tuniques près du corps soulignant des poitrines largement dénudées. Joséphine de Beauharnais voulait être habillée comme Cléopâtre.
Dans les banquets, tant à l’époque égyptienne qu’à l’époque napoléonienne, les femmes rivalisaient d’élégance et de sensualité. Les tissus choisis étaient également souples et chaleureux. Le soyeux de ces robes était recherché. Habillées ou pas, les servantes avaient donc l’impression d’être nues. Mais il est vrai qu’à l’époque égyptienne, la nudité n’étonnait pas. Aussi certaines femmes sortaient- elles avec des robes à longues bretelles qui laissaient la poitrine dénudée. D’autres restaient totalement nues quand elles servaient dans des banquets. Il ne s’agissait ni de prostituées ni de musiciennes louées pour accompagner les invités après les repas mais de domestiques du palais.
Il semble, en effet, que, contrairement aux Grecques et aux Romaines, les Égyptiennes étaient très libres. Elles se rendaient parfois sur la place publique et elles pouvaient partager leur repas avec les hommes.»
La gestion du Pouvoir politique.
Le but que cette civilisation s’est donné à très long terme et sur des dizaines de milliers d’années, a pour conséquence logique que des dynasties plus ou moins longues vont se succéder. L’essentiel est qu’elles utilisent et suivent le Savoir transmis par les Aînés puis après par les les Survivants du Dernier Grand Cataclysme.
Sauf qu’il y a deux clans depuis l’arrivée d’Ousir conçu directement dans le ventre de Nout et la révolte de Sit, le seul homme conçu directement par son père biologique. Mais les Survivants vont rester au contact et leurs tribus développeront un projet commun favorisé par leur niveau de Savoir et de développement par rapport aux peuples qui habitaient cette région du Maghreb avant le Cataclysme, sans disposer d’un Savoir développé et équivalent.
Ce projet commun est démontré par les divers clans qui ont occupé au fil des millénaires le pouvoir royal. Les dynasties sont issues du clan de Ptah et du clan de Sit. Il y a celles des familles nobles d’Eléphantine, puis les dynasties nombreuses du delta du Nil. A la Basse Époque, viennent s’ajouter celles de Libye, région où le clan de Sit a installé plusieurs tribus. Sans oublier l’épisode des peuples de pasteurs et des Hycksos. Sans oublier également que les premières colonies grecques dans le Delta ont évolué jusqu’à occuper le pouvoir et la sauvegarde de cette civilisation. De même lors de la conquête romaine.
Le pouvoir politique s’est également occupé de retrouver les anciennes colonies d’avant le cataclysme. Nous avons cité l’exemple de ce nautonier qui confie à l’An-Nu de Ta Mana de quoi fabriquer un nouveau cadran pour se diriger n’importe où. Les marins atlantes suivaient les rivages de l’atlantique et il est certain qu’ils allaient aussi par le détroit de Gibraltar en Méditerranée. Il y a le cas troublant du port de Byblos où une présence humaine a été découverte vers 7 000 ans avant notre ère. Ce qui signifierait le passage des marins atlantes. Byblos est considéré par certains historiens comme une colonie égyptienne depuis sa fondation. Le culte d’Osiris était célébré dans ce port qui avait l’avantage d’avoir des forêts de cèdres pour construire des navires et des bâtiments.
Cette région du Levant avec Byblos puis Tyr est la fin ou le début de l’ancienne route des échanges commerciaux avec l’Asie et la Chine qui datent d’avant le cataclysme pendant le paléolithique supérieur, de 45 000 à la fin de la glaciation il y 9 000 ans avant notre ère. Cette route commerciale pouvait certainement conduire à Ath-Mer, la capitale atlante, les rivages du continent englouti sont proches du continent africain et européen et le détroit de Gibraltar a été ouvert lors d’un grand cataclysme antérieur.
Il reste également l’objectif de rejoindre les Andes de Tiahuanaco, la région d’origine de la civilisation atlante des descendants des voyageurs célestes.
Le pouvoir politique, après les dynasties des pharaons qui descendaient d’Ousir ou de Sit, a été confié au dirigeant le plus capable ou à celui qui avait conquis le Pouvoir pour restaurer et défendre le projet commun des Aînés : entretenir ou bâtir de nouveaux édifices, restaurer un culte si possible avec le choix entre Ptah, Râ ou une théocratie avec une divinité qui était l’ensemble des dieux réunis sous un autre nom.
La difficulté pour suivre l’évolution politique et l’utilisation du Savoir provient de deux habitudes chez les pharaons puis les dirigeants politiques :
- Dès le début, sur les bords du Nil, les pharaons ont voulu bâtir leurs édifices à la gloire de Ptah ou de Râ, avec leur cartouche royale et leur signature. A travers ces édifices, ils cherchaient à obtenir le mérite de rejoindre leurs divins prédécesseurs dans l’Au-delà et s’adjoindre les grâces de Ptah ou de Râ.
- Rapidement devant la multitude d’édifices à entretenir et à partir des périodes de déclin, les ressources financières, matérielles et de main d’œuvre ont obligé la plupart des dirigeants à se contenter de restaurer les édifices et pour obtenir leur mérite, ils ont buriné les cartouches de leurs prédécesseurs pour imposer le leur.
Le spécialiste de cette pratique fut Khéops. Nous l’avons vu à l’œuvre pour le temple du plateau de Gizeh et le dégagement du Sphinx des sables, édifices construits par des expéditions alors que le peuple était encore dans le Sahara vert qui se transformait en région sèche comme l’indique la gravure de la vache du pleure dans le tassili n’Addjer.
Pour Dendérah, la dernière cartouche gravée est celle de Cléopâtre. D’où l’indication par les rationalistes scientifiques sur les Réseaux sociaux, que c’est elle et uniquement elle qui a construit ce temple même si Octave, le futur empereur Auguste, l’a achevé à la période de Jésus.
Mis à part la querelle théologique fondamentale entre Ptah et Râ, tous ont œuvré pour conserver, restaurer, bâtir les monuments avec leurs inscriptions, leurs textes sacrés, afin de perpétuer la mission essentielle des Survivants : nous préparer à survivre nous aussi un jour au prochain Grand Cataclysme. Le clan de Ptah qui a conservé les vestiges les plus importants du Savoir d’Ahâ-Men-Ptah a toujours une marge culturelle importante par rapport au clan de Sit.
Il suffit de revoir les dessins rupestres du Tassili des Ajjers ou du Hoggar réalisés par ceux de Ptah et les comparer aux dessins et gravures de ceux de Sit plus au nord dans la région du Wadi Mathendous et le massif du Messak Settafet dans le sud de la Lybie.
Pour la chronologie des nombreuses dynasties égyptiennes, elle fait l’objet d’un chapitre à part dans la Partie 3 de l’essai, l’Histoire des conflits entre systèmes de pouvoir et organisation en réseaux de vie. Ce texte ne ferait ici qu’augmenter la taille de ce document déjà suffisamment conséquent avec la confrontation entre la civilisation égyptienne et les théocraties, notamment juive. Nous reprenons ici simplement quelques points importants.
Une caractéristique principale s’est mise rapidement en place.
La première dynastie a été celle des suivants d’Ousir et de Ptah puis la seconde, celle des suivants de Sit et de Râ. La troisième dynastie a tenté d’utiliser en même temps Ptah et Râ mais les difficultés surgirent rapidement avec pour conséquence un déclin du pouvoir royal.
Lorsqu’une famille ou un clan ne veut plus assurer le Pouvoir, un appel à une famille volontaire permet de garantir la fonctionnement du Pouvoir. Et ces cas furent nombreux.
En -3018, La famille ou clan d’Eléphantine au bout d’un moment déclina cette charge royale et une autre dynastie commença. Sauf que les conflits entre les religions de Ptah et de Râ se développèrent pour chacune reprendre le Pouvoir et imposer sa religion contre celle de l’autre clan. Ce qui explique grandement la fermeture et l’enfouissement du Cercle d’Or de Dendérah, nous l’avons vu.
Ensuite commencent les périodes où de nouveaux dieux prennent place
En -2426, La nouvelle dynastie choisit Thèbes pour capital et elle développa le culte d’Amon.
Vers – 2 100 le développement à Sumer de la royauté commence.
De -1 900 à -1 700 l’arrivée des Peuples de la Mer et des Hycksos, comme celle des peuples sémites et pasteurs itinérants de troupeaux, se fit sans conflit comme d’habitude mais le déclin ou pire, la vacance du pouvoir royal, incitèrent ces nouveaux venus à postuler eux aussi au Pouvoir royal. Ces étrangers se sont enrichis rapidement en faisant du commerce pour vendre les productions de la vallée du Nil à leurs peuples restés sur place.
Les périodes de reprise en main du Pouvoir pour un nouveau développement florissant, sont :
XVIII dynastie, elle commença en 1580 avec Amosis. Cette dynastie apporta de nombreux bouleversements en Égypte. Elle fut l’une des plus longues et des plus brillantes. les Hyksos furent chassés.
Son fils Amenophis Ier –1558 à -1532 a cherché à rebâtir les temples, les monuments et les villes laissés à l’abandon durant les 3 siècles de décadence et toutes les populations présentes devaient travailler dur dans ces travaux. Le travail se transforma en un esclavage pur et simple, qui comprenaient les juifs et les égyptiens qui n’étaient pas des disciples d’Amon-Râ. Dès ce moment, Dendérah entra pour deux siècles dans l’oubli
Le fils d’Amenophis I, Thoutmosis I fit de nombreuses campagnes militaires pour restaurer la renommée de l’Égypte dans les régions voisines. Ce qui porta à son comble l’esclavage interne de tout le peuple, c’est à dire : Égyptiens et juifs confondus.
Moïse revint chez lui pour organiser la fuite des égyptiens fidèles de Ptah qui voulaient échapper à la domination des prêtres d’Amon. Les juifs voulaient également s’enfuir et Moïse les prit dans son groupe. Hatchepsout poussa son époux à faire la chasse aux fugitifs pour les capturer. Mais Thoutmosis II trouva la mort dans les combats contre Moïse et ses fugitifs, lors de la traversée de la Mer rouge, en l’an -1500.
De 1367 à 1351, Amenophis IV transforma son nom en Akhenaton. Ce ne fut plus la lutte ouverte entre Ptah et Râ mais Amon contre Aton. Akhenaton voulu détruire Amon en interdisant le culte de l’idolâtre Dieu Bélier. Il mourut d’empoisonnement.
XIX dynastie de 1295 à 1188 avec Ramsès I, Séthi I, Ramsès II. Ils suivent Sit, leur dieu protecteur mais ils suivent également Amon et Ptah. Ils font disparaître les traces de l’époque Armarienne tout en intégrant une partie de l’héritage solaire d’Aton .
Ces pharaons durent combattre leurs voisins dont les empires se développaient. Ramsès II est surtout connu pour les combats qu’il dirigea pour défendre l’Égypte. Il eut un harem impressionnant de princesses hittites, babyloniennes, syriennes, reçues en gage pour renforcer les alliances passées avec ces royaumes voisins.
Ramsès III est considéré comme le dernier grand roi du Nouvel Empire.
Pendant un peu plus de trente ans, il tente de réorganiser le pays, il construit quelques imposants monuments (temple-reposoir dans le temple d’Amon à Karnak, début du temple de Khonsou, temple des millions d’années à Médinet Habou et sa tombe KV11 dans la Vallée des Rois). Il protège surtout victorieusement son pays contre plusieurs ennemis, les Libyens mais aussi les fameux « Peuples de la mer ». Cette coalition de peuples a déjà fait parler d’elle quelques décennies auparavant sous le règne de Mérenptah. Néanmoins, du fait des menaces extérieures, l’Égypte ne dispose plus des ressources des périodes précédentes, réduisant d’autant sa puissance .
Ensuite le déclin de la civilisation s’accélère jusqu’à sa destruction par les Perses:
La période de la Basse Époque de 1070 à 525
La XXIIe dynastie pharaonique, de la Troisième Période intermédiaire, est une dynastie d’origine berbère amazighe libyque, qui gouverne l’Égypte antique en commençant à la suite de la XXIe dynastie avec Sheshonq Ier vers 943 avant J-C.
1000-883 av. J.-C. : la Phénicie devient la principale puissance commerciale du Levant. Les marins phéniciens fondent des comptoirs en Méditerranée, à Chypre, en Sicile, en Sardaigne, sur la péninsule Ibérique et en Afrique du Nord. Ils franchissent le détroit de Gibraltar et fondent Gadès (Cadix) et Lixus au Maroc.
l’implantation hellène dans le delta du Nil débuta pendant un demi-siècle de -664 à -610.
En 597, Sédecias, roi de Juda, demanda au pharaon de lui envoyer son armée pour combattre Nabuchodonosor en Syrie. Mais ce fut un grave échec, car des deux côtés se trouvaient des mercenaires grecs. Aussi quand l’armée se retira pour rejoindre la base égyptienne, Jérusalem fut prise et mise à sac. Le prophète Jérémie était parti avec les troupes d’Apriés et il resta en Égypte où il fut accueilli fraternellement.» C’est la déportation des Juifs à Babylone, entre 597 et 538.
XXVII dynastie de 525 à 359 Première domination perse avec Cambyse II, Darius I, Xerxès et elle se poursuit jusqu’à la XXX dynastie jusqu’en 343.
Les grecs avec Alexandre le Grand puis les Ptolémées vont restaurer la civilisation égyptienne et reconstruire ses temples jusqu’à la conquête des légions romaines en – 30 avec Jules César et Octave.
Le Savoir des fidèles de Ptah sera préservé par un groupe de résistance qui finit par devenir les coptes, les derniers gardiens du Savoir sur la terre d’Égypte.
Les éléments négatifs : les menaces et les sources de conflit insurmontables.
La perte progressive des avantages apportés par leur Savoir
L’utilisation du fer leur avait permit de disposer d’armes que les autres peuple ne possédaient pas encore. Ousir remit en marche la production de fer tout de suite après leur arrivée sur la côte du Maroc, après -9792. Ce n’est évidemment pas mentionné sur les réseaux sociaux.
Wikipedia indique que dans le Proche-Orient ancien, le fer météorique a été travaillé dès la fin du IVe millénaire av. J.-C., comme l’attestent des perles de fer de la période prédynastique égyptienne.
L’âge du fer débute vers 1200 av. J.-C. en Anatolie, vers 1020 à 1000 av. J.-C. en Grèce, vers 800 à 700 av. J.-C. en Europe de l’Ouest, et sans doute beaucoup plus tôt dès le IIe millénaire av. J.-C. en Afrique centrale. La métallurgie du fer nécessite une température plus élevée que celle du bronze, atteignable grâce à l’évolution technologique des fours.
Cet avantage a été présent dans une période singulière entre – 9792 et environ – 5000 ans. Trop mal connue, cette période couvre des millénaires de pluies diluviennes et des climats très perturbés, à commencer par un long hiver avec l’absence du soleil caché par les nuages de gaz et d’émanations volcaniques. La fonte des glace a commencé dans l’hémisphère nord et à la latitude du Tropique du cancer, il semble que les conséquences du dernier Grand Cataclysme aient été plus supportables. Les Annales et le Livre des Quatre-Temps n’ont pas permis à Albert Slosman d’apporter des précisions sur le changement climatique et les conséquences sur l’atmosphère et le climat des premiers temps à Ta Mana ou à Ta Ouz.
Le conflit avec les peuples voisins se limite avec le clan de Sit. Ensuite des familles des Survivants s’installent dans le Maghreb jusqu’au rivage de la Méditerranée en utilisant le Savoir sauvé d’Ahâ-Men-Ptah.
La période où surviennent les premières difficultés avec les peuples voisins se situe autour de – 1200 ans.Le développement rapide des empires après – 1 200 lorsque les villes devinrent importantes fut la période où la civilisation égyptienne n’a plus les moyens, les ressources pour se défendre alors que ses richesses attiraient la convoitise des peuples voisins.
Puis il a suffit d’un roi perse devenu fou pour détruire cette civilisation pour le motif que la vénération d’un homme fils de dieu, mort et ressuscité, est l’exemple d’un savoir spirituel capable d’éliminer toutes les théocraties, à commencer par celle des Mages de Perse.
Ce qui est loin d’être faux même si cette déclaration provient de Cambyse avant d’être totalement fou et de périr. Cette déclaration de Cambyse en -525, il y a 1500 ans, reste actuelle en 2025 même si elle a été reprise par certaines théocraties et par les systèmes de pouvoir.
Existait-il un lourd secret sur Vénus et l’arrivée des voyageurs célestes dans les Andes ?
Cette longévité exceptionnelle de la civilisation atlante puis égyptienne peut certainement aussi s’expliquer par la conservation restée secrète des origines les plus lointaines des descendants du peuple des voyageurs célestes venus trouver un refuge dans les Andes puis dans les régions voisines. C’est l’enjeu primordial et terriblement redoutable de cette splendide civilisation.
Comment expliquer aux autres peuples de la Terre que nous venons d’ailleurs, d’une planète bien plus stable mais qui a été entraînée dans une navigation céleste brutale vers une orbite nouvelle et bien plus proche du Soleil qui a détruit toute possibilité de vie humaine ?
Oh, les maîtres des calculs des combinaisons astrales peuvent très bien expliquer tout ceci mais comment cette Loi divine qui gouverne la vie de la Création et ces mathématiques célestes peuvent-elles persuader les peuples de la Terre qu’ils doivent se préparer eux aussi à survivre à l’instabilité prononcée et cyclique de leur planète qui régulièrement détruit la vie sur Terre ?
Tout en écoutant les récits d’une vie paradisiaque la-bas, là-haut sur l’autre planète d’où l’on vient ?
Mille ans après la fondation du « Deuxième Cœur de Dieu » sur les bords du Nil, de -3200 ans à -2400 ans, soit pendant 800 ans, l’Égypte antique est en déclin et ce sont des chefs de provinces qui souvent gouvernent comme ils l’entendent.
Lors de ce déclin, le petit cataclysme intervient autour des années 3000 avec l’arrivée de Vénus sur son orbite actuelle autour du soleil. Les annales égyptiennes semblent peu en parler alors qu’il est probablement mieux documentée dans les livres sacrés de l’Inde et la tradition orale des autres peuples. Était-ce pour ne pas trahir ce lourd secret et laisser cet évènement aux autres astronomes de cette époque ?
Ce secret porte sur les méthodes de calculs des combinaisons astrales d’une part mais aussi d’autre part, sur le dialogue avec Ptah, le Créateur, qui apparemment intervient d’office pour que le fils qu’il a directement engendré dirige le sauvetage des peuples qui suivent l’Alliance avec le Créateur. Et les deux vont de pair, naturellement et même divinement bien ! Les voyageurs célestes en ont profité pour trouver refuge sur Terre dans les Andes parce qu’ils vivaient dans l’Alliance avec le Créateur. Mais nous savons ce qui s’est passé sur Ahâ-Men-Ptah pour les populations qui ne voulaient pas suivre l’Alliance avec Ptah…
L’histoire contemporaine démontre que ces descendants des Survivants ont eu raison, mille fois raison de garder secret leurs origines célestes.
S’il faut une preuve supplémentaire sur ce sujet à ajouter à celle de Cambyse, nous connaissons la destruction totale de la civilisation des Andes de Tiahuanaco dès que la papauté romaine comprit que cette légende contredisait totalement la Bible. Les réalisations splendides de cette civilisation bien plus avancée que celle d’Europe, ne pouvaient qu’émerveiller les populations européennes et les persuader de suivre ce savoir si évolué des Andes et du Mexique. La peur de la papauté romaine était alors fondée sur l’évidence de voir délaisser ainsi la Bible et ses dogmes jusqu’à disparaître de la culture occidentale. Et cette peur est toujours justifiée aujourd’hui, nous allons y venir en seconde partie de ce chapitre…
Cette civilisation héritière directe de Tiahuanaco et du refuge des voyageurs célestes fut ainsi détruite et son Savoir perdu pour ne pas avoir été lui aussi gravé sur les murs des temples et enfouis sous les sables du désert pendant des siècles sinon des millénaires. Lors de cette période de l’Inquisition papale, les temples et les monuments d’Égypte étaient enfouis sous les sables, les meilleurs sables au monde pour conserver de tels bâtiments.
Au moins le peuple atlante qui avait quitté les Andes, a pu servir de réserve et de secours pour qu’une partie de ce Savoir originel nous soit transmis.
La peur de ce Fils de Dieu qui a dirigé les descendants des Survivants.
En -525, Cambyse lors de l’invasion perse a détruit Dendérah pour éliminer le culte de Ptah et surtout l’exemple d’Ousir, l’Osiris grec, ce Fils de Dieu conçu par Ptah, le Créateur, puis ressuscité par son père divin après les prières d’Iset et de sa sœur jumelle Nekbet, afin de conduire les Survivants du dernier Grand Cataclysme vers un second « Cœur de Dieu » sur les bords du Nil.
L’exemple d’Ousir ne devait surtout pas entrer en Perse pour contredire et détruire le culte de Zoroastre mis en place par les Mages persans.
Allez expliquer aussi tout ceci à des tyrans à la tête de leurs théocraties, 2000 ans ou 12000 ans avant la date précise du prochain Grand Cataclysme ? Nous savons la tête que Cambyse a faite devant ces connaissances égyptiennes et la folie qu’il a eue en envahissant Memphis puis Dendérah !
Cet exemple stupéfiant et très intéressant, déjà à cette période, suscitait la peur dans les théocraties voisines avec leurs dieux inventés qui face à la splendeur et à l’aide magnifique du Créateur à sa création, s’en trouvaient subitement ridicules sinon détestables par leur ignorance crasse et leur incapacité totale à simplement communiquer avec celui vit en nous et est le même en chacun d’entre nous, sans même parler du dialogue direct avec le Créateur dans la Vie d’après la vie humaine durant notre condition humaine.
Comment avec toutes les guerres et les crimes commis pour défendre les dogmes de vos dieux inventés, certes par des Mages, se présenter devant un Créateur unique dont vous avez saccagé et exterminé les membres de sa création ?
Le moindre Barbare doté d’un minimum de réflexion humaine comprend vite qu’il y a un péril fatal dans sa demeure ! Comme le fera la papauté romaine plus tard avec les peuples des Andes et du Mexique, autant exterminer tout le monde tout de suite… pour défendre ses dogmes criminels !
Le Savoir du Cercle d’Or restait ainsi secret pour les besoin de sa sécurité et pour garantir sa mission essentielle : rester disponible pendant près de 12000 ans jusqu’au moment où l’humanité devra faire face à l’accroissement de l’instabilité du globe terrestre et à l’arrivée d’un nouveau Cataclysme.
Il semble que l’exemple d’Ousir ne soit toujours pas accepté dans nos cultures actuelles tant il est antinomique avec les dogmes religieux dont se servent les systèmes de pouvoir autocratique.
Et c’est bien cette racine théologique qui pose toujours autant de problème et qui nourrit tant d’animosité sinon de haine contre le christianisme à travers le monde, car le premier Fils de Dieu ou du moins du Créateur qui a sauvé le Savoir de son peuple et l’a transmis aux Survivants et à leurs descendants, est cité, dessiné, gravé sur les murs des temples et des monuments des bords du Nil.
L’utilisation des sources grecques pour tenter d’expliquer la civilisation atlante puis égyptienne.
Une difficulté immédiate et supplémentaire est largement décrite dans les livres d’Albert Slosman : les récits sur l’Égypte antique divulgués par les Grecs.
La plupart des enseignements et des commentaires actuels se fondent toujours sur des documents grecs, de perse ou d’autres civilisation de la Méditerranée, en écartant le savoir de l’Égypte antique par ignorance ou volontairement sous prétexte de rationalisme scientifique hostile à toute source de connaissance spirituelle.
Or les savants et les visiteurs grecs vinrent visiter et étudier les villes et les temples des bords du Nil qu’à partir de la Basse époque, c’est à dire vers l’an 1000 avant notre ère. Peu de voyageurs grecs eurent accès aux connaissances fondamentales et encore moins à l’enseignement de la hiéroglyphique, seul Solon vers 650 apprit en quatre ans la hiéroglyphique avec un prêtre de Ptah dans une oasis à l’ouest de Thèbes, chez des Samiens. Platon 150 ans plus tard reprit cette étude sur Ahâ-Men-Ptah qu’il renomma Atlantide.
Avec des connaissances parcellaires, les érudits grecs n’ont pas eu une vision globale du Savoir de cette civilisation bien antérieure à la leur et ils ont commis de nombreuses erreurs d’interprétation ou bien ils se sont emparés de certaines connaissances notamment mathématiques pour déclarer qu’ils en étaient les auteurs. Par exemple nous pouvons lire aujourd’hui que l’on attribue la découverte du phénomène de la précession des équinoxes, à l’astronome grec Hipparque en -130 av. J.-C., bien que d’autres peuples comme les Aztèques ou les Égyptiens aient laissé des traces de travaux à ce sujet.
Des traces invérifiables sauf si vous lisez couramment les hiéroglyphes de Dendérah comme Albert Slosman et tant d’autres depuis. Quant à admettre que cette connaissance astronomique était utilisée déjà en Ahâ-Men-Ptah plus de dix mille ans avant notre ère et depuis le 11 février 21 312 avant le début de l’ère chrétienne,date de l’avant dernier Grand Cataclysme inscrite dans les Annales de Dendérah, n’en parlez qu’entre érudits éclairés d’une démarche initiatique spirituelle !
Ces éléments de connaissances grecques sur l’Égypte ne furent ensuite pas retenus par l’église chrétienne de Rome après le Concile de Nicée en 325. Parce qu’ils étaient contraires à la Bible que les pères de l’église avec leurs moines étaient en train de développer à partir d’une sélection des Évangiles de Jésus et de l’Ancien Testament juif rédigé par les Lévites de la tribu de Juda, tribu pourtant exclue d’Israël dès les années 1000 avant notre ère. Nous allons y venir.
Les découvertes archéologiques et scientifiques confirment les textes et les récits gravés sur les temples et les monuments des bords du Nil.
Nous les avons présentées dans notre chapitre Les survivants du dernier Grand Cataclysme.
Les datations avec les carottes glacières précisent ce que fut la dernière grande glaciation et comment elle disparut rapidement suite à un évènement majeur qui modifia en profondeur le climat.
Les altimètres radars se sont perfectionnés et mesurent maintenant aussi la profondeur des océans, d’où cette cartographie du jeune océan atlantique avec cette énorme cicatrice de sa croûte de magma fendue par la dorsale atlantique.
Ces mesures récentes compensent assurément l’absence des calculs des évolutions des combinaisons astrales depuis la destruction de la civilisation égyptienne. Il n’en reste pas moins à notre recherche scientifique et astronomique, à la suite de la découverte des exoplanètes, de calculer l’évolution de leurs navigations célestes jusqu’à la place qu’elles occupent maintenant. Et le cas de la planète Vénus est certainement prioritaire.
Alors en route vers l’abandon des théocraties et des systèmes de pouvoir
Nous limitons nos propos à cette perspective. Il est temps d’arriver à notre seconde étape : à la place de ce Savoir brillant de la civilisation atlante puis égyptienne, qu’avons-nous depuis quelques siècles comme éléments de savoir utilisé dans les systèmes de pouvoir qui ont asservis les peuples.
Tous connaissent la condamnation de Galilée pour avoir écrit que la Terre tourne autour du soleil.Il est condamné en 1633. La condamnation porte sur la désobéissance de Galilée. Il lui est interdit d’aborder de nouveau le sujet, et il doit s’exiler à Florence et à Sienne. Et il doit se rétracter par une abjuration, moyennant quoi l’Inquisition le laissera libre. Ce jugement relativement modéré pour l’époque, permet de sauver à la fois Galilée et le pontificat d’Urbain VIII.
D’où provient ce dogme irresponsable de la Bible ?
D’où sort le dogme de la prédestination des élites à diriger le monde dont se gaussent les théocraties actuelles, y compris la secte des puritains anglo-saxons qui dirige l’oligarchie financière anglo-saxonne et ce gouvernement mondial ploutocratique toujours avide de destructions multiples pour étendre la puissance de ses monopoles économiques et la folie de ses visions culturelles pour éliminer nos sociétés humaines avec par exemple, les objectifs de leur Agenda 2030.
Nous sommes alors très loin de la civilisation atlante puis égyptienne et de la communion de Vie entre le Créateur et sa création.
Mais ce choix de civilisation sans systèmes de pouvoir et sans théocraties n’a jamais été aussi prêt, fondé sur la maîtrise retrouvée de nos civilisations florissantes et d’autre part sur la connaissance du fonctionnement des tyrannies obscurantistes qui les ont mises à mal.
Cette compréhension de notre passé repose évidemment sur l’élimination des dogmes religieux même pour ceux les plus défendus par les tabous millénaires les plus abjects et scandaleux. Et pour les éliminer, nous devons les connaître, ne pas les oublier ou sous-estimer leurs capacités de nuisance dans une civilisation.
La théocratie juive et ses dogmes religieux.
Nous devrions logiquement, en toute rationalité et spiritualité, utiliser à nouveau ce Savoir atlante puis égyptien et cette complémentarité entre nos deux sources de connaissances pour établir une fois de plus une nouvelle Alliance avec le Créateur.
C’est la mission culturelle développée dans Nos Réseaux de Vie après avoir abandonné les systèmes de pouvoirs, les théocraties et leurs dogmes religieux.
La difficulté majeure que représente l’ignorance jetée sur la civilisation atlante puis égyptienne par toutes les théocraties et les systèmes de pouvoir, s’est renforcée lorsqu’une tribu sortie d’Égypte avec Moïse, a entrepris bien plus tard de rédiger ses textes sacrés pour se déclarer seul peuple élu par Dieu pour un jour gouverner le monde terrestre. Et avec un acharnement constant, cette secte théocratique a poursuivi son entreprise jusqu’à nous.
Ses livres religieux font partie de la Bible et servent aussi de base à la théocratie musulmane. Ce sont bien les fondements religieux de la civilisation occidentale judéo-chrétienne, musulmane que nous abordons maintenant pour les comparer avec la religion et la spiritualité de la civilisation égyptienne que ces théocraties ont détruites et interdites de pratique.
Pour présenter ce peuple qui se proclame élu par Dieu, nous utilisons ici le livre de Douglas REED, la Controverse de Sion.
Ce livre de Douglas REED est disponible en téléchargement format PDF, nous invitons nos lecteurs à l’utiliser pour suivre nos propos, ce qui va raccourcir d’autant notre texte. Les extraits des documents de son livre sont ici signalés« Document ». Nous signalons par leurs sources les autres documents venant d’autres auteurs.
Les livres d’Albert Slosman ne sont pas téléchargeables en format PDF et nous avons donc recopié les extraits dont nous avions besoin pour soutenir nos propos. Ce qui explique le nombre important de pages de l’étape 1 par rapport à cette étape 2.
La Controverse de Sion suit un plan chronologique pour rester fidèle à l’histoire du peuple juif de la Tribu de Juda rédigé par les Lévites.
« Douglas REED, journaliste et écrivain à succès, a commencé en 1951 ce livre. Il passa plus de trois ans — pour la plupart loin de sa femme et de ses jeunes enfants — à travailler à la Bibliothèque centrale de New York, ou à taper sur sa machine à écrire dans des logements spartiates à New York ou à Montréal. Avec un zèle de professionnel, le livre fut réécrit — ses 300 000mots — et l’épilogue seulement ajouté en 1956.»
Nous allons utiliser des extraits pour préciser les évènements essentiels à nos yeux et pour caractériser ces dogmes théocratiques présents dans la civilisation occidentale judéo-chrétienne que nous voulons abandonner, quitter pour remettre en place dans une nouvelle civilisation humaniste et pacifiée, un mouvement spirituel aussi puissant et élevé qu’il fut dans la civilisation atlante puis égyptienne.
Au final notre rédaction utilise un bon nombre d’extraits selon notre plan thématique et non exclusivement chronologique. Résumer ces extraits selon notre propre rédaction, nous a rapidement par non pas impossible mais déplacé car comment raconter ces évènements et ces analyses avec d’autres mots aussi précis que l’auteur utilise et a travaillé longuement. Reprendre ces extraits, au contraire, comme pour Albert Slosman, nous permet de faire connaître Douglas REED et de respecter sa rédaction sans la transformer en un espèce de plagiat indécent. Finalement cette seconde partie du Chapitre Les théocraties et leurs dogmes religieux est un peu plus longue que la première.

Cette longueur est justifiée parce les évènements et les analyses des livres sacrés de la théocratie juive puis sioniste, conditionnent aujourd’hui toujours la culture occidentale judéo chrétienne musulmane et ses guerres, ses crises économiques récurrentes. Les Lévites de la tribu de Juda, exclue d’Israël dès les années mille avant notre ère ont poussé leurs phantasmes théocratiques jusqu’à prétendre que Yahvé n’avait pas réussi son œuvre à causes des peuples et des juifs qui ne suivaient pas strictement les commandements rédigés par ses Lévites. Ceux-ci devaient donc rédiger des Lois et des commandements d’orientation punitive et si possible très sévère (ou criminelle selon le côté où l’on se place). Ils sont prédestinés à gouverner le monde pour achever ainsi l’oeuvre de Yahvé.
Les élites dirigeantes de la tribu de Juda ont donc la mission de détruire les autres nations et les juifs qui refusent de suivre leurs commandement, de manière à établir à la fin de l’histoire humaine, le gouvernement mondial du seul peuple élu par Yahvé, les juifs de la Tribu du Juda et leurs descendants devenus sionistes.
Comme nous l’avons fait pour la civilisation atlante puis égyptienne, commençons par présenter le contexte historique dans lequel s’est développée la théocratie juive avec ses dogmes religieux.
Le développement d’Israël.
Le projet politique, économique, social et culturel de Moïse
L’objectif immédiat et premier fut réalisé : le groupe social que Moïse conduisit pour fuir l’esclavage et la persécution, a survécu à l’extermination décidée par Hatchepsout et Thoutmosis II.
Moïse, déjà fort avancé en âge, a su utiliser son expérience militaire et les campagnes militaires vers le pays de Sabaa auxquelles il avait participé pour réussir cet exode et surtout la traversée de la Mer Rouge. Mais ensuite ce fut très compliqué et très risqué.
Le contexte historique entre 1580 et 1200 avant notre ère dans cette région.
L’histoire de la XVIII dynastie commença en 1580 avec Amosis. Cette dynastie apporta de nombreux bouleversements en Égypte. Elle fut l’une des plus longues et des plus brillantes.
Amosis puis son successeur Thoutmôsis Ier conquièrent à nouveau les régions du Levant avec Byblos et le pays de Canaan puis ils mènent des expéditions jusqu’à l’Euphrate du nord pour surveiller l’expansion des peuples araméens et sémites des futures empires hittites, assyriens, babyloniens.
Thoutmôsis III, qui fut appelé « le Napoléon de l’Égypte antique » par l’égyptologue américain James Henry Breasted, reprend la politique de conquêtes de son père Thoutmôsis II et porte le Nouvel Empire à son apogée.
Le commerce avec Byblos, l’antique colonie célébrant le culte d’Osiris fondée par les Survivants du dernier grand Cataclysme, redevient prospère. Vers 1200, Byblos et Tyr vont fonder la colonie de Carthage et développer la civilisation phénicienne.
La région de Canaan comme celle du Levant n’auront plus une domination égyptienne vers 1200.
Les deux invasions des peuples de la Mer sèment le chaos jusque sur les bords du Nil.Les peuples de la mer mènent deux vagues d’assauts contre le Nord de l’Égypte : une première sous Mérenptah (1212 -1202) et une seconde sous Ramsès III (1184 – 1153); chaque tentative d’invasion se solde par un échec. Ces tentatives s’inscrivent dans une série d’attaques venues de l’extérieur auxquelles font face depuis plusieurs décennies les pharaons du Nouvel Empire égyptien, impliquant en particulier les Libyens venus du désert occidental, qui se mêlent à l’occasion à d’autres groupes qui semblent venus du monde égéen au sens large.
Revenons à l’histoire du groupe qui est sorti d’Égypte en 1500 avant notre ère.
Le groupe de Moïse composé des fidèles de Ptah persécutés par Thèbes avec son dieu Amon et composé aussi des tribus juives elles aussi mises en esclavage à ce moment là, vont passer environ quarante années dans le désert du Sinaï. La reine Hatchepsout a un règne de 23 ans et son fils Thoutmosis III (1481 – 1425 ) a un règne de 30 ans.
Après le décès de Thoutmosis II, Hatchepsout mène une politique de conciliation avec le clan d’Ousir et d’Horus. Elle fait restaurer le temple dédié à Horus à Bouhen, qui avait souffert de l’occupation des Hyksôs. Construit au nom du roi Thoutmosis III, la reine régente y est représentée habillée d’une longue robe fourreau, mais aussi vêtue d’un pagne pour accomplir la course de couronnement du souverain. Ce fut certainement le moment pour que les fidèles de Ptah rentrent discrètement chez eux. Ne resteraient plus auprès de Moïse que les tribus juives. Mais il y a une autre possibilité pour les égyptiens que de rentrer chez eux.
Albert Slosman dans son livre sur Moïse poursuit son hypothèse sur le monothéisme. Le grand prêtre de Ptah et le général candidat au poste de pharaon pour les fidèles de Ptah, est ainsi le relais spirituel entre la religion de Ptah et la nouvelle religion de Yahvé dont l’origine remonte à la rencontre, sur le mont Sinaï, de Moïse avec Yahvé puis à la rédaction des Dix Commandements par Moïse.
Slosman indique que Moïse reçut une éducation dans la Maison de Vie de Ptah, certainement à Thèbes sous Amosis. A-t-il reçu la plus haute initiation du temple de Dendérah situé en face de Thèbes ? Après la période de déclin suite à la prise du pouvoir par les Hyksos, nous n’avons pas trouvé une mention qu’ Amosis restaura le temple de Dendérah. Tous les travaux furent destinés à Amon. Hatchepsout, nous venons de le mentionner, a restauré un petit temple voué au culte d’Hor (Horus), ce qui reste insignifiant par rapport au temple de Dendérah et au culte de Nout, d’Iset et d’Ousir, sans oublier le culte de Ptah et l’observation des Combinaisons astrales.
Slosman décrit fort bien la question spirituelle qui poussa Moïse, visiblement pas initié à une rencontre directe avec les mystères de la Vie comme c’était le cas à Dendérah, à aller à la rencontre avec Ptah comme ce fut le cas pour Nout, Osiris, Iset et Nekbet, en se rendant dans le jardin secret au pied du sycomore.
Comme il n’y avait pas de sycomore, rencontrer dieu au sommet d’une haute montagne était et reste une coutume largement répandue chez d’autres peuples. Nous avons vu l’exemple du mont Cameroun lorsqu’il avait dix mille mètres d’altitude avant le dernier Grand Cataclysme puis quatre mille mètres après ce Cataclysme. Les peuples africains de cette région montaient au sommet pour dialoguer avec leurs dieux pour qu’ils interviennent en leurs faveurs ou qu’ils leur prodiguent des conseils avisés.
Sans approfondir cet évènement fondamental de la religion de Yahvé en reprenant les détails décrits par Albert Slosman, mais en utilisant nos connaissances de notre vécu spirituel, nous retenons que Moïse n’a pas présenté à son nouveau peuple, une rédaction de la Loi divine atlante puis égyptienne.
Une présentation sommaire mais exacte est possible : Le Créateur de toute Vie est présent à travers sa création et ainsi il vit dans toutes les espèces vivantes de la Nature, en particulier ses parcelles divines forment notre âme à notre naissance et nous relient à lui durant notre condition humaine sur Terre. Nous pouvons dialoguer avec lui qui vit en chacun d’entre nous en utilisant notre première source de Savoir, notre démarche personnelle initiatique spirituelle.
En principe cette Loi divine n’est pas écrite mais elle est transmise oralement. Elle devient plus claire et précise au cours de notre dialogue avec celui qui vit en nous et est le même en chacun d’entre nous. C’est pourquoi cette Loi divine ne peut pas être écrite, c’est à nous de la découvrir dans notre dialogue avec celui qui vit en nous et de la développer dans la Lumière de cette rencontre avec les mystères de la Vie.
Ensuite il y a les commandements qui découlent de cette Loi divine et qui, eux, peuvent être écrits.
Moïse les connaissaient mais dans ce peuple nouveau qui établissait une nouvelle Alliance avec Yahvé, il n’était pas possible de suivre l’observation des combinaisons astrales qui indiquent l’évolution de la Vie dans la Création. Le Cercle d’Or avait été mis en sécurité et enfoui sous les sables très rapidement. L’enseignement des Mathématiques célestes dans une Maison de Vie, restait possible mais pour les tribus juives comme pour les fidèles de Ptah qui n’avaient plus eu à leur disposition les enseignements du temple de Dendérah, la tâche était insurmontable et impossible à mener en si peu de temps dans ce contexte géopolitique tourmenté, sans oublier les menaces de mort que représentait la capture de ce peuple nouveau par les fanatiques religieux d’Amon puis d’Aton.
Slosman comme la plupart des auteurs sur cette question, admettent que Moïse a utilisé son savoir de grand prêtre de Ptah pour rédiger les Dix Commandements, certainement à partir des rouleaux de papyrus et des textes sacrés qu’ils contenaient et qu’il avait pris soin d’emporter avec lui.
La Terre Promise du nouveau peuple de Yahvé
En Ahâ-Men-Ptah, avant le jour prévu pour la destruction de leur continent, les dirigeants avaient choisi le lieu pour installer une nouvelle civilisation et des expéditions maritimes ont été reconnaître et préparer cette nouvelle terre qu’ils s’étaient promis pour faire renaître le deuxième « Cœur » de leur alliance avec Ptah, le Créateur de toute Vie. Très vite, les Survivants depuis Ta Mana, avec l’aide des marins atlantes qui naviguaient ailleurs, ont été visité cette terre promise et ils ont construit un temple pour Ptah gardé par un sphinx imposant. Les pluies diluviennes continuaient à se déverser et la région de la vallée du Nil transformée par le cataclysme n’était pas encore prête pour les accueillir.
Pour Moïse et son nouveau peuple, avant de quitter l’Égypte, le choix de la région de Canaan s’imposa comme nouvelle terre promise.
Abraham arriva en Égypte vers 1900. En 1768, il y a l’arrivée de Joseph dans la tribu des juifs durant le règne d’Apophis 1 (1783-1750). La descendance de Jacob a vécu en Égypte, jusqu’à l’époque de Moïse. Abraham quitta la ville d’Ur, à l’embouchure de l’Euphrate, pour s’installer dans le pays de Canaan puis en Égypte. Revenir en Canaan pour les tribus juives ne posa donc pas de difficulté.
Pour les fidèles de Ptah, l’intérêt de cette région était Byblos, première colonie atlante visitée par les Survivants sur leur chemin vers la vallée du Nil. Byblos et sa région avec ses forêts apportaient le bois qui manquait sur les bords du Nil ainsi que la nourriture abondante pour se ravitailler. Byblos fut la colonie qui célébra dès son origine le culte d’Osiris. Grande amie de l’Égypte, ses marins parcouraient la Méditerranée, la Mer Noire et l’Océan atlantique. Ses caravanes suivaient l’ancienne route de la soie jusqu’en Chine.
Moïse, à travers ce choix de leur terre promise, permettait ainsi au nouveau peuple de Yahvé de poursuivre l’oeuvre millénaire des descendants des Survivants d’Ahâ-Men-Ptah. Leur nouvelle alliance avec le Créateur Ptah-Yahvé pouvait être apportée, partagée avec les autres peuples de la Terre. Les dirigeants égyptiens, tout comme Moïse, ont su dès l’origine de leur civilisation, qu’un jour les autres peuples seraient plus nombreux qu’eux et qu’ils posséderaient également les principales technologies pour fonder des empires militaires puissants.
Moïse donna à son nouveau peuple la mission de traverser ces bouleversements politiques, économiques, sociaux et culturels en s’associant avec les peuples les plus capables de fonder une nouvelle civilisation pour perpétuer le but essentiel de la civilisation atlante puis égyptienne.
Byblos, entre 1 500 et 1 200 avant notre ère, se développa grâce à son commerce avec l’Égypte et avec l’Orient et l’Asie. A partir de 1 200, la région du Levant devint la civilisation de la Phénicie et elle fonda la colonie de Carthage destinée à prendre la relève.
Albert Slosman, dans son récit de la vie de Moïse, indique que le vieux patriarche décida de mourir seul au sommet du mont Nébo. Certes, il ne pouvait pas prendre le risque de s’installer à Byblos. Il aurait été reconnu par les égyptiens adorateurs d’Amon puis d’Aton. Mais son peuple avait gagné la terre promise : les fidèles de Ptah allèrent certainement rejoindre Byblos pour participer à son développement. De Byblos, ils pouvaient s’embarquer avec les navires vers d’autres destinations ou bien poursuivre leur route terrestre autour de la Méditerranée ou encore suivre la route de la soie vers l’Asie. C’est finalement la solution que prirent les membres restés en Canaan, des dix tribus d’Israël au moment de l’invasion assyrienne en 722 avant notre ère.
Les tribus juives de Juda s’installèrent plus au sud, dans la région entre la mer et le fleuve Jourdain, la Palestine.
L’histoire d’Israël et de ses voisins.
Le nom d’« Israël » apparaît pour la première fois sur un document égyptien, la stèle de Mernephta, en 1208 avant notre ère.
Les Hébreux étaient un peuple de paysans et de bergers d’origine cananéenne, qui s’installèrent dans les régions montagneuses situées de part et d’autre du Jourdain dans le courant du XIIe siècle, pendant et après l’occupation de la province de Canaan par les Égyptiens, et qui y constituèrent des tribus, puis des royaumes.
Pour Israël, on distingue plusieurs périodes :
le temps des Juges (1150-1000), celui de la naissance de la monarchie (1000-930 : les rois David et Salomon) et celui des royaumes séparés d’Israël au Nord (jusqu’en 720) et de Juda au Sud (jusqu’en 587/586).
La monarchie.
De 1010 à 970 av. J.-C., David est roi des 12 tribus d’Israël après la mort de Saül. Il est lui-même issu de la tribu de Juda. Son long règne permet, au prix de nombreuses guerres, d’agrandir le royaume, de le pacifier et de conquérir la ville dont il fait sa capitale: Jérusalem (plus exactement la « cité de David »). L’arche d’alliance y est transportée, mais il n’est pas autorisé à construire le Temple de Jérusalem qu’il souhaite dédier à Dieu.
Conventionnellement, le règne de Salomon s’étend de 970 à 931 av. J.-C.
De 970 à 931 av. J.-C., Salomon, fils de David, est roi d’Israël après une période de luttes entre les nombreux descendants de David. La cérémonie d’investiture de Salomon est préparée par son père qui l’a choisi parmi ses fils. Salomon amène le royaume à son apogée dans tous les domaines. Le pays s’enrichit par les échanges régionaux. Sur le plan religieux, Salomon construit le premier Temple de Jérusalem, dit Temple de Salomon : sa construction dure sept ans, sous la forme rectangulaire de 50 m sur 30 m environ. Hiram Ier, roi de Tyr (dans l’actuel Liban) et ami de Salomon, fournit les ouvriers et le cèdre. Vers la fin de son règne, le peuple reproche à Salomon de percevoir des impôts trop lourds.
Le roi de Tyr Hiram Ier envoie du bois, des architectes et des maçons à Salomon pour l’aider à la construction du Temple. Il lui envoie notamment un talentueux artisan : Hiram. Cet artisan moule et dresse les deux colonnes Jakin et Boaz avec leur chapiteau (Jakin ou Jachin, la colonne de droite, et Boaz ou Bohaz, celle de gauche) près du vestibule du Temple, et conçoit une mer d’airain (vasque circulaire) de dix coudées (4,5 m) qui repose sur douze bœufs de bronze, des chaudrons et des calices.
Nous avons ainsi une preuve historique des liens étroits entre les villes portuaires phéniciennes de Byblos et de Tyr et Israël.
Selon le Premier Livre des Rois chapitre 14, vers 927/926 av. J.-C., le pharaon égyptien Sheshonq Ier « prit les trésors de la maison de l’Éternel et les trésors de la maison du roi, il prit tout. Il prit tous les boucliers d’or que Salomon avait faits ».
La description d’un grand royaume unifié résulte d’une construction théologique de l’historiographie deutéronomiste : dès lors que le royaume respecte l’alliance avec le dieu d’Israël, il est victorieux, uni et prospère. À l’inverse, la division entre les royaumes d’Israël et de Juda est perçue comme un déclin consécutif de l’infidélité.
Les royaumes séparés d’Israël au Nord (jusqu’en 720) et de Juda au Sud (jusqu’en 587/586).
Selon la tradition biblique, après la mort de Salomon, vers le milieu du 10ème siècle avant notre ère, son royaume est divisé en deux [1 Rois 12].
Au nord le royaume d’Israël, centré sur dix tribus et sa capitale, Samarie, et au sud le royaume de Juda, centré sur deux tribus (Benjamin, Juda et une partie des Lévites) et sa capitale Jérusalem.
Les dix tribus du Nord sont en fait 11 : Ruben, Siméon, Issacar, Zabulon, Dan, Nephthali, Gad, Asher, les deux demi-tribus issues de Joseph : Manassé et Éphraïm, et une partie de la Tribu de Lévi (tribu sacerdotale sans territoire).
La tribu de Lévi est strictement dédiée au service de Dieu et du Temple de Jérusalem ; elle a la particularité de ne posséder aucune région en terre d’Israël mais des villes dispersées dans le territoire. Ainsi les Lévites détenaient 48 villes du royaume d’Israël sur lequel ils exerçaient un pouvoir administratif et politique.
Les lévites avaient la responsabilité de chanter et jouer de la musique dans le temple
Au sud, autour de Jérusalem, se maintient le royaume de Juda.
Les lévites présents dans la tribu de Juda s’étaient emparés du pouvoir pour placer David puis son fils Salomon sur le trône du premier royaume unifié d’Israël. En réaction, les 11 tribus du Nord décident d’exclure la tribu de Juda d’Israël dès les années 1 000 avant notre ère. Cette exclusion sera définitive.
La Bible décrit les relations entre ces deux royaumes comme conflictuelles, tout comme celles qu’ils entretiennent avec les nations voisines, Araméens au nord, Ammonites, Moabites et Édomites à l’est et au sud, ou encore Philistins au sud-ouest.
Mais à partir du 9ème siècle, pour Israël, Juda et leurs voisins, la grande menace est celle de l’empire néo-assyrien.
Sous le règne d’Assurnasirpal II [883-859 avant notre ère], la domination néo-assyrienne s’étend jusqu’en Phénicie ; les villes de Tyr et Sidon lui payent le tribut.
La menace se précise sous le règne de Tiglath-Pileser III, connu dans la Bible sous le nom de Poul. D’après le texte biblique [2 Rois 15, 19], le roi d’Israël réussit dans un premier temps à écarter le danger en offrant mille talents d’argent au roi assyrien. Mais Achaz, roi de Juda qui est menacé par une alliance entre le royaume d’Israël et le royaume de Damas, sollicite alors l’intervention de Tiglath-Pileser en lui offrant à son tour des présents. [2 Rois 16, 7-8]
Une première province assyrienne est alors créée dans la partie nord du royaume d’Israël.
En 722 avant notre ère, les Assyriens envahissent Israël :
Tandis que les Assyriens n’ont pratiquement plus de rivales, le roi Salmanazar V envahit et détruit le royaume d’Israël.
En 722 avant notre ère, tandis qu’Osée est roi d’Israël, une nouvelle campagne assyrienne est menée. Elle conduit à la destruction du royaume d’Israël, à la déportation de la population et à la création de la province assyrienne de Samarie.
À la suite de l’invasion qui culmine par la première destruction du Temple, la tribu de Dan disparaît, ou du moins perd définitivement son territoire. La réorganisation territoriale qui suit la reconstruction du Temple ne repose plus effectivement sur la répartition en douze tribus. Parmi les onze tribus restantes, Juda se constitue en royaume propre, le royaume de Juda. Démographiquement affaiblies, les dix autres tribus, appelés les dix tribus perdues d’Israël, se réunissent en un royaume situé au nord du royaume de Juda, le royaume de Samarie.
Cette population migra vers Jérusalem en 721. Les réfugiés du royaume du Nord affluent en Juda. La population du royaume de Juda double en deux décennies alors que parallèlement, la région comprise entre Samarie et Jérusalem voit sa population décroître
Vingt ans plus tard les Assyriens menacent Juda (c’est le règne d’Ézéchias). Cette population fuit alors vers l’Est en direction de Palmyre ou Tadmur. A lieu alors une coexistence dans un contexte araméen avec une population babylonienne. Vers 600, ces populations quittent Palmyre pour aller en Égypte en raison de la menace babylonienne. D’autres populations trouvent refuge en Égypte. Les araméens de Samarie se rendent sur Éléphantine. La cohabitation en Égypte explique les différentes sections par origine dans le papyrus Amherts.
Le royaume de Juda échappe quant à lui à l’anéantissement.
Mais une vingtaine d’années plus tard, le roi assyrien Sennachérib qui a entrepris de mater une révolte en Phénicie et en Philistie soupçonne également Ezéchias, roi de Juda, de rébellion pour avoir cherché à se rapprocher des Égyptiens.
Au cours de l’année 701 avant notre ère, Sennachérib attaque « toutes les villes fortifiées de Juda » dit la Bible [2 Rois 18, 13]. De leur côté, les annales assyriennes rapportent la conquête de 46 villes mais n’en donnent pas la liste. Les fouilles archéologiques montrent qu’effectivement, de nombreux sites en Judée ont été détruits à la fin du 8ème siècle avant notre ère. Les sources littéraires, quant à elles, mentionnent le siège de villes comme Lakish, Libna ou Jérusalem.
À Lakish, la rampe d’accès érigée par les Assyriens est encore visible. Surtout, les vestiges archéologiques correspondent à la représentation du siège de la ville sur les bas-reliefs du palais de Sennachérib à Ninive. Lakish fut prise et la population, déportée.
À l’inverse, le siège de Jérusalem, mentionné tant dans les annales assyriennes que dans la Bible, semble s’être soldé par un semi-échec pour l’armée assyrienne, qui est repartie sans avoir pris la ville. Le roi Ezéchias a dû néanmoins verser un lourd tribut.
Vers 700-600 avant notre ère, les Assyriens envahissent l’Égypte :
Les Assyriens pillent Thèbes et ses grands temples. Ils s’installent à Memphis et repoussent les Koushites en Nubie. Les Égyptiens sont profondément blessés par cette invasion
Vers 663 avant notre ère L’Empire assyrien est à son apogée :
L’Empire assyrien devient trop vaste pour être contrôlable et des soulèvements commencent à le morceler. C’est le déclin de la civilisation assyrienne.
Babylone,
2000 av. J.-C. Babylone, la Porte des dieux
Vers 2000 av. J.-C., en Mésopotamie, l’effondrement des cités sumériennes – Our en particulier – ouvre la voie à de petits royaumes indépendants. L’un d’eux va connaître un destin exceptionnel. Il s’organise autour de la cité de Babylone, dans une région appelée Babylonie (plus tard Chaldée), qui occupe l’ancien pays d’Akkad.
Une ville d’exception
Les habitants de cette région parlent l’akkadien (ou le chaldéen). Comme toutes les langues de la famille sémitique, l’akkadien se reconnaît à la racine El ou Balqui désigne la divinité. On en suit la trace de l’Arabie (Allah) à Carthage (Hanni bal) en passant par la Phénicie, la Palestine et bien sûr la Chaldée.
Dans cette langue, le nom même de Babylone signifie « porte des dieux » (de Bab, porte, et El, Dieu). Autant dire que cette ville est dès sa création vouée à un destin exceptionnel ! Effectivement, pendant une quinzaine de siècles, jusqu’à sa conquête par Cyrus le Grand (539 av. J.-C.), elle va rayonner sur le Moyen-Orient avec un prestige comparable à celui de Paris aujourd’hui.
La ville atteint son apogée sous le règne du roi Hammourabi (1792 à 1750 av. J.-C.), sixième souverain de la dynastie amorrite.
Ce premier empire babylonien est ruiné vers 1595 av. J.-C. par les Hittites sous la conduite de leur roi Mursili.
Les Hittites, nouveaux venus au Moyen-Orient, sont un peuple de langue indo-européenne établi au coeur de la Turquie actuelle en un royaume du nom de Hatti. Leur capitale est Hattousa. Ils ont l’avantage sur leurs voisins de maîtriser la métallurgie du fer et non plus seulement du bronze. Leur armement s’avère plus résistant et c’est ainsi qu’ils abattent l’empire babylonien.
Les Hittites portent par ailleurs des coups mortels à une puissance apparue sur le cours supérieur de l’Euphrate le Mitanni. L’affaiblissement du Mitanni favorise l’éveil d’un peuple rude et pauvre des confins montagneux de la Mésopotamie, les Assyriens.
Les Assyriens ont même culture que les Babyloniens et comme eux, parlent l’akkadien, une langue sémitique. Ils envient le raffinement de leurs cousins du sud mais sont eux-mêmes plus brutaux et plus rustres.
Le Ier millénaire av. J.-C. débute par des périodes très difficiles, qui se prolongent dans les guerres provoquées par les tentatives de domination des rois assyriens sur la Babylonie. Ceux-ci sont finalement vaincus par les rois Nabopolassar et Nabuchodonosor II, qui fondent le puissant empire « néo-babylonien » (626-539 av. J.-C.) et entreprennent les chantiers qui font de Babylone la ville la plus prestigieuse de son temps.
La déportation des Juifs à Babylone, entre 597 et 538
En 597, Sédecias, roi de Juda, demanda au pharaon de lui envoyer son armée pour combattre Nabuchodonosor en Syrie.
Mais ce fut un grave échec, car des deux côtés se trouvaient des mercenaires grecs. Aussi quand l’armée se retira pour rejoindre la base égyptienne, Jérusalem fut prise et mise à sac. Le prophète Jérémie était parti avec les troupes d’Apriés et il resta en Égypte où il fut accueilli fraternellement.» C’est la déportation des Juifs à Babylone, entre 597 et 538.
Document :
Selon le Livre de Jérémie, la déportation des Judéens s’est faite en trois fois (Jérémie 52,28-30). La première au temps de Joaquin (597 av. J.-C.), à la suite de la défaite du royaume de Juda face à Nabuchodonosor II ; le Temple de Jérusalem est alors partiellement dépouillé et la majorité des citoyens emmenés. Onze ans plus tard, en 587 av. J.-C., après une révolte contre l’Empire néo-babylonien sous le règne de Sédécias, la ville est entièrement rasée et une nouvelle déportation, moins importante, s’ensuit. Finalement, Jérémie fait état d’un troisième exil cinq ans plus tard, soit en 582 av. J.-C.
Jérémie 44/15s. met en scène l’exil de Jérémie emmené de force en Égypte. Avec son groupe de judéens il s’installe à Patros, en Haute Égypte. Ce passage biblique atteste un culte à la reine du ciel, une pratique contraire à ce que prône le code deutéronomique dont Jérémie est proche.
Cette déportation à Babylone intervient donc 125 ans après celle menée par les assyriens sur la population d’Israël et 104 ans après la conquête par les assyriens de la plupart des villes de Juda sauf Jérusalem qui a su résister.
En 539 avant JC, Cyrus le Grand, Roi des Perses et des Mèdes, s’empare de toute la Mésopotamie, y compris de la prestigieuse Babylone, réduite désormais à n’être plus qu’une ville provinciale. Il délivre au passage les Hébreux en -538 et autorise la reconstruction de l’édifice donnant ainsi naissance au second temple de Jérusalem.
Babylone reprend espoir avec l’irruption d’Alexandre le Grand. Le conquérant macédonien entre dans la ville en 331 av. J.-C. et songe à en faire la capitale de son empire, unissant l’Orient perse et l’Occident héllénique. Il engage de grands travaux dans la cité et restaure le magnifique temple consacré à Mardouk, le dieu de Babylone. Malheureusement, Alexandre ne revient à Babylone huit ans plus tard que pour y mourir.
Nous terminons ici la présentation du contexte historique d’Israël et du royaume de Juda. Plus de mille ans se sont écoulés depuis la sortie d’Égypte conduite par Moïse jusqu’au retour des captifs de Babylone. Il reste environ cinq siècles avant la destruction de Jérusalem par les romains.
Nous reviendrons sur cette histoire à travers l’analyse des livres sur lesquels repose la religion juive.
La Théocratie juive de la tribu de Juda
L’origine du système théocratique juif
Lors du partage de la terre promise, Moïse décida que la tribu de Lévi aura la charge des offices religieux et de l’enseignement de la religion de Yahvé. Elle n’a pas de territoire mais elle est présente dans toutes les autres tribus d’Israël. En compensation, elle reçoit l’administration de plusieurs villes.
Cette organisation politique se fonde sur le modèle égyptien de la fédération avec des régions qui se gouvernent directement pour assurer la vie sociale et économique.
En Égypte, le culte religieux se déroulait dans des temples consacrés à une divinité, sachant que les dirigeants atlantes parmi les Survivants comme Nout, Ousir, Iset, Nekbet, Sit, Hor, ont eu le statut de dieu. Le développement spirituel fut assuré par le premier temple construit dès l’arrivée sur les bords du Nil, le temple de Dendérah qui comprenait à proximité le Cercle d’Or pour le suivi des Combinaisons astrales.
Moïse ne pouvait pas reproduire cette organisation et pour garder cette délégation de la religion dans une institution centrale, il mit sur pied cette répartition de la tribu de Lévi dans chacune des autres tribus d’Israël.
Ce nouveau modèle d’organisation administrative en réseaux, se retrouve plus tard par exemple dans la Grande Loi qui lie les nations iroquoises. La tribu Onogonda est chargé de résoudre les litiges, selon le principe judiciaire tripartite, et elle a la charge de la conservation de la jurisprudence pour venir en aide lors de conflits dans les nations iroquoises.Les parties prenantes à un litige se déplaçaient chez les Onogonda qui les hébergeaient et les instruisaient dans la recherche de la solution optimale pour résoudre leur litige. Nous retrouvons ici la pratique de la subsidiarité pour obtenir la solution optimale et ensuite l’adapter aux particularités locales.
Le premier royaume d’Israël est organisé de cette manière mais les Lévites de Juda s’emparent du pouvoir pour nommer le roi David puis le roi Salomon.
Après les deux invasions et les deux déportations, assyrienne puis babylonienne, seul le royaume de Juda autour de Jérusalem est capable de reprendre la suite de l’histoire du peuple juif. Ce sont donc les lévites de la Tribu de Lévi présents dans le royaume de Juda, qui décident de rédiger les livres sur lesquels reposera la théocratie juive.
Les lévites défendent leur prise du pouvoir et la source spirituelle de savoir est interdite par les textes religieux : seuls sont prévus une simple étude des livres religieux et une discussion sur leurs interprétation, d’où l’importance déterminante que prendra le Talmud.
Nous abordons un sujet très controversé puisque cette histoire de la tribu de Juda qui a donné son nom au peuple juif, est la seule à avoir été conservée par écrit et elle a servi de fondement à l’Ancien Testament. Puis, lorsque la Bible a été remaniée spécialement par la papauté de Rome , certains aspects du Deutéronome ont été conservés et appliqués pour détruire les autels et les lieux de cultes, les écrits des païens, y compris par deux fois la bibliothèque d’Alexandrie incendiée par des évêques chrétiens (la première fois ce fut par les légions romaines de Jules César).
Nous utilisons des extraits du livre La controverse de Sion de Douglas REED, pour décrire comment ce dogme de la prédestination des élites et du peuple élu a été mis en place.
La rédaction du Deutéronome
Document : extraits
L’étude de centaines de volumes, pendant de nombreuses années, a graduellement amené la réalisation que la vérité essentielle de l’histoire de Sion est entièrement résumée dans les vingt-cinq mots de M. Maurice Samuel : « Nous les juifs, les destructeurs, resteront les destructeurs à jamais … rien de ce que les gentils feront ne répondra à nos besoins et nos exigences ».
À la première écoute, ces paroles semblent orgueilleuses ou névrotiques, mais en accroissant la connaissance du sujet, elles s’avèrent avoir été prononcées dans une intention honnête et choisies avec attention. Elles signifient qu’un homme qui est né juif et continue de l’être acquiert une mission destructrice qu’il ne peut éviter. S’il dévie de cette « Loi », il n’est pas un bon juif, aux yeux des sages ; s’il souhaite ou qu’on l’oblige à être un bon juif, il doit s’y conformer.
C’est la raison pour laquelle le rôle joué par ceux qui dirigèrent « les juifs » dans l’Histoire était voué à être destructeur ; et pour notre génération du XXe siècle, la mission destructrice a atteint sa force la plus grande, avec des résultats qu’on ne peut même pas encore totalement prédire.
Ceci n’est pas une opinion de l’auteur. Les scribes sionistes, les rabbins apostats et les historiens gentils s’accordent sur l’objectif destructeur ; il n’est pas contesté parmi les chercheurs sérieux et est probablement le seul point sur lequel l’accord est unanime.
L’Histoire entière est présentée au juif en ces termes : la destruction est la condition de l’accomplissement de la Loi judaïque et de l’ultime triomphe juif.
…/… C’était le genre de perversion que Jésus attaquait : « enseigner comme doctrine des commandements d’hommes ».
Source : La Controverse de Sion, Douglas Reed, ch 17
Document, extrais :
Le Deutéronome est au judaïsme et au sionisme officiels ce que le Manifeste communiste fut à la révolution destructrice de notre siècle. Il est le fondement de la Torah (« la Loi ») contenue dans le Pentateuque, qui lui-même forme la matière première du Talmud, qui donna naissance aux « commentaires » et aux commentaires-des-commentaires qui ensemble constituent la « loi » judaïque.
Par conséquent, le Deutéronome est aussi la base du programme politique de domination mondiale sur les nations spoliées et asservies, programme qui fut largement réalisé en Occident durant ce XXe siècle. Le Deutéronome est en rapport direct avec les événements actuels, et beaucoup de la confusion qui entoure ces événements se dissipe si on les étudie à sa lumière.
Avant que le Deutéronome ne soit compilé, seule la « tradition orale » des paroles de Dieu à Moïse existait. Les Lévites prétendaient être les gardiens consacrés de cette tradition et les tribus devaient les croire sur parole (leur prétentions à cet égard provoquaient particulièrement la colère des « prophètes » israélites). Si quoi que ce soit avait été rédigé avant qu’on ait lu le Deutéronome, de tels manuscrits étaient fragmentaires et sous la garde des prêtres, et aussi peu connus des membres des tribus que les poète grecs ne le sont des paysans des collines du Kentucky aujourd’hui.
De manière significative, le Deutéronome qui apparaît en tant que cinquième livre de la Bible actuelle, avec l’air d’être naturellement issu des livres précédents, fut le premier livre à être terminé en entier. Même si la Genèse et l’Exode fournissent un contexte historique et l’accentuent, ils furent rédigés plus tard par les Lévites, et le Lévitique et les Nombres, les autres livres de la Torah, furent compilés encore plus tard.
Le Deutéronome prenait le contre-pied de la tradition ancienne, si celle-ci était en accord avec les commandements moraux. Toutefois, les Lévites étaient dans leur droit auto-accordé de faire tous les changements qu’ils souhaitaient, car ils déclaraient qu’ils pouvaient, par autorisation divine, modifier la Loi telle que révélée oralement par Dieu à Moïse, afin de répondre aux « conditions d’existence en perpétuelle évolution, dans l’esprit de l’enseignement traditionnel » (le Dr Kastein).
À cet égard, ils prétendaient aussi que Moïse avait reçu au Mont Sinaï une Torah orale secrète, qui ne devait jamais être consignée par écrit. Au vu de l’inclusion postérieure de l’Ancien Testament en un seul volume avec le Nouveau Testament chrétien, et la supposition du gentil (1) moyen qu’il a donc devant lui la « loi mosaïque » dans son intégralité, ce qualificatif est définitivement intéressant.
Le Talmud, tel que cité par le Dr Funk, dit : « Dieu a prévu qu’un jour viendrait où les païens s’empareraient de la Torah et diraient à Israël, “Nous aussi sommes fils de Dieu”. Alors l’Éternel dira : “Seul celui qui connaît mes secrets est mon fils”. Et quels sont les secrets de Dieu ? Les enseignements oraux ».
On dit aux quelques personnes qui entendirent le Deutéronome tel que lu en 621 av. J.-C., et qui ensuite apprirent les premiers ce que serait « la loi mosaïque », que les manuscrits avaient été « découverts ». Les autorités judaïstes actuelles rejettent cela et s’accordent sur le fait que le Deutéronome fut l’œuvre indépendante des Lévites dans la Juda isolée après le rejet de Juda par les Israélites et la conquête d’Israël. Le Dr Kastein explique l’affaire ainsi :
« En 621 av. J.-C., un manuscrit recouvert par la poussière des siècles fut découvert parmi les archives. Il contenait une étrange version des lois qui avaient été codifiées jusqu’alors, une sorte de répétition et de variation de ces lois, donnant une foule d’instructions concernant le devoir de l’homme envers Dieu et envers son prochain. Il était rédigé sous la forme de discours censés avoir été délivrés à Moïse juste avant sa mort de l’autre côté du Jourdain. Qui en était l’auteur, cela est impossible à dire ».
Ainsi, le Dr Kastein, un zélote en attente de l’accomplissement littéral de « la loi mosaïque » dans chaque détail, ne croit pas que son auteur fût Jéhovah ou Moïse. Cela lui suffit qu’elle fût produite par les prêtres législateurs, qui pour lui sont l’autorité divine.
Nul aujourd’hui ne peut dire jusqu’à quel point le Deutéronome tel que nous le connaissons ressemble au Deutéronome tel qu’il fut lu en 621 av. J.-C., car les livres de l’Ancien Testament furent sans cesse modifiés jusqu’à l’époque de la première traduction, où d’autres modifications diverses furent faites, sans doute pour éviter une agitation excessive parmi les gentils. Nul doute que quelque chose fut supprimé alors, si bien que le Deutéronome dans sa forme originelle devait être vraiment violent, car ce qui demeure est déjà bien assez brutal.
L’intolérance religieuse est la base de cette « seconde Loi » (l’intolérance raciale allait suivre plus tard, dans une autre « nouvelle Loi »), et le meurtre au nom de la religion est son principe caractéristique. Cela nécessite la destruction des Commandements moraux, qui sont en fait mis en place pour mieux être démolis. Seulement ceux se rapportant à la vénération exclusive du Jéhovah « jaloux » sont laissés intacts.
Les autres sont enterrés sous un grand monticule de « lois et jugements » (règlements institués pour ainsi dire sous une Loi dirigeante) qui les annulent de fait.
Ainsi, les commandements moraux contre le meurtre, le vol, l’adultère, la convoitise, la haine du prochain et autres du même genre, sont-ils viciés par une multitude de « lois » enjoignant expressément à massacrer les autres peuples, assassiner les apostats individuellement ou communautairement, prendre des concubines parmi les femmes captives, « détruire totalement » en ne laissant « rien en vie », « exclure l’étranger » de la remise de dettes, et autres exemples du même acabit.
Quand on arrive à la fin du Deutéronome, les commandements moraux ont été invalidés de cette manière, dans le but d’installer, sous l’apparence d’une religion, l’idée politique grandiloquente d’un peuple envoyé spécialement dans le monde pour détruire et « posséder » les autres peuples et pour dominer la Terre. L’idée de destruction est essentielle au Deutéronome. Si elle est enlevée, nul Deutéronome, ou loi mosaïque, ne subsiste.
Le Deutéronome est avant tout un programme politique complet : l’histoire de la planète, créée par Jéhovah pour ce « peuple spécial », doit se terminer par le triomphe de ce peuple et la ruine de tous les autres. Les récompenses offertes aux fidèles sont exclusivement matérielles : massacres, esclaves, femmes, butins, terres, empires. La seule condition imposée pour ces récompenses est l’observance des « lois et jugements » qui commandent essentiellement la destruction des autres. La seule culpabilité définie réside dans la non-observance de ces lois. L’intolérance est spécifiée en tant qu’observance, la tolérance en tant que non-observance — par conséquent, culpabilité. Les châtiments prescrits sont de ce monde et matériels, non spirituels. La conduite morale, pour peu qu’elle soit exigée, est requise uniquement envers les coreligionnaires, et les « étrangers » en sont exclus.
Cette forme unique de nationalisme fut présentée pour la première fois aux Judaïtes dans le Deutéronome, en tant que « Loi » de Jéhovah et parole littérale, adressée par ce dernier à Moïse. La notion de domination mondiale par la destruction est introduite au début (chapitre 2) de ces « discours censés avoir été délivrés » par un Moïse agonisant :
« L’Éternel m’adressa la parole, et dit … À partir d’aujourd’hui, je répandrai la terreur et la crainte de toi parmi les peuples qui sont sous tous les cieux, qui entendront parler de toi, et trembleront, et seront dans l’angoisse à cause de toi ». En témoignage de cela, le destin de deux peuples est en même temps montré. Le roi de Sihon et le roi de Bashân « sorti[ren]t se battre contre nous, lui et tout son peuple », sur quoi ils furent « totalement détruits, les hommes et les femmes et les petits enfants », seul le bétail fut épargné et « le butin » emporté « en guise de proie pour nous » (l’insistance sur la destruction totale est un thème récurrent et significatif de ces anecdotes illustratives).
Ces premiers exemples du pouvoir de Jéhovah à détruire les païens sont suivis par le premier des nombreux avertissements stipulant qu’à moins que « les lois et jugements » ne soient observés, Jéhovah punira son peuple spécial en le dispersant parmi les païens. L’énumération de ces « lois et jugements » suit les Commandements, dont la validité morale est détruite en même temps par une promesse de massacre tribal :
« Sept nations plus grandes et plus puissantes que toi » doivent être livrées aux mains des Judaïtes, et : « Tu les détruiras entièrement ; tu ne feras aucune alliance avec elles, et tu ne leur montreras aucune pitié … tu détruiras leurs autels … car tu es un peuple saint pour l’Éternel ton Dieu ; l’Éternel ton Dieu t’a choisi pour que tu sois un peuple spécial à ses yeux, entre tous les peuples qui sont sur la surface de la terre … Tu seras béni entre tous les peuples … Et tu consumeras tous les peuples que l’Éternel ton Dieu te livrera ; tes yeux seront sans pitié envers eux … l’Éternel ton Dieu enverra les frelons contre eux, jusqu’à ce que ceux qui restent et qui se cachent de toi, soient détruits … Et l’Éternel ton Dieu expulsera ces nations devant toi petit à petit …Mais l’Éternel ton Dieu te les livrera, et les détruira par une destruction puissante jusqu’à ce qu’il soient détruits … Et il livrera leurs rois entre tes mains, et tu détruiras leur nom de dessous les cieux ; aucun homme ne sera capable de se tenir devant toi, jusqu’à ce que tu l’aies détruit … »
Les incitations et la séduction du Deutéronome continuent : « … Va prendre possession des nations plus grandes et plus puissantes que toi … l’Éternel ton Dieu ira lui-même devant toi ; tel un feu dévorant il les détruira, et il les terrassera devant toi ; alors tu les chasseras, et les détruiras promptement, comme l’Éternel te l’a dit … Car si tu observes avec zèle tous ces commandements que je t’ordonne … alors l’Éternel chassera devant toi toutes ces nations, et tu posséderas des nations plus grandes et plus puissantes que toi-même … même les côtes de la mer occidentale seront tiennes.
Aucun homme ne sera capable de se tenir devant toi : car l’Éternel ton Dieu répandra la crainte et la terreur de toi sur toute terre que tu fouleras … »
« Et l’Éternel te dispersera parmi tous les peuples, d’un bout à l’autre de la terre … et parmi ces nations, tu ne trouveras aucun réconfort, et la plante de ton pied ne trouvera pas le repos … »
Le Deutéronome emploie ce double langage — pour utiliser un idiome moderne — d’un bout à l’autre : l’Éternel prive le peuple spécial de foyer, et le met parmi les païens,à cause de ses transgressions ; les païens,qui ne sont à blâmer ni pour cet exil ni pour ces transgressions, sont ses « persécuteurs » ; par conséquent, les païens seront détruits.
On comprend mieux l’attitude judaïste envers le reste de l’humanité, la création et l’univers en général, quand on considère ce point et les passages qui s’y rapportent — tout particulièrement la plainte constante que les juifs sont « persécutés » partout, plainte qui dans une tonalité ou dans une autre se retrouve dans quasi toute la littérature juive. Pour quiconque acceptant ce livre comme la Loi, la simple existence des autres est en fait persécution ; le Deutéronome laisse clairement entendre cela.
Le juif le plus nationaliste et le juif le plus éclairé s’accordent souvent sur une chose : ils ne peuvent réellement considérer le monde et ses affaires que sous un angle juif, et vu de cet angle, « l’étranger » semble insignifiant. Ils le pensent, donc c’est vrai ; ceci est l’héritage de vingt-cinq siècles de pensée juive ; même les juifs qui se rendent compte de l’hérésie ou de l’illusion ne sont pas toujours capables de se défaire totalement de ce cauchemar jeté sur leurs esprits et leurs âmes.
…/…
Cette acceptation inconditionnelle couvre la totalité du contenu de l’Ancien Testament et pourrait être la source originelle de beaucoup de confusion au sein des églises chrétiennes et de beaucoup d’affolement parmi les masses qui recherchent le christianisme, car le dogme exige la croyance simultanée en des choses contraires. Comment le même Dieu, par commandement à Moïse, peut-il avoir ordonné aux hommes d’aimer leur prochain et de « détruire totalement » leur prochain ? Quel rapport peut-il y avoir entre le Dieu universel et aimant de la révélation chrétienne et la divinité maudissante du Deutéronome ?
Mais si en réalité, tout l’Ancien Testament — y compris ces commandements ainsi que d’autres — est « d’autorité divine égale » au Nouveau Testament, alors l’Occidental d’aujourd’hui a le droit de l’invoquer pour justifier les actes par lesquels la chrétienté s’est reniée le plus : l’importation d’esclaves africains en Amérique par les colons britanniques, le traitement des Indiens d’Amérique du Nord par les colons américains et canadiens, et la domination sévère des Afrikaners sur les Bantous d’Afrique du Sud.
Il peut à juste titre faire directement porter la responsabilité de toutes ces choses à son curé ou à son évêque chrétien, si ce dernier enseigne que l’Ancien Testament, avec son injonction continuelle à massacrer, asservir et piller est « d’autorité divine égale ».
Aucun ecclésiastique chrétien ne peut s’estimer irréprochable s’il enseigne cela. La décision théologique qui mit en place ce dogme projeta sur la chrétienté et sur les siècles à venir l’ombre du Deutéronome tel qu’il retomba sur les Judaïtes eux-mêmes quand on le leur lit en 621 av. J.-C.
Seul un autre écrit eut jamais un effet comparable sur les esprits des hommes et sur les générations futures ; si l’on s’autorise quelque simplification, la plus tentante est de voir l’histoire entière de l’Occident, et en particulier de ce XXe siècle décisif, comme une bataille entre la Loi mosaïque et le Nouveau Testament et entre les deux corps de l’humanité qui se rangent derrière l’un ou l’autre de ces deux messages respectifs de haine et d’amour.
…/… Environ vingt ans après la lecture du Deutéronome à Jérusalem, Juda fut conquise par le roi babylonien, en 596 av. J.-C. environ. À l’époque, l’affaire avait tout l’air d’être terminée, et à vrai dire c’était une affaire insignifiante en elle-même, parmi les grands événements de cette période. Juda n’exista plus jamais en tant qu’État indépendant, et n’étaient les Lévites, leur seconde Loi et l’aide étrangère, les Judaïtes — comme les Israélites — auraient fini par s’impliquer dans l’humanité.
Au lieu de cela, la victoire babylonienne fut le début de l’affaire — ou de ses conséquences énormes pour le monde. La Loi, au lieu de mourir, devint plus forte à Babylone, où pour la première fois un roi étranger lui donna sa protection. Le permanent État-dans-les-États, nation-dans-les-nations fut projeté — une première — dans la vie des peuples ; la première expérience d’usurpation de pouvoir et de contrôle sur eux fut acquise. Beaucoup de souffrance pour les autres peuples se tramait alors.
Concernant les Judaïtes, ou les judaïstes et les juifs qui en émergèrent, il semble qu’ils héritèrent de l’avenir le plus malheureux qui soit. En tous les cas, ce n’est pas un homme heureux (même s’il s’agit d’un écrivain juif actuel, M. Maurice Samuel) qui, 2500 ans plus tard, écrivit : « … nous les juifs, les destructeurs, resteront les destructeurs à jamais … rien de ce que les gentils feront ne répondra à nos besoins et nos exigences »
…/… Dans le livre d’Ézéchiel, le chercheur trouvera ce soupçon expressément confirmé. Ézéchiel met dans la bouche même de Dieu la déclaration qu’il a créé des lois malfaisantes afin d’inspirer la souffrance et la crainte ! Cela apparaît dans le chapitre 20 et donne la clé du mystère entier de « la Loi mosaïque ».
536 av. J.-C, la chute de Babylone établit le schéma pour le XXe siècle ap. J.-C.
Le roi Cyrus, d’après ce que nous raconte la véritable histoire, semble avoir été un homme éclairé, ainsi que le fondateur d’un empire qui s’étendit sur toute l’Asie occidentale. D’après les encyclopédies, « il laissa les nations qu’il avait soumises libres d’observer leurs religions et de maintenir leurs institutions ». Ainsi, les Judaïtes purent-ils profiter d’une politique qu’il appliqua impartialement pour tous, et peut-être le roi Cyrus, s’il pouvait revenir sur terre aujourd’hui, serait-il surpris de découvrir que son portrait historique est celui d’un homme dont le seul exploit notable et durable fut de rendre quelques milliers de Judaïtes à Jérusalem.
…/… Pendant que les écoles de scribes fondées par Ézéchiel continuaient à compiler leur Loi (cela prit quatre-vingts ans) à Babylone, les Judaïtes rapatriés à Jérusalem se mettaient à développer graduellement des relations normales avec leurs voisins. Ils n’avaient jamais connu le régime de fanatisme et d’exclusion qui était en cours de préparation pour eux à Babylone. Beaucoup parmi le peuple priaient toujours « d’autres dieux » pour la pluie, les récoltes, le soleil et les troupeaux, et Jéhovah dans les fiefs tribaux.
Alors, en 458 av. J.-C., les Lévites frappèrent.
…/…Leur Loi était prête, ce qui n’avait en soi pas grande importance. Le Roi Perse était prêt à l’imposer pour eux, et cela était des plus important alors, et encore actuellement. Pour la première fois, la secte dirigeante accomplit le prodige qu’ils ont depuis réussi à maintes reprises : par quelque moyen, ils persuadèrent un dirigeant étranger, qui était leur prétendu maître et selon toutes apparences extérieures, un potentat puissant par lui-même, à mettre ses soldats et son argent à leur disposition.
En ce jour de 458 av. J.-C., les Judaïtes de Jérusalem furent finalement coupés de l’humanité et asservis d’une manière qu’ils n’avaient jamais connue à Babylone. Ce fut le véritable « début de l’affaire ». L’histoire est racontée dans les livres d’Esdras et de Néhémie, les émissaires lévitiques de Babylone qui furent envoyés à Jérusalem pour imposer la loi d’Ézéchiel.
Esdras, de la haute-prêtrise, alla de Babylone à Jérusalem avec quelque 1 500 disciples. Il venait au nom du roi perse Artaxerxès à-la-longue-main, avec des soldats perses et de l’or perse. Il arriva exactement comme le Dr Chaim Weizmann arriva en Palestine en 1917, soutenu par les armes britanniques et l’or britannique, et en 1947, soutenu par l’argent et la puissance américains. Juridiquement, Esdras était un émissaire perse (juridiquement, le Dr Weizmann, un juif né russe, était un émissaire britannique en 1917).
Quels moyens la secte trouva-t-elle pour plier le roi Artaxerxès à sa volonté, nul ne pourrait le découvrir actuellement ; après le roi Cyrus, il était le second potentat à jouer le rôle du pantin, et à notre époque cet empressement est devenu un critère de sélection rigoureux pour les affaires publiques.
Esdras avait emporté la nouvelle Loi raciale avec lui. Il l’imposa d’abord à ses propres compagnons de voyage, n’autorisant à l’accompagner que ceux qui pouvaient prouver qu’ils étaient de descendance judaïte, ou Lévites. Quand il arriva à Jérusalem, il fut « rempli d’horreur et de désarroi » (nous dit le Dr Kastein) en voyant la prédominance des mariages mixtes. Les Judaïtes étaient en train de trouver le bonheur à leur manière ; « en tolérant le croisement avec les tribus voisines, ils avaient établi des relations paisibles basées sur les liens familiaux ».
…/…La conséquence de cet acte était naturelle, en 458 av. J.-C. comme en 1917 ap. J.-C. : les peuples voisins furent outragés et alarmés par cette innovation inouïe. Ils virent la menace que cela leur posait, et ils attaquèrent Jérusalem, démolissant le symbole de l’infériorité dont on les avait affublés — à savoir, les murs de cette ville.
Treize ans plus tard, en 445 av. J.-C., les sages de Babylone frappèrent encore. Néhémie était un autre personnage, aussi typique de notre siècle que de cette époque à Babylone.
Il arriva de Babylone à Jérusalem muni du pouvoir dictatorial et avec assez d’hommes et d’argent pour re-fortifier la ville (aux frais des Perses ; le parallèle avec aujourd’hui continue), et ainsi elle devint le premier véritable ghetto. C’était un ghetto vide, et quand les murs furent prêts, Néhémie ordonna qu’un dixième des Judaïtes soit tiré au sort pour y résider. La race devint donc le principe suprême de la Loi, même si ce principe n’était pas encore rédigé.
Puis, en 444 av. J.-C., Néhémie chargea Esdras de formuler l’interdit sur les mariages mixtes dans la Torah, pour qu’enfin ce qui avait été accompli fasse partie de la « Loi » aux multiples modifications.
Dans le Lévitique, on fit l’insertion nécessaire : « Je t’ai coupé des autres peuples pour que tu sois à moi ». Dès lors, aucun Judaïte ne pourrait se marier en dehors de son clan, sous peine de mort ; tout homme se mariant à une femme étrangère commettait un péché contre Dieu (Néhémie, 13 :27 ; ceci est la loi de l’État sioniste aujourd’hui). Les « étrangers » furent défendus d’entrer dans la ville, afin que les Judaïtes « puissent être purifiés de tout ce qui était étranger ».
…/… Le sujet était le nationalisme politique dans la forme la plus extrémiste que l’homme ait jamais connue, et la conformité à ce dogme était la seule règle qui devait être observée. La manière dont ces livres furent compilés, après qu’Israël se fut affranchie de Juda, et les raisons de cela, sont évidentes pour quiconque étudie leur origine.
Ce qui en sortit, le développement sur cinq ou six cents ans et le travail de générations de prêtres politiques, fut le livre traduit en grec aux alentours de 150 av. J.-C. Après la période où vécut Jésus, ce livre et le Nouveau Testament furent traduits en latin par saint Jérôme, quand tous les deux « en vinrent à être considérés par l’Église comme étant d’égale autorité divine et comme faisant partie d’un seul Livre . » (d’après une encyclopédie moderne typique) ; une affirmation philosophique qui fut officiellement confirmée par le Concile de Trente au XVIe siècle de notre ère et adoptée par presque toutes les églises protestantes, bien que sur ce sujet elles auraient pu trouver des raisons valides de protester.
fin du document
Le dogme de la séparation
Entre Yahvé et son peuple :
Moïse est le seul intercesseur devant Dieu, le peuple a peur de Dieu et ne veut pas l’entendre.
Document : extraits
« Je suis l’Éternel, ton Dieu qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison d’esclavage ». (Ex. XX : 2 ; Deut. V : 6)
Le fondement de la révélation est contenu dans cette première parole de Dieu dans sa révélation au peuple d’Israël : il s’agit de la liberté, c’est-à-dire de la responsabilité. Cette exigence est tellement forte qu’elle va se heurter à un refus de la part du peuple.
Or tout le peuple fut témoin de ces tonnerres, de ces feux, de ce bruit de cor, de cette montagne fumante ; et le peuple, à cette vue, trembla et se tint à distance. Et ils dirent à Moïse : « Que ce soit toi qui nous parles, et nous pourrons entendre ; mais que Dieu ne nous parle point, nous pourrions mourir. » (Ex. XX 18,19)
Notre constat est le même que celui concernant l’autorité du roi : l’idée est de se passer d’autorité intermédiaire. Le peuple devrait entendre lui-même l’enseignement de la Torah, il devrait se régir lui-même sans besoin d’un souverain. Si Dieu est roi et « autorité », son message s’adresse à chacun sans autorité intermédiaire. Ce qui règne avant tout sur le peuple juif, c’est l’étude de la Torah, ce texte rédigé dans des rouleaux que l’on a coutume d’orner d’une couronne et de vêtements nobles comme des vêtements royaux.
Si le peuple d’Israël devait avoir un roi, ce devrait être Dieu. Ce roi confère la majesté infinie de son autorité à un texte destiné à l’étude et l’enseignement : la Torah. Ce texte est remis entre les mains de l’homme, c’est-à-dire de chacun.
Le Deutéronome est le dernier livre du Pentateuque, de la Torah. Il reprend le dernier message de Moïse au peuple, avant l’entrée en Canaan, avant l’entrée dans la terre de la responsabilité. Le peuple d’Israël doit maintenant être en mesure de sortir du désert, d’assumer ses responsabilités, d’avoir un rapport direct au texte, sans l’intermédiaire de Moïse, qui est au seuil de la mort. C’est entre ses mains, désormais, et entre celles du peuple juif à travers les générations, que repose la Torah. Ce verset est d’ailleurs « opposable » au ciel lui-même ainsi que le prouve la célèbre histoire dite du « four de AHnaï » telle qu’elle est racontée dans le Talmud (Bavli baba métsia 59b).
Le mot Talmud signifie étude. La Torah écrite est un enseignement, il faut en faire l’étude, Talmud en hébreu. L’étude est centrale et est réputée équivalente à l’ensemble des autres commandements (Chabat 127a).
Le Talmud est encore un exemple de l’importance que peut revêtir un texte, sans qu’il soit pour autant « autoritaire ». En effet, le Talmud, tout en étant central dans la définition de la loi juive, ne la fixe pas. Lorsqu’on observe une page du Talmud, on observe qu’elle comporte une colonne centrale entourée d’une multitude d’autres textes qui l’entourent. Chaque texte est un commentaire du texte central, une recherche de son sens ou de ses autres sources. Le pluralisme est présent jusque dans le mode de présentation du texte talmudique. La colonne centrale elle-même est composée de deux textes, rédigés à des époques différentes : la michna dont la rédaction remonte au deuxième siècle et la guémara qui comme on l’a vu a été compilée jusqu’à la fin du ve siècle. Le second est un commentaire du premier. Ces deux textes sont eux-mêmes rédigés à plusieurs voix. Ils mettent en scène des discussions de sages sur un même sujet. On voit que, s’il a dû être rédigé, le texte talmudique reste un texte très particulier et qu’il garde son caractère oral.
La séparation avec les gentils
Document : extraits, chapitre 15 le Talmud et les ghettos
Peu importe ce qui est contesté, une chose est indiscutable : cette grande puissance doit reposer sur une Loi qui pendant dix-neuf siècles obtient l’obéissance d’un peuple dispersé sur toute la terre, alors que par un effort de volonté, il pourrait s’échapper de cette servitude. Le Talmud était (et est) une telle loi, et la seule dans son genre.
…/… Encore plus tard (sous le prétexte souvent utilisé de « compléter » l’œuvre), d’immenses archives de discussions et de jugements rabbiniques furent ajoutées dans la Gémara, mais comme la Gémara était le produit de deux communautés juives distinctes, celle de Jérusalem au Ve siècle et celle de Babylone au VIIe siècle, il y a deux Talmud, connus sous les qualificatifs de palestinien et de babylonien.
Le Talmud, qui donc fut produit sous l’ère chrétienne, est anti-chrétien. Il est censé provenir de la même source originelle que la Torah ; les prêtres scribes qui le compilèrent prétendirent une fois encore réviser ou développer, selon les pouvoirs conférés « oralement » sur le Mont Sinaï.
…/… Donc, le peuple spécial, s’il devait rester à l’écart, avait besoin d’une nouvelle Loi qui lui fût propre, loin du regard des gentils. La Torah avait besoin d’une « clôture » autour d’elle-même, assez solide pour préserver les exilés à la fois de l’absorption par les autres peuples, et aussi de « la prostitution auprès d’autres dieux ».
Le Talmud fut essentiellement la réponse hostile au christianisme, la bataille en règle revue à la lumière des nouvelles dispositions de « l’ennemi ».
…/…Le Talmud se réfère aussi à Jésus comme « Bouffon », « sorcier », « impie », « idolâtre », « chien », « enfant de la luxure », et ainsi de suite ; les effets de cet enseignement, sur une période de plusieurs siècles, sont montrés dans le livre du juif espagnol Moïse de Léon, réimprimé en 1880, qui parle de Jésus comme d’un « chien mort » qui gît « enterré sous un tas de fumier ». Les textes hébreux originaux de ces allusions talmudiques apparaissent dans le Jesus Christus im Talmud de Laible. Cet érudit raconte que durant la période des talmudistes, la haine de Jésus devint « le trait le plus national du judaïsme », qu’ « à l’approche du christianisme, les juifs furent de temps à autre saisis d’une fureur et d’une haine qui relevaient de la folie », que « la haine et le mépris des juifs furent toujours dirigés en premier contre la personne de Jésus », et que « la haine des juifs envers Jésus est un fait fermement établi, mais ils veulent le montrer aussi peu que possible ».
…/… Cette diffamation du fondateur d’une autre religion distingue le judaïsme des autres croyances, et distingue le Talmud des autres littératures publiées au nom de la religion. Les musulmans, les bouddhistes, les confucianistes, les chrétiens et les autres ne haïssent pas les autres croyances ou leurs fondateurs en tant que tels. Ils se contentent de diverger et de croire que les chemins se rencontreront peut-être un jour, Dieu décidant du lieu de la rencontre.
Donc, le Talmud entreprit d’élargir la brèche et de rehausser la barrière entre les juifs et les autres. La Loi talmudique gouvernait chaque action imaginable de la vie d’un juif, n’importe où dans le monde : mariage, divorce, constitution de biens, transactions commerciales, jusqu’aux détails les plus insignifiants de l’habillement et de la toilette. Comme des choses imprévues surviennent souvent dans la vie quotidienne, la question de ce qui était légal ou illégal (non de ce qui était bien ou mal) dans toutes sortes de circonstances originales devait constamment être débattue, et cela produisit les énormes archives de débats et de décisions rabbiniques dont le Talmud abonde.
« Le Talmud devint l’enveloppe incassable autour d’un grain déterminé à survivre ; il enferma le cœur du juif avec une spiritualité qui, bien que froide comme de la glace, était forte comme de l’acier pour le protéger … Le Talmud, qu’ils emportaient partout avec eux, devint leur maison ». Une maison faite de glace et d’acier, enclose et entourée de murs, avec toutes les fenêtres obturées et les portes barrées ; l’image est du Dr Kastein.
Dans cette maison, les juifs, « en raison de l’acceptation de l’idée de Peuple élu et de salut … ne pouvaient interpréter tout ce qui arrivait que du point de vue d’eux-mêmes en tant que centre ». La planète flottait dans l’espace, parmi les myriades d’étoiles, uniquement pour les introniser sur un tas d’or, dans un Temple encerclé par les païens morts ; « la Loi leva une barrière insurmontable contre le monde extérieur ».
Quand le Talmud fut achevé, la question à laquelle l’avenir dut répondre fut de savoir si la secte centrale réussirait à imposer cette nouvelle Loi aux juifs dispersés — de la même manière qu’Esdras et Néhémie, avec l’aide des Perses, avaient imposé la Nouvelle Alliance aux Judaïtes de Jérusalem, en 444 av. J.-C.
Elle réussit. En 1898, au second Congrès sioniste international à Bâle, un sioniste de Russie, le Dr Mandelstamm, de Kiev, déclara : « Les juifs rejettent énergiquement l’idée de fusion avec les autres nationalités et s’accrochent fermement à leur espoir historique, c.-à-d. celui de l’empire mondial ».
Le XXe siècle est actuellement témoin de la tentative d’accomplir cet espoir. C’est probablement l’institution du ghetto qui aida le plus les talmudistes dans cette réussite.
Au XXe siècle, les masses ont été induites en erreur en imaginant le « ghetto » comme une sorte de camp de concentration pour juifs, mis en place par les persécuteurs gentils. La même exploitation des faits a été pratiquée envers l’histoire entière de l’oppression en Occident ; au XXe siècle, tout le reste a été expurgé, jusqu’à ce que ne subsiste que ce qui est présenté comme « la persécution juive ».
Le ghetto n’était pas quelque chose d’infligé aux juifs par les gentils. Il était le produit logique de la Loi talmudique, et dérivait directement de l’expérience de Babylone. Le Dr Kastein décrit le Talmud comme « le chez-soi » que les juifs emmenaient partout avec eux. Cependant, pour la vie matérielle, ils avaient aussi besoin de quatre murs et d’un toit.Le Talmud lui-même décrétait que les gentils n’étaient pas des « prochains », et qu’un juif n’avait pas le droit de vendre à un gentil un bien foncier attenant au terrain 118 d’un juif. Le but délibéré de telles clauses était la ségrégation des juifs par rapport aux autres, et leur isolation dans des ghettos.
Le premier ghetto fut celui que les chefs babyloniens permirent aux Lévites d’installer à Babylone. Le suivant fut la Jérusalem autour de laquelle Néhémie, accompagné par les soldats du roi perse, construisit de nouveaux murs, d’où il chassa tous les non-judaïtes. À partir de ces modèles, le ghetto européen prit forme. Cette institution est probablement la partie plus pénible de l’héritage spirituel du juif moderne :
« Le ghetto, ami, le ghetto, où tous les espoirs sont désintégrés dès la naissance ».
Les juifs qui n’ont jamais vu de ghetto en portent une mémoire à demi-consciente en eux, comme une peur qui les hante ; pourtant, le ghetto était essentiellement une conception talmudiste, à laquelle leurs ancêtres s’étaient soumis. C’était le moyen parfait de regrouper une congrégation dispersée, d’emprisonner l’esprit des gens, et d’exercer le pouvoir sur eux.
La demande d’un ghetto vint souvent des talmudistes (c’est-à-dire en dehors de la Pologne, où toute existence juive était évidemment une existence de ghetto). La suggestion moderne que le ghetto signifiait l’infériorité fait partie de la légende de « persécution », dont le but est principalement d’intimider les juifs, afin qu’ils craignent toujours de s’aventurer à l’extérieur de la communauté ; le mythe actuel de « l’antisémitisme » est destiné à produire le même effet sur eux.
Dans l’ancienne Alexandrie (le New York de l’époque) et dans le Caire et le Cordoue médiévaux, les quartiers juifs furent établis sur l’insistance des rabbins, désireux de maintenir leur troupeau isolé des autres. En 1084, les juifs de Spire adressèrent une pétition au prince dirigeant allemand pour installer un ghetto ; en 1412, sur requête juive, une loi du ghetto fut promulguée au Portugal. L’érection des murs du ghetto à Vérone et à Mantoue fut célébrée chaque année pendant des siècles par les juifs de là-bas, durant une fête de la victoire (Pourim). Les ghettos de Russie et de Pologne furent une composante essentielle et intégrale de l’organisation talmudique, et toute tentative pour les abolir aurait été dénoncé comme persécution.
Fin du document
Le dogme de la destruction
Document : extraits
La petite tribu du sud, Juda, se retrouva identifiée à la tribu sans terre, celle des Lévites. Ces prêtres héréditaires, qui prétendaient que leur fonction leur avait été conférée par Jéhovah sur le Mont Sinaï, étaient les vrais pères du judaïsme. Ils erraient parmi les tribus, prêchant que la guerre de l’un était la guerre de tous — et la guerre de Jéhovah. Leur but était le pouvoir et ils luttaient pour une théocratie, un État dans lequel Dieu est le souverain, et la religion est la loi. Durant la période des Juges, ils atteignirent leur but dans une certaine mesure, car ils étaient naturellement les Juges. Ce dont eux-mêmes, ainsi que Juda isolée, avaient le plus besoin était l’union avec Israël. Israël, qui se méfiait de ces prêtres législateurs, ne voulait pas entendre parler d’unification, à moins qu’elle ne se fasse sous l’autorité d’un roi ; tous les peuples environnants avaient des rois.
Les Lévites se saisirent de cette opportunité. Ils virent que si un roi était nommé, la classe dirigeante désignerait le candidat, et ils étaient la classe dirigeante. Samuel, à leur tête, mit en place une monarchie fantoche, derrière laquelle les prêtres exerçaient le véritable pouvoir ; cela fut accompli en stipulant que le roi régnerait seulement pour la vie, ce qui signifiait qu’il ne serait pas capable de fonder une dynastie. Samuel choisit un jeune paysan benjaminite, Saül, qui s’était fait un nom dans les guerres tribales et dont on pensait, sans doute, qu’il avait toutes les chances d’être malléable (le choix d’un benjaminite suggère qu’Israël refusait de songer à tout homme de Juda pour la royauté). Ce fut alors le début du royaume unifié d’Israël ; en vérité, il ne survécut qu’à ce seul règne, celui de Saül.
Jéhovah exigeait une obéissance absolue quand il ordonnait la « destruction totale »
Dans le destin de Saül (c’est-à-dire dans le compte rendu qui en fut donné dans les Écritures postérieures), on peut discerner la nature sinistre du judaïsme, tel qu’on devait lui donner forme. On lui ordonna de commencer la guerre sainte en attaquant les Amalécites « et de détruire complètement tous leurs biens, et de ne pas les épargner ; mais de massacrer homme et femme, enfant et nourrisson, bœuf et mouton, chameau et âne ». Il détruisit « homme et femme, enfant et nourrisson » mais épargna le roi Agag et les meilleurs des moutons, bœufs, jeunes chevaux et agneaux. Il fut excommunié pour cela par Samuel, qui choisit secrètement un certain David, de Juda, comme successeur de Saül. Par la suite, Saül s’évertua en vain à exercer son zèle à la
« destruction totale » afin d’apaiser les Lévites, puis essaya d’attenter à la vie de David afin de sauver son trône. Finalement, il mit fin à ses jours.
Il est possible que rien de tout ceci ne se soit passé ; ceci est le compte rendu donné dans le livre de Samuel, que les Lévites produisirent des siècles plus tard. Que cela soit vrai ou allégorique, l’importance réside dans l’évidente implication : Jéhovah exigeait une obéissance absolue quand il ordonnait la « destruction totale », et la miséricorde ou la pitié étaient des crimes capitaux. Cette leçon est soulignée dans de nombreuses autres descriptions d’événements qui furent peut-être historiques ou peut-être imaginaires.
Ce fut vraiment la fin, il y a trois mille ans, du royaume uni, car Israël refusa d’accepter pour roi David, l’homme de Juda.
Document : extraits
Ce commandement apparaît d’abord au tout début de l’histoire, étant directement attribué à Dieu dans la promesse originelle de la Terre promise : « Je détruirai tous les peuples vers lesquels tu iras ». Même avant cela, le premier acte de destruction est imputé à Dieu, sous la forme de la première « vengeance » sur les païens : « J’étendrai la main et je frapperai l’Égypte … Et les serviteurs de Pharaon lui dirent … Ne sais-tu pas encore que l’Égypte est détruite ? » (l’Exode)
Depuis ces débuts, l’enseignement « détruis » traverse toute la Loi,
d’abord, et toutes les descriptions des événements historiques ensuite. L’acte de destruction fait quelquefois l’objet d’un marchandage entre Dieu et le peuple élu, selon le principe « Si … alors » ; ou bien Dieu se propose de détruire, ou le peuple élu lui demande de détruire. Dans les deux cas, l’acte de destruction est dépeint comme quelque chose de tellement méritoire qu’il exige un service équivalent élevé. Ainsi : « Si tu fais vraiment … tout ce que je dis, alors je serai un ennemi pour tes ennemis … et je détruirai tous les peuples vers lesquels tu iras » (l’Exode). (Dans cet exemple, Dieu est cité comme promettant la destruction en retour de « l’observance » ; en priorité parmi les « statuts et jugements » qui doivent être observés, on trouve : « Tu détruiras totalement tous les lieux dans lesquels les nations que tu vas posséder ont servi d’autres Dieux » ; le Deutéronome).
Inversement : « Et Israël prêta serment à l’Éternel, et dit, Si tu livres vraiment ce peuple entre mes mains, alors je détruirai totalement leurs villes ; Et l’Éternel prêta l’oreille à la voix d’Israël, et livra les Cananéens ; et ils les détruisirent totalement, eux et leurs villes » (les Nombres).
Comme on le verra, le marché à propos de la « destruction » dépend, dans les deux cas, de l’exécution d’un contre-service par le peuple ou par Dieu.
Ceci est la base sur laquelle toute la Loi, ainsi que l’histoire entière de cette période et des périodes qui suivirent, fut construite. Du moment où Israël les rejeta et qu’ils restèrent seuls avec les Lévites, les Judaïtes furent dirigés par des prêtres qui affirmaient que la destruction était la commande principale de Jéhovah et qu’ils étaient élus divinement pour détruire. Ainsi, ils devinrent le seul peuple de l’Histoire expressément consacré à la destruction en tant que telle. La destruction en tant que résultat dû à la guerre est une caractéristique familière de toute l’histoire humaine. La destruction en tant qu’objectif déclaré n’avait jamais été connue avant, et la seule source qu’on ait pu découvrir pour cette idée unique est la Torah-Talmud.
L’intention était clairement d’organiser une force destructrice ; en cela se trouve la grande vérité des paroles de M. Samuel à notre époque.
Du moment qu’un quelconque large groupe de gens répartis parmi les nations se soumettait à une telle Loi, leurs énergies, où qu’ils se trouvassent, étaient destinées à être dirigées vers un but destructeur. De l’expérience de 458-444 av. J.-C. — où les Lévites, avec l’aide des Perses, bâillonnèrent un peuple en pleurs avec leur Loi — naquit la nation, qui depuis continue de remplir sa fonction catalytique qui est de changer les sociétés qui les entourent, tout en restant elle-même inchangée.
Ici, l’idée que « le peuple » s’unirait aux ennemis de ses hôtes, afin de détruire ses hôtes, apparaît pour la première fois.
Ainsi, peut-être est-il même vrai que dans les cinquante ans qui suivirent la conquête babylonienne, les juifs provoquèrent la destruction du royaume babylonien par la Perse ; et que dans les cinquante ans qui suivirent leur libération par le roi perse, ils s’emparèrent à leur tour du royaume perse, au point que les gouverneurs du roi « d’Inde à l’Éthiopie », par peur des juifs, perpétrèrent un pogrom de 75000 personnes, et que la mort « maudite de Dieu » fut infligée à des « ennemis » choisis. Dans ce cas, le libérateur perse, aux mains des captifs, fit encore pire que le ravisseur babylonien avant lui.
…/… Depuis plus de cent générations, depuis ce jour où la Nouvelle Alliance fut imposée par les armes perses et où la foule qui avait pleuré fut contrainte de signer à nouveau cette dernière, une multitude d’êtres humains, d’un sang différent mais étroitement ou lâchement pris dans les liens de cette Loi, porte le fardeau et l’héritage de cette Loi, dans l’isolation spirituelle du reste de l’humanité. Ce singulier paradoxe demeure : bien que leur emprisonnement fût imaginé par les Lévites, les chaînes étaient perses. À ce jour et continuellement depuis lors, bien que ce soit la secte fanatique qui exigeât leur captivité ininterrompue, ce sont des armes étrangères et de l’argent étranger les ont maintenus captifs.
À qui incombe la responsabilité, entre ceux qui incitent à une action et ceux qui la commettent ? Si la réponse est que la responsabilité finale, la plus importante, incombe à l’auteur de l’action, alors le verdict de l’histoire est incontestablement, bien qu’étrangement, que la responsabilité de l’hérésie du judaïsme incombe aux gentils, qui depuis l’époque des rois perses jusqu’à notre siècle, font la volonté de la secte qui l’ont conçu.
C’était une hérésie : le jour où les soldats du roi Artaxerxès obligèrent les Jérusalémites à signer la Nouvelle Alliance d’Ézéchiel, la perversion de la tradition ancienne israélite fut achevée et l’affirmation de Dieu fut supplantée par la négation de Dieu.
Aucune ressemblance ne subsista entre le Dieu des commandements moraux et la divinité malveillante d’Ézéchiel qui se vantait d’avoir ordonné à des hommes de tuer leurs premiers-nés afin de les maintenir dans la crainte de lui ! Cela n’était pas Dieu révélé, mais une divinité créée par l’homme, l’incarnation du tribalisme primitif. Ce que cet ancien peuple signa sous la contrainte, dans la Nouvelle Alliance, fut la négation officielle de Dieu ou la déclaration officielle que Dieu était Juda, et cela est en fait ce qui est affirmé expressément dans de nombreuses déclarations sionistes à notre époque, aussi l’hérésie est-elle ouvertement proclamée :
Dieu est absorbé dans le nationalisme d’Israël
« Dieu est absorbé dans le nationalisme d’Israël. Il devient l’éthique nationale … Il créé le monde dans la langue hébraïque. Il est le Dieu National » (rabbin Solomon Goldman).
« Nous et Dieu avons grandi ensemble … Nous avons un Dieu national … Nous croyons que Dieu est un Juif, qu’il n’y a aucun Dieu anglais ou américain » (M. Maurice Samuel).
« Ce n’était pas Dieu qui voulait ce peuple et ce qu’il signifiait. C’était ce peuple qui voulait ce Dieu et cette signification » (le Dr Kastein).
Ces déclarations sont explicites, et on peut facilement écrire de telles expressions à notre époque, à New York ou Chicago, à Londres ou Berlin. Mais au début de cette affaire, ainsi que le rapporta Néhémie :
« Toute la foule pleura quand elle entendit les paroles de la Loi ».
Et depuis ce jour, la Loi a donné bien des raisons de pleurer.
Document : extraits
Ces pharisiens, qui formaient le parti politique le plus nombreux de la petite province romaine de Judée, comprenaient la secte interne dominante, auparavant représentée par les prêtres lévites. Ils se firent les messagers de l’idée Lévitique dans sa forme la plus fanatique, telle qu’elle avait trouvé son expression chez Ézéchiel, Esdras et Néhémie ; ils prêtèrent serment à « l’observance stricte de la pureté Lévitique », nous dit l’Encyclopædia Juive.
Tout comme les Lévites avaient triomphé des protestataires israélites et avaient réussi à couper Juda de ses voisins, leurs successeurs, les pharisiens, se tenaient prêts comme eux à écraser toute tentative de réintégrer les Judéens dans l’humanité. Ils étaient les gardiens de l’idée destructrice, et le prochain chapitre dans l’histoire de Sion devait être celui de leur victoire ; comme dans le cas des Lévites, l’arrière-plan devait être celui de Jérusalem détruite.
Les juifs alexandrins amenèrent la désintégration de la civilisation hellénique
…/…Babylone, la Perse, l’Égypte … puis vint la Grèce. En 332 av. J.-C., la Grèce conquit la Perse, et la domination grecque de l’Égypte commença ; Alexandrie devint la capitale grecque. De nombreux juifs alexandrins auraient volontiers suivi le conseil de Jérémie de « rechercher la paix de la ville ». Mais le pouvoir de la secte et l’enseignement destructeur l’emportèrent. Adepte de la secte, le Dr Kastein dit seulement de la Grèce et de sa civilisation qu’ « elle était intellectuellement brillante … mais le prototype de tout ce qui était mensonger, cruel, calomnieux, fourbe, indolent, vain, corruptible, avide et injuste ». Il écarte l’épisode de la Grèce par cette remarque triomphante : « Les juifs alexandrins amenèrent la désintégration de la civilisation hellénique ».
Babylone, la Perse, l’Égypte, la Grèce … Jusqu’au début de l’ère chrétienne, par conséquent, l’Histoire remontant à la création fut présentée aux juifs, par leurs écritures et leurs érudits, comme une affaire exclusivement juive, qui ne prenait note des « païens » que dans la mesure où ils affectaient l’existence juive, et comme un récit de la destruction accomplie envers ces païens, en temps de paix comme en temps de guerre.
Cette évocation des événements de l’ère pré-chrétienne fut-elle authentique, et continua t-elle à l’être concernant les événements postérieurs, jusqu’à nos jours ? Ce que notre propre génération a déduit, et elle a certainement raison, est que cette évocation a été toujours été vraie. À notre siècle, les conflits entre les nations — sur le modèle babylo-perse — même s’ils semblent à leur début concerner des problèmes éloignés de toute question juive, ont été transformés en triomphes judaïques et en vengeances judaïques, si bien que la destruction qui les accompagna est devenu un acte d’accomplissement sous la Loi judaïque, comme le massacre du premier-né d’Égypte, la destruction de Babylone et le pogrom de Mardochée.
Cicéron regardait craintivement derrière lui quand il parlait des juifs
Rome succéda à la Grèce, et lors de l’ascension de Rome, Cicéron partageait manifestement la même opinion, à propos du rôle joué par les juifs dans la désintégration de la civilisation grecque, que celle que devait exprimer un Dr Kastein vingt siècles plus tard. En effet, au procès de Flaccus, Cicéron regardait craintivement derrière lui quand il parlait des juifs ; il savait (disait-il) qu’ils étaient coalisés et qu’ils savaient comment causer la perte de celui qui s’opposait à eux, et il conseillait la prudence quand on avait affaire à eux.
Le dogme suprémaciste : Tu régneras sur chaque nation, mais elles ne régneront pas sur toi .
Conséquence du dogme précédent. Les juifs qui doivent tout détruire , sont les seuls à attendre le Messie. Il ne viendra que pour eux.
Ce qui était visé était manifestement l’apogée ultime de la Loi, dans sa forme littérale : « Tu régneras sur chaque nation, mais elles ne régneront pas sur toi … L’Éternel ton Dieu t’élèvera au-dessus de toutes les nations de la terre ».
Deux citations :
« « Parce qu’il acceptait l’idée de Peuple élu et de salut, le monde juif était judéocentrique, et les juifs pouvaient interpréter tout ce qui arrivait du seul point de vue d’eux-mêmes en tant que centre » (Dr Kastein).
« Le juif a bâti une Histoire globale du monde dont il s’est fait le centre ; et depuis ce moment, c’est-à-dire le moment où Jéhovah conclut l’alliance avec Abraham, le destin d’Israël forme l’Histoire du monde, et, en vérité, l’Histoire du cosmos tout entier, pour laquelle le Créateur du monde se donne du mal. C’est comme si les cercles se rétrécissaient toujours plus ; finalement, seul reste le point central : l’Ego » (M. Houston Stewart Chamberlain).
La première de ces autorités est un juif sioniste, et l’autre est ce que la première appellerait un antisémite ; le lecteur verra qu’elles sont en accord total sur l’essence de la doctrine judaïque.
La royauté de Dieu excluait toutes les autres
Document : extraits
La nature de cet événement messianique est claire, pour les autorités judaïstes. L’Encyclopædia Juive dit que la conception qu’en avaient les pharisiens était que « la royauté de Dieu serait universellement reconnue dans le futur … La royauté de Dieu excluait toutes les autres ». Comme Jéhovah, d’après la Torah ancienne, ne « connaissait » que les juifs, cela signifiait que le monde appartiendrait aux juifs. Si un quelconque doute subsistait, le Talmud, plus récent, en apportait la confirmation en déclarant que « les non-juifs sont, en tant que tels, exclus de l’admission à un monde futur » (l’ancien rabbin Laible).
La masse des Judéens s’attendait indubitablement à ce que « l’Oint », quand il viendrait, réinstaure leur gloire nationale ; dans le parfait État théocratique, il serait leur chef spirituel mais aussi leur chef temporel, qui réunirait le peuple dispersé dans un royaume suprême de ce monde. L’idée messianique, tandis qu’elle prenait forme sous les pharisiens, n’était pas une attente d’un quelconque royaume céleste sans rapport avec le triomphe matériel sur terre, ou en tout cas ce n’était pas cela pour les masses.
L’attente messianique, à vrai dire, devait en un sens être le résultat logique et naturel du propre enseignement de la secte. Les pharisiens, comme les Lévites dont ils perpétuaient le message, prétendaient tout savoir, depuis la date de la création du monde, et son but, à la manière dont devait triompher le peuple spécial. Il n’y avait qu’une chose qu’ils ne déclaraient jamais : le moment de ce glorieux couronnement. Le fardeau de l’observance qu’ils déposaient sur le dos du peuple était dur, néanmoins, et il n’était que naturel que, tels des détenus purgeant leur peine, le peuple réclame de savoir quand il serait libre.
Cela semble être l’origine du messianisme. La foule qui avait autrefois « pleuré » en entendant les paroles de la Nouvelle Loi supportait maintenant sa rigueur depuis quatre cents ans. Spontanément, la question jaillissait d’eux : Quand ? Quand le glorieux couronnement, la fin miraculeuse, viendraient-ils ? Ils « accomplissaient tous les lois et jugements », et cet accomplissement signifiait une lourde tâche et un fardeau quotidiens. Ils faisaient tout cela sous « une alliance » qui promettait une récompense spécifique. Quand cette récompense serait-elle leur ? Leurs dirigeants étaient en communion directe avec Dieu et connaissaient les mystères de Dieu ; ils devaient être capables de répondre à cette question, Quand ?
C’était la seule question à laquelle les pharisiens ne savaient pas répondre. Ils semblent qu’ils donnèrent la réponse la plus ingénieuse qu’ils purent concevoir : même s’ils ne diraient pas quand, ils diraient qu’un jour « le Messie, le Prince » apparaîtrait (Daniel), et alors il lui serait donné « domination et gloire, et un royaume, et tous les peuples, nations et langues devraient le servir ».
Un État juif, gouverné par le Talmud, fut recréé sur le sol de Pologne
Document :
Dans les faits, un État juif, gouverné par le Talmud, fut recréé sur le sol de Pologne. Comme le dit le Dr Kastein, « Telle était la constitution de L’État juif, planté sur un sol étranger, cerné par un mur de lois étrangères, avec une structure en partie choisie et en partie imposée … Il avait sa propre loi juive, ses propres prêtres, ses propres écoles, ses propres institutions sociales, et ses propres représentants au gouvernement polonais …
En fait, il possédait tous les éléments nécessaires à la formation d’un État ». La réalisation de ce statut fut due « en large mesure à la coopération du gouvernement polonais ». C’est alors qu’en 1772, la Pologne fut partagée, et cette importante communauté de « juifs de l’Est » organisée en État-dans-l’État, fut divisée par les frontières nationales, la plus grande partie tombant sous autorité russe. À ce stade, pour la première fois en plus de 2500 ans, et moins de deux cents ans avant aujourd’hui, le « centre » du gouvernement juif fut perdu de vue. Jusqu’en 1772, il y en avait toujours eu un : en Pologne, en Espagne, à Babylone, en Galilée, en Judée, à Babylone et en Juda.
Le peuple juif est indissolublement lié à une loi étrangère qui est hostile à tous les peuples étrangers.
Document : extraits
En 1791, le grand historien allemand Johann Gottfried von Herger, contemplant les cent dernières années qui venaient de s’écouler, écrivait :
« Les nations les plus primitives de l’Europe sont des esclaves volontaires de l’usure juive … Le peuple juif est et reste en Europe un peuple asiatique étranger à notre partie du monde, attaché à cette antique loi qu’il a reçue dans un climat lointain et que selon sa propre confession, il ne peut abolir … Il est indissolublement lié à une loi étrangère qui est hostile à tous les peuples étrangers. »
Cent ans plus tard, en 1899, un autre érudit, M. Houston Stewart Chamberlain, revint sur ce que Herder avait écrit, et rapporta, à propos de l’usurpation grandissante et continue du pouvoir :
« Un grand changement a eu lieu : les juifs jouent, en Europe et partout où l’influence européenne s’étend, un rôle différent de celui qu’ils jouaient il y a cent ans ; tel que Viktor Hohn l’exprime, nous vivons aujourd’hui dans “une ère juive” ; nous pouvons penser ce que nous voulons de l’histoire passée des juifs, leur histoire actuelle prend en réalité tant de place dans notre propre histoire que nous ne pouvons décemment refuser de les remarquer : l’élément “étranger” souligné par Herder est devenu de plus en plus saillant … L’influence directe du judaïsme sur le XIXe siècle apparaît pour la première fois comme une nouvelle influence dans l’histoire de la culture ; cela devient ainsi l’un des sujets brûlants du jour.
Ce peuple étranger est devenu précisément, au cours du XIXe siècle, un constituant important de notre vie, de manière disproportionnée, et dans de nombreuses sphères véritablement dominantes …
Herder dit que “les nations d’Europe plus primitives étaient des esclaves volontaires de l’usure juive”. Aujourd’hui, Herder pourrait dire la même chose de la partie de loin la plus importante de notre monde civilisé … nos gouvernements, notre loi, notre science, notre commerce, notre littérature, notre art, pratiquement toutes les branches de notre vie sont devenues les esclaves plus ou moins volontaires des juifs, et traînent des chaînes féodales enferrées à un pied, en attendant qu’elles le soient aux deux …
L’influence directe du judaïsme sur le XIXe siècle devient ainsi l’un des sujets brûlants du jour. Nous avons à traiter ici d’une question affectant non seulement le présent, mais aussi l’avenir du monde … Si l’influence juive devait prendre le dessus en Europe dans la sphère intellectuelle et culturelle, nous aurions un nouvel exemple de pouvoir négatif et destructeur. »
La question n’affecte plus simplement « l’avenir du monde » ; elle nous accompagne chaque jour, et nous n’avons aucun présent qui ne soit pas façonné par elle ; elle a déjà changé la nature du monde et de la destinée de l’homme au sein de ce dernier. « Nos gouvernements », dans le demi-siècle qui s’est écoulé, sont devenus de tels « esclaves volontaires » de la secte dominante judaïque qu’ils sont en fait les intendants, ou agents, d’une nouvelle classe dirigeante internationale, et en aucun cas de vrais gouverneurs.
La révolution mondiale destructrice des nations et la nouvelle classe dirigeante créatrice de nations.
L’Occident en est venu à ce dilemme par la pression de deux rouleaux-compresseurs : le communisme et le sionisme, la révolution mondiale destructrice des nations et la nouvelle classe dirigeante créatrice de nations. L’une a incité la foule ; l’autre a acquis le pouvoir sur les dirigeants. Ces deux organisateurs sont-ils les mêmes ?
Ainsi, des questions essentielles trouvèrent-elles une réponse, et ce qui était un grand mystère en 1789 devint-il clair en 1917. Le grand avantage que le chercheur d’aujourd’hui tire de la Révolution française est la preuve, fournie par elle, de l’existence d’un dessein pour une révolution mondiale, et d’une organisation qui poursuivit cette ambition destructrice. Son existence et son activité firent du XIXe siècle le siècle de la grande conspiration.
Peut-être que le plus grand tort de Napoléon fut de distraire, par ses campagnes et exploits brillants, les pensées des hommes du danger beaucoup plus grand qui les menaçait : la révolution mondiale et ses « administrateurs » secrets. Sans lui, ils auraient peut-être accordé plus d’attention à la conspiration, car ils avaient la preuve de son existence.
Le décret de 1790 accordait aux juifs séfarades de France tous les droits des citoyens français.
La plupart des juifs de France étaient séfarades, descendants de ces juifs espagnols et portugais qui avaient au moins quelque tradition ténue les liant à la Palestine. Tous les handicaps dont ces juifs établis depuis longtemps souffraient encore prirent fin par le décret de 1790, qui leur accordait tous les droits des citoyens français. En Alsace, une communauté d’ashkénazes, les juifs slaves, était apparue, et ces visiteurs venus de Russie n’étaient pas du tout appréciés, au point que la proposition de leur accorder la citoyenneté provoqua des débats orageux au sein de l’assemblée révolutionnaire, et une insurrection chez les paysans alsaciens. À cette occasion, les avertissements devenus familiers à l’Occident au cours des siècles précédents se firent à nouveau entendre.
L’évêque de Nancy acquiesça : « On doit leur accorder protection, sécurité, liberté ; mais devrions-nous accepter dans la famille une tribu qui lui est étrangère, qui sans cesse tourne les yeux vers un pays commun, qui aspire à abandonner la terre qui la porte ? Le bien-être des juifs eux-mêmes nécessite cette protestation. » Les juifs séfarades protestèrent aussi : « Nous osons croire que notre condition en France ne serait pas aujourd’hui remise en question si certaines demandes des juifs d’Alsace, de Lorraine et des Trois-Évêchés n’avaient pas causé une confusion d’idées qui semble se refléter sur nous … À en juger par les documents officiels, elles semblent assez extraordinaires, puisque ces juifs aspirent à vivre en France sous un régime spécial, à avoir des lois qui leur seraient particulières, et à constituer une classe de citoyens séparée de toutes les autres. »
Malgré toutes les oppositions, le décret émancipant les juifs d’Alsace fut adopté en 1791. Au moment où Napoléon accéda au pouvoir, un problème juif de premier ordre avait ainsi été créé pour lui, et — après son échec à le résoudre — pour le monde.»
« Napoléon Bonaparte fut l’un des premiers hommes à concevoir l’idée de conquérir Jérusalem pour les juifs, et ainsi « accomplir la prophétie », selon l’expression actuellement à la mode. Il créa ainsi un exemple imité à notre siècle par tous ces leaders britanniques et américains qui n’aimeraient probablement pas être comparés à lui : Messieurs Balfour et Lloyd George, Woodrow Wilson, Franklin Roosevelt et Harry Truman, et Sir Winston Churchill.»
L’entreprise de Napoléon fut de si courte durée que l’Histoire n’en dit presque rien, et pas davantage de ses motifs. Il était le commandant de l’expédition d’Égypte et il pensait probablement gagner par ce moyen le soutien militaire des juifs du Moyen-Orient, pour sa campagne sur leurs terres. Comme Cromwell, il recherchait le soutien monétaire des juifs d’Europe pour financer son expédition militaire et scientifique.
Une fois empereur, « alerté de la montée de l’anti-judaïsme (le terme d’antisémitisme est apparu à la fin du XIXe siècle), et du risque de pogromes dans les régions de l’Est (en Alsace), Napoléon Ier décide de se pencher sur le sujet, davantage soucieux de l’ordre public que de religion. En mai 1806, il décide la tenue d’un assemblée de notables juifs, puis en novembre la réunion d’une assemblée, le Grand Sanhédrin, chargée de rédiger les positions doctrinales pour les juifs de France.»
« Napoléon, leur demandait de dire s’ils faisaient partie ou non de la nation qu’il dirigeait.
Les questions de Napoléon, telles des flèches vers une cible, visaient directement les principes de la Torah-Talmud, sur la base desquels avait été érigé un mur entre les juifs et les autres hommes. Ces principes majeurs étaient : la Loi juive permettait-elle les mariages mixtes ? Les juifs considéraient-ils les Français comme des « étrangers » ou comme des frères ? Considéraient-ils la France comme leur pays natal, aux lois duquel ils devraient nécessairement obéir ? La Loi judaïque faisait-elle une distinction entre débiteurs juifs et chrétiens ?
Toutes ces questions attaquaient les lois raciales et religieuses discriminatoires que les Lévites (comme les chapitres précédents l’ont montré) avaient empilées sur les commandements moraux, les annulant ainsi.»
« De toutes les régions d’Europe, les 71 membres traditionnels du Sanhédrin, 46 rabbins et 25 laïcs, se pressèrent alors à Paris et se réunirent en février 1807, au milieu de scènes d’une grande magnificence.»
Les notables juifs avaient deux solutions : désavouer la loi raciale ou bien déclarer leur reniement, tout en le niant secrètement (un expédient autorisé par le Talmud.). Les délégués juifs déclarèrent qu’une nation juive n’existait plus, qu’ils étaient en tous points français. Le Droit civil permettait les mariages mixtes. Bref, ils étaient français, rien de plus.
« Le Sanhédrin reconnut l’extinction de la nation juive comme un fait accompli.
Les juifs furent libérés du Talmud ; la voie de la réintégration au sein de leurs semblables, leur participation à l’humanité, fut rouverte là où les Lévites l’avaient fermée plus de deux mille ans auparavant ; l’esprit de discrimination et de haine fut abandonné et exorcisé.
Ces déclarations formèrent la base sur laquelle la revendication de libertés civiques pleines et entières fut réalisée partout en Occident durant les années qui suivirent. Toutes les sections du judaïsme connues de l’Occident les soutinrent.»
Cette victoire de Napoléon fut probablement aussi le début de sa perte. Pour financer ses campagnes militaires, Napoléon avec ses amis avaient mis en place une Banque nationale privée. Les autres nations ennemies étaient financées par la famille juive Rothschild de Londres. Napoléon déclara qu’il ne comprenait pas pourquoi ses victoires militaires n’arrivaient pas à achever la guerre et revenir à une paix. Il fut bien obligé que ses ennemis vaincus reprenaient rapidement les armes avec des troupes de mercenaires payées par Rothschild depuis Londres. L’anecdote est connue et nous l’avons mentionnées dans notre chapitre sur le financements des guerres : averti par ses espions que la bataille de Waterloo était perdue pour Napoléon, Rothschild fit paraître l’information inverse : Napoléon avait gagné à Waterloo. La Bourse de Londres s’effondra aussitôt et Rothschild racheta à bas prix toutes les actions et devint ainsi propriétaire de l’économie anglaise.
« En moins de quatre-vingt-dix ans, les déclarations du Sanhédrin napoléonien avaient dans les faits été annulées. …/… Napoléon rendit inconsciemment un service à la postérité en révélant le fait important que les réponses qu’il avait obtenues étaient sans valeur. La seule et unique Loi, pour toutes pensées et actions, fut à nouveau infligée aux juifs durant le reste du XIXe siècle par leurs dirigeants talmudiques et par les politiciens gentils qui leur apportèrent la même aide que le roi Artaxerxès avait apportée à Néhémie.»
Le gouvernement juif de Pologne avait été supprimé quelques années auparavant. Le Sanhédrin réunit par Napoléon représentait les juifs séfarades d’Europe qui perdiaent leur autorité au sein de la communauté juive.
« Le centre talmudique et la grande majorité des « juifs de l’Est » (les ashkénazes slaves) étaient en Russie ou en Pologne russe, et pas même Napoléon ne réfléchit à ce fait, si même il en était conscient. Les talmudistes n’étaient pas représentés au sein du Sanhédrin, et les réponses données étaient hérésie sous leur Loi, car ils étaient les gardiens des traditions des pharisiens et des Lévites.»
« C’était une illusion. Aux yeux des chercheurs gentils d’aujourd’hui cela ressemble à une grande occasion manquée. Aux yeux du juif littéral ce fut un danger épouvantable évité de justesse : celui d’une participation commune à l’humanité.
La quatrième période de ce récit débute alors — le siècle de « l’émancipation », le XIXe siècle. Au cours de ce siècle, les talmudistes de l’Est entreprirent d’annuler ce que le Sanhédrin avait affirmé, et d’utiliser tous les privilèges gagnés par l’émancipation, non pour mettre les juifs et tous les autres hommes sur un pied d’égalité, mais pour parquer à nouveau les juifs, réaffirmer leur « séparation » d’avec les autres et leur revendication à une nationalité séparée, qui était en fait la revendication à être une « nation au-dessus de toutes les nations », et non une « nation au sein des nations. »
Les talmudistes réussirent, avec des résultats dont nous sommes les témoins à notre génération — qui est la cinquième période de la controverse de Sion. L’histoire de leur succès ne peut être séparée de celle de la révolution, à laquelle notre récit revient maintenant.»
Réduire l’autorité des juifs originels, les séfarades, et accroître celle de leurs groupe compact d’ashkénazes à l’Est.
Dès ce moment, la secte dirigeante de la communauté juive employa tous ses efforts à réduire l’autorité des juifs originels, les séfarades, et à accroître celle de leurs groupe compact d’ashkénazes à l’Est ; à partir de là, les ashkénazes commencèrent à s’installer en Europe (et plus tard en Amérique), pour assumer la direction de la révolution mondiale et emporter partout avec eux l’attaque contre tout gouvernement, religion et nationalité légitimes.»
La guerre de Sécession aux États-Unis fut financées par la Famille Rothschild. La banque de Londres finança les Nordistes et celle de Paris, les Sudistes.
A partir de la découverte du plus grand gisement d’argent-métal du Comstock Lode de l’histoire en 1859, à Virginia City, dans le Nevada, sous les yeux du journaliste Mark Twain, en pleine conquête de l’Ouest. Les grandes fortunes de l’Ouest américain se développent. Alors que les États du Sud émettent en Europe un emprunt indexé sur la valeur du coton, profitant du rayonnement de la place financière parisienne sous le contrôle de Rothschild, Lincoln préfère développer la finance américaine, lorsqu’il est obligé d’emprunter à tour de bras pour équiper les armées, avec l’aide d’un proche, Jay Cooke (10 août 1821 – 8 février 1905), qui crée une des premières banques d’investissement américaines, Jay Cooke & Co, pour organiser les émissions d’obligation.
La famille Lehman fit une fortune en passant des armes au Sud et du coton au Nord. En 1861, les États-Unis étaient de nouveau endettés de 100 millions de dollars. Le nouveau président Abraham Lincoln se joua lui aussi des banquiers européens en faisant imprimer les fameux “Lincoln Greenbacks” pour payer les factures de l’armée du Nord. Le président LINCOLN qui avait percé le jeu refusa, en 1862 et 1863, de leur payer les intérêts qui s’élevaient à des sommes colossales. Il chargea, peu après, le Congrès de faire imprimer les dollars “Green Back” pour payer les troupes de l’Union.
document :
En 1862, par le vote du Legal Tender Act, Abraham Lincoln reviendra à l’art.1 de la Constitution et créera le dollar « Green Back ». C’est ainsi qu’il pu, sans augmenter la dette de l’état, payer les troupes de l’Union.
Le journal des Rothschild “Times of London” (journal de la finance) de mars 1863 écrivit cette déclaration de son propriétaire, Lionel de Rothschild :
“ Si cette politique malicieuse qui a son origine dans la république d’Amérique du nord, devait devenir à la longue une réalité fixe, alors ce gouvernement pourra fournir sa propre monnaie sans coût. Il paiera ses dettes et sera sans dette. Il aura tout l’argent nécessaire pour subvenir à son commerce. Il deviendra prospère au-delà de tout ce qui a été vu jusqu’ici dans l’histoire des gouvernements civilisés du monde. Le savoir-faire et la richesse de tous les pays ira en Amérique du Nord. II faut détruire ce gouvernement ou il détruira notre monarchie. “
Le 14 avril 1865, après son assassinat, son successeur Andrew Johnson suspend immédiatement l’impression des dollars Green Back, et revient au système précédent.
Deux citations :
«« Le pouvoir des financiers tyrannise la nation en temps de paix et conspire contre elle dans les temps d’adversité » et « le pouvoir de l’argent essaiera de prolonger son règne jusqu’à ce que toute la richesse soit concentrée entre quelques mains » Abraham Lincoln.
Otto Von Bismark, Chancelier de Prusse, suite à l’assassinat de Lincoln :
« Je crains que les banquiers étrangers ne dominent entièrement l’abondante richesse de l’ Amérique […]ils n’hésiteront pas à précipiter les États chrétiens dans les guerres et le chaos, afin de devenir les héritiers de la terre entière »
Pour les banquiers internationaux des familles juives, comme Lionel de Rothschild l’écrivit, la menace d’une monnaie pleine, sans dettes, est mortelle pour leurs affaires.
La solution pour défendre leurs pouvoir sur l’économie américaine fut de déplacer des milliers d’émigrants juifs ashkénazes de Pologne et de Russie de manière à ce que le centre mondial juif se développe à New York.
La suprématie de l’oligarchie financière anglo-saxonne put ainsi se développer sans plus aucune menace surtout depuis 1911 et la mise en place de la Réserve Fédérale, la banque centrale privée possédées par les familles de banquiers internationaux dirigés par les Rothschild.
Nous verrons plus loin la dimension politique dans l’organisation des révolutions mise en place par ce centre ashkénaze de New York.
Le dogme raciste
Document : extraits
Esdras avait emporté la nouvelle Loi raciale avec lui.
Il l’imposa d’abord à ses propres compagnons de voyage, n’autorisant à l’accompagner que ceux qui pouvaient prouver qu’ils étaient de descendance judaïte, ou Lévites. Quand il arriva à Jérusalem, il fut « rempli d’horreur et de désarroi » (nous dit le Dr Kastein) en voyant la prédominance des mariages mixtes. Les Judaïtes étaient en train de trouver le bonheur à leur manière ; « en tolérant le croisement avec les tribus voisines, ils avaient établi des relations paisibles basées sur les liens familiaux ».
Le Dr Kastein (qui était tout aussi horrifié par ce tableau de nombreux siècles plus tard) doit admettre que les Judaïtes, par ces mélanges, « observaient leur tradition telle qu’elle était comprise à l’époque » et ne violaient aucune loi connue d’eux. Esdras apporta la nouvelle Loi d’Ézéchiel, qui une nouvelle fois supplanta la « tradition » ancienne. Dans son statut d’émissaire du roi de Perse, il fit rassembler les Jérusalémites et leur dit que tous les mariages mixtes devaient être dissous ; dès lors, les « étrangers » et tout ce qui était étranger devaient être rigoureusement exclus. Une commission de sages fut mise en place pour défaire tous les liens maritaux qui avaient été forgés, et donc pour détruire les « relations paisibles basées sur les liens familiaux ».
Le Dr Kastein nous dit que « la mesure d’Esdras était sans aucun doute réactionnaire ; elle conférait la dignité d’une loi à un décret qui à cette époque n’était pas inclus dans la Torah » (que les Lévites, à Babylone, étaient encore en train de rédiger). L’utilisation du mot « dignité » par le Dr Kastein présente un intérêt à ce propos ; son livre fut publié à Berlin l’année où Hitler promulgua exactement le même genre de loi, vingt-quatre siècles plus tard ; elle fut à l’époque qualifiée d’ « infâme » par les sionistes, et les armées occidentales, prenant le rôle inverse des soldats perses de 458 av. J.-C., furent mobilisées pour la détruire !
La conséquence de cet acte était naturelle, en 458 av. J.-C. comme en 1917 ap. J.-C. : les peuples voisins furent outragés et alarmés par cette innovation inouïe. Ils virent la menace que cela leur posait, et ils attaquèrent Jérusalem, démolissant le symbole de l’infériorité dont on les avait affublés — à savoir, les murs de cette ville. Entre-temps, Esdras, comme n’importe quel sioniste du XXe siècle, était manifestement retourné chez lui à l’étranger, car une fois de plus la structure artificielle commença à s’écrouler et les tendances naturelles resurgirent : les intermariages reprirent et menèrent de nouveau à des « relations paisibles basées sur les liens familiaux ». Seul l’usage de la force peut empêcher que ce genre de choses n’arrive
Jésus le Galiléen.
Document : extraits
L’Encyclopædia Juive soutient que Nazareth était la ville natale de Jésus, et à vrai dire, le consensus général est qu’il était Galiléen, quelle que soit la possibilité de son véritable lieu de naissance. La Galilée, où il passa presque toute sa vie, était d’un point de vue politique entièrement séparée de la Judée, sous son propre tétrarque romain, et avait avec la Judée des relations de « pays étranger » (Graetz). Les mariages entre Judéens et Galiléens étaient interdits et même avant la naissance de Jésus, tous les Judéens vivant en Galilée avaient été contraints par Siméon Tharsi, un des princes Maccabées, d’émigrer en Judée.
Donc, les Galiléens étaient racialement et politiquement distincts des Judéens.
Ce Galiléen était-il, religieusement parlant, ce que l’on pourrait appeler aujourd’hui « un juif » ? Les autorités judaïstes, évidemment, le rejettent des plus vigoureusement ; cette déclaration, souvent entendue dans les tribunes et les chaires, pourrait causer une émeute à la synagogue.
Fin du document
L’évolution du judaïsme vers le sionisme
Nous avons suivi l’évolution de la civilisation atlante puis égyptienne jusqu’à sa fin avec la conquête des légions romaines.
De même, ici, nous allons présenter brièvement l’histoire du peuple juif jusqu’à aujourd’hui pour montrer comment ces dogmes théocratiques imposés par les Lévites présents dans le royaume de Juda, ont évolué pour mener à terme la destruction des nations étrangères et l’avènement du gouvernement mondial des descendants de la tribu de Juda.
Dans la Partie 5 de l’essai Nos Réseaux de Vie, le dossier Nos chers ennemis présente les grandes familles de banquiers internationaux dont les familles juives, qui ont mis en place l’oligarchie financière anglo-saxonne depuis Londres puis New York. Nous avons montré, ce qui est connu et admis, les relations entre Jacob Schiff, bras droit des Rothschild, et les révolutions russes pour développer le communisme à travers le monde à partir des écrits notamment de Karl Marx.
Notre propos est ici de simplement suivre une évolution chronologique de la tribu de Juda et de son peuple juif dans sa mission d’imposer ses dogmes théocratiques à travers le monde.
Nous résumons les textes du livre de Douglas Reed, La Controverse de Sion, et nous résumons également nos propos contenus sur d’autres pages de notre site tout comme les textes d’autres auteurs.
La conversion forcée des Iduméens sanctionnée par la destruction de Jérusalem
Les descendants d’Esaü, frère de Jacob, étaient voisins du royaume de Juda. La Samarie était devenue une province assyrienne après 722 avant notre ère puis après la fin de cet empire, les peuples de la région y étaient revenus mais les dix tribus « perdues » d’Israël étaient parties et ne voulaient plus revenir en Palestine.
« À partir d’environ 400 av. J.-C., donc, les tribus voisines — y compris les Iduméens — commencèrent à craindre et à se méfier des Judéens. Les faits leurs donnèrent raison, car durant le bref renouveau de Juda sous les Hasmonéens, Jean Hyrcan, qui était le roi et le Grand prêtre de Judée, s’abattit sur eux, et à la pointe de l’épée les força à se soumettre à la circoncision et à la Loi mosaïque. Sur les deux versions de La Loi (« ne pas attaquer » et « s’approprier »), il obéit à la seconde, ce qui aurait pu être une solution satisfaisante.»
Sauf que ce roi se retrouva confronté à deux clans : « les modérés sadducéens, qui soutenaient la monarchie, soumirent sans doute au Conseil la décision d’épargner les Iduméens, et simplement d’en faire des juifs par la force. L’autre parti était celui des pharisiens, qui représentaient l’ancienne caste despotique des prêtres lévites, et désiraient la restaurer dans sa pleine souveraineté.
On peut supposer que ces pharisiens fanatiques, en tant qu’héritiers des Lévites, lui auraient fait exiger la rigueur totale de la Loi, et « détruire totalement » les Iduméens. Ils continuèrent à s’opposer à lui avec acharnement (tout comme Samuel s’opposa à Saül), et à œuvrer pour renverser la monarchie. Ce qui est d’intérêt particulier aujourd’hui, c’est qu’il prétendirent par la suite que sa clémence envers les Iduméens entraîna l’entière catastrophe qui s’ensuivit pour la Judée ! Ils virent dans la seconde destruction du Temple et l’extinction de la Judée en 70 ap. J.-C., la peine ordonnée pour l’échec de Jean Hyrcan à observer la Loi ; comme Saül, il avait « enfreint ».
Issu des Iduméens convertis, arriva un certain Antipater, qui obtint les hautes faveurs à la petite cour de Jérusalem (tout comme le Daniel légendaire s’était élevé à la cour bien plus importante de Babylone et à la cour tout aussi importante de Perse). Les pharisiens eux-mêmes firent appel au triumvir, Pompée, pour intervenir en Judée et restaurer l’ancienne caste des prêtres tout en abolissant la petite monarchie. Leur plan tourna mal ; bien que la dynastie hasmonéenne fût certes exterminée durant les décennies chaotiques de petites guerres et insurrections qui suivirent, Antipater l’Iduméen s’éleva au point où César le fit procureur de Judée, et son fils, Hérode, fut fait roi de Judée par Antoine !
Suite à cela, la confusion totale régna dans la petite province, si bien que même l’ombre de l’indépendance disparut, et Rome, ne laissant plus d’autres choix, se mit à gouverner le pays directement.
Les pharisiens occupent la seconde place dans la lignée de la secte qui a provoqué d’aussi importants événements à notre époque. La descendance commence par les Lévites de Babylone, puis passe par les pharisiens de Jérusalem, les talmudistes d’Espagne et les rabbins de Russie, jusqu’aux sionistes d’aujourd’hui.
Le jeune homme sans instruction venu de Galilée tendit un doigt et balaya la pile entière, révélant en même temps la vérité et l’hérésie. Il réduisit « toute la Loi et les Prophètes » à ces deux commandements : Aime Dieu de tout ton cœur et ton prochain comme toi-même.
C’était l’exposition et la condamnation de l’hérésie fondamentale que les Lévites et les pharisiens, au cours des siècles, avaient entrelacée dans la Loi.
Le Lévitique contenait l’injonction, « Aime ton prochain comme toi-même », mais elle était régie par la limitation du « prochain » à ses semblables Judéens. Jésus rétablit alors la tradition ancienne et oubliée de l’amour du prochain sans distinction de race ou de croyance ; c’était clairement ce qu’il signifiait par les mots : « Je ne suis pas venu pour détruire la loi, mais pour accomplir ».»
Nous pouvons préciser que la tradition ancienne de l’amour du prochain remonte à la civilisation atlante puis égyptienne : Ptah, le Créateur vit parmi sa création et est présent en chaque être humain.
« Ainsi, immédiatement après la vie de Jésus et son accusation des « commandements d’hommes », les pharisiens, comme les Lévites auparavant, intensifièrent la nature raciale et tribale et la rigueur de la Loi ; la doctrine de la destruction, de l’asservissement et de la domination fut aiguisée à la veille de l’ultime dispersion du peuple.»
Les pharisiens ne s’opposèrent pas à l’intervention de Rome pour écraser les troubles. La destruction de la Galilée intervint en premier et notamment celle de la ville forteresse de Gamala, résidence des nazoréens qui, comme pour les égyptiens, pratiquaient le dialogue direct avec le Créateur, sans interventions d’intermédiaires religieux avec leurs dogmes criminels. Les galiléens survivants se réfugièrent à Jérusalem et ils combattirent les romains jusqu’à la destruction totale de la ville.
« Deux groupes de voyageurs passèrent les portes de Jérusalem, avant qu’elle ne tombe, en 70 ap. J.-C. Les disciples portaient un nouveau message à l’humanité, car le christianisme était né. Les pharisiens, prévoyant le sort qu’ils avaient amené sur Jérusalem, se retirèrent dans un nouveau siège depuis lequel (comme à Babylone jadis) la secte dirigeante pourrait exercer son autorité sur « les juifs », où qu’ils vivent dans le monde.
Ces deux petits groupes de voyageurs étaient l’avant-garde des partis de la lumière et des ténèbres qui, comme un homme et son ombre, ont traversé les siècles, toujours plus en direction de l’ouest.
La crise actuelle de « l’Occident » remonte directement à ce départ de la Jérusalem maudite dix-neuf siècles plus tôt, car les deux groupes amenèrent en Occident des idées qui ne pourraient jamais se réconcilier. L’une devait l’emporter sur l’autre, tôt ou tard, et notre génération est actuellement le témoin de l’ultime tentative pour la victoire de l’idée destructrice.
…/ … L’Occident n’est pas le seul impliqué dans cette affaire. Environ cinq cents ans après la vie de Jésus, l’élan instinctif des hommes à rechercher un Dieu unique produisit un autre défi au racisme talmudique, et cette fois il vint des populations sémitiques. Les Arabes, eux aussi, parvinrent au concept d’un Dieu unique de tous les hommes.
Mahomet (écarté par le Dr Kastein comme « un Bédouin à moitié inculte »), comme Saül sur le chemin de Damas, eut une vision de Dieu. Son enseignement, de bien des manières, ressemble à celui de Jésus. Il considérait Jésus comme ayant été, de même qu’Abraham ou Moïse, un prophète de Dieu (et non le Messie). Il se voyait lui-même comme le successeur de Moïse et de Jésus, et comme le prophète de Dieu, qu’il appelait Allah. Il n’y avait qu’un Dieu, Allah, le créateur de l’humanité, et Allah n’était pas le dieu tribal des Arabes, mais le Dieu de tous les hommes.
Cette religion, comme le christianisme, n’enseignait nullement la haine des autres religions. Mahomet ne faisait que rendre hommage à Jésus et à sa mère (qui sont tous deux objets de dérision blasphématoire dans la littérature talmudique).
Cependant, Mahomet considérait les juifs comme une force destructrice et œuvrant pour ses propres buts.»
L’émancipation des juifs parmi les chrétiens et les autres peuples, reste interdite par le Talmud
« Les gouverneurs talmudiques de la communauté juive virent que le moyen le plus rapide de supprimer les barrières entre eux-mêmes et le pouvoir sur les nations, était de détruire les gouvernements légitimes de ces nations ; et le moyen le plus rapide pour atteindre ce but était de crier « émancipation ! ».
Ainsi, la porte ouverte par l’émancipation pourrait-elle être utilisée pour introduire la force révolutionnaire permanente dans la vie des nations ; avec la destruction de tous les gouvernements légitimes, les révolutionnaires arriveraient au pouvoir, et ces révolutionnaires seraient formés par le Talmud, et contrôlés par le Talmud. Ils agiraient toujours selon la Loi mosaïque, et de cette façon, la fin de Babylone pourrait être reproduite en Occident.
Les événements du XXe siècle nous montrent que cela fut le plan auquel les sages talmudiques travaillèrent durant la troisième phase de l’histoire de Sion, de 70 ap. J.-C. à environ 1800 ap. J.-C. Ainsi, la différence fut-elle des plus grande entre la compréhension de « l’émancipation » par les peuples européens christianisés au milieu desquels vivaient les juifs, et celle des dirigeants talmudiques des juifs. Pour la majorité des populations, l’émancipation représentait une fin : la fin de la servitude. Pour la puissante secte secrète, elle représentait un moyen pour une fin opposée : l’imposition d’une nouvelle servitude, plus sévère.
…/…Durant la quatrième phase de l’histoire de Sion ; le siècle de l’émancipation (disons, de 1800 à 1900 ap. J.-C.) amena le péril de « l’assimilation ». Au siècle de la « liberté », un grand nombre de juifs, en Europe de l’Ouest et dans le nouvel « Occident » outre-atlantique, manifestèrent le désir de se libérer des chaînes de la Loi judaïque et de se mêler à la vie des peuples. Pour cette raison, notre historien sioniste, le Dr Kastein, considère le XIXe siècle comme étant l’âge le plus sombre de toute l’histoire juive, marqué par le danger mortel de l’implication dans l’humanité, qui heureusement fut évité. »
Durant la cinquième phase, de 1900 environ à nos jours, la palissade talmudique tint bon. Ceux qui avaient tendance à s’échapper vers l’assimilation, étaient ramenés dans l’enceinte tribale par la puissance mystique du nationalisme.
« En utilisant le pouvoir sur les gouvernements, pouvoir qu’elle avait acquis par l’émancipation, la secte dirigeante accomplit un second « retour » en terre élue, et rétablit ainsi la Loi de 458 av. J.-C., avec sa mission impériale et destructrice.»
Les déplacements du gouvernement talmudique.
Installé à Yavné puis à Usha, la conversion de l’empereur Constantin au christianisme, en l’an 320, fut suivie d’une persécution contre les juifs. Le « centre » fut déplacé à Babylone où la colonie judéenne restée sur place huit siècles plus tôt, était toujours intacte.
On installa le gouvernement talmudique à Sura, et des académies furent fondées à Pumbédita. Le Talmud, commencé à Yavné puis Usha, fut achevé à Sura et à Pumbédita.
« Les verdicts et les jugements rendus (au nom de Jéhovah) depuis le gouvernement distant étaient les Réponses gaoniques, ou lois promulguées depuis Babylone, auxquelles, partout, les juifs se soumettaient, sans quoi ils encouraient le danger d’être excommuniés.
De cette façon, la servitude talmudique se répandit parmi les juifs dispersés, où qu’ils vivent, « comme un filet étroitement tissé … au-dessus des jours ordinaires et des jours fériés, au-dessus de leurs actions et de leurs prières, au-dessus de leurs vies entières et de chaque pas qu’ils faisaient … Rien dans leur vie extérieure ne fut plus autorisé à être le simple amusement d’une décision arbitraire ou du hasard ». C’est l’image d’un despotisme absolu, uniquement différent des autres despotismes par le facteur de la distance entre les despotes et leurs sujets.»
Le déplacement en Europe se fit à la suite des conquêtes islamiques. Les romains une fois chassés de Palestine, les habitants originels de cette région avant que les tribus hébraïques arrivent, devinrent les souverains de leur propre pays (jusqu’à la conquête turque en 1517).
Les juifs en Espagne.
La conquête maure en Espagne fut « soutenue à la fois par des hommes et par de l’argent » par les juifs. Ils furent ainsi traité avec indulgence par les conquérants et ils purent s’établir dans les villes conquises.
Document :
« Les Juifs accueillent en libérateurs les nouveaux dominateurs arabes, espérant que les musulmans seraient plus tolérants que les chrétiens. Les conquérants arabes, peu nombreux, laissent souvent la garde de leurs conquêtes aux Juifs. Une période d’épanouissement de la culture judéo-arabe commence en Espagne.
« Les juifs de l’Espagne wisigothique ne savaient presque rien de la culture juive ». Ils avaient quasiment perdu l’usage de l’hébreu et de l’araméen : dans les inscriptions funéraires on trouve çà et là quelques mots d’hébreu seulement. « On peut affirmer avec une quasi-certitude que les juifs de l’Espagne wisigothique ne connaissaient et ne pratiquaient qu’une seule langue, et que cette langue était celle de leurs voisins, c’est-à-dire le bas latin de la période ». « Aucun témoignage ne vient confirmer que ces juifs jouissaient d’une vie culturelle proprement dite ». Quand l’Espagne s’inscrira dans le « monde musulman » l’élite culturelle juive connaîtra, parallèlement à l’arabisation, une rehébraïsation, à la faveur d’échanges intenses avec les communautés juives orientales.
La condition des Juifs d’Al-Andalus a varié au cours du temps. En général, on distingue deux périodes : avant et après le début des invasions Almoravides (vers 1086).
La première période correspond à l’âge d’or de la présence juive en Espagne musulmane, en particulier de l’époque d’Abd al-Rahman III. De nombreux Juifs atteignent une haute position économique ou sociale, et leur culture, fortement influencée par la culture arabe connaît un véritable âge d’or.
Les Juifs, du monde chrétien ou musulman, voient l’Espagne comme une terre de tolérance relative et d’opportunités. Après l’établissement de la dynastie omeyyade avec Abd al-Rahman Ier en 755, des Juifs du reste de l’Europe, ainsi que des territoires arabes, du Maroc à Babylone ont rejoint la communauté juive espagnole. C’est ainsi que la tradition séfarade peut s’enrichir sur les plans religieux, culturels et intellectuels. Les relations avec les Juifs des pays arabes s’approfondissent et l’influence des académies talmudiques de Soura et Poumbedita devient importante : dès le milieu du IXe siècle, le Talmud de Babylone est connu des rabbins espagnols dont les recherches portent sur la Halakha et un approfondissement de l’hébreu.
Avec l’arrivée des Almoravides et des Almohades, leur situation change radicalement. Ces dynasties, d’origine berbère, ont une conception de l’Islam beaucoup plus rigoureuse et, par conséquent, sont beaucoup moins tolérantes à l’égard des Juifs.
Une fois conquise, la défense de Cordoue a été laissée aux mains des Juifs, tandis que Grenade, Malaga, Séville et Tolède étaient confiées à une armée mixte de Juifs et de Maures.
Les armées islamistes ont ainsi facilité le but de la théocratie juive pour semer le désordre sur terre. Le christianisme fut ainsi submergé en Espagne. Dans ces circonstances propices le gouvernement talmudique fut transféré de Babylone en Espagne. Il arriva donc au cœur de l’occident chrétien.
« Le centre dirigeant et l’idée destructrice s’étaient tous deux introduits en Occident.»
Devant les succès de la Reconquista, les musulmans ibériques font à nouveau appel à leurs frères d’Afrique du Nord, les Almohades qui prennent le contrôle de l’Andalousie dès la moitié du XIIe siècle50. Plus intégristes encore que les Almoravides, ils traitent durement les dhimmis. Les Juifs et les chrétiens sont expulsés du Maroc et de l’Espagne islamique. Face au choix de la mort ou de la conversion, de nombreux Juifs émigrent. Certains, comme la famille de Moïse Maïmonide (1138-1204), fuient vers des terres musulmanes plus tolérantes, tandis que nombreux sont ceux qui vont vers le nord pour s’installer dans les royaumes chrétiens.»
L’expulsion des juifs intervient en 1492. Beaucoup se réfugient au Portugal mais le roi du Portugal doit céder et expulser lui aussi les juifs.
Les juifs en France
Document :
En juillet 1306, Philippe le Bel promulgue un édit d’expulsion général qui concerne 100 000 juifs de France.
Philippe le Bel recouvre à son profit toutes les créances juives ; il devient de la sorte le créancier de quasiment tous ses sujets. « Des querelles sur le pillage se font jour entre les seigneurs et le roi qui fait valoir qu’il est le seul et unique propriétaire des biens des Juifs établis dans son royaume. Il s’agissait aussi d’asseoir l’autorité ». La monnaie est réévaluée grâce aux fonds entrés au Trésor du Louvre du fait des spoliations, expédients lucratifs. « Les historiens Robert Chazan et William Chester Jordan estiment le total de la recette entre 200 000 et 1 000 000 de livres »
fin du document.
Ce renflouement des caisses du royaume permet à Philippe le Bel d’engager des mercenaires pour arrêter les Templiers le vendredi 13 octobre 1307. Il peut ensuite développer l’absolutisme royal et mettre fin à la période médiévale et à ses assemblées communales, ses villes libres et la gestion des biens communs par la propriété commune.
Les juifs en Angleterre
La coutume des dirigeants talmudiques est de trouver quelqu’un capable de prendre le pouvoir grâce à leur aide et surtout grâce à leur argent. Ensuite ce dirigeant suivra scrupuleusement les ordres pour accomplir les commandements du Talmud, spécialement les destructions des nations et de la religion chrétienne.
Dans le cas de l’Angleterre, le premier de ces dirigeants à leur solde fut Cromwell.
Cromwell impose ainsi un despotisme puritain intransigeant, fait régner l’austérité, et pratique l’intolérance religieuse envers les catholiques. Les séries de massacres commis par ses troupes durant la conquête de l’Irlande sont encore très présentes dans la mémoire collective.
Document :
Cromwell règne en souverain absolu. Dans le cadre de la conquête cromwellienne de l’Irlande catholique, il achève la conquête de l’Irlande, par le massacre des civils (en 1649 sac de Drogheda, 3 500 morts dont 800 femmes et enfants, et sac de Wexford, 2 000 morts militaires et civils) et la confiscation des terres et la soumission de l’Écosse. Même en Angleterre, son fanatisme choque encore. Certains le considèrent comme un criminel de guerre menant une guerre d’extermination 25,26. Pour Micheál Ó Siochrú (Trinity College), Cromwell se croit l’exécuteur de Dieu (God’s executioner).
Il poursuit son projet Western Design de s’emparer des possessions espagnoles des Caraïbes : Lors de la guerre anglo-espagnole (1654-1660), en 1655 l’amiral William Penn et le général Robert Venables capturent la Jamaïque et expulsent les Espagnols, tâche achevée en 1660. La Jamaïque devient un centre du commerce des esclaves et du commerce triangulaire. En développant la traite négrière et l’immigration, la population passe de quelque 3 000 habitants vers 1650 à environ 18 000 dans les années 1680, les hommes en esclavage étant plus de 9 000.
fin du document
Les destructions commises par Cromwell sont sans équivalence dans l’histoire anglaise, hormis la conquête de la Grande Bretagne en l’an 400 par les Angles et les Saxons qui exterminèrent la population christianisée depuis la fin de la période romaine. L’esclavage des irlandais pour développer les plantations de cannes à sucre en Jamaïque représente un véritable génocide.
Dans le chapitre L’environnement politique pour une Monnaie Pleine,nous avons mentionné le fait que les premiers esclaves dans les plantations de canne à sucre furent des Blancs déportés d’Irlande parce qu’ils étaient catholiques avec leurs rites anciens provenant des druides celtes.
Nous retrouvons ici les dogmes de la théocraties des lévites de la tribu de Juda et des comportements guerriers semblables aux Assyriens, aux Babyloniens puis aux Perses, comportements destructeurs qui ont dû impressionner les tribus d’Israël et spécialement la tribu de Lévi.
La croyance en la double prédestination,
Document :
Une partie des puritains partageaient avec les autres calvinistes orthodoxes la croyance en la double prédestination, selon laquelle certaines personnes élues étaient destinées par Dieu à recevoir la grâce et le salut, tandis que d’autres étaient condamnés à aller en Enfer. Personne, cependant, ne pouvait mériter le salut. Selon la théologie de l’alliance, la crucifixion a rendu possible l’alliance de la grâce, par laquelle ceux qui sont choisis par Dieu peuvent être sauvés. Les puritains croyaient à l’élection inconditionnelle et à la grâce irrésistible – la grâce de Dieu était donnée gratuitement et sans condition aux élus et ne pouvait pas être refusée.
Dans la théologie protestante, l’élection est considérée comme un aspect de la prédestination selon laquelle Dieu choisit certains individus pour qu’ils soient sauvés. Ces élus bénéficient de la miséricorde alors que les autres, les réprouvés, subissent la justice sans condition
D’autres puritains adhéraient en revanche à l’arminianisme et rejetaient toute idée d’une prédestination.
La direction talmudique fournit les aides financières à Cromwell pour développer sa République et détruire ainsi la monarchie anglaise.
Ensuite, le court interrègne de prit fin (néanmoins, l’esprit populaire insiste pour se le remémorer comme l’homme qui réadmit les juifs !), et au cours de cette première tentative en Occident, l’idée destructrice gagna peu de terrain.
À la mort de Cromwell, les juifs transférèrent leur aide financière à Charles II qui, peu après sa restauration, fit les amendements nécessaires, légalisant officiellement la position des juifs en Angleterre. Ils ne servirent pas le moins du monde sa dynastie, car les juifs d’Amsterdam financèrent ensuite l’expédition de Guillaume d’Orange contre son frère et successeur, Jacques II, qui fut détrôné et s’enfuit en France, la dynastie Stuart prenant alors virtuellement fin. Ainsi, la réponse à la question « Qui a gagné ? », d ’entre Cromwell et les Stuarts, semble avoir été : les juifs.
Cent-cinquante ans plus tard, la révolution frappa de nouveau, en France cette fois. Cela avait tout l’air d’une révolution distincte, différente à l’époque, mais était-ce vraiment le cas ? Elle portait les mêmes signes distinctifs que la révolution anglaise plus tôt (et la révolution russe plus tard) : la nationalité et la religion furent attaquées sous le prétexte de réfréner la tyrannie des « rois et des prêtres » et quand cela fut fait, un despotisme beaucoup plus dur fut mis en place.
Fin du document.
Le développement des révolutions pour détruire les nations.
« Quand il fonda ses Illuminati, le 1er mai 1776, Weishaupt était doyen de la faculté de droit à l’université d’Ingolstadt (à notre époque, les professeurs d’université secrètement communistes se trouvent souvent dans les facultés de droit). Il avait été élevé par les jésuites, qu’il en vint à détester, et il leur emprunta leur secret d’organisation, qu’il pervertit à des fins contraires : la méthode (comme le disait son associé Mirabeau) grâce à laquelle « sous un seul chef, les hommes dispersés dans tout l’univers se retrouvaient à tendre vers le même but. » Cette idée de liguer des hommes ensemble au sein d’une conspiration secrète et de les utiliser pour réaliser un but qu’ils ne comprennent pas, transparaît dans l’ensemble des lettres et autres documents illuministes saisis par le gouvernement bavarois.
…/… Ceci est confirmé par Weishaupt ; « Les princes et les nations disparaîtront … La raison sera le seul code de l’homme. » Dans tous ses écrits, il élimina complètement toute idée de pouvoir divin en dehors de l’Homme.
Il déclara que Jésus avait eu « une doctrine secrète », jamais révélée ouvertement, mais que toute personne assidue pouvait lire entre les lignes des Évangiles. Cette doctrine secrète devait supprimer la religion et la remplacer par la raison : « quand enfin la Raison deviendra la religion de l’homme, alors le problème sera résolu. » L’idée de rejoindre une société secrète dont Jésus avait été le vrai fondateur et de suivre un exemple établi par Jésus en utilisant des mots pour cacher le vrai sens, se révéla irrésistible pour de nombreux ecclésiastiques qui franchirent alors la porte qui leur était ainsi ouverte.
C’étaient des personnages d’un nouveau genre pour leur époque ; de nos jours le clerc communiste est devenu familier
Le « Dieu de la Raison » et le « Dieu de la Nature » réservés aux Gentils
L’attaque de Weishaupt contre la religion était la caractéristique la plus distinctive de sa doctrine. Ses idées à propos du « Dieu de la Raison » et du « Dieu de la Nature » rapprochent fortement sa pensée de la pensée judaïque, dans sa relation aux gentils, et puisque l’Illuminisme devint le communisme et que le communisme tomba sous leadership juif, ceci pourrait être significatif. La Loi judaïque établit également que les gentils (qui en tant que tels sont exclus du monde à venir) n’ont droit qu’à la religion de la nature et de la raison que Weishaupt enseignait.
…/… Ainsi, dans cette vision autoritaire, Dieu lui-même a exclu les Gentils de sa congrégation et leur a ordonné de vivre simplement selon les lois de la nature et de la raison. Ainsi, Weishaupt leur ordonnait de faire exactement ce que le Dieu juif leur avait ordonné de faire.
La vérité est que l’Illuminisme, bien qu’interdit, ne fut pas plus éradiqué que le communisme ne le serait aujourd’hui par une interdiction légale, et que ses agents donnèrent à la Révolution française ses marques de fabrique qui l’identifient comme l’œuvre de révolutionnaires mondiaux, et non de Français mécontents. Les actes commis sous la Terreur étaient d’une nature inimaginable avant qu’ils ne soient commis, mais ils étaient depuis longtemps familiers, en imagination, aux Illuminati.»
Cette preuve fut donnée quand les documents de la société secrète des « Illuminati » d’AdamWeishaupt furent saisis par le gouvernement bavarois en 1786, et publiés en 1787. Le plan originel de la révolution mondiale et l’existence d’une organisation puissante aux membres très haut-placés furent alors révélés. Dès ce moment, il ne subsista aucun doute que tous les pays et les classes de la société comprenaient des hommes qui s’étaient ligués entre eux pour détruire tout gouvernement légitime et toute religion.
L’organisation conspiratrice repassa dans la clandestinité après son exposition, mais elle survécut et poursuivit son plan, faisant irruption à la vue du public en 1917. Depuis lors, comme le communisme, elle poursuit ouvertement les buts dévoilés par le gros coup du gouvernement bavarois en 1786 — utilisant les méthodes révélées également à l’époque.
La Révolution a été provoquée et dirigée par l’Illuminisme et c’était connu et public.
« Ce qui est certain, c’est que la Révolution française, alors qu’elle était en train de se tramer, était supposée être pour « les droits de l’homme » (ce qui, on le suppose, signifiait tous les hommes, de manière égale), mais quand elle commença, « la question juive » se manifesta immédiatement, comme par magie. L’un des premiers actes de la révolution (1791) fut l’émancipation totale des juifs (tout comme la loi contre « l’antisémitisme » fut l’un des premiers actes de la révolution russe).»
« Ce sont précisément l’intention et la méthode décrites par Weishaupt dans sa propre correspondance, et c’est la preuve que Mirabeau, le dirigeant révolutionnaire, les connaissait à l’époque, c’est-à-dire en 1776. De plus, ses mots suggèrent que la société secrète des Illuminati fut fondée dans l’intention explicite de prendre le contrôle de la franc-maçonnerie et, à travers elle, de provoquer et de diriger la révolution. La complicité de Mirabeau concernant toute l’entreprise depuis le début est suggérée par le fait que le document daté de 1776 (l’année de la fondation des Illuminati) lui attribue le « nom de couverture » illuministe « Arcesilas », si bien qu’il dut être un membre fondateur, avec Adam Weishaupt, et par la suite un Illuminé important. Mirabeau, en tant que lien entre Weishaupt et la Révolution Française, est incontournable.
En 1785, des émissaires illuministes assistèrent à un autre congrès général à Paris, et dès ce moment, il semble que la planification détaillée de la Révolution devint la tâche de la Loge des Amis réunis, qui était une « couverture » pour les Illuminati.
Même avant que la Révolution ne se soit vraiment étendue, le fait qu’elle était provoquée et dirigée par l’Illuminisme était connu et public. L’acte d’accusation et l’avertissement prononcés par le marquis de Luchet se révèlent être aujourd’hui une prédiction étonnamment exacte, non seulement concernant le cours que la révolution prendrait en France, mais aussi le cours ininterrompu de la révolution mondiale jusqu’à nos jours. Déjà en 1789, il écrivait :
« Sachez qu’il existe une conspiration en faveur du despotisme contre la liberté, de l’incompétence contre le talent ; du vice contre la vertu, de l’ignorance contre l’instruction …Cette société vise à diriger le monde … Son but est la domination universelle … Aucune calamité de ce genre n’a encore jamais affligé le monde … »
De Luchet décrivait précisément le rôle que le monarque serait forcé de jouer pendant la phase des Girondins (« le voir condamné à servir les passions de tout ce qui l’entoure … à élever des hommes avilis au pouvoir, à prostituer son jugement par des choix qui déshonorent sa sagesse ») et la situation critique dans laquelle la Révolution laisserait la France (« Nous ne voulons pas dire que le pays où règnent des Illuminés cessera d’exister, mais il tombera dans un tel degré d’humiliation qu’il ne comptera plus dans la politique, que la population diminuera … »). Si l’on ne tenait pas compte de son avertissement, s’écriait de Luchet, il y aurait « une série de désastres dont la fin se perd dans l’obscurité des temps … un feu souterrain couvant éternellement et éclatant périodiquement en explosions violentes et dévastatrices. »
De Luchet appela la franc-maçonnerie à nettoyer ses écuries tant qu’il en était encore temps : « Ne serait-il pas possible de diriger les francs-maçons eux-mêmes contre les Illuminés, en leur montrant que pendant qu’ils travaillent à maintenir l’harmonie dans la société, les autres sèment partout les graines de la discorde et préparent la destruction finale de leur ordre ? »
La portée de la prédiction de de Luchet est donnée par le fait qu’il écrivait en 1789, alors que la Révolution française était à peine une révolution : elle était universellement considérée comme une simple réforme modérée et salutaire qui laisserait au monarque un pouvoir raisonnable, corrigerait des maux évidents et établirait la justice et la liberté pour toujours dans une France heureuse et régénérée ! C’était encore la croyance générale en 1790 lorsque, de l’autre côté de la Manche, un autre homme vit la vraie nature de la Révolution et « prédit avec une étrange exactitude le cours des événements », pour citer M. John Morley, son biographe plus d’un siècle plus tard.
Edmond Burke, un Irlandais, fut l’un des plus grands orateurs que la Chambre des communes britannique ait jamais connus. Le temps est le révélateur de la qualité d’un tel homme et, au fil des années, les expressions utilisées dans son attaque contre la Révolution française résonnent encore plus magnifiquement ; comme dans le cas de de Luchet, ce qui est frappant est que cette attaque fut publiée en 1790, alors que les noms de Robespierre et de Danton étaient à peine connus, avant que le mot « république » n’ait été entendu, alors que le roi attendait avec impatience de longues années de règne constitutionnel, alors que la France entière célébrait joyeusement l’amélioration pacifique qui venait d’être réalisée. L’ombre du doigt tendu de Burke traversa soudainement cette scène heureuse, pointant « comme un prophète inspiré » vers la ruine prochaine.
Son biographe dit : « Il n’est pas étonnant que quand le nuage éclata et que la ruine fut accomplie, des hommes se tournèrent vers Burke comme ils se tournaient autrefois vers Ahitopheth, à qui ils demandaient conseil comme s’ils demandaient l’oracle de Dieu ».
Malheureusement, ce n’est pas l’image exacte de ce qui se produisit quand l’avertissement de Burke se réalisa. De nombreux hommes se retournèrent contre Burke, et non vers lui, précisément parce qu’il avait dit la vérité ; en effet, le pouvoir que la conspiration, même à cette époque, exerçait sur la presse et le débat public est très clairement montré dans la manière dont la flatterie à son égard se transforma subitement en attaque et en diffamation après qu’il eut publié ses Réflexions sur la Révolution.
Les Illuminés et les organes et orateurs « libéraux et progressistes » contrôlés par ces derniers avaient beaucoup compté sur Edmund Burke, car il avait soutenu la cause des colons américains une décennie plus tôt. Comment pouvait-il soutenir une révolution et en attaquer une autre, demandèrent-ils avec colère, et Burke fut l’objet d’une attaque générale que la presse unie, à notre époque, garde en réserve pour tout homme qui exige publiquement une enquête sur le communisme-au-sein-du-gouvernement.
Les choses étant ce qu’elles sont, les paroles inspirées de son attaque contre la révolution ont la lueur impérissable de l’or : « Elle s’en est allée, cette sensibilité de principe, cette chasteté d’honneur, qui ressentait la souillure comme une blessure … L’âge de la chevalerie a disparu. Celui des sophistes, des économistes et des calculateurs lui a succédé ; et la gloire de l’Europe s’est éteinte pour toujours. »
En véritable ami de la liberté, il avait soutenu l’offre des colons de s’auto-gérer et d’être maîtres chez eux. Il n’y avait pas la moindre ressemblance entre leurs motivations et celles des hommes secrets qui, comme Burke le décela, étaient derrière la Révolution française.
Il y eut une « frénésie française » transitoire, où les Américains portèrent des cocardes et des bonnets phrygiens, dansèrent, festoyèrent et défilèrent sous des drapeaux français et américains entremêlés, et crièrent « Liberté, Égalité, Fraternité. » Avec la Terreur, cette phase d’illusion fut suivie d’une phase de dégoût et d’horreur.
Les leaders jacobins dirigèrent la Terreur et, comme de bons Illuminés, ils utilisaient des pseudonymes classiques tel que l’avait initié « Spartacus » Weishaupt lui-même : Chaumette était Anaxagoras, Clootz (décrit comme un baron prussien) était Anarcharsis, Danton Horace, Lacroix Publicola et Ronsin Scaevola. Lorsqu’ils eurent réussi la phase-Kerenski, ces terroristes exécutèrent fidèlement le plan des Illuminati, et par le meurtre d’un roi et la profanation des églises, exprimèrent les deux notions principales de ce plan : la destruction de tout gouvernement légitime et de toute religion. Cependant, ils n’étaient eux-mêmes que des outils, car un contemporain, Lombard de Langres, écrivit sur cette « convention la plus secrète qui dirigea tout après le 31 mai, un pouvoir occulte et épouvantable dont l’autre Convention était devenue l’esclave et qui était composée des principaux initiés de l’Illuminisme. Ce pouvoir était au-dessus de Robespierre et des comités du gouvernement … Ce fut ce pouvoir occulte qui s’appropria les trésors de la nation et les distribua aux frères et amis qui avaient contribué au grand-œuvre. »
Une conspiration anti-chrétienne.
« Les trois hommes en arrivèrent à la même conclusion : « Une conspiration anti-chrétienne … pas seulement contre les rois, mais contre chaque gouvernement, contre toute société civile, même contre toute propriété quelle qu’elle soit » (abbé Barruel) ; « Une association a été formée dans le but exprès de déraciner tous les établissements religieux et de renverser tous les gouvernements existants d’Europe » (prof. Robison) ; « Le but exprès est de “déraciner et supprimer le christianisme, et de renverser tous les gouvernements civils”. » (M. Morse). Ils convinrent que ce qui était arrivé n’était pas simplement un épisode en France, né de circonstances françaises, mais l’œuvre d’une organisation au plan continu dans tous les pays : un plan universel. Ils convinrent que cette organisation était la société secrète des Illuminati, qu’elle avait inspiré et contrôlé la phase terroriste de la Révolution, qu’elle avait survécu et qu’elle était établie et forte en Angleterre et aux États-Unis. L’abbé Barruel en particulier donna un avertissement sur ce dernier point.
L’attaque concentrée portée contre les trois hommes, dès l’instant où ils dirent que l’Illuminisme avait provoqué la Révolution française et qu’il existait toujours, démontre que même en 1797, les Illuminés contrôlaient de façon effective la presse en Amérique et en Angleterre.
Les deux premiers présidents de la République américaine, bien qu’ils n’aient pas agi efficacement contre la société secrète, en étaient profondément alarmés et savaient très bien que ce que Barruel, Robison et Morse avaient dit était vrai. L’un des derniers actes de George Washington fut, dans une lettre à M. Morse, d’exprimer l’espoir que son travail aurait « une diffusion plus générale … car il contient une information importante, peu connue, en dehors d’un petit cercle, mais sa dissémination serait utile, si elle était répandue dans la communauté. » (On peut supposer que le général Washington n’aurait pas dit à un Whittaker Chambers « d’aller se faire voir ailleurs »). Peu de temps auparavant, Washington avait informé un autre correspondant qu’il était tout à fait satisfait que « les doctrines des Illuminati et les principes du jacobinisme » se soient « propagés aux États-Unis. »
George Washington, alors président en 1794, accusa ces « sociétés auto-créées » d’avoir provoqué l’émeute insurrectionnelle de Pennsylvanie connue sous le nom de Whiskey Rebellion. L’autorité de Washington était trop grande pour que l’on puisse l’accuser de mener une chasse aux sorcières, et les clubs s’enfoncèrent rapidement dans la clandestinité, mais à partir de ce moment, la présence sur le sol américain d’une organisation œuvrant à la révolution mondiale fut connue de tous ceux qui voulaient savoir et étaient capables de résister au « lavage de cerveau » de la presse.
Le successeur de Washington, le président John Adams, adressa en 1798 un avertissement sévère à la franc-maçonnerie :
« … la société des Maçons a découvert une science du gouvernement, ou un art de diriger la société, qui lui est particulière, et inconnue de tous les autres législateurs et philosophes du monde ; je veux dire non seulement l’habileté de se reconnaître mutuellement par des marques ou des signes que personne ne peut deviner, mais aussi le formidable pouvoir de permettre et de contraindre tous les hommes, et je suppose toutes les femmes, à tout instant, à garder un secret. Si cet art peut être appliqué, pour mettre de côté les maximes ordinaires de la société, et qu’il peut introduire la politique et la désobéissance au gouvernement, et toujours garder le secret, il doit être évident qu’une telle science et de telles sociétés peuvent être perverties à tous les desseins néfastes qui ont été suspectés … »
Le président Adams, comme le montre son livre Works, était tout à fait informé et persuadé de l’existence d’une conspiration universelle et permanente contre tout gouvernement légitime et toute religion. Il fit l’erreur, naturelle à son époque, de penser que le plan était un plan français, de même que les gens aujourd’hui, sans aucune excuse, parlent de communisme russe, bien que la nature internationale de la révolution se soit révélée depuis longtemps comme évidente, incontestablement.
Par sa Loi de sédition de 1798, le président Adams essaya de sauvegarder l’avenir de la République, mais le temps a montré depuis que les lois contre les sociétés secrètes et les conspirations (même si elles devraient être promulguées, pour établir l’illégalité de l’entreprise) sont inefficaces pour les contrôler, d’autant que l’organisation secrète a des siècles d’expérience pour se soustraire à de telles lois. La seule mesure efficace contre la conspiration secrète est l’enquête, la révélation publique et le remède, et cela n’a jamais été totalement employé.»
L’histoire de Illuminisme est bien documentée. Nous restons centré sur la question des mouvements révolutionnaires pour détruire les nations et le christianisme.
La révolution mondiale pour détruire tous les états.
« Quand la direction juive de la révolution mondiale devint perceptible au milieu du siècle dernier, c’était une direction par les juifs ashkénazes (de l’Est, ou slaves.) Les juifs séfarades (de l’Ouest, ou ibériens) y étaient en majorité fortement opposés. Elle était dirigée contre eux autant que contre la chrétienté, car l’émancipation en Europe avait conduit dans leur cas à une assimilation assez profonde ; ils échappaient à l’emprise des dirigeants aînés du judaïsme, étaient confrontés à la perte de leur pouvoir du fait de l’intégration juive dans l’humanité. La ségrégation était vitale au judaïsme talmudique, et l ’intégration fatale.
À ce moment, ils firent entrer les « juifs de l’Est » dans l’arène ; leur apparition en tant que groupe distinct de juifs coïncida avec le début de la révolution mondiale.
Leur cohésion de masse, ainsi que l’énergie qu’on avait stockée en eux au cours des nombreux siècles d’absolutisme rabbinique dans les ghettos, faisaient d’eux, lorsqu’ils entrèrent en Occident, la plus puissante des forces qui modelèrent les événements du XXe siècle. Ils correspondaient bien au but auquel ils étaient destinés. Racialement d’origines asiatiques barbares, ils avaient reçu pendant des siècles une formation talmudique d’une discipline aussi stricte que celle de n’importe quel despotisme oriental de l’Antiquité.
Les ashkénazes ghettoïsés (tant dans leurs organisations communistes que sionistes) reçurent l’inspiration d’entraver l’émancipation par tous les moyens possibles (y compris l’assassinat en dernier recours), tandis que l’histoire de leur persécution était martelée telle une menace d’intimidation dans la conscience des juifs de l’Ouest, et telle une demande légitime d’assistance dans celle de l’Occident chrétien.
Les politiciens gentils d’Occident présentèrent à leurs peuples ces fictions comme une vérité, car ils avaient constaté que des juifs puissants, dans tous les pays, trouvaient le moyen de prêter assistance aux partis qu’ils favorisaient — et ce, par de l’argent et le soutien de la presse, et par des voix aux élections ; ils exigeaient en retour un soutien à la cause des juifs « persécutés » en Russie, et au « retour » en Palestine. Dans les faits, cela signifiait que les politiciens qui recherchaient ces faveurs devaient subordonner l’intérêt national à deux causes ultimement destructrices de tous les États-nations : la révolution, et l’ambition d’acquérir des territoires pour la race dominante.»
Les juifs occidentaux se méfièrent et n’acceptèrent pas l’influence de ces juifs de l’est qui menaçaient leur intégration politique et sociale dans les pays européens.
«Ils craignaient intuitivement la pression grandissante venue de Russie et, se rappelant la fin malheureuse des longs siècles prospères en Espagne, étaient saisis d’appréhension à la pensée de ses conséquences possibles. Je me rappelle, du temps où j’étais en Europe, combien les juifs occidentaux se méfiaient et avaient peur de ces juifs de l’Est, en qui ils voyaient la menace spectrale d’un retour forcé aux ghettos et à l’absolutisme rabbinique. Le juif allemand avait alors coutume de faire allusion avec aversion à « diese Ostjuden » (ces juifs de l’Est !) ; le juif de l’Est pour sa part, quand, après la Première Guerre mondiale,il quitta la Russie et la Pologne et se mit en route pour l’Allemagne, parlait avec mépris des juifs installés là-bas, les qualifiant de « diese Berliner » (ces Berlinois !).
La direction rabbinique de la communauté juive entreprit, de l’intérieur des places fortes orientales, d’utiliser ces Tartares judaïsés venus de Russie, contre les juifs émancipés d’Occident et contre l’Occident lui-même.
Ainsi les sages du judaïsme ont-ils par deux fois supprimé des populations à coup de stylo. Les séfarades ont été excommuniés pour la même raison que les Israélites, mais ils continuent manifestement à survivre, en vérité, certains intégrés dans l’humanité, certains dans la ségrégation du judaïsme originel.
Par conséquent, le mouvement massif vers le camp révolutionnaire doit être considéré comme une manœuvre politique de haut niveau, dirigée après maintes considérations par ce gouvernement juif qui avait été transféré en Pologne après l’expulsion d’Espagne, et avait disparu aux yeux des hommes lors de la partition de la Pologne en 1772. Envisagé dans cette perspective historique, le triple objectif du grand dessein s’éclaire, et les événements l’ont démontré.
Primo, par la révolution, le processus d’émancipation (et avec lui, d’assimilation des juifs en Occident) pouvait être inversé, et la suprématie de la secte dirigeante au sein de la communauté juive maintenue.
Secundo, par la révolution, une vengeance pouvait être exercée sur la chrétienté pour l’expulsion d’Espagne, ou peut-être pour l’existence de la chrétienté (car elle est l’affront auquel le Talmud est, dans les faits, la réponse.)
Tertio, la révolution promouvait l’accomplissement de la Loi, qui décrétait la ruine des gentils et le triomphe du Peuple élu ou, en tout cas, de la secte qui utilisait ce terme séduisant.
…/… À ce moment, ils firent entrer les « juifs de l’Est » dans l’arène ; leur apparition en tant que groupe distinct de juifs coïncida avec le début de la révolution mondiale.»
Benjamin Disraëli, mit en garde à maintes reprises la chrétienté contre la révolution mondiale.
« Benjamin Disraëli, qui deviendrait plus tard Lord Beaconsfield, mit en garde à maintes reprises la chrétienté contre la révolution mondiale. Tout comme de Luchet, Alexander Hamilton et Edmond Burke cinquante ans auparavant, il détecta le « dessein » derrière celle-ci ; à la différence de Lord Acton, qui cinquante ans plus tard n’évoqua que de simples « dirigeants », Disraëli identifia ces organisateurs en tant que juifs. Le siècle qui s’est écoulé depuis qu’il lança ces avertissements lui a donné raison ; quelles qu’en soient ses origines, la révolution mondiale organisée était sous leadership judaïste au milieu du XIXe siècle et le resta au moins jusqu’aux années 1920 (de l’avis de l’auteur, cette situation a ensuite perduré et prévaut aujourd’hui).
Pour aller plus loin sur ce thème:
« Il importait donc de poser la question : qu’en est-il des rapports du judaïsme à la révolution comme à la contre-révolution ?
Ivan Segré répond que le judaïsme, depuis l’origine, est divisé en deux orientations : l’une est littéraliste et contre-révolutionnaire, l’autre est dialectique et révolutionnaire.»
La mise en place du communisme pour détruire les états.
Dans notre chapitre sur L’environnement politique pour une monnaie pleine, nous avons montré le combat d’un Pierre Leroux contre le capitalisme en utilisant le christianisme social originel et celui de Marx et du socialisme ” scientifique ” allemand, c’est à dire purement rationnel et sans racines religieuses et spirituelles. Ce combat, même si Pierre Leroux et ses amis n’ont probablement pas mesuré toute sa portée universelle, porte sur la remise en place de la propriété commune et la gestion des Biens communs que seraient devenues les entreprises gérées en propriété commune et non plus en propriété privée des moyens de production. La propriété commune utilise spécialement notre première source de savoir personnelle initiatique spirituelle pour assurer la cohésion du groupe social et pratiquer l’alliance des contraires et la subsidiarité dans le développement de ses équipes de projets de vie.
Une menace mortelle pour la bourgeoisie d’affaires et surtout pour les familles de banquiers internationaux, sans oublier bien entendu la théocratie juive de la tribu de Juda.
Ces banquiers sous la conduite des Rothschild ont utilisé l’orientation révolutionnaire du centre talmudique qui se développait à New York en provenance de Russie pour sélectionner les écrits de Marx. Né à Trêves dans une famille d’origine juive convertie au protestantisme, Marx veut développer le communisme à partir de la structure politique de l’état dont la mission principale a toujours été le contrôle d’une population pour garantir les intérêts d’un régime politique, une monarchie, une république ou une société communiste.
L’idée d’interdire la propriété privée pour la remplacer par la propriété collective déléguée au parti communiste, est séduisante pour l’oligarchie financière anglo-saxonne de New York qui rassemble la secte des puritains d’origine protestante calviniste et les familles de banquiers supervisés par les Rothschild. La propriété collective gérée exclusivement par le parti communiste convient très bien au projet d’établir une nouvelle dictature capable de détruire nations pour les remplacer par l’Internationale communiste.
Le centre juif talmudique ashkénaze avec ses relations étroites entre New York, Londres, Berlin et Moscou s’investit alors dans le mouvement communiste pour le diriger. Les écrits de Marx sont alors une sorte de couverture idéologique, intellectuelle et rationnelle, sans aucun emprunt spirituel, comme c’était le cas dans le socialisme chrétien de Pierre Leroux et bien avant durant la période médiévale du temps des cathédrales en Europe.
«…/… Il est probable qu’une seule organisation, existant déjà à cette époque, disposait du réseau international qui pouvait rendre cette synchronisation et cette coordination possibles ; c’était le rabbinat talmudique d’Europe de l’Est. Théoriquement, la vaste organisation de l’Église catholique aurait pu être utilisée dans le même but, mais l’Église vit dans la révolution son ennemi le plus mortel et ne fut donc pas utilisée ainsi ; sur ce point, l’Histoire est claire. Ce que Disraëli avait su et révélé deux ans auparavant devint un fait historique : « Cette vaste révolution qui se prépare en ce moment en Allemagne… se construit entièrement sous les auspices des juifs ». Karl Marx et son Manifeste communiste furent les signes extérieurs et visibles d’un événement historique significatif : le judaïsme talmudique avait pris le contrôle de la révolution mondiale.
…/… En 1872, le Conseil Général convoqua un congrès de l’Internationale à La Haye, où Bakounine et ses amis ne purent se rendre en raison de l’hostilité gouvernementale. Lors ce congrès, des accusations furent portées contre Bakounine (rappelant celles qui soixante ans plus tard devaient être portées contre tout dirigeant communiste dont Staline voulait se débarrasser) et il fut chassé de l’Internationale par un vote du Conseil, composé principalement d’hommes triés sur le volet par Marx.
Brisé par la maladie, Bakounine mourut quelques années plus tard, et provoqua semble-t-il sa fin en refusant de se nourrir. Avec lui disparut tout espoir (si un tel espoir avait jamais existé) que la révolution mondiale organisée puisse servir à vaincre la tyrannie et libérer les hommes ; à partir du moment où elle passa « entièrement sous les auspices des Juifs » (Disraëli), son but fut d’asservir les hommes et d’établir une tyrannie indestructible. L’idée de Bakounine était d’organiser la force contre l’oppression, et le pire oppresseur d’entre tous, à ses yeux, était l’État.»
Nous avons montré comment Jacob Schiff, bras droit de Rothschild, a organisé et financé les révolutions russes jusqu’à celle de 1917. L’objectif principal fut d’éliminer le Tzar qui refusait la mise en place d’une banque centrale privée dans son empire…. banque dirigée depuis Londres et New York, il va de soi, pour conquérir les immenses richesses de la Russie et développer ainsi le gouvernement mondial réclamé par les Lévites de la tribu de Juda.
La suite de cette histoire est connue et relatée dans de nombreux ouvrages tout comme sur fileane.com.
A noter la seconde guerre mondiale :
l’aide américaine à la Russie
« C’était l’invasion politique de la République américaine, et son succès fut révélé par la forme de la politique nationale américaine à la fin de la guerre, qui fut dirigée pour s’assurer que les seules invasions militaires qui produisaient des « gains territoriaux » permanents étaient celles de la révolution en Europe et des sionistes en Arabie. Examiné historiquement, on peut maintenant voir que l’accomplissement de M. Roosevelt fut triple, et sur chaque point, périlleux pour l’avenir de son pays : il aida à armer le sionisme, il arma la révolution dans la citadelle de cette dernière, à Moscou, et il ouvrit les portes de sa citadelle américaine aux agents de la révolution. …/… Le renouvellement de l’immigration à grande échelle constituait l’arrière-plan de l’invasion politique de la République.
…/… Ainsi, l’histoire de l’imbroglio américain au cours de la Seconde Guerre démontra la puissance du « groupe étranger » qui était arrivé à diriger Washington, et conféra une réalité palpable au discours d’adieu de George Washington lui-même : « Contre les volontés insidieuses de l’influence étrangère, (je vous prie de me croire, chers concitoyens), la jalousie d’un peuple libre doit être constamment éveillée ; car l’Histoire et l’expérience montrent que l’influence étrangère est l’un des ennemis les plus funestes d’un Gouvernement Républicain ». G. Washington fit cette déclaration en 1796, alors que le régime de la Terreur avait révélé la vraie nature de la révolution qui avait lieu en France et que la présence d’agents conspirateurs était identifiée en Amérique pour la première fois.
Les archives publiques relatives à la Seconde Guerre démontrent que la conspiration avait acquis le pouvoir de contrôler les principales actions de politique nationale américaine, le cours des opérations militaires ainsi que les mouvement d’armes, de munitions, de stocks et de fonds. Ses agents conscients étaient nombreux et hauts-placés. La plupart des dirigeants qui soutinrent ou se soumirent à ces agents n’avaient peut être pas conscience du but ultime que servaient leurs actions
…/… Pas plus tard qu’en juin 1942, un certain M. Harry Hopkins, proche de Roosevelt, déclara publiquement à l’adresse de l’État communiste (au cours d’une grande conférence au Madison Square Garden) : « Nous sommes résolus à ce que rien ne nous empêche de partager avec vous tout ce que nous avons et tout ce que nous sommes ».
Ces mots reflètent une directive présidentielle diffusée auparavant (le 7 mars 1942) au sein des services de l’armée (et rendue publique bien plus tard) précisant que les munitions devraient être fournies en priorité à l’Union soviétique, et ce avant de fournir tout autre Allié et même les forces armées des États-Unis. Le général de division John R. Deane, chef de la mission militaire américaine à Moscou, décrivit dans un livre publié en 1947 ses vains efforts pour réduire ce soutien, et déclara que cette directive venant du président Roosevelt marquait « le début d’une politique d’apaisement vis-à-vis de la Russie, dont nous ne nous sommes jamais remis et dont nous payons encore les conséquences ».
Le terme « apaisement » utilisé par le général Deane était inadapté, dans la mesure où cette politique alla bien au-delà du simple « apaisement », et avait manifestement pour objectif d’accroître la puissance industrielle et militaire de l’État révolutionnaire après la guerre.
…/… En 1941, la politique de soutien à l’État révolutionnaire était clairement destinée à générer des effets bien plus importants qu’en 1917. En 1917, le soutien américain ne put avoir un impact que sur « l’établissement » du communisme en Russie.
En 1941, la situation était totalement différente. Le communisme était « établi » depuis longtemps. Le soutien, s’il était apporté sans aucune limitation , tel que promis par M. Hopkins, était destiné à permettre son « extension », et ce, en accord avec la directive de Lénine. Le soutien apporté fut si prodigieux qu’il permit au communisme de « s’étendre » sur une vaste zone géographique, et aussi de se préparer à une nouvelle guerre ; la perspective de cette troisième guerre, apparaissant immédiatement après la fin de la seconde, fut à l’époque décrite aux masses occidentales comme le fruit de la perfidie soviétique.
Les montants transférés depuis l’Amérique vers l’État révolutionnaire dépassent quasiment l’entendement. Élu en 1932 afin d’annuler les « déficits », le président Roosevelt dépensa en 12 ans plus que tous les précédents présidents réunis, et cela dans une souveraine irresponsabilité.
Ce flux de richesses fut dirigé par un individu, décrit par son biographe officiel (M. Robert E.Sherwood) comme étant « la seconde personnalité la plus importante des États-Unis ». M. Harry Hopkins joua ainsi le rôle du potentat, dans la distribution de matériel de guerre, rôle initialement occupé par M. Bernard Baruch en 1917.
Même le groupement de la production militaire devint un organe secondaire lorsque l’administration du « prêt-bail » fut mise en place, et M. Harry Hopkins fut nommé « administrateur » et aussi président du « Comité du protocole soviétique » du président Roosevelt, avec le pouvoir de « déterminer les quotas d’approvisionnement destinés à la Russie ». À partir de ce moment, le destin et l’avenir de l’Occident étaient entre les mains d’un individu connu par un large cercle comme « Harry the Hop »
…/… C’est alors que le major Jordan remarqua qu’un nombre étonnant de valises noires, fermées par des cordes et protégées par des sceaux, empruntaient son « ascenseur vers Moscou ».
(Il put ) pénétrer dans un avion et ouvrir approximativement dix-huit valises parmi les cinquante entreposées. Il prit quelques notes sur le contenu des valises ouvertes.
La découverte la plus importante continue d’affecter tous les Occidentaux, autant aujourd’hui que lorsqu’elle fut révélée. Il s’agissait d’une lettre adressée à Mikoyan, commissaire soviétique au Commerce extérieur. Le major Jordan en nota un extrait : « … ai eu de grandes difficultés à le soutirer de Groves » (le responsable du projet de bombe atomique). La lettre était signée « H. H. ». Étaient jointes une carte de l’usine nucléaire de Oak Ridge dans le Tennessee, et la copie carbone d’un rapport, estampillé « Harry Hopkins », contenant une quantité de mots tellement étranges aux yeux du major Jordan qu’il écrivit également une note à leur sujet, ayant l’intention d’en découvrir le sens. Parmi ces mots, figuraient les termes « cyclotron », « proton » et « deutéron », et des phrases comme « l’énergie produite par fission » et « des murs de cinq pieds d’épaisseur, constitués d’eau et de plomb, afin de contrôler les projections de neutrons ». M. Hopkins, comme démontré précédemment, était « le chouchou inévitable de Roosevelt », « le conseiller spécial du président », « le seconde homme le plus important des États-Unis ».
(Au cours des quelques années qui suivirent la Seconde Guerre, les dirigeants américains et anglais affirmèrent au public que leur meilleure protection contre une nouvelle guerre, et la défense la plus efficace face à une « agression soviétique », étaient de se munir de la bombe atomique. Le 23 septembre 1949, l’Union soviétique fit exploser une bombe atomique, ne surprenant en rien ceux qui avaient suivi l’affaire avec attention. Alors, le major Jordan ne put se contenir plus longtemps et contacta un sénateur, qui fut suffisamment ému pour convaincre le célèbre animateur radio Fulton Lewis de révéler cette histoire. Elle fut ainsi rendue publique à travers ce média et ensuite sous la forme d’un livre, et elle fut l’objet de deux audiences du Congrès en décembre 1949 et en mars 1950. La presse, unie comme un seul homme, déforma les accusations les plus graves contenues dans l’affaire, et, comme dans tous les exemples de ce type, aucune décision véritablement curative ne fut prise, aucune action efficace ne fut appliquée afin d’éviter qu’une situation similaire ne se reproduise au cours de la prochaine guerre).
En 1944, le major Jordan, plus soucieux que jamais, essaya de rencontrer l’officier de liaison en charge du Prêt-bail au sein du département d’État, mais il fut interpellé par un responsable subalterne qui lui dit : « Les officiers qui sont trop indiscrets sont susceptibles de se retrouver sur une île quelque part dans les mers du Sud ». Peu de temps après, sa mission à White Falls fut arrêtée. Son livre contient la liste complète des envois réalisés dans le cadre du Prêt-bail, à laquelle il eut accès et qu’il put copier en raison de son statut d’officier de liaison.
Cette liste faisait mention de tous les produits chimiques, métaux et minéraux nécessaires à la fabrication d’une pile atomique, qui furent transférés, et certains de ces composants peuvent être également utilisés pour la fabrication de la bombe à hydrogène ; il s’agit de bérylium, de cadmium, de cobalt en minerai ou en concentré (15,2 tonnes), de cobalt sous forme métallique et de déchets contenant du cobalt (366 tonnes), d’uranium sous forme métallique (1 kg), de tubes d’aluminium (5 790 tonnes), de graphite (3 350 tonnes), de thorium, de nitrate d’uranium, d’oxyde urano-uranique, d’aluminium et d’alliages (166 000 tonnes), de barres d’aluminium (6 230 tonnes), de plaques d’aluminium (56 300 tonnes), de lingots et barres en bronze et en laiton (34 700 tonnes), de câbles en bronze et en laiton (7 320 tonnes), de plaques en bronze et en laiton (243000 tonnes), de câbles isolés en cuivre (181 000 tonnes), etc.
…/…M. Churchill souhaitait attaquer au sud et au nord et occuper les Balkans et les pays d’Europe de l’Est avant qu’ils ne passent du joug hitlérien à celui de l’Armée rouge ; cette politique aurait mené à une vraie victoire, aurait donné au monde une perspective de paix pour le reste du XXe siècle et aurait largement atteint les objectifs « initiaux » de la guerre, parmi lesquels la « libération » était le plus important. Le général Marshall était résolu à concentrer l’attaque sur la France et à laisser toute l’Europe de l’Est, l’Europe Centrale et les Balkans à l’État révolutionnaire, et M. Roosevelt, qu’il fût lucide ou non, poursuivit cette politique jusqu’au tragique dénouement que le monde constata à Yalta, où la « défaite fut arrachée de la gueule de la victoire.
A Yalta, la moitié de l’Europe passe sous contrôle communiste, signant la victoire du centre juifs ashkénaze de New York.
…/… Au cours d’une dernière rencontre « en aparté » entre le président Roosevelt et Staline, juste avant le départ du président pour sa visite du roi Ibn Saoud, Staline déclara que « le problème juif était compliqué, qu’ils avaient essayé d’établir un foyer national pour les juifs dans le Birobidzhan, mais qu’ils n’y étaient restés que deux ou trois ans avant de s’éparpiller dans les grandes villes ». Alors, le président Roosevelt, avec les manières d’un membre d’un club exclusif qui serait sûr que son hôte en fait également partie, « déclara qu’il était sioniste et demanda au maréchal Staline s’il l’était aussi ».
Cet échange génère chez le lecteur le sentiment de deux hommes appréhendant finalement le cœur du sujet. Staline répondit qu’ « il l’était dans les principes, mais il en reconnut la difficulté ». Dans cet échange, le voleur de banque géorgien sonne plus comme un homme d’État et parle encore plus prudemment que tout leader occidental au cours des quarante dernières années, aucun d’entre eux n’ayant admis l’existence d’une quelconque « difficulté » »
Les juifs américains et les juifs allemands
Nous avons indiqué le conflit entre les juifs allemands assimilés dans la vie de Berlin et les juifs ashkénazes russes de Moscou. Pour le centre talmudique, l’objectif était d’avoir à disposition une population juive qui pouvait servir de modèle de juifs opprimés pour manipuler les autres groupes juifs et leur faire peur mais aussi pour manipuler les peuples en cherchant à travers le comportement de culpabilisation, une bienveillance sinon une aide à la cause juive.
Après 1917 et la réussite de révolution russe dirigée par le groupe ashkénaze resté en Russie mais aidé par le centre talmudique ashkénaze de New York et par les banques familiales juives de cette ville, il devint indispensable de trouver un nouveau groupe juif victime d’antisémitisme et d’oppression. Le choix a vite été prononcé pour que les juifs allemands remplacent dans ce domaine les juifs russes qui n’étaient plus opprimés puisqu’ils avaient pris le pouvoir.
« Le vide laissé par l’effondrement, en 1917, de la légende de « la persécution juive en Russie » fut rempli par « la persécution juive en Allemagne », et, juste au moment où le sionisme était « impuissant et désespéré », les sionistes furent à même, par un nouveau cri, d’effrayer les juifs et d’assiéger les politiciens occidentaux. Les conséquences apparurent à l’issue de la guerre qui s’ensuivit, où le sionisme révolutionnaire et le communisme révolutionnaire s’avérèrent être les uniques bénéficiaires
Dans le cas de « la persécution juive » en Allemagne, je découvris que la présentation impartiale des faits cédait progressivement la place à une description si partisane que la vérité était perdue. Cette transformation fut effectuée en trois étapes subtiles. D’abord, la persécution des « opposants politiques et des juifs » fut rapportée ; puis, cela fut imperceptiblement changé en « juifs et opposants politiques » » ; et à la fin, la presse en général ne parlait que de « la persécution des juifs ».
« En commençant avec ce pogrom imaginaire à Berlin, la campagne propagandiste en Amérique forma la base sur laquelle M. Roosevelt appuya son discours sur la « quarantaine ». Les sionistes autour du président n’étaient pas vraiment concernés par la souffrance des juifs ; au contraire, elle était nécessaire à leur politique en Amérique et à l’entreprise entière, et ils craignaient son allégement. En cela, ils continuaient la politique des révolutionnaires talmudiques de la Russie tsariste, qui allait jusqu’à l’assassinat pour empêcher l’émancipation des juifs, comme on l’a montré.
Ainsi, le rabbin Wise rapporte que lui et ses compagnons sionistes ne furent pas dissuadés par les protestations et appels urgents des juifs en Allemagne à arrêter le boycott. La perspective d’un accord entre Hitler et les juifs d’Allemagne, en effet, les épouvantait, et le rabbin Wise informa ses associés de ses « deux craintes » à cet égard :
« … que nos frères juifs en Allemagne puissent se sentir incités ou contraints à accepter un accord de paix ou un pacte qui pourrait signifier une légère amélioration ou réduction de leurs maux … que le régime nazi puisse décider d’empêcher certaines des conséquences néfastes de son régime par un tel traitement palliatif des juifs, ce qui désarmerait la protestation juive mondiale. » (Il décrit la deuxième possibilité comme le danger « plus grave »).
Ainsi, ils craignaient que « la persécution » ne s’effondre ; les mots sont spécifiques. Le rabbin Wise, à New York, préférait que les juifs en Allemagne souffrent plutôt que de voir cela arriver : « Mourir aux mains du nazisme est cruel ; survivre par sa grâce serait dix mille fois pire. Nous survivrons au nazisme à moins que nous ne commettions le péché inexpiable de marchandage ou de trafic avec lui pour sauver quelques victimes juives » (1934, à la Conférence juive mondiale).
« Nous rejetons d’emblée avec dédain et mépris toute proposition qui assurerait la sécurité de quelques juifs par la honte de tous les juifs » (1936). M. Brandeis, à Washington, était également résolu au martyr en Allemagne : « Toute entente qui aboutit à la création d’un marché à l’étranger pour les marchandises allemandes renforce Hitler … Soulager ainsi la détresse économique d’Hitler afin de sauver par l’émigration certains des juifs d’Allemagne serait une diplomatie déplorable … »
« Pour les sionistes en Amérique, le danger spectral d’une réconciliation entre Hitler et les juifs devint des plus aigus en 1938. Le général Smuts (Afrique du Sud) envoya alors en Allemagne son ministre de la Défense, M. Oswald Pirow, pour soulager la tension sur la question juive, s’il le pouvait.
M. Pirow se rendit alors en Allemagne. Il dit avoir fait une proposition spécifique, qu’Hitler répondit favorablement, et qu’un accord était en vue.
À cet instant précis, le destin intervint de nouveau, comme dans le cas de M. Huey Long, du comte Stolypine, du tsar Alexandre II et d’autres ; chaque fois qu’une chance de pacification apparaissait, le destin intervenait. Un jeune juif abattit un diplomate allemand, Herr von Rath, à Paris. Des émeutes suivirent en Allemagne, des synagogues furent brûlées, et la mission de M. Pirow prit brusquement fin. Aucune enquête sur le meurtre, ou toute organisation qui aurait pu se trouver derrière cela, ne fut menée, ou si l’on en commença une, elle ne produisit jamais aucun résultat informatif ; le rabbin Wise présente l’image familière (trouvée aussi dans le roman de M. House) du « jeune homme devenu à moitié fou », exaspéré au-delà de l’endurance.
Le meurtre de von Rath à Paris fut le coup de feu de Sarajevo qui démarra de fait la Seconde Guerre, tel que le révèle maintenant l’écoulement fluide du temps.
Hitler voulait ré-isoler les juifs ; M. Brandeis en Amérique voulait la même chose, et décréta impérialement qu’ « Aucun juif ne doit vivre en Allemagne ». M. Churchill désirait que « trois ou quatre millions de juifs » soient transplantés en Palestine ; l’État communiste, antisioniste de son état, fournit le premier contingent de ceux-ci.»
Le premier plan de démantèlement de l’Allemagne.
« M. Churchill fit (le 11 mai 1953) le discours de conclusion relatif au bilan de la Seconde Guerre, et qui constitua le second grand « désenchantement » pour des troupes qui se croyaient victorieuses : « Si notre recommandation avait été appliquée par les États-Unis après l’armistice avec l’Allemagne, les Alliés occidentaux n’auraient pas quitté le front que leur armées avaient atteint — et ce dans le respect des lignes d’occupation convenues — avant qu’un accord ne soit conclu avec la Russie au sujet des nombreux différents concernant l’occupation des territoires ennemis, dont l’Allemagne ne représente, évidemment, qu’une portion. Notre proposition ne fut pas retenue, et une grande partie de l’Allemagne fut cédée à l’occupation soviétique sans qu’aucun accord global ne soit conclu entre les trois puissances victorieuses ».
Ainsi, la politique suivie en termes de transfert d’armes, de richesse et de biens, et en termes de gestion des opérations militaires pendant la Seconde Guerre mondiale, servit l’ « extension » de la révolution.
En plus de tout cela, le président Roosevelt mourant arriva à Yalta en tant que signataire du « Plan Morgenthau », conçu par un agent soviétique au sein même de son département d’État (M. Harry Dexter White) ; et il était accompagné par un autre agent soviétique, démasqué et condamné ultérieurement, M. Alger Hiss de son département d’État, qui à cet instant critique était le conseiller spécial du président pour les « affaires politiques ». Par conséquent, le gouvernement soviétique était représenté sur deux des trois côtés de cette table, et le résultat de la conférence en fut sa conclusion logique.
…/…Il sembla que rien de pire ne pouvait arriver, et pourtant, une abomination encore plus grande fut réalisée. Selon le « protocole de la réparation allemande » (1), le procédé de base du terrorisme soviétique, c’est-à-dire l’esclavage des travailleurs, fut approuvé et étendu aux territoires conquis, puisque ce document autorisait « les trois gouvernements » à obtenir réparation de l’Allemagne sous la forme de « l’utilisation de la main d’œuvre allemande ».
« …/… La Genèse du « plan Morgenthau » relatif au démantèlement de l’Allemagne en petites provinces, de la destruction de son industrie et de l’inondation de ses mines et de sa rétrogradation au rang de « pâturage pour les chèvres » fut décrite en 1947 par M. Fred Smith, un autre adjoint au secrétaire du Trésor. Il déclara que la première discussion sur ce sujet (à laquelle il assista) impliqua le général Eisenhower, M. Morgenthau et M. White, et eut lieu dans la tente de campagne du général au sud de l’Angleterre le 7 août 1944. Selon M. Smith, M. White mit le sujet de l’Allemagne sur la table ; le général Eisenhower dit qu’il souhaitait « leur mener la vie dure pendant un moment … l’ensemble de la population allemande joue les paranoïaques » ; et M. White fit remarquer : « nous pourrions avoir besoin de vous citer à propos de la manière dont gérer le peuple allemand », que quoi le général Eisenhower déclara qu’il était d’accord. Sur cette base, M. Morgenthau conçut le « plan » et se rendit à Londres pour l’analyser avec MM. Churchill et Eden, puis il revint en Amérique par avion et le présenta au président Roosevelt.
La présentation du plan Morgenthau au comité « entraîna la plus violente explosion qui ait jamais eut lieu dans les glorieux appartements de la Maison Blanche » ; M. Hull et M. Stimson l’attaquèrent violemment. Pourtant, lorsque le président Roosevelt « se rendit à Québec pour rencontrer M. Churchill, M. Morgenthau se trouva » être à ses côtés, et M. Hull ainsi que M. Stimson furent laissés pour compte. M. Churchill relate sa surprise à ce sujet, mais ensuite, comme M. Roosevelt, il signa « le plan Morgenthau », qu’il serait peut-être plus approprié d’appeler plan White-Morgenthau. Ainsi, le président Roosevelt (malgré les vives protestations de ses hauts fonctionnaires responsables au cabinet, les secrétaires d’État et à la Défense) et M. Churchill approuvèrent-ils une paix emplie de vengeance.
Les deux hommes s’exprimèrent par la suite en feignant l’incompréhension quant à leur acte. M. Churchill déclara « regretter » avoir signé, mais il n’expliqua jamais comment il en vint à ce consentement (M. James F. Byrnes remarque poliment qu’il s’agit de quelque chose de « difficile à comprendre »). M. Roosevelt parla comme s’il avait paraphé par inadvertance un mémorandum interministériel sans le lire. Il déclara avoir cédé aux sollicitations d’ « un vieil ami respectable » (M. Sherwood), ce qui désigne M. Morgenthau ; il ajouta qu’il était « franchement stupéfait » et qu’il « n’avait aucune idée » de comment il avait pu parapher cela ; il l’avait manifestement fait sans réfléchir » (M. Stimson).
L’esprit de cette paix emplie de vengeance, proposée dans le plan Morgenthau, prévalut. M. Morgenthau ne réussit pas à faire accepter sa proposition (celle que M. Roosevelt fit en plaisantant à Staline pendant la conférence de Yalta) de faire exécuter par les militaires les « grands criminels » sans aucun procès, mais les procès qui eurent lieu restent un déshonneur pour la justice occidentale. La partition de l’Allemagne (qui consistait en fait en la partition de l’Europe, qu’elle soit amie ou ennemie) fut plus menaçante pour l’avenir qu’un quelconque démantèlement de l’Allemagne en provinces. Par-dessus tout, en acceptant l’esclavage des travailleurs, l’Occident inversa la dynamique de progrès vieille de dix-neuvièmes siècles.
La première fut la conférence inaugurale des Nations unies, qui fut présidée par M. Alger Hiss. La seconde fut la conférence de Bretton Woods sur la monnaie, qui permit la mise en place de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international. M. White fut l’organisateur de cette conférence pilote, et fut ensuite nommé directeur exécutif américain du Fonds monétaire international. Ainsi, au cours de chacune de ces rencontres préparatoires à l’établissement du nouveau directoire mondial, le représentant en chef du gouvernement des États-Unis fut un agent soviétique.
Ainsi, l’électeur américain réalisa que le choix apparent entre les candidats, au cours des élections présidentielles, ne lui offrait pas de possibilité réelle pour lutter contre la sédition. Avec cette motion de censure, approuvée par le président de l’époque, toutes les enquêtes et toutes les révélations furent enterrées. À partir de ce moment, les agents conspirateurs furent implicitement autorisés à reprendre les activités souterraines, qui, pendant la Seconde Guerre, avaient abouti aux situations orchestrées par MM. Alger Hiss et Harry Dexter White. C’est cette dimension qui confère à la politique américaine une puissance démesurée et redoutablement explosive dans la perspective d’une guerre future.
Ainsi, dans tous les domaines, la directive de Lénine au sujet de l’ « extension » de la révolution par une Seconde Guerre mondiale fut-elle appliquée. Ce ne fut pas le résultat de la volonté populaire (dans les deux cas ayant eu lieu jusque-là, celui de la Hongrie en 1919 et celui de l’Espagne, où les États-nations eurent la possibilité de combattre le communisme, celui-ci fut éradiqué). Ce fut le résultat de l’infestation de l’Occident par les membres de la conspiration, de l’interdiction virtuelle des lois anti-sédition sur lesquelles ils parvinrent à influer, et du contrôle de la politique, des approvisionnements et des opérations militaires dont ils s’accaparèrent.»
Le développement du sionisme et du retour en Palestine
Nous terminons cette présentation des agissements du centre talmudique ashkénaze par la question du retour en Palestine.
« Malgré les protestations de MM. Hull et Stimson, les responsables du cabinet américain, et des experts au sein du ministère des Affaires étrangères britannique, la Seconde Guerre se conclut par « une paix nourrie de vengeance » ; ou plutôt (puisque la vengeance est une négation de la paix et ne peut jamais apporter la paix), par une vengeance qui portait les germes de la prochaine guerre.
Les deux « élus dictateurs » occidentaux, MM. Roosevelt et Churchill, prirent la responsabilité de la vengeance puisque, malgré leur reniement ultérieur, ils en signèrent tous deux la charte : le Protocole de la conférence de Yalta. De cette manière, l’Occident chrétien se joignit à l’Orient impie pour assouvir une vengeance barbare envers l’Europe.»
Cette objectif de la révolution talmudique une fois réalisé, la question d’un état juif ashkénaze en Palestine devint prioritaire. Les hommes politiques d’Angleterre, des États-Unis d’Amérique et de l’Union soviétique avaient finalement mis en place le plan établi par les dirigeants juifs.
« Ainsi, tandis que l’Europe semblait être apparemment en train de s’avancer lentement vers un avenir en amélioration sur le chemin qui l’avait bien servie pendant dix-huit siècles, dans les régions talmudiques de la Russie, le sionisme rejoignit le communisme comme la deuxième des deux forces qui devaient intercepter ce processus. Le communisme était destiné à corrompre les foules ; c’était le « grand mouvement populaire » prévu par Disraëli, au moyen duquel « les sociétés secrètes » devaient œuvrer à l’unisson pour la rupture de l’Europe. Le sionisme entreprit de renverser les dirigeants au sommet. Aucune force n’aurait pu avancer sans l’autre, car les dirigeants à l’autorité intacte auraient freiné la révolution comme elle avait été freinée en 1848.
Le sionisme fut essentiellement la réplique du centre talmudique de Russie à l’émancipation des juifs d’Occident. C’était l’allusion qu’ils ne devaient pas s’impliquer dans l’humanité, mais devaient rester à part.»
Le livre de Douglas REED, la Controverse de Sion présente en détail l’évolution du sionisme jusqu’à la création de l’état d’Israël en Palestine.
La situation est cocasse et en réalité tragique pour les peuples du monde. Les juifs sionistes issus de la tribu de Juda dans un sursaut l’orgueil insensé sur le plan historique, se présentent comme s’ils étaient toujours au pouvoir dans le premier royaume d’Israël alors qu’ils en ont été exclus de suite.
Leurs dogmes séparatistes, suprémacistes, racistes rédigés par les Lévites de la tribu de Juda se situent dans le contexte des destructions des tribus juives d’abord par les assyriens en 722 avant notre ère puis par les babyloniens. La cruauté et la violence des commandements envers les étrangers et les ennemis s’adressent sur le plan historique aux assyriens. Lors de cette destruction, les dix tribus perdues d’Israël ont quitté la région pour se mêler à d’autres peuples en migrations. Leur histoire repose sur le départ d’Abraham de sa famille de la ville d’Ur, à l’embouchure de l’Euphrate. Le voyage se poursuivait donc une fois de plus dans ce vaste brassage des populations dont la démographie augmentait rapidement.
Les sionistes ont certainement refusé de devenir eux aussi une tribu perdue, assimilée chez un puissant voisin : Babylone, l’Égypte, la Phénicie…
Renverser les dirigeants au sommet jusqu’à trouver l’un ou l’autre qui accepte de soutenir ce projet.
Le retour sur leur terre d’origine autour de Jérusalem s’établit sur les dogmes suprémaciste et racistes pour lutter contre l’émancipation puis l’assimilation des populations juives dans les pays où elles vivaient. Le moyen d’action est de renverser les dirigeants au sommet jusqu’à trouver l’un ou l’autre qui accepte de soutenir ce projet.
Parmi ces hommes politiques qui ont accepté ce projet d’un état juif sur leur terre originelle, Douglas REED commence par présenter le débat entre les juifs de Russie qui voulaient la révolution contre le Tzar puis l’émancipation pour vivre comme les autres citoyens russes. Dans l’autre camp, les sionistes voulaient la révolution mais aussi l’instauration d’un état juif. Le centre talmudique réussit à unifier les deux mouvements.
« Le communisme était déjà un parti organisé, quoique toujours secret et conspirateur dans les ghettos, quand le sionisme prit une forme organisée (quoique également secrète) dans le mouvement Chibath Zion (l’Amour de Sion). Il fut fondé à Pinsk, où le Dr Weizmann allait à l’école, si bien qu’étant enfant, son chemin le mena dans l’aile révolutionnaire-sioniste de la conspiration anti-russe.»
Le projet se développa lorsqu’un juif de Vienne, un juif occidental entièrement émancipé, pensait que les juifs devaient s’isoler de nouveau dans leur propre état, l’affaire devenait sérieuse.
« L’affaire Dreyfus donna aux juifs la preuve complète de la validité de l’émancipation et de l’impartialité de la justice sous cette dernière. Jamais un homme ne fut défendu aussi publiquement par autant de personnes, ou aussi pleinement réhabilité. Aujourd’hui, des nations entières, à l’Est de Berlin, n’ont aucun droit à un procès légal et l’Occident, qui a signé l’acte de leur bannissement, est indifférent à leur situation critique ; ils peuvent être emprisonnés ou tués sans charges ni procès. Pourtant, en Occident aujourd’hui, le cas Dreyfus, l’exemple classique de justice, continue à être cité par les propagandistes comme un exemple terrible d’injustice.»
En mars 1897 Herzl invita les délégués à se réunir un Congrès qui finalement eu lieu à Bâle, la plupart des 197 délégués venaient d’Europe de l’Est. Ils fondèrent « une Organisation sioniste mondiale », qui proclama comme objectifs la nationalité juive et « un foyer obtenu officiellement, garanti légalement » et Herzl déclara : « L’État juif existe. »
« En fait, quelques juifs, prétendant parler pour tous les juifs, mais désavoués de manière véhémente par de nombreux corps représentatifs de la communauté juive occidentale, avaient tenu une réunion à Bâle, et c’était tout.
Néanmoins, la proposition, pour ce qu’elle valait dans ces circonstances, avait en fin été mise sur la table des affaires internationales. Le congrès fut en fait un Sanhédrin convoqué pour annuler les aveux faits par le Sanhédrin napoléonien quatre-vingts ans auparavant. Ce Sanhédrin-là avait rejeté la nationalité séparée et toute ambition de former un État juif ; celui-ci proclama une nationalité séparée et l’ambition d’un d’État.»
Quelques années plus tard, le gouvernement britannique offrit l’Ouganda au Dr Herzl.
« À partir de ce moment, toutes les grandes puissances de l’Occident acceptèrent de fait les talmudistes de Russie comme représentants de tous les juifs et, dès ce moment, la révolution sioniste entra aussi en Occident.»
Le proposition de l’Ouganda fut étudiée et le constat qui stupéfia tout le monde fut que les juifs de Palestine en très grand majorité acceptèrent d’aller en Ouganda pour fuite la domination turque.
Cette nouvelle compliqua le rejet du projet Ouganda pendant quelque temps.
« Restent les juifs qui étaient déjà en Palestine. Cette communauté de juifs originels était ardemment en faveur du déplacement en Ouganda, comme les recherches permettent de le découvrir, et pour cette raison, ils furent dénoncés comme « traîtres » par les Khazars judaïsés de la Russie qui avaient pris en main le sionisme ! C’est ce que l’Organisation sioniste à Tel-Aviv disait toujours d’eux en 1945 :
Pour le centre talmudique, il fallait changer de méthode et ne plus laisser un juif prendre une initiative personnelle. La stratégie était claire : le centre talmudique va sélectionner les hommes d’état pour les rendre favorables à un état juif en Palestine. La Grande-Bretagne fut la cible première mais le résultat ne fut pas atteint. Alors le centre talmudique de New York dirigea le projet et le Président américain, très favorable au sionisme, nous l’avons dit en parlant de ses échanges à Yalta avec Staline, fut pencher la balance définitivement en faveur d’un état juif sioniste en Palestine peuple en grande partir d’ashkénazes venant de Russie ou venant d’être chassés de Russie vers les pays voisins avant de rejoindre finalement la Palestine.
« Nous choisirons parmi le public des administrateurs aux tendances serviles. Ils seront inexpérimentés dans l’art de gouverner. Nous les transformerons facilement en pions sur notre échiquier où ils seront mus par nos savants et sages conseillers, tout spécialement formés dès la plus tendre enfance pour diriger les affaires du monde. »
« Tous les rouages du mécanisme de l’État sont mus par une force qui est entre nos mains, à savoir : l’or. »Nous avons montré les procédés qu’ils utilisent pour dominer le monde et comment ils financent et dirigent les guerres.
« En 1903, le gouvernement britannique avait offert l’Ouganda au sionisme, et Max Nordau avait publiquement prévu « la future guerre mondiale », à la suite de laquelle l’Angleterre procurerait la Palestine au sionisme. En 1905, les Protocoles révélèrent de façon prophétique l’orgie destructrice du communisme. Puis en 1906, un certain M. Arthur James Balfour, Premier ministre de l’Angleterre, rencontra le Dr Weizmann dans une chambre d’hôtel, et fut captivé par la notion d’offrir la Palestine — qui ne lui appartenait pas — « aux juifs ».
…/… Le Dr Weizmann choisit Manchester comme résidence. Il dit « par hasard », mais la crédulité rechigne. Manchester détenait l’électorat de M. Balfour ; Manchester était le quartier général sioniste en Angleterre ; le président du parti de M. Balfour à Manchester était un sioniste (aujourd’hui, le parti conservateur britannique est toujours empêtré dans ces rets)»
« La fonction de Premier ministre de M. Balfour aboutit à un fiasco pour son parti, lorsqu’aux élections de 1906, il perdit huit sièges sur neuf à Manchester. Il déclina alors temporairement dans sa fonction. À ce moment, un autre personnage apparut dans le présent récit. Parmi les candidats libéraux triomphants, se trouvait un jeune homme plein d’avenir au nez fin pour sentir la direction du vent en politique, un certain M. Winston Churchill. Il cherchait aussi à être élu à Manchester, et s’imposa au quartier général sioniste là-bas, d’abord en attaquant les projets de lois étrangères du gouvernement Balfour (qui mettaient un frein à l’immigration à grande échelle venant d’endroits tels que la Russie) et ensuite en soutenant le sionisme.
L’intérêt de Balfour pour les juifs et leur histoire … trouva son origine dans l’ instruction à l’Ancien Testament de sa mère, et dans son éducation écossaise. À mesure qu’il grandissait, son admiration intellectuelle et sa sympathie pour certains aspects des juifs dans le monde moderne lui semblèrent d’une importance immense. Je me revois, alors enfant, en train d’absorber de lui l’idée que la religion et la civilisation chrétiennes étaient redevables au judaïsme d’une dette incommensurable, mal remboursée.
M. Balfour était déjà emporté par son enthousiasme pour la cause inconnue.
l fut très impressionné (comme le dit le Dr Wei zmann) quand son visiteur dit : « M. Balfour, supposons que je doive vous offrir Paris au lieu de Londres, le prendriez-vous ? » « Mais, Dr Weizmann, nous avons Londres », répondit-il. Le Dr Weizmann répliqua : « Mais nous, nous avions Jérusalem, quand Londres n’était qu’un marécage. »
M. Balfour estima apparemment que c’était la raison concluante pour laquelle les juifs ashkénazes de Russie devaient être déplacés en Palestine.
Cependant, le seul groupe de juifs dont il avait un droit quelconque de considérer l’intérêt, ceux d’Angleterre, avaient travaillé dur pour le dissuader de se faire empêtrer dans le sionisme, et il émit une dernière et faible objection : « C’est curieux, Dr Weizmann, les juifs que je rencontre sont tout à fait différents ». Le Dr Weizmann répondit : « M. Balfour, vous rencontrez le mauvais type de juif. M. Balfour ne remit plus jamais en doute la prétentino des sionistes de Russie à être le bon type de juif. »
« Un certain M. Olivier Locker-Lampson, un député conservateur du début de ce siècle, écrivit en 1952, dans un hebdomadaire londonien : « Winston, Lloyd George, Balfour et moi avons été élevés comme de vigoureux protestants, qui croient en l’arrivée d’un nouveau Sauveur quand la Palestine sera restituée aux juifs. » C’est l’idée messianique des millénaristes de Cromwell, imposée au XXe siècle. C’est cela la véritable base du protestantisme, qu’il soit vigoureux ou autre.
La Première Guerre mondiale commença avec les sionistes et ces Protestants Vigoureux qui ambitionnaient d’accéder au pouvoir,
afin qu’ils puissent détourner les opérations militaires en Europe en faveur de la cause qui avait pour but de procurer la Palestine aux sionistes.»
document :
Discours de Benjamin Freedman en 1961 sur le sionisme
En l’espace de deux ans, l’Allemagne avait remportée la guerre. Non seulement l’avait remportée nominalement mais aussi réellement. Les sous marins allemands, qui furent une totale surprise pour le monde, avaient balayé tous les convois de l’Océan Atlantique. La Grande Bretagne se trouvait sans munitions pour ses soldats, avec une juste une seule semaine de ravitaillement, et après cela, c’était la famine. Au même moment l’armée française s’était mutinée. Ils avaient perdus 600 000 soldats à la fleur de l’age dans les batailles de défense de Verdun et de la Somme. L’armée russe avait déserté ; ils ne voulaient plus jouer à la guerre et avaient raccroché leur ‘jouet’ pour retourner à la maison ; d’ailleurs ils détestaient leur Tsar. Quant à l’armée italienne, elle s’était littéralement décomposée. Durant exactement la même période, pas un seul coup de feu n’avait encore été tiré en territoire allemand, pas un seul soldat ennemi n’avait encore franchi la frontière allemande.
Pourtant, l’Allemagne proposait un accord de paix. Ils offraient à l’Angleterre une paix négociée appelée par les juristes un ’’STATUS QUO ANTE BASIS ’’ signifiant, « cessons le combat et retournons aux conditions d’avant la guerre.»
L’ANGLETERRE ENVISAGE LA PAIX, INTERVENTION SIONISTE POUR IMPLIQUER LES USA
Durant l’été 1916, l’Angleterre considérait sérieusement cette proposition. Ils n’avaient d’ailleurs pas le choix. C’était soit accepter cette offre de paix noblement proposée par les allemands, soit aller vers une défaite certaine.
Tandis que cela ce discutait, les sionistes de l’Europe de l’Est rencontrèrent le British War Cabinet. Je vais être bref, car ceci est une longue histoire ; mais je détiens tous les documents prouvant mes déclarations. Ils dirent : « Écoutez nous, vous pouvez encore remporter cette guerre….ne baissez pas les bras… vous n’êtes pas obligé d’accepter la proposition de paix faite par l’Allemagne. Vous pourriez gagner cette guerre si l’Amérique venait à vos cotés en tant qu’alliée. » Les USA étaient alors hors du conflit. Nous étions jeunes, nous étions innocents, nous étions puissants. Ils dirent à l’Angleterre : « Nous vous garantissons d’embarquer les USA contre l’Allemagne dans cette guerre, si vous nous promettiez la Palestine après la victoire ».
En d’autres termes ils firent ce pacte : « Nous nous chargeons de ramener les USA en tant qu’allié ; le prix à payer sera la Palestine, après bien sûr, la défaite de l’Allemagne, Autriche-Hongrie, et Turquie. » L’Angleterre avait autant de légitimité de promettre la Palestine à quiconque, qu’aurait les USA de promettre le Japon à l’Irlande pour quelque raison que ce soit. Il est absolument absurde que la Grande Bretagne, qui d’ailleurs n’a jamais eu aucun lien en quoi que ce soit ou même un intérêt quelconque, pas plus que de droit par rapport à ce qui est connu en tant que « Palestine » ; aurait à l’offrir comme part du gâteau pour payer les sionistes en service de leurs actions à faire combattre les USA contre l’Allemagne.
OCT. 1916 : LES SIONISTES FONT ENTRER LES USA EN GUERRE – DECLARATION BALFOUR
En Octobre 1916 cette promesse fut faite malgré tout. Peu de temps après cela, je ne sais pas combien de vous s’en souviennent, les USA qui était presque totalement ’’pro Allemand’’, soudainement entrait en guerre aux cotés des britanniques.
Je répète que les USA était quasiment pro Allemand ; parce que les journaux étaient tous contrôlés par des juifs, les banquiers étaient juifs, toute l’industrie des mass média et de l’information dans ce pays était sous contrôle juif. Et il s’avère que les juifs étaient pro Allemand. Parce que beaucoup d’entre eux étaient venus d’Allemagne, et ils ne rêvaient que d’une chose, voir les allemands faire abdiquer le Tsar. De tous temps les juifs n’ont jamais aimé le Tsar de Russie et ils ne voulaient pas le voir remporter la guerre. Ces banquiers juifs allemands, comme Kuhn&Loeb, et beaucoup d’autres banques américaines, simplement refusaient de financer la France ou l’Angleterre du moindre sou.
Par contre, ils versèrent des sommes colossales à l’Allemagne. Ils avaient choisi leur camp depuis le début de la guerre. Ils dirent : « tant que l’Angleterre et la France sont liés avec la Russie, ils n’encaisseront pas le moindre Dollar». Ils procurèrent à l’Allemagne des fonds monétaires pour défaire la Russie.
Donc, ces mêmes banquiers juifs réalisant la possibilité de décrocher la Palestine, se rendirent en Angleterre et firent ce pacte. A ce moment précis, tout changea, comme un feu rouge qui tournerait au vert. Quand bien même les journaux avaient été tous pro Allemand ; disant à l’opinion publique les difficultés qu’avaient l’Allemagne à combattre économiquement la Grande Bretagne et en d’autres secteurs. Soudainement les allemands devinrent mauvais, tout d’un coup ils étaient horribles, maintenant c’étaient des ‘‘Huns’’ qui se mettaient soit disant à tirer sur les ambulances de la croix rouge et découpaient les mains des enfants.
Peu de temps après cela, le président Wilson déclara la guerre à l’Allemagne. Les sionistes de Londres avaient alors envoyé un télégraphe aux USA à l’adresse du juge Brandeiss lui disant : « Occupez vous de Wilson, on a eu ce qu’on voulait de Londres. Débrouillez vous pour engager les USA dans le conflit». Voila comment les USA entrèrent dans la première guerre mondiale.
Nous n’y avions aucun intérêt, nous n’avions aucun droit d’être dans ce conflit, pas plus que d’être par exemple ce soir sur la Lune ou en tout autre lieu ailleurs que dans cette salle. Il n’y avait aucune raison pour que la première guerre mondiale soit notre guerre. On nous piégea et nous y emmena à notre insu ; on nous parachuta dans ce conflit, ou si je puis être vulgaire, on nous ’’aspira’’ dedans. Nous étions ‘‘le dindon de la farce’’, le pigeon d’une arnaque tendue par le sionisme international ; tout simplement pour qu’il puisse s’accaparer la Palestine.
fin du document
document , extraits de la Controverse de Sion de Douglas REED :
M. Herbert Asquith (Premier ministre), Lord Kitchener (Secrétaire à la guerre), Sir Douglas Haig (qui devint le Commandant en Chef en France) et Sir William Robertson (chef d’état-major en France, plus tard Chef de l’état-major impérial), s’opposèrent aux protestants vigoureux et aux sionistes. La guerre en Europe ne supposait pas que des armes et des troupes partent conquérir Jérusalem pour les sionistes.
« Lord Kitchener, qui était de cet avis, avait une autorité immense et une popularité publique. L’objectif militaire primordial, qu’il visait à cette étape, était de garder la Russie dans la guerre (les sionistes voulaient la destruction de la Russie, et en informèrent les Protestants Vigoureux). Lord Kitchener fut envoyé en Russie par M. Asquith en juin 1916. Le croiseur Hampshire, et Lord Kitchener à son bord, disparurent. Les bonnes autorités s’entendent que c’était un homme qui aurait pu soutenir la Russie. Un obstacle formidable, tant à la révolution mondiale là-bas qu’à l’entreprise sioniste, disparut. Le sionisme ne pourrait probablement pas avoir été imposé à l’Occident, s’il avait vécu. Je me rappelle que les soldats sur le front occidental, quand ils entendirent la nouvelle, sentirent qu’ils avaient perdu une bataille majeure. Leur intuition était plus vraie qu’ils ne le savaient.
Le 6 décembre 1916, M. Balfour (qui avait démissionné sur l’ordre de M. Lloyd George) se sentit suffisamment bien pour recevoir M. Lloyd George. Cet après-midi-là, les leaders de parti se rencontrèrent et annoncèrent qu’ils serviraient volontiers sous M. Balfour. M. Balfour déclina, mais offrit volontiers de servir sous M. Lloyd George. M. Lloyd George devint alors Premier ministre et nomma l’incompétent M. Balfour secrétaire des Affaires étrangères. Ainsi, les deux hommes qui s’étaient engagés en secret à soutenir le sionisme accédèrent-elles aux fonctions politiques les plus hautes, et à partir de ce moment-là, les énergies du gouvernement britannique furent dirigées sur l’obtention de la Palestine pour les sionistes, au-dessus de tous les autres buts.
En septembre 1917, il décida que « les troupes requises pour une grande campagne en Palestine pourraient être prises sur le front occidental pendant l’hiver 1917-1918, et pourraient accomplir la tâche en Palestine à temps pour être de retour en France pour le déclenchement du travail actif au printemps. »
Tous savaient que depuis la sortie de la guerre de la Russie tsariste et la mise en place de la révolution communiste, les troupes allemandes allaient venir renforcer le front ouest en France. Le prélèvement de troupes, de matériels et de munitions pour une guerre en Palestine, alors que les troupes américaines inexpérimentées commençaient à peine à débarquer, constituaient donc une menace mortel pour les Alliés. Le général Allenby, sous une pression semblable, fit une tentative de pénétration, découvrit à sa surprise que les Turcs offraient peu d’opposition, et marcha sans trop de difficulté sur Jérusalem.
« M. Lloyd George n’allait plus se contenir. Les troupes furent détournées de la France sans égard pour ce qui était imminent là-bas. Le 6 janvier 1918, Sir Douglas Haig se plaignit de l’affaiblissement de ses armées en France à la veille de la plus importante bataille ; il lui manquait « 114000 fantassins ». Le 10 janvier 1918, le ministère de la Guerre fut forcé d’émettre des ordres pour réduire toutes les divisions de 12 à 9 bataillons d’infanterie.
Le 7 mars 1918, il donna des ordres pour « une campagne décisive » afin de conquérir toute la Palestine, et y envoya le général Smuts pour donner des instructions en conséquence au général Allenby.
Le 21 mars 1918, l’attaque allemande tant attendue en France commença, incorporant tous les hommes, armes et avions libérés du front russe.
La « campagne décisive » en Palestine fut immédiatement suspendue, et chaque homme qui pouvait être extirpé de Palestine fut envoyé d’urgence en France. Le nombre total d’hommes employés en Palestine était de 1 192 511 jusqu’en octobre 1918 (le général Robertson).
Le 27 mars 1918, le colonel Repington écrivit : « C’est la pire défaite dans l’histoire de l’armée. » Le 6 juin, les Allemands déclarèrent 175 000 prisonniers et plus de 2 000 fusils.»
Finalement le front ne céda pas et les troupes américaines commencèrent leur participation à la nouvelle offensive victorieuse de 1918.
La Palestine libérée de l’empire turque ne devint pas un état sioniste. Il fallait que la Société des Nations sous l’emprise américaine négocie un accord pour légitimer cet état sioniste.
« M. Lloyd George avait rempli son rôle et son temps était bientôt terminé. Le lecteur peut maintenant tourner les yeux de l’autre côté de l’Atlantique et voir à quoi s’emploient M. House, M. Brandeis et le rabbin Stephen Wise. Un certain M. Woodrow Wilson joue un vague rôle dans ces opérations.»
Le gouvernement américain dirigé par les Administrateurs du Centre talmudique ashkénaze.
Douglas REED explique comment le système électoral américain s’est transformé pour donner le pouvoir au parti politique soutenu par ce centre talmudique de New York et financé par les familles de banquiers propriétaires de la Réserve Fédérale qu’ils ont créée justement grâce au Président qu’il venait de faire élire. Ces explication sont disponibles gratuitement en fichier PDF, nous n’allons pas les reprendre ici pour ne pas allonger davantage cette seconde partie de ce chapitre.
Dans l’Amérique du président Wilson, le vrai président était M. House
« Dans l’Amérique du président Wilson, le vrai président était M. House (« l’officier de liaison entre l’administration de Wilson et le mouvement sioniste », le rabbin Wise). Le juge Brandeis, qui avait décidé de « donner sa vie » au sionisme, était le « conseiller présidentiel sur la question juive » (Dr Weizmann) ; c’est la première apparition dans la famille présidentielle d’une autorité jusque-là inconnue et dorénavant apparemment permanente. L’organisateur sioniste en chef était le rabbin Wise, en contact constant avec les deux autres hommes.
Le Parti démocrate devait, en fait, devoir ses victoires en 1912 et 1916, aussi bien que les victoires du président Roosevelt et du président Truman en 1932, 1936, 1940, 1944 et 1948, à l’application du plan de M. House.
En essence, c’était un plan pour obtenir le votes massif des « natifs de l’étranger » — les nouveaux immigrés — en faveur du Parti démocrate, en faisant appel à leurs sentiments raciaux et leur réflexes émotionnels particuliers. Il fut mis au point de façon très détaillée, et réalisé d’une main de maître, dans cette branche particulière que sont les sciences politiques.
M. Wilson, dans sa préparation à la campagne, fit un discours sur « Les droits des juifs ». M. Wilson proclama dans les faits ce refus. Il déclarait spécifiquement que « l’identité » juive était différente et séparée, et que l’Amérique, sous lui, soutiendrait cette auto-ségrégation comme une cause.
Pour les initiés, c’était un engagement envers le sionisme. C’était aussi une allusion et une menace indirectes à la Russie, car l’implication des mots de M. Wilson était qu’il reconnaissait les juifs en Russie (qui étaient alors les seuls sionistes organisés) en tant que représentants de tous les juifs. Ainsi, il reprit le rôle de Balfour dans la production américaine de ce drame.
En décembre 1911, M. Wilson, le candidat, faisait son discours exprimant « un sentiment d’identité » avec « la cause » juive. En novembre 1911, M. Wilson avait pour la première fois rencontré l’homme, M. House, qui l’avait « choisi » en 1910 (et qui avait alors déjà « aligné tous mes amis politiques et partisans » sur le soutien de M. Wilson). M. House annonça à son beau-frère : « Jamais auparavant n’ai-je trouvé à la fois l’homme et l’opportunité. »
Ainsi, trois des quatre hommes dans l’entourage de M. Wilson étaient des juifs et tous les trois, à une étape ou une autre, jouèrent des rôles majeurs en promouvant la re-ségrégation des juifs par le biais du sionisme et de son ambition palestinienne.
Ainsi, quelqu’un « dirigea » M. House, qui dirigea M. Wilson, vers la conclusion qu’un groupe d’hommes dans les régions talmudiques de Russie devaient être mis en possession de la Palestine, avec la conséquence évidente qu’une source permanente de guerre mondiale serait établie là-bas, et que les juifs du monde seraient à nouveau isolés de l’humanité. Dans ce plan, la destruction de la Russie et la diffusion de la révolution mondiale étaient aussi impliquées de manière prévisible.
De 1914 à 1916, ainsi, l’histoire devient celle de la lutte pour destituer ces hommes en Angleterre, et les supplanter par d’autres qui, comme M. Wilson, s’aligneraient.
Le 30 mai 1915, M. House « conclut [confidentiellement] que la guerre avec l’Allemagne est inévitable », et en juin 1916, il inventa le slogan gagnant pour l’élection, pour la seconde campagne de M. Wilson : « Il nous a préservés de la guerre ».
Puis, le 27 mars 1917, le président Wilson demanda à M. House « s’il devait demander au Congrès de déclarer la guerre ou s’il devait dire qu’ils étaient en état de guerre », et M. House « conseilla la deuxième option », si bien que les Américains furent informés, le 2 avril 1917, qu’ils étaient en état de guerre. Entre novembre 1916 et avril 1917, donc, « la toile d’intrigue » en traversant l’océan, réalisa ces buts décisifs : le renversement de M. Asquith en faveur de M. Lloyd George, l’engagement des armées britanniques dans la diversion palestinienne, la réélection d’un président qui serait contraint de soutenir cette entreprise, et l’implication de l’Amérique.
Étrangement, M. Woodrow Wilson, le plus docile d’entre tous, se rebella au début, de la façon la plus plaintive, contre les contraintes secrètes. Il essaya de déclarer, comme on l’a montré, que « les causes et les objectifs de la guerre sont obscurs », et quand M. House lui interdit cela, il avoua quand-même que les belligérants des deux côtés poursuivaient « les mêmes » objectifs. Il alla plus loin au tout début de sa présidence, quand il écrivit :
« C’est une chose intolérable que le gouvernement de la République soit devenu à ce point hors d’atteinte du peuple ; qu’il ait été capturé par des intérêts qui sont spécifiques et non généraux. Nous savons que quelque chose intervient entre le peuple des États-Unis et le contrôle de ses propres affaires à Washington. » Vraisemblablement, il apprit la nature de ces « intérêts » et de ce « contrôle », et cette connaissance exaspérante causa peut-être sa chute (et celle de M. Roosevelt à la génération suivante). Néanmoins, il fut utilisé pour lancer le plan destiné à établir « une fédération mondiale », basée sur la force.»
M. Roosevelt (comme M. Wilson, M. Lloyd George et le général Smuts) fut manifestement choisi avant d’être élu.
« Puis, quelque chose tourna mal. M. House était certain que le président Roosevelt lui rendrait visite, mais se rendit alors compte que « certaines personnes ne veulent pas que le président m’écoute ». Ces gens étaient manifestement trop forts, car M. House fut abandonné sans aucune courtoisie, et disparaît de l’histoire à ce moment-là (1933).
À part ce groupe distinct de jeunes hommes apparemment formés, pendant les premières années de fonction du président Roosevelt, pour reprendre le département d’État, le président fut accompagné au plus haut niveau par un groupe de conseillers juifs. M. Henry Morgenthau junior (un sioniste majeur, dont le « Plan Morgenthau » de 1944 fut la base originale du partage en deux de l’Europe en 1945) fut son ministre des Finances pendant onze des douze années. D’autres associés intimes étaient le sénateur Herbert Lehman (un autre sioniste majeur qui prit une grande part à la promotion du « deuxième Exode » de l’Europe en 1945-1946, qui mena à la guerre en Palestine), le juge Samuel Rosenmann (un résident hôte de la Maison Blanche, qui aidait à écrire les discours de M. Roosevelt), M. David Niles (de parentée russe, et pendant de nombreuses années « le conseiller sur les affaires juives » de M. Roosevelt et de son successeur), M. Benjamin Cohen (un auteur de la Déclaration Balfour en 1917, et un autre sioniste important), et trois juifs de Russie, Messieurs Sidney Hillman, Isador Lubin et Léo Pasvolsky.
M. Roosevelt se fortifia par sa politique de « déficit de dépense », dont la théorie de base était que la quantité de dette publique était sans importance, comme l’État la devait seulement à lui-même. À ce stade, les Américains perdirent et n’ont depuis jamais regagné le contrôle du trésor public, et l’occupant de la Maison Blanche est devenu à même, d’un trait de plume, d’ordonner des dépenses qui auraient à une époque précédente couvert les budgets annuels d’une demi-douzaine d’États économes. M. Roosevelt acquit ces pouvoirs en invoquant le besoin de vaincre « la Crise », et il provoqua l’Urgence permanente dans laquelle son pays vit toujours.»
Remarque :
La politique keynésienne du New Deal fut financée par les banquiers propriétaires de la Réserve Fédérale. « comme l’État la devait seulement à lui-même » signifie que l’état a utilisé des Bons du Trésor sans emprunter auprès des banquiers, comme Abraham Lincoln l’avait fait et plus tard John Kennedy voulut le faire.
Dans notre chapitre sur le management par les banquiers de la seconde guerre mondiale, nous avons repris l’histoire du choix d’Hitler et de son parti contre la menace du parti communiste allemand, grand favori des élections législatives.
Nous recopions ici notre texte :
Dans les élections législatives de la fin 1932 il a perdu plus d’un million de voix. C’était la ruine et Hitler envisageait le suicide… En revanche les communistes avaient augmenté leurs scores et avec la social démocratie ils avaient la majorité.
Mais la social démocratie sous prétexte de lutter contre Hitler avait fait élire aux présidentielles précédentes, le vieux maréchal Hindenburg. Celui-ci avec accord des junkers, des forces conservatrices de l’armée et des barons de la Rhur inquiets devant l’échec de leur protégé Hitler l’ont appelé comme chancelier flanqué de Von Papen qui était sensé le surveiller…
Le journaliste américain Huber R. Knickerbocker, correspondant à l’étranger du service international d’information du magnant américain de la presse William Randolph Hearst, grand admirateur d’Hitler, écrivit dans le Vossiche Zeitung, un prestigieux journal libéral-bourgeois :
” Si Hitler n’accède pas au pouvoir, ses partisans au sein du peuple vont laisser son parti en plan. Ils s’uniront avec les communistes et les éléments vraiment socialistes à l’intérieur du SPD. Ils formeront ainsi une force irrésistible. Ils renverseront le capitalisme [en Allemagne]”.
…/… Pour empêcher ce scénario, les hommes les plus puissants et les plus riches d’Allemagne devaient agir sans tarder. Et c’est ce qu’ils firent, en coulisse essentiellement.
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Le big business allemand a choisi l’” option fasciste ” à un moment précis de son histoire. Ce moment fut celui où industriels et banquiers décidèrent que l’établissement d’une dictature fasciste était le seul moyen d’empêcher une victoire communiste aux élections et, en même temps, de s’assurer que l’État allemand se décide à résoudre la crise économique à leur façon, c’est à dire par une politique sociale régressive et une politique économique basée sur le réarmement, en d’autres mots : à leur profit.
Ceci correspond à l’analyse politique, économique et financière. Dans l’approche sioniste qui contrôlait le pouvoir de Roosevelt, la menace d’une victoire électorale des communistes allemands signifiait l’anéantissement complet de leur plan.
Ce parti issu du socialisme scientifique allemand n’avait rien à voir avec la révolution bolchevique dirigée par la centrale talmudique de New York en relation étroite avec les juifs sionistes russes. Les communistes allemands qui nous pourrions préciser non juifs ashkénazes russes, évidemment ne déclareraient pas la guerre à l’Union soviétique et pire, ils demanderaient à rejoindre l’Internationale communiste pour partager sa direction avec d’autres missions non fondées sur le Talmud pour rester simple et bref.
Par contre le parti national socialiste d’Hitler fut organisé sur le modèle communiste russe, ce que les sionistes américains savaient peut-être.
« Le dossier de la police de Vienne concernant le début de sa carrière (d’Hitler) a apparemment disparu. Le capitaine Rœhm, qui fut son dernier chef de l’Armée brune, déclara à l’un des officiers des chemises brunes (qui me le rapporta) que, lorsqu’en 1919, les troupes bavaroises chassèrent le gouvernement bolchevique de Munich, Adolf Hitler, qui était encore un inconnu, fut fait prisonnier avec le garde du corps de Léviné, l’émissaire de Moscou, et réussit à sauver sa peau en devenant informateur (cela pourrait expliquer pourquoi Rœhm, détenteur d’informations à charge, fut supprimé par Hitler à son arrivée au pouvoir). La proposition de dénomination initialement faite par Hitler lui-même pour le Parti national-socialiste était « le Parti social révolutionnaire » ; il se décrivit lui même comme étant « l’exécuteur du marxisme » (non pas l’exterminateur) ; et il déclara à Hermann Rauschning qu’il avait construit son organisation sur le modèle communiste.»
Roosevelt depuis son bureau présidentiel choisit de soutenir la parti nazi de Hitler et finalement Hitler fut élu de justesse avant de mener un coup d’état pour interdire tous les autres partis politiques démocratiques.
« Les sionistes gardèrent leur siège à Berlin tant qu’ils pensaient qu’une Allemagne victorieuse pourrait installer la « patrie juive » en Palestine, et ne le transférèrent que quand ils virent que la victoire se trouvait à l’Ouest.»
Nous en restons là pour Roosevelt, précédemment nous avons indiqué les propos qu’il a tenu avec Staline à Yalta. En effet, il fut sioniste !
La création de l’état sioniste d’Israël
« À nouveau, les dates ont une grande importance. Le 13 mai 1948, le Dr Weizmann rencontra le président Truman ; la course à la candidature pour la présidence se profilait, suivie des élections présidentielles quelques mois plus tard, c’était donc le moment idéal pour exercer une « pression irrésistible ». Le Dr Weizmann informa le président Truman que le mandat britannique prendrait fin le 15 mai et qu’un gouvernement provisoire reprendrait la gestion de « L’État juif ». Il insista pour que les États-Unis le reconnaissent « rapidement », ce que le président s’empressa de faire avec zèle.
Le 14 mai (heure palestinienne), les sionistes de Tel Aviv proclamaient la création de leur nouvel État. Quelques minutes plus tard, « une information officieuse » atteignait Lake Success, affirmant que le président Truman l’avait reconnu. Les délégués américains (qui n’avaient pas été informés) « étaient incrédules », mais « après de nombreuses hésitations », ils prirent contact avec la Maison Blanche et en reçurent les instructions du Dr Weizmann, transmises par l’intermédiaire du président. Le Dr Weizmann se rendit immédiatement à Washington en tant que président du nouvel État, et le président Truman accueillit son invité, annonçant par la suite que le moment de la reconnaissance fut « le moment de sa vie dont il est le plus fier ».
Parmi les opposants juifs à cette emprise sioniste, Albert Einstein :
De tout temps, il y a eu des intellectuels juifs, qui, par leur intelligence et leur perspicacité, ont été des passeurs de lumière. Albert Einstein était un de ceux-là. Au crépuscule de sa vie, et bien avant la création de l’État d’Israël sur la terre palestinienne en 1948, il écrivait ceci:
« J’aimerais infiniment mieux un accord raisonnable avec les Arabes sur la base de vivre ensemble en paix, que la création d’un État Juif. A part les considérations pratiques, la manière dont je conçois la nature essentielle du judaïsme résiste à l’idée d’un État juif, avec des frontières, une armée et une certaine mesure de pouvoir temporel, quelque modeste qu’il soit. J’ai peur des dégâts internes que cela entraînerait pour le judaïsme, et surtout du développement d’un nationalisme étroit dans nos propres rangs ».
«Dr Albert Einstein avait la même opinion : « Ma perception de la nature profonde du judaïsme est incompatible avec la notion d’un État juif entouré de frontières, d’une armée et de quantité de pouvoirs temporels, même s’ils sont limités ; j’ai peur des dégâts internes que le judaïsme devra endurer », mais c’est le seul point de vue qui offre à la communauté juive l’espoir d’échapper définitivement au sionisme des Khazars.»Source de ce texte
La lettre ouverte d’Albert Einstein et d’Hannah Arendt en 1948 après un massacre commis par l’armée de Beguin.
Document, extraits :
Lettre d’Albert Einstein sur les objectifs de M. Menahem Begin (massacre du village Arabe de Deir Yassine) Texte publié (2 décembre 1948) republié USA – 02-03-2008 (Source : ISM) Lettre adressée au New-York Times par Albert Einstein et d’autres juifs progressistes au sujet de Menahim Begin et de l’entité sioniste.
Par Albert Einstein Albert Einstein et d’autres personnalités Juives (voir la liste ci-dessous des personnalités qui ont signé cette lettre publiée dans le New-York Times le 2 décembre 1948 Avant que des dommages irréparables soient faits par des contributions financières, des manifestations publiques en soutien à Begin et avant de donner l’impression en Palestine qu’une grande partie de l’Amérique soutiendrait des éléments fascistes en Palestine occupée, le public américain doit être informé sur le passé et les objectifs de Menahem Begin et de son mouvement. Aujourd’hui ils parlent de liberté, de démocratie et d’anti-impérialisme, alors que jusqu’à récemment ils ont prêché ouvertement la doctrine de l’État Fasciste.
…/… L’incident de Deir Yassin illustre le caractère et les actions du Parti de la Liberté. Au sein de la communauté Juive, ils ont prêché un mélange d’ultra-nationalisme, de mysticisme religieux, et de supériorité raciale. Comme d’autres partis Fascistes, ils ont été utilisés pour casser les grèves, et ont eux-mêmes encouragé la destruction des syndicats libres.
…/… Les hommes du Parti de la Liberté n’ont pas pris part dans les accomplissements constructifs en Palestine. Ils n’ont repris aucune terre, n’ont construit aucune colonie, et ont seulement amoindri l’activité de la Défense Juive. Leurs efforts dans l’immigration très publicisés étaient minutieux, et consacrés principalement à faire venir des compatriotes fascistes.
…/… C’est le timbre indubitable d’un parti fasciste pour qui le terrorisme (contre les Juifs, les Arabes, ainsi que les Britanniques), et les fausses déclarations sont des moyens, et un “Etat Leader” est l’objectif. À la lumière des observations précédentes, il est impératif que la vérité au sujet de M. Begin et de son mouvement soit connue dans ce pays. Il est encore plus tragique que la haute direction du Sionisme américain ait refusé de faire campagne contre les efforts de Begin, ou même d’exposer à ses propres éléments les dangers pour Israël que représente le soutien à Begin.
Les soussignés prennent donc ces moyens pour présenter publiquement quelques faits frappants au sujet de Begin et de son parti ; et pour recommander à tous ceux qui sont concernés de ne pas soutenir cette dernière manifestation du fascisme.
ISIDORE ABRAMOWITZ, HANNAH ARENDT, ABRAHAM BRICK, RABBI JESSURUN CARDOZO, ALBERT EINSTEIN, etc.
source :
fin du document.
« En 1951, les statistiques du gouvernement israélien montraient qu’au sein de la « majorité » qui avait été constituée (approximativement 1 400 000 juifs), 1 061 000 personnes étaient nées à l’étranger, et parmi celles-ci, 577 000 venaient des pays communistes situés au-delà du Rideau de Fer, pays où les non-juifs n’avaient pas le droit de se déplacer ne serait-ce que d’une ville à une autre sans autorisation de la police ou de quel qu’autre autorité. (L’essentiel des 484 000 restants étaient des juifs nord-africains ou asiatiques qui arrivèrent après l’établissement de l’État, et donc ne participèrent pas à sa violente appropriation).
…/… Ce fut la première conséquence majeure de l’ordre donné par le général Eisenhower — sous la direction du président Roosevelt — d’arrêter les forces alliées à l’ouest de la ligne Berlin-Vienne, et de permettre que la Tchécoslovaquie revienne aux Soviétiques ; les armes venaient de ce pays annexé, où le grand arsenal Skoda, suite à cet ordre, était simplement passé des nazis aux communistes. Quelques semaines après que le président Truman eut reconnu l’État sioniste, le New York Herald Tribune publia ce reportage en provenance d’Israël :
« Le prestige russe s’est extrêmement accru au sein de toutes les familles politiques …De par son soutien constant à la cause israélienne au sein des Nations unies, l’Union soviétique a augmenté son crédit auprès des sympathisants de gauche, de droite et des modérés. Fait peu connu et peut être encore plus important pour une nouvelle nation combattant pour son existence : la Russie a fourni une aide matérielle lorsqu’une aide matérielle était nécessaire … La Russie a ouvert ses arsenaux militaires à Israël. Les juifs ont réalisé certains de leur achats les plus importants et probablement les plus volumineux auprès de la Tchécoslovaquie, nation satellite de l’Union soviétique. Certaines livraisons d’armes tchèques à Israël à des moments critiques de la guerre ont joué un rôle capital …Lorsque les troupes juives ont défilé la semaine dernière le long de la rue Allenby à Tel Aviv, de nouveaux fusils tchécoslovaques sont apparus à l’épaule des soldats d’infanterie » (5 août 1948).»
« L’Allemagne de l’Ouest fut contrainte de prendre en charge une large part des coûts d’armement et de développement du nouvel État ; avec cela, la probabilité d’un autre confit majeur augmenta, et les perspectives pour les Arabes s’assombrirent encore plus. L’État sioniste était soutenu dans tous les domaines, et les fruits de ce soutien apparurent immédiatement. La mise sous « pression » du gouvernement ouest-allemand dans cette affaire fut le dernier acte marquant de la politique d’État américaine sous la présidence de M. Truman, dont le mandat touchait à sa fin.»
Nous arrêtons ici nos extraits du livre de Douglas REED.
Les pratiques que nous venons de présenter ne sont pas arrêtées. Simplement il n’y a pas eu, semble-t-il un successeur capable de poursuivre le travail de REED. Nous savons que les médias ne sont plus indépendants comme à son époque.
Israël, principal bénéficiaire de l’élimination des Kennedy
document :
L’élimination de John Fitzgerald Kennedy et de son frère Robert Kennedy n’a rien de fortuit. Elle répond à une nécessité stratégique pour Israël, confronté à l’hostilité ferme de JFK face au développement de l’arsenal nucléaire à Dimona. John Kennedy avait engagé une pression sans précédent sur le gouvernement israélien pour faire cesser son programme nucléaire clandestin, exigeant des inspections internationales sur le site. Cette politique heurtait directement les ambitions de Tel-Aviv, pour qui l’obtention de l’arme atomique était vitale dans une région hostile.
Après la mort de JFK, l’administration Johnson a enterré les exigences sur Dimona et s’est alignée sans réserve sur les intérêts d’Israël. L’assassinat de Robert Kennedy en 1968 poursuit cette logique : Bob, candidat favori à la présidentielle, portait l’héritage de son frère et incarnait une politique étrangère indépendante et anti-interventionniste. Sa mort a définitivement éliminé toute opposition sérieuse à la mainmise d’Israël sur la diplomatie américaine. L’État profond, allié aux réseaux sionistes, a ainsi verrouillé l’évolution géopolitique des États-Unis pour les décennies suivantes.
Cette analyse, renforcée par les révélations issues des dossiers déclassifiés, impose une lecture lucide : les Kennedy ont été abattus non par hasard, mais pour purger le système politique américain de toute velléité d’indépendance. Israël, allié stratégique et discret, s’est imposé comme l’un des grands vainqueurs de cette tragédie nationale.
Les archives récemment déclassifiées dévoilent des liens troublants entre des agents du Mossad et des figures-clés du dossier Kennedy. Des noms apparaissent, des rencontres secrètes sont confirmées, et des flux d’argent transitant par des circuits liés au lobby pro-israélien sont identifiés. La version officielle, déjà fragilisée, s’effondre sous le poids de ces nouvelles preuves, impossibles à écarter d’un revers de main.
Les connexions entre les réseaux mafieux américains et les services israéliens se dessinent désormais avec une précision glaçante. Des personnalités comme Meyer Lansky, parrain incontesté de la mafia pro-sioniste, jouent un rôle d’intermédiaire entre les intérêts d’Israël et ceux de certaines agences américaines. Ces révélations attestent que le Mossad n’a pas seulement observé les événements de loin : il a été un acteur direct, coordonnant avec des éléments infiltrés dans les cercles de pouvoir aux États-Unis.
L’ampleur du mensonge historique est à la mesure du crime. Depuis plus de cinquante ans, la société américaine vit sous une illusion soigneusement entretenue, masquant l’opération politique la plus décisive de son histoire contemporaine. La déclassification partielle révèle aujourd’hui que le « complot » était en réalité la stratégie officielle des puissances de l’ombre, et qu’Israël en fut un moteur essentiel.
source : Assassinats des Kennedy : la trahison d’Israël bientôt officielle ? date : 27 avril 2025.
l’actualité de ce système de pouvoir théocratique

Nous ne retenons ici qu’un dernier exemple significatif du contrôle du Centre talmudique de New York sur la vie politique américaine.
Les chrétiens sionistes soutiennent en 2024 l’élection de Trump
Non, chrétiens-sionistes n’est un pas oxymore littéraire destiné à surprendre l’attention des lecteurs avertis sur ces questions des théocraties et de leurs dogmes religieux.
Document :

Le sionisme chrétien, une influence majeure sur la nouvelle administration Trump
Publié: 18 janvier 2025, 14:48 CET
source :
Au nom d’une interprétation spécifique de la Bible, un courant très puissant aux États-Unis prône un soutien indéfectible au gouvernement israélien, spécialement en ce moment. Ce courant est très actif autour de Donald Trump et plusieurs de ses représentants occuperont des postes clés dans sa prochaine administration.
Depuis une dizaine d’années, une nouvelle idéologie s’est fabriquée autour du candidat républicain devenu président en 2016 et réélu en 2024 : le nationalisme chrétien. Cette synthèse de circonstance joue sur la corde d’une identité américaine chrétienne « de toujours » qui serait menacée par des ennemis intérieurs, mais que Donald Trump – l’élu du peuple – et de Dieu – va protéger et restaurer, de même qu’il va relever la grande Amérique, nation chérie de la Providence.
Le nationalisme chrétien qui définit l’ère Trump a une dimension sioniste assumée, malgré son isolationnisme officiel. Cette dimension est plus ancienne que le nationalisme chrétien. Depuis les années 1970-1980, le Parti républicain a progressivement incorporé, avec la pression exercée sur lui par la droite chrétienne, une grille de lecture religieuse de l’État contemporain d’Israël qui semble être devenue commune parmi ses membres et l’entourage de D. Trump.
Une veine méconnue
Cette grille de lecture provient d’un courant politico-religieux ancien et influent dans le monde évangélique qui reste cependant méconnu : le sionisme chrétien. Longtemps négligé dans l’historiographie du sionisme, surtout francophone, ce mouvement mérite une attention particulière, pour son impact potentiel sur l’appréhension du conflit israélo-palestinien par la droite américaine
Apparu au milieu du XIXᵉ siècle au Royaume-Uni puis en Amérique du Nord, le sionisme chrétien s’est répandu mondialement à partir des années 1970. Ses racines plongent dans certaines interprétations évangéliques de la Bible, prônant un soutien inconditionnel à l’État d’Israël, dont la création, puis la consolidation de son caractère juif et la conformation de ses frontières avec celles (supposées) de l’Israël biblique, sont perçues comme cruciales dans l’accomplissement des prophéties. Les partisans du sionisme chrétien croient fermement en l’idée du « retour » des Juifs, c’est-à-dire la réunification des Juifs dispersés et la « restauration » de leur souveraineté sur la terre qui leur avait été donnée par Dieu. Une vision qui conduit à l’invisibilisation du peuple palestinien.
Pour les sionistes chrétiens, le soutien à Israël est un devoir religieux et patriotique. Le biblicisme présent dans l’imaginaire national américain à travers la notion d’élection, ou l’idée que l’Amérique est la nouvelle terre promise, nourrit en miroir l’insécabilité de l’histoire des États-Unis et d’Israël. Aussi, pour de nombreux évangéliques américains, leur destin national et individuel est intimement lié à celui d’Israël et du peuple juif. Comme si l’imaginaire national de l’Alliance nouvelle, passée entre Dieu et le Peuple américain, à l’instar de la première Alliance divine avec le peuple juif, cédait le pas au profit d’un Covenant trinitaire, où la destinée des Américains et celle des Juifs d’Israël étaient devenues concomitantes dans le plan de Dieu.
Au début du XXe siècle, le sionisme chrétien a su se forger une place de choix sur la scène politique américaine, grâce à l’engagement fervent de millions de partisans et à leur capacité à mobiliser des ressources considérables. Dans les années 1930-1940, aux États-Unis, comme au Royaume-Uni et au Canada, des organisations juives sionistes ont aidé à structurer ce soutien en formant des comités pro-sionistes composés de non-Juifs tels que l’American Palestine Committee.
Dans les années 1970, face à la menace des armées arabes coalisées contre Israël, une alliance politique se forme entre les dirigeants israéliens, comme Menahem Begin et les sionistes évangéliques américains, alliance que reprendra Benyamin Nétanyahou à partir des années 2000.
Une militance récente
Les années 1990 voient la multiplication des organisations sionistes chrétiennes aux États-Unis en même temps qu’une nouvelle pression politique, issue du monde évangélique, qui représente 25-30 % de la population à cette époque comme aujourd’hui et qui pèse de plus en plus sur les Républicains.
Une organisation appelée à un grand avenir, Christians united for Israël, est fondée en 1992 par le pasteur David Lewis. Portée par un réseau d’églises locales, elle s’appuie sur un ensemble de groupes dont la plupart sont situés dans le sud des États-Unis. On peut citer (entre autres) la Restoration Foundation d’Atlanta, l’Arkansas Institute of Holy Land Studies, l’Hebraic Heritage Ministeries de Houston, le Christian Zionist Congress (fondé en 1996) ou Voices United for Israel (organisation judéo-évangélique) fondée en 1980.
Patiemment cultivée par ces nouveaux lobbies, comme le Christian’s Israel Public Action Campaign (CIPAC, fondé en 1991), la relation aux élus républicains progresse spectaculairement. Plusieurs mesures du Congrès sous domination républicaine résultent de leur lobbying, comme le Jerusalem Embassy Act (1995) qui prône le déplacement de l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem.
D’autres organisations, comme les Christian Friends for Israeli Communities (CFOIC), cherchent à favoriser la politique de colonisation des territoires palestiniens pour des motifs « bibliques ».
Fondé par Ted Beckett en 1995, le groupe CFOIC soutient ouvertement les colonies juives en Judée-Samarie (Cisjordanie) et dans la bande de Gaza, en les liant à des congrégations évangéliques américaines, comme autant de jumelages. Des dizaines d’organisations ont suivi, comme Christ for the Nations, basée à Dallas. Lors de l’anniversaire des cinquante ans de la création de l’État d’Israël, ces groupes ont fait grand bruit, avec une manifestation commune du 29 avril au 3 mai 1998 à Orlando (Floride). Quelques jours plus tôt, Benyamin Nétanyahou prenait la parole lors d’une conférence à Washington, dans le cadre de Voices United for Israel. Il eut ces mots :
« Nous n’avons pas de meilleurs amis et alliés que les gens assis dans cette salle. »
La première moitié des années 2000, après le tournant des attentats de 2001, correspond à la généralisation, parmi les Républicains, d’une approche sioniste religieuse, sous l’effet conjugué de la guerre contre le terrorisme et de l’engagement des lobbies chrétiens pour Israël.
Ainsi, lors d’une visite à la Knesset en juillet 2003, Tom DeLay, alors représentant du Texas et leader de la majorité républicaine de la Chambre des représentants sous l’administration de George W. Bush, se déclare « Israélien de cœur ». Il avait déjà expliqué, en avril 2002, dans un discours improvisé à une conférence mouvementée de l’American Israel Public Affairs Committee (AIPAC) :
« J’ai visité la Judée et la Samarie, je me suis promené dans les rues de Jérusalem, je me suis rendu sur les hauteurs de Golan et je n’ai pas vu de territoires occupés. J’ai vu Israël. »
En 2005, Ariel Sharon procède au retrait israélien de Gaza. Une décision qui suscite une réaction très négative aux États-Unis chez les Républicains et, tout spécialement, chez les évangéliques sionistes. La plupart des sionistes chrétiens (soit plus d’une centaine de groupes distincts), comme les CFOIC déjà cités mais aussi Israel Always d’Earl Cox, Jerusalem Connection de James Hutchens ou encore American Values, le lobby washingtonien de Gary Bauer, font part de leur mécontentement. L’hémorragie cérébrale dont Ariel Sharon est victime en 2006 est considérée comme une punition divine par le fondamentaliste Pat Robertson parce que Sharon, en ordonnant l’évacuation des colonies juives de la bande de Gaza, avait « divisé la terre de Dieu ».
C’est dans ce contexte qu’il faut jauger la renaissance du groupe CUFI (Christians United for Israël), qui passe entre les mains du pasteur texan pentecôtiste John Hagee, alors approché par le Christian Allies Caucus fondé en 2004 à la Knesset d’Israël par des membres du parti ultra-nationaliste d’Avigdor Liberman, Israel Beitenou.
Quelle influence tangible sous Trump 1 ?
Dans les rangs des conservateurs évangéliques du Parti républicain, au moment du changement de présidence de 2008, l’expression sioniste-chrétienne dans les prises de parole est devenue assez fréquente. Par exemple, puisque la Bible ne mentionne pas l’existence d’un peuple palestinien, les Palestiniens n’existent pas, opinion maintes fois exprimée par des Républicains (évangéliques) ultraconservateurs, comme Mike Huckabee, ancien gouverneur de l’Arkansas (1996-2007) et candidat malheureux à la présidentielle de 2008 et à nouveau en 2016.
De même, sous Barack Obama, lors de la négociation d’un accord nucléaire avec l’Iran, un front commun hostile se met en place entre le camp républicain et les organisations sionistes – chrétiennes et non chrétiennes – avec, à la manœuvre médiatrice, l’ambassadeur d’Israël aux États-Unis (2013-2021), Ron Dermer, ami intime de Nétanyahou.
Après l’accord passé avec Téhéran, le fameux JCPoA, John Hagee – qui a accusé Obama d’être le président le plus antisémite de l’histoire – déclare aux milliers de sympathisants de CUFI réunis à Washington en juillet 2015 pour leur sommet annuel que l’accord est un désastre pour la sécurité d’Israël et aussi pour celle des États-Unis, avant de conclure :
« Nous devons soutenir Israël parce que nous sommes “liés par la hanche” et que nous avons, en tant que peuple, une base biblique judéo-chrétienne très solide pour soutenir Israël, qui commence dans le livre de la Genèse et ne s’est jamais arrêtée. »
Au moment de la campagne présidentielle de 2016, de la même manière que Donald Trump promet de redonner aux chrétiens « beaucoup de pouvoir », il promet aussi de « donner des signaux » aux soutiens indéfectibles d’Israël, dans son discours devant l’AIPAC. Et de fait, son premier acte international de président, outre sa visite en Arabie saoudite, est de dénoncer l’accord sur le nucléaire iranien – une mesure unanimement saluée par les Républicains et par les organisations sionistes.
Puis, en décembre 2017, Trump reconnaît Jérusalem comme capitale de l’État d’Israël et y déplace l’ambassade des États-Unis. Selon John Hagee, cette décision historique a été prise grâce à l’influence des CUFI alors que le secrétaire d’État, Rex Tillerson, et celui de la Défense, James Mattis, y auraient été opposés.
De même, c’est au nom de la sécurité d’Israël et de son droit légitime à la sécurité que Donald Trump signe en mars 2017, avec Benyamin Nétanyahou, une déclaration reconnaissant la souveraineté d’Israël sur le plateau du Golan (récupéré en 1967 et annexé en 1981).
Derrière l’argument stratégique pointent des motifs « religieux ». À l’allusion du premier ministre israélien qui voyait dans cette reconnaissance un vrai « miracle de Pourim » – référence à la fête célébrant le sauvetage du peuple juif, par l’intermédiaire d’Esther, face au terrible vizir perse Haman –, le secrétaire d’État Mike Pompeo répond en insistant sur l’appartenance historique du Golan au Royaume d’Israël et sur sa conviction que « Dieu était à l’œuvre » dans l’élévation du président Trump « pour aider à sauver le peuple juif de la menace de la Perse moderne, l’Iran ».
À lire aussi : Conflit israélo-palestinien : le cavalier seul de Donald Trump
Bis repetita ?
L’attitude des organisations sionistes chrétiennes depuis la riposte israélienne aux massacres du 7 octobre 2023 a été on ne peut plus explicite : Israël a le droit absolu de se défendre et les États-Unis doivent lui apporter un soutien sans faille. Le pasteur Hagee, quelque temps avant l’attaque du Hamas, n’hésitait à prédire l’imminence d’une guerre céleste, la bataille d’Armageddon au cœur d’Israël, que les Palestiniens, placés dans le camp des ennemis de Dieu, ne pouvaient que perdre, car, comme l’écrit sur X la CUFI, au soir des massacres perpétrés par le Hamas : « Aux terroristes qui ont choisi ce combat, écoutez ceci, ce que vous faites à Israël, Dieu vous le rendra. Malgré les pleurs d’aujourd’hui, la joie reviendra. Celui qui veille sur Israël, ni ne somnole ni ne dort ».
Mike Huckabee, qui devrait bientôt devenir le prochain ambassadeur des États-Unis en Israël, déclarait déjà en janvier 2017, depuis la colonie Maale Adoumim, à l’est de Jérusalem :
« Il n’y a rien qui s’appelle la Cisjordanie. C’est la Judée et la Samarie. Il y a certains mots que je refuse d’employer. Les colonies n’existent pas, ce sont des communautés, des quartiers, des villes. L’occupation n’existe pas. »
De même, en 2018, le présentateur de Fox News Pete Hegseth, dont Trump veut faire le futur Secrétaire à la défense, excluait toute solution à deux États, martelant qu’il « n’y (avait) qu’un seul État », Israël, dont la souveraineté devait s’exercer sans partage sur « la Judée et la Samarie ».
Marco Rubio, futur secrétaire d’État et actuel sénateur de Floride, de retour d’Israël en mai 2024, accusait Joe Biden d’encourager par sa « faiblesse » les_ « ennemis d’Israël qui sont aussi ceux des États-Unis » – et cela, « quoi qu’en dise la communauté internationale ». Il a mené campagne en septembre 2024 contre la résolution de l’Assemblée générale des Nations unies exigeant le retrait israélien des territoires palestiniens occupés depuis 1967, préférant au contraire célébrer le « droit légitime de l’État juif d’Israël sur sa patrie historique ».
Demain, ces très loyaux soutiens de Donald Trump accepteraient-ils une éventuelle annexion par Israël de la Cisjordanie mais aussi de la bande de Gaza, vidée ou non de sa population ? Les nominations annoncées par le nouveau président laissent à penser que la nouvelle administration pourrait être la plus pro-israélienne de l’histoire américaine. D’ores et déjà, une question se pose : l’accord de cessez-le-feu récemment accepté entre Israël et le Hamas, qui a repris certaines mesures prônées par le président Biden et auparavant restées lettre morte, pourrait-il dissimuler d’autres promesses territoriales, faites par la nouvelle équipe ?
fin du document
autre document, extraits :
Le sionisme protestant évangélique a précédé le sionisme juif de 300 ans,
et c’est ce sionisme protestant qui a posé les fondements idéologiques de la colonie juive qui allait devenir Israël.
Les sionistes chrétiens de l’administration Trump suivent une théologie impériale vieille de plusieurs siècles qui sacralise la conquête, diabolise les Palestiniens et impose un soutien à Israël
Fanatique religieux d’extrême-droite et ancien candidat républicain à la présidence, Mike Huckabee a été gouverneur de l’Arkansas.
Il croit, dans le cadre de son zèle protestant, qu’« il n’existe pas de Palestinien » et que l’identité palestinienne n’est qu’« un outil politique pour tenter d’arracher des terres à Israël ».
Plus récemment, l’ambassadeur a décrit les Palestiniens de Gaza comme des « sauvages méchants et incivilisés », conformément à la tradition des missionnaires, des colons et autres forces « civilisatrices ». Huckabee s’oppose à la création d’un État palestinien et réfute la notion de colonialisme israélien sur les terres palestiniennes, le qualifiant de simple développement urbain.
S’opposant même aux affirmations israéliennes selon lesquelles ce que les colons juifs construisent sur des terres volées sont des « colonies », Huckabee insiste sur le fait qu’il s’agit simplement de « communautés », de « quartiers » et de « villes ».
Un élan de zèle missionnaire protestant a balayé l’Angleterre à la fin du XVIIIe siècle, coïncidant avec l’émergence de la question d’Orient et de la question juive.
Cela a ravivé le projet des Croisades de mettre fin au contrôle musulman sur la « Terre sainte ». De même, cela a ravivé les projets millénaristes et restaurationnistes protestants visant à convertir les juifs européens et à les « renvoyer » en Palestine. C’était également l’époque de l’essor de l’impérialisme britannique. Deux sociétés missionnaires britanniques s’intéressèrent à la Palestine et à la région au sens large : la Church Missionary Society for Africa and the East (fondée en 1799), ou CMS, et la London Society for Promoting Christianity among the Jews (fondée en 1809), plus connue sous le nom de London Jews Society (LJS).
Cette dernière fut fondée par deux Allemands juifs convertis au protestantisme. Elle fut établie sous les auspices du groupe évangélique anglican de la British Bible Society, branche missionnaire de la secte de Clapham, fondée par William Wilberforce.
Dans le cadre de son activité missionnaire, la secte de Clapham invita un juif allemand converti, Joseph Samuel Christian Frederick Frey (1748-1827), né Joseph Samuel Levy, à quitter Berlin pour Londres afin de faire du prosélytisme auprès des juifs britanniques, une mission qui conduisit à la création de la LJS . La CMS et la LJS étaient toutes deux parrainées par l’élite de la société et de la politique anglaises, notamment par le ministre britannique des Affaires étrangères, Lord Palmerston, et son gendre évangélique, Lord Shaftesbury (anciennement Lord Ashley). Palmerston, devenu ministre des Affaires étrangères britannique en 1830, était un ardent défenseur de la « restauration » juive en Palestine. La LJS convertit de nombreux juifs en Grande-Bretagne, dont 250 devinrent des pasteurs anglicans – nombre d’entre eux étant d’anciens érudits rabbiniques.
En 1841, le poste de patron de la LJS fut conféré à l’archevêque de Canterbury, chef de l’Église anglicane.
Des Américains, des Allemands, des Suédois et d’autres, évangéliques fanatiques, se joignirent à cette nouvelle « croisade pacifique » pour convertir les juifs et s’emparer de la Palestine tout au long du XIXe siècle.
La conviction de Huckabee que Dieu est du côté d’Israël est partagée par la plupart des chrétiens évangéliques.
Il soutient que les Israéliens n’ont pas remporté leurs guerres de conquête contre les Palestiniens et les Arabes voisins « grâce à leur supériorité militaire, à leur artillerie ou à leur puissance aérienne ». Absolument pas : « Ils les ont gagnées parce qu’ils se sont battus comme s’ils savaient qu’en cas de défaite, ils ne perdraient pas de biens immobiliers », mais plutôt « la terre que Dieu leur avait donnée il y a 3.500 ans. Parce qu’ils l’ont fait, je suis convaincu que Dieu lui-même est intervenu en faveur de son peuple sur sa terre », proclame-t-il.
source : https://investigaction.net/pourquoi-les-protestants-evangeliques-detestent-ils-les-palestiniens/
autre document, extraits :
Le sionisme chrétien en croisade
Le vaste réseau des églises pentecôtistes et charismatiques indépendantes et les autres institutions qui composent la NRA représentent probablement le mouvement religieux le plus important de l’histoire récente des États-Unis. Il a été partie intégrante des trois campagnes présidentielles de Donald Trump, depuis sa première candidature en 2015. Et, depuis sa première victoire l’année suivante, il s’est frayé un chemin jusqu’aux échelons supérieurs du pouvoir politique, avec la télévangéliste Paula White-Cain — également conseillère spirituelle du président Trump — récemment nommée à la tête du nouveau bureau de la foi de la Maison Blanche.
Au moment où l’indignation internationale grandit contre le programme éradicateur et expansionniste d’Israël, le second mandat de Trump semble encore plus agressivement pro-israélien que le premier. Au cours de ses premières semaines au pouvoir, Donald Trump a appelé au nettoyage ethnique de plus de deux millions de Palestiniens dans la bande de Gaza et à l’occupation par les États-Unis de l’enclave. Des personnages clés de l’administration nommés par le président se sont également prononcés en faveur de l’annexion de la Cisjordanie par Israël, notamment White-Cain, le secrétaire à la Défense Pete Hegseth et l’ambassadeur des États-Unis en Israël Mike Huckabee, qui a promis que le président Trump provoquerait des changements de « proportions bibliques » au Proche-Orient
Dit simplement, le sionisme chrétien est l’épine dorsale du soutien américain et international à Israël. Ainsi, la principale organisation sioniste chrétienne aux États-Unis, les Chrétiens unis pour Israël (CUFI), basée au Texas, revendique plus de 10 millions d’adhérents — soit un électorat globalement deux fois plus nombreux que l’ensemble de la population juive américaine.
Son leader, le pasteur John Hagee, réunit tous les ans une conférence très médiatisée, qui attire des personnalités politiques de premier plan. Le CUFI a défrayé la chronique fin 2005, quand le pasteur Hagee a suggéré que le Holocauste faisait partie du plan divin pour ramener les Juifs en Israël, Dieu ayant envoyé Hitler comme son « chasseur » désigné . « Les nazis de Hitler » ont chassé les Juifs d’Europe « vers le seul foyer que Dieu ait jamais destiné aux Juifs : Israël », a aussi soutenu Hagee dans son livre Jerusalem Countdown (Le compte à rebours de Jérusalem) publié en 2006.
Mais avec la montée des évangéliques néo-apostoliques, dans le contexte plus large de l’essor des populations pentecôtiste et charismatique, la théologie prédominante de la droite chrétienne de la fin des temps est en train de changer. Plutôt que d’attendre d’être « enlevés au Ciel », de nombreux évangéliques s’investissent davantage dans l’élaboration de leur vision du Royaume de Dieu sur Terre. Ils cherchent à reconquérir les « territoires » des démons par l’intercession de prières au nom de la « guerre spirituelle » mais aussi via l’engagement militant dans la politique électorale.
D’où l’accent mis par la NRA sur Israël dans sa vision de la fin des temps » — évènement qui, selon elle, est déjà en cours. La NRA est persuadée qu’elle peut déclencher l’utopie millénariste — le règne de 1 000 ans de perfection du Christ sur terre — en imposant la souveraineté d’Israël sur la terre « biblique », en appuyant l’immigration des juifs en Israël et en les convertissant à la foi en Jésus. Citant le verset du Livre de la Genèse, où Dieu dit à Abraham : « Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront », la NRA croit que seules les nations qui « bénissent Israël » peuvent espérer obtenir la faveur divine.
source : Le sionisme chrétien en croisade
L’inquiétude grandit autour du démantèlement de la recherche scientifique
L’ex-coprésidente du Giec, Valérie Masson-Delmotte, dénonce les attaques en règle contre la science et les scientifiques en cours aux États-Unis. Une situation qu’elle estime « sans précédent depuis la révolution culturelle chinoise ou le maccarthysme ».
fin du document
Oscar Wilde

Les fondateurs antisionistes du CRIF
document :
Les fondateurs antisionistes du CRIF ont fait la résistance, dont Tsedek et l’UJFP sont les héritiers. Au vu des trahisons de la droite contre le Consistoire central israélite de France et l’unification d’une résistance juive, le CRIF a été créé.
Façonné par Napoléon, le Consistoire central israélite de France a longtemps porté une politique dite assimilationniste. Cela l’a conduit à être proche d’Edmond Bloch, fondateur de l’Union patriotique des Français israélites, proche des antisémites Xavier Vallat et de Charles Maurras. Ce soutien à la droite du Consistoire central israélite de France a été un mur, cette droite parlementaire était dominée par les antisémites. Son président Jacques Helbronner (1940 à 1943) a cru aux mensonges de son ami Pétain, il a fini tristement déporté.
Quand Léon Meiss est arrivé à la tête d’un Consistoire central israélite de France clandestin, les alliés historiques de droite avaient trahi. Il fallait se tourner vers ce qui composait la résistance, les communistes et les bundistes.
Certains proclament aujourd’hui que les antisionistes de Tsedek et l’UJFP sont des antisémites, des « faux juifs ». Ces listes sont faites par le Betar, par les héritiers de l’Irgoun et du Lehi (Likoud), des groupes qui furent proches de Mussolini et du fascisme européen (dénoncés par Einstein et Arendt), et désormais de Bardella, Orban et Le Pen.
L’UJFP a notamment été fondée par l’antisioniste Richard Wagman en 1994. Il est issu d’une famille antifasciste, qui a fui les persécutions antisémites quelques années avant la prise du pouvoir par Hitler en Allemagne. Le reste de sa famille a été exterminé à Auschwitz.
Dans la clandestinité, le Comité général de défense juive a été fondé en juillet 1943. La création du CRIF lui a succédé en 1944. Lors de la fondation du CRIF, les militants bundistes sont la troisième force politique la plus importante au sein de la communauté juive en France, avec les communistes et les sionistes (divisés en plusieurs courants).
Une grande part des groupes politiques juifs en Europe fut antisioniste, dont le plus important a été le Bund. L’immigration juive européenne paraît extrêmement tardive, le projet sioniste n’intéresse pas tant la communauté juive européenne à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle. La prolifération de l’antisémitisme aura raison de ces considérations, tout comme l’anéantissement par les nazis des partis juifs majeurs de la politique européenne.
source : Najman fondateur du CRIF, Edelman libérateur de Varsovie, le Bund antisioniste
Oui au judaïsme Non au sionisme, l’état d’Israël doit s’en aller.
discours d’un rabbin américain : video : https://www.facebook.com/reel/1353893388852992
Le tout premier Parlement juif européen.
document :
On pourrait croire qu’il s’agit d’une blague juive : un Parlement juif européen avec 120 députés tout aussi juifs et européens s’est réuni en séance inaugurale dans une salle du Parlement européen à Bruxelles le 16 février 2012. A l’issue de cette réunion, ces 120 députés juifs originaires de 47 pays d’Europe, dont un contingent important des anciennes républiques soviétiques d’Asie centrale et d’autres Etats et micro-Etats non-membres de l’Union européenne, ont élu deux coprésidents : l’Ukrainien Vadim Rabinovich et le Belge Joël Rubinfeld.
https://cclj.be/un-parlement-juif-europeen/
Une vidéo sur le parlement juif européen :
https://www.facebook.com/Guet1312/videos/963922745086036
Les habitants de Gaza doivent savoir que c’est le début de la fin de l’état sioniste
video : L’état sioniste ne survivra pas…
Déclaration de Abigail Suzanne Martin est une journaliste américaine, présentatrice de télévision et militante.
Conclusion générale

Les déclarations de Charles de Gaulle, Président de la République en 1967 :
Lors d’une conférence de presse à l’Elysée, le général DE GAULLE, dans le contexte de la récente « guerre des Six Jours » entre Israël et ses voisins arabes, prononce une « petite phrase » qui à l’époque fit couler beaucoup d’encre : « Certains même redoutaient que les Juifs, jusqu’alors dispersés, mais qui étaient restés ce qu’ils avaient été de tout temps, c’est à dire un peuple d’élite, sûr de lui-même et dominateur, n’en viennent, une fois rassemblés dans le site de leur ancienne grandeur, à changer en ambition ardente et conquérante les souhaits très émouvants qu’ils formaient depuis 19 siècles : l’an prochain à Jérusalem. »
L’ensemble de la conférence de presse avec l’intervention sur Israël à partir de la minute 27 ; les autres thèmes sont le Québec libre, la Pologne, l’entrée du Royaume-Uni dans l’Union Européenne du Traité de Rome :
https://www.youtube.com/watch?v=25hAYHwboFk
Dans cette Conférence de presse du général de Gaulle | ORTF | 27/11/1967, nous pouvons aujourd’hui trouver l’explication des interventions étrangères et franco-françaises pour déclencher les évènements de Mai 1968 et chasser de Gaulle du pouvoir.
Charles De Gaulle : Quand Washington a voulu le faire tomber ;
6 mars 2025 Depuis 1995, les États-Unis ont commencé à déclassifier des milliers de documents secrets datant de plus de 25 ans. Parmi eux, des archives secrètes du Département d’État, de la CIA, du Pentagone et même des papiers personnels des présidents américains. Ces documents jettent une lumière nouvelle sur l’affrontement clandestin qui a opposé l’administration américaine au général de Gaulle.
L’imbécilité pour expliquer le choix ou la soumission de rester dans les théocraties
et ne pas vaincre son ignorance et sa peur pour utiliser notre première source de savoir spirituelle et abandonner les dogmes religieux.
La bêtise humaine est une énigme intemporelle.


Friedrich Schiller écrivait :

« Contre la bêtise, les dieux eux-mêmes luttent en vain. » Elle n’est pas simplement un manque d’intelligence, mais souvent une forme d’arrogance, comme le soulignait Schopenhauer : « La stupidité combinée à l’arrogance est une force irrésistible. »

Nietzsche, lui, voyait en la bêtise un refuge pour ceux qui craignent de penser par eux-mêmes : « Les hommes suivent les masses, même lorsque celles-ci les mènent au désastre. » Et Simone Weil, dans une approche morale, rappelait que « la bêtise devient destructrice lorsqu’elle abdique toute pensée pour se soumettre au pouvoir. »
« Le pouvoir des uns a besoin de la bêtise des autres ». – Dietrich Bonhoeffer (1906-1945), théologien et impliqué dans la résistance contre le national-socialisme.

Ainsi, la bêtise n’est pas qu’un défaut : elle est une abdication de la lucidité et un danger pour l’humanité, tant qu’elle persiste à s’allier à la peur et à l’orgueil.
Refuser les apports d’une civilisation florissante
La confrontation entre le Savoir transmis d’une part par la civilisation atlante puis égyptienne et d’autre part par la théocratie juive fondée sur ses livres sacrés démontre au niveau de leur contribution au développement de notre humanité, ce que peuvent apporter les civilisations florissantes organisées en Réseaux de Vie et les peuples soumis à leurs théocraties.
Ces contributions ne sont pas les mêmes et elles sont mêmes contraires, antinomique.
La cause de cette différence est claire et nette : l’interdiction de l’utilisation de notre première source de savoir initiatique spirituelle par les systèmes de pouvoir et leurs théocraties.
Ce sont bel et bien des « barbares» sans expérience spirituelle qui détruisent les civilisations florissantes de notre humanité. Nous savons maintenant pourquoi, comment et depuis quand.

La nouvelle civilisation florissante que nous développons sans systèmes de pouvoir et sans théocraties abandonne les Livres sacrés dictés par un Dieu ou rédigés par ses représentants sur Terre.
Sur ce point la civilisation atlante puis égyptienne est exemplaire et les résultats des systèmes de pouvoir sont calamiteux, effroyables et intolérables.
L’Alliance entre le Créateur et le peuple réuni dans cette alliance ne comporte aucun dogme de séparation, ségrégation, de suprémacisme, encore moins de racisme.
L’utilisation de notre première source de savoir spirituelle permet de développer une cohésion de groupe capable de gérer directement la propriété commune. Le travail de tous, produit des richesses qui restent sur place et qu’aucun intermédiaire banquier ou monarque, élites dirigeantes, ne capte pour maximiser ses profits personnels.
L’exemple de la civilisation égyptienne illustre aussi la relation entre les enseignements spirituels et la conduite, la vérification des recherches et des calculs scientifiques.
Ce long document sur les Théocraties et leurs dogmes religieux, nous permet de percer les murailles qui nous emprisonnent sous le joug des dogmes théocratiques de la culture occidentale judéo chrétienne islamique.
Dans la partie 5 de l’essai Nos Réseaux de Vie, nous présenterons les mesures pour mettre hors d’état de nuire ces théocraties et éliminer cette opposition féroce au développement d’une nouvelle civilisation florissante sans elles.
L’action des tyrans pour détruire les civilisations florissantes et l’utilisation de notre source spirituelle de Savoir.
A Dendérah, Cambyse fut attiré par le mystère d’Osiris
et il fut stupéfait de constater que les prêtres se laissaient massacrer en affirmant à leurs bourreaux qu’ils allaient rejoindre la compagnie d’Osiris.
Sauf que Cambyse n’était pas initié à la rencontre avec les mystères de la Vie et qu’il ne pouvait pas comprendre que ces prêtres dialoguaient avec celui qui vit en nous, le Créateur et donc aussi avec Osiris.
Ce qui fut déterminant chez Cambyse, fut sa peur d’être destitué par les Mages perses de Zoroastre qui ne pouvaient pas accepter l’existence d’un fils de dieu ressuscité d’entre les morts grâce à l’intervention spirituelle de ses deux sœurs auprès de Ptah, le Créateur de toute Vie. C’est ainsi qu’il finit par devenir fou pour s’enfuir dans le désert et y mourir.
L’ignorance spirituelle et la peur de voir contredite la Bible fut également responsable de centaines de millions de morts depuis deux mille ans.
L’Inquisition poussa ses délires jusqu’à condamner un savant qui avait constaté que dans la Bible, cela ne tournait pas comme il faut !
Mais Galilée, comme ses prédécesseurs et ses successeurs, n’ont pas utilisé notre source spirituelle de Savoir pour aller vérifier leur découverte des combinaisons astrales auprès de celui qui vit en nous et pour aller à la rencontre avec les mystères de la Vie dans un moment de la Vie d’après la vie humaine, comme les prêtres et les savants du Cercle d’Or du temple de Dendérah le pratiquaient et de la même manière que leurs ancêtres en Ahâ-Men-Ptah.
Aujourd’hui, demain, notre nouvelle Alliance avec le Créateur de toute Vie, permettra une fois de plus ce dialogue avec celui qui vit en nous et est le même en chacun d’entre nous.
Cette utilisation des dogmes religieux contre les découvertes scientifiques reprend de plus bel avec l’accession au pouvoir fédéral des États-Unis d’une équipe présidentielle agrippée aux dogmes de la Bible et en particulier de l’Ancien Testament par son éducation parmi les églises évangélistes et les sectes théocratiques dont l’Europe ne voulait plus.
Remettre en place une nouvelle Grande Paix
Parmi les mesures que nous prendrons pour éliminer ces théocraties, nous reviendrons sur le développement politique et culturel de l’Amérique du Nord pour remettre en place une nouvelle Grande Paix comme le fut la Grande Paix de Montréal de 1701.
Sur le plan politique et culturel, l’utilisation de notre source spirituelle de Savoir implique la légitimité des pratiques spirituelles des peuples premiers et amérindiens. Les premiers explorateurs français qui suivirent les routes maritimes des vikings et de la flotte templière française, se sont éduqués à ce savoir amérindien, politique, médical et spirituel.
Par contre les colons anglo-saxons qui ont commis le génocide de ces peuples au nom de la Bible et de la Divine Providence qui leur donnait cette nouvelle Terre Promise, ainsi que les communautés théocratiques évangélistes, les protestants vigoureux et les diverses sectes théocratiques qui ont quitté l’Europe pour ce nouveau continent de « liberté et de tolérance religieuse», se verront délivrer des Traités de Paix.
Le plan de Paix présente alors la manière de retrouver dans une religion sa dimension spirituelle mystique pour ne plus utiliser ses dogmes théocratiques.
En cas de refus, la Déclaration de Guerre intervient envers cette communauté théocratique, ennemie de notre nouvelle civilisation florissante sans systèmes de pouvoir et sans théocraties.
La question juive est «difficile» comme Staline à Yalta le confia à Roosevelt.
Peu avant son décès, Staline voulut organiser le procès des docteurs Juifs de Moscou.
« Le 15 janvier 1953, les journaux moscovites annoncèrent que neuf hommes devaient passer en justice sur accusation de conspiration d’assassinat de sept importants notables communistes. Six ou sept de ces neuf hommes étaient juifs (les récits divergent). Les deux ou trois autres auraient aussi bien pu ne jamais être nés, pour ce que le monde entier entendit parler d’eux, car dans le tumulte qui s’éleva immédiatement en Occident, l’affaire fut surnommée celle des « docteurs juifs ».
En février, alors que la clameur occidentale continuait, des diplomates qui virent Staline firent remarquer sa bonne mine et sa bonne humeur.
Le 6 mars, Staline mourut. Un mois plus tard, les « docteurs juifs » furent relâchés. Six mois plus tard, le chef terroriste de Staline, Lavrenti Beria, fut fusillé pour les avoir arrêtés, et les accusations furent dénoncées comme étant fausses. Concernant la mort de Staline, un éminent correspondant américain à Moscou, M. Harrison Salisbury, écrivit qu’après sa mort, la Russie fut gouvernée par un groupe ou une junte « plus dangereuse que Staline », constituée de Messieurs Malenkov, Molotov, Boulganine et Kaganovitch. Pour gagner du pouvoir, dit-il, la junte aurait pu tuer Staline, tout le désignait ; « s’il se trouve que Staline fut terrassé par une rupture artérielle cérébrale le 2 mars, on doit s’en rappeler comme étant l’un des événements les plus fortuits de l’histoire.» »
Elle est difficile mais pas insoluble.
Le cas des dix tribus « perdues» d’Israël au moment de l’invasion assyrienne, démontre que la raison finit par l’emporter et qu’il est possible de vivre sa recherche spirituelle et mystique en quittant ces théocraties fanatiques.
Elle n’est pas insoluble également car toute cette stratégie sioniste de gouvernement mondial prévu pour le seul peuple élu de Yahvé, ne peut se développer que dans des systèmes de pouvoir : tyrannies, monarchies, république représentative. La puissance financière des banques propriétaires de la Réserve Fédérale américaine permet à l’organisation juive sioniste d’acheter les décisions politiques dont elle a besoin pour mener sa stratégie criminelle envers les autres nations qu’elle doit détruire selon ses dogmes théocratiques.
Or dans une civilisation florissante sans systèmes de pouvoir et sans théocraties fanatiques, la démocratie directe locale participative avec ses institutions, ferme la porte à de telles agissements pour corrompre, acheter les décisions d’élus.
Comment ceci est possible ? Nous l’avons décrit au niveau des Institutions des Réseaux de Vie.
Ce chapitre sur le fonctionnement des Théocraties avec leurs dogmes religieux, apporte dans l’essai Nos Réseaux de Vie, l’identification claire et nette de la cible théocratique à mettre hors d’état de nuire pour abandonner la civilisation judéo-chrétienne fondée sur les systèmes de pouvoir et les théocraties fanatiques.
L’exemple de la civilisation atlante puis égyptienne nous permet de comprendre ce qu’un mouvement spirituel et un dialogue avec celui qui vit en nous dans le cadre d’une Alliance avec le Créateur, est capable de nous donner pour réaliser nos raisons de vivre sur Terre… cette planète particulièrement instable mais qui reste tout de même un refuge de Vie, plus facile à suivre avec l’aide d’un Cercle d’Or et ses Mathématiques Célestes.
Les chevaliers templiers nazoréens.
Dans ce combat pour quitter la civilisation occidentale judéo chrétienne musulmane, nous avons besoin de guerriers initiés à la manière atlante puis égyptienne à Dendérah.
L’ordre chevalier du Temple et les chevaliers teutoniques, nous l’avons vu, ont surtout assuré le développement économique et social de l’Europe, cette dernière période médiévale florissante avant sa destruction par les systèmes de pouvoir et la mise en place de l’absolutisme royal par Philippe le Bel en France, avec l’appui du nouveau pape qu’il avait fait nommer de force et qui résidera à Avignon.
Les templiers sont restés prisonniers du serment établi le jour de la création de leur ordre militaire : ne jamais prendre les armes contre les papes de Rome. Serment qu’ils ont respectés en préférant s’enfuir avec leur flotte vers le Portugal, l’Écosse, les Andes de Tiahuanaco, le refuge original des voyageurs célestes venus s’abriter sur notre planète.
Au cours du développement de leur ordre et des contacts multiples qu’ils ont eus au Levant, en Palestine et en Égypte, ils ont appris l’histoire réelle du galiléen de Gamala qui défia les dirigeants juifs de Jérusalem en rejetant leurs livres sacrés et leur système théocratique hiérarchique. Ils comprirent que Jésus le nazoréen pratiquait un mouvement spirituel sans aucun intermédiaire entre le Créateur, le Père, et nous les êtres humains qui devons dialoguer avec lui puisqu’il vit en chacun d’entre nous. Reste aux historiens à vérifier si les nazoréens connaissaient le mouvement spirituel atlante puis égyptien parce qu’en réalité, ces deux mouvements spirituels sont identiques.
Les templiers ont évolué vers le mouvement spirituel nazoréen à défaut probablement de pouvoir déchiffrer les hiéroglyphes du temple de Dendérah enfoui sous les sables du désert à leur période.
Leur devise et leur prière de rassemblement et d’identification sert encore aujourd’hui aux guerriers initiés qui défendent notre civilisation florissante sans systèmes de pouvoir et sans théocraties, tant son sens spirituel est identique aux nazoréens détruits en premier par les légions romaines sur la demande expresse des Pharisiens de Jérusalem, et tant elle est identique à la civilisation atlante puis égyptienne.
Cette devise mettra hors d’état de nuire ces théocraties criminelles qui dévastent depuis plus de deux mille ans l’Europe, les deux Amériques , la Russie, le Moyen-Orient et les autres continents lorsque ces dogmes théocratiques ont été utilisés dans les colonisations des peuples sur Terre selon les directives de la Bible romaine.
« Non Nobis Domine, Non Nobis, Sed Nomini Tuo Da Gloriam »
si vous préférez cette devise en hiéroglyphe avec Google fabricius :

bon, il faudra un jour tout de même vérifier cette traduction qui me laisse un peu perplexe… et voir qui a pris le relais pour continuer l’oeuvre d’Albert et de Christiane… et regarder cette civilisation égyptienne de plus près encore…
Un bonus pour les lecteurs qui prendront le temps de lire ce chapitre important pour abandonner la civilisation occidentale judéo chrétienne musulmane,
Shahd Ezz, chanteuse égyptienne, interprète un chant qui date de 4 500 ans et de la civilisation égyptienne conservée par les communautés coptes.
un autre chant dans les ruines du temple de Louxor
The First Call by Shahd Ez – Sphinx Avenue in Luxor
La situation actuelle est le résultat des erreurs et des actes criminels des théocraties fanatiques.
Ce dossier confronte l’exemple du mouvement spirituel atlante puis égyptien et son but de développer une Alliance avec le Créateur de toute Vie, d’une part, avec d’autre part l’exemple de la théocratie juive avec sa direction sioniste récente. Il se limite à montrer leurs fondements spirituels, théocratiques. Nous allons à partir de ce dossier rédiger les institutions culturelles des Réseaux de Vie qui ont pour but également de développer un mouvement spirituel en dehors de toute théocratie et dogmes religieux.
Pour conclure ce dossier, à partir de nos documents Les Théocraties et les dogmes religieux, Les survivants du dernier grand cataclysme, L’évolution de la civilisation au cours des dynasties égyptiennes, nous pouvons établir les relations et les erreurs commises à travers l’histoire qui nous ont amenés à la situation actuelle en 2025 jusqu’au paroxysme du génocide commis à Gaza par les dirigeants sionistes israëliens.
Le dogme suprémaciste et le jeu des alliances pour détruire les peuples.
Quand le roi perse Cambyse envahit et conquit l’Égypte en 525 av. J.-C, la colonie militaire juive d’Éléphantine, abandonnant le service des Pharaons saïtes, se rallia immédiatement aux autorités perses. Cette colonie s’appelait « l’armée juive » ou « la garnison juive » (hailâ yehudaiâ), établie dans la forteresse d’Éléphantine. Les juifs de la tribu de Juda appliquent à ce moment là le dogme de la suprématie d’Israël sur les autres peuples, dogme qui a pour but de diviser les peuples et les détruire en les poussant à se faire la guerre les uns les autres, jusqu’au dernier. Et le seul peuple qui doit subsister pour la plus grande gloire de Yahvé, est bien le peuple juif issu de la tribu de Juda et de Benjamin avec les Lévites qui sont restés attachés à ces deux tribus exclues d’Israël dès l’an 1 000 avant notre ère. Depuis cet période, les dirigeants de la tribu de Juda ont toujours utilisé ces alliances avec l’un des peuples pour éliminer d’autres peuples. Nous avons vu le rôle des sionistes dans les deux dernières guerres mondiales en Europe.
En 2025, devant les manifestations mondiales contre le génocide à Gaza dirigé par les sionistes orthodoxes extrémistes du gouvernement israëlien, un ministre déclare publiquement qu’Israël n’a pas à suivre les ordres de l’ONU puisqu’Israël est au dessus des autres nations et de l’ONU. Il récite son Talmud sans aucun état d’âme comme ses ancêtres depuis trois mille ans. Comment avec des moyens politiques, mettre fin à cette situation et à ce crime contre l’humanité ?
Le Concile de Nicée puis la papauté romaine commettent des erreurs gravissimes qui ne sont toujours pas éliminées par le Vatican.
Ces dogmes imposés par les Lévites de la tribu de Juda ont été repris dans l’Ancien Testament de la Bible rédigée par la papauté romaine et ils ont été largement utilisés ensuite par certains mouvements protestants avant d’être transmis aux juifs askhénazes et au mouvement extrémiste sioniste. Le Concile de Nicée en 325 est à l’origine de cette erreur fondatrice de la culture judéo-chrétienne-musulmane.
Nous allons approfondir cette question plus loin. Ici, pour conclure ce dossier, nous pouvons cependant ouvrir ce débat fondamental en indiquant le chemin parcouru à travers l’histoire pour arriver à une telle méprise et une telle interdiction de notre première source de savoir pour éliminer le développement d’un mouvement spirituel puissant comme ce fut le cas chez les atlantes puis chez les égyptiens avec les descendants des survivants du dernier grand cataclysme.
Les précisions que nous présentons sur ces évènements proviennent du livre : Jésus ou le mortel secret des Templiers, Robert Ambelain, chez Robert Laffont, 1970.
L’homme de Galilée.
Dès l’arrivée des légions romaines dans la région, les prêtres de Jérusalem se sont alliés avec elles pour leur demander de détruire Gamala et la Galilée. Les survivants de Galilée se sont réfugiés dans la région de Jérusalem et ils ont représenté une menace politique pour le pouvoir royal et les prêtres de la théocratie juive. Jésus était contre les Pharisiens et les autres institutions religieuses de la Tribu de Juda. Il a poursuivi l’œuvre de Moïse, transmettre cette alliance avec le Créateur et ce mouvement spirituel à tous les peuples de la Terre. Ce qui provoqua sa mise à mort à Jérusalem.
Nous venons de voir que l’homme de Galilée originaire de la ville forteresse de Gamala et son peuple suivaient le mouvement spirituel originel des égyptiens, l’alliance avec le Créateur sans aucune hiérarchie religieuse. Ce mouvement spirituel est nommé nazoréen. Située à l’est du lac de Tibériade, la ville forteresse de Gamala ne se soumit pas après la conquête de la région par Vespasien et ses légions en 67 avant notre ère. Titus, le fils de Vespasien arriva à prendre la ville le 10 novembre 67, trois ans avant la chute de Jérusalem. En l’an 6 de notre ère, Juda de Gamala organisa une révolte contre le recensement imposé par les romains.
La secte différente, en lutte contre les trois sectes de la Tribu de Juda
Le peuple hébreu est divisé en quatre sectes : les Pharisiens, les Sadducéens, les Esséniens et une quatrième secte qui ne reconnait que Dieu comme seul chef et maître.
Cette affirmation est un reste lointain du mouvement spirituel égyptien mais qui ressurgit à ce moment là certainement parce que le temple de Dendérah est reconstruit et achevé vers 50 avant notre ère.
La communauté copte a conservé le savoir ancien après 525 avant notre ère et la sixième reconstruction de Dendérah, comme les précédentes, suit exactement le plan originel dessiné sur les peaux de gazelles lors du séjour des descendants des Survivants dans le Sahara vert pendant cinq mille ans avant l’arrivée de ce peuple sur les bords du Nil. Ce sont ces textes gravés sur les murs de Dendérah qui ont été traduits par Albert Slosman avec l’aide de documents plus anciens découverts dans d’autres temples.
La Galilée après 525 avant notre ère est repeuplée avec des populations de différentes origines géographiques qui ont conservées des liens avec les autres peuples de la région et donc aussi avec les égyptiens. Parmi ces populations, il y a une communauté rescapée du départ des 10 tribues d’Israël perdues après l’invasion assyrienne. Dans cette communauté fidèle aux enseignements de Moïse l’égyptien, il y a une famille qui descend de la lignée de David et qui poursuit l’oeuvre de Moïse. A Jérusalem cette famille est connue des grands prêtres qui conservent l’histoire d’Israël.
Trouver en Galilée parmi les savants et les dirigeants, des personnes qui connaissent la culture spirituelle transmise par la communauté copte et les prêtres du temple de Dendérah est possible et certain. Bien évidemment les militaires romains ignoraient ce mouvement spirituel originel égyptien et les Lévites de la tribu de Juda défendaient leurs dogmes et, depuis des siècles, leur but était de détruire ce mouvement spirituel contraire au développement d’une théocratie.
La secte appelée à la période romaine de Jésus s’appelait les sicaires ou les zélotes, en Europe dès la période médiévale, elle prit le nom de nazoréen parce que les moines bénédictins avec les vestiges du savoir des temples égyptiens transmis par les pères du désert, Jean, Antoine, Pacôme et les autres, établirent à nouveau la relation directe entre le mouvement spirituel égyptien et les évangiles qui rapportent les paroles de Jésus :
« Nul ne peut servir deux maîtres… Vous ne pouvez servir à la fois Dieu et Mamon…» (Mathieu : VI, 24 et Luc : XVI, 13)
« Un seul est votre Maître, et vous êtes tous frères… » (Mathieu : XXII, 8)
Evidemment, les sicaires ou les zélotes sont pourchassés et éliminés. Ils sont qualifiés à Jérusalem de brigands, de voleurs. Ils seront mis à mort pour ces raisons sans aucun débat théologique sérieux. L’homme de Galilée, Jésus, sera mis à mort pour exactement la même raison, le fait d’être un zélote, un brigand et surtout un initié nazoréen, descendant de David et fidèle à l’enseignement de Moïse et du mouvement spirituel atlante puis égyptien.
Le Concile de Nicée en 325.
Le Concile de Nicée en 325 condamne les hérésies qui se développent dans le christianisme et il impose le nouvel empereur Constantin comme seul et unique empereur. Pour réussir à s’imposer, Constantin a été soutenu par le mouvement religieux chrétien, très bien organisé à travers tout l’empire romain d’occident et d’orient. Les dirigeants chrétiens acceptent de le nommer chef de l’église chrétienne et en contre-partie, Constantin s’engage à éliminer les disputes théologiques, les schismes qui sont apparus.
Ce Concile est très court, quelques semaines. Il ne résout en rien les questions de fond. Les évangiles ont été rédigées bien avant le Concile de Nicée. Mais la plupart des schismes portent sur des querelles personnelles pour la nomination à des postes d’évêque : ceux qui ont collaboré ou trahi lors des persécutions dirigées par les empereurs romains, peuvent-ils retrouver leurs fonctions après ces persécutions sans aucune différence avec ceux qui ont résisté ou qui ont subi des peines et des sanctions sans renier leur foi ? Nous sommes très loin de la mise en place d’un mouvement spirituel pour établir une nouvelle Alliance avec le Créateur sans théocratie et hiérarchie parmi les prêtres et les fidèles.
L’erreur de la papauté romaine est d’avoir ignoré cette histoire de l’homme de Galilée. Pour établir la chrétienté dans l’histoire de l’humanité, au lieu de suivre les nazoréens de Gamala et leur connaissance du mouvement spirituel originel égyptien et leur alliance avec le Créateur, elle a préféré bâtir une organisation religieuse temporelle avec sa hiérarchie des fonctions et ses dogmes.
L’empereur romain à la tête de la papauté puis la supériorité du pape sur les rois et les empereurs, fut la solution retenue pour imposer rapidement le christianisme en tant que la seule religion officielle. Ce choix repose typiquement sur le suprémacisme imposé par les Lévites de la tribu de Juda. Il explique aussi, plus tard, le comportement criminel des missionnaires chrétiens lors des colonisations des peuples sur les autres continents.
Dans les années 390, Jérôme entreprend une traduction nouvelle de l’Ancien Testament à partir du texte hébreu, le seul inspiré à ses yeux. Il n’arriva pas au bout de cette traduction qui fut continuée par d’autres. Ce retour à « la vérité hébraïque », au détriment de la Septante, ne s’imposa pleinement qu’au viie siècle. Désignée à partir du xiiie siècle comme vulgata versio, « texte communément employé », la Vulgate fut déclarée traduction authentique par le concile de Trente en 1546. Par contre son travail est vivement critiqué parce qu’il se rapproche trop des textes juifs. La Bible dite des « Septante » est une traduction grecque réalisée quelques siècles avant notre ère à partir d’un texte hébreu aujourd’hui perdu. C’est la version encore en usage aujourd’hui dans les Églises grecques orthodoxes. Si le texte hébreu qui a jadis servi de base aux Septante a disparu, on en a néanmoins retrouvé des fragments parmi les célèbres rouleaux de la mer Morte, copiés au tournant de notre ère.
Jérôme avec sa traduction de l’Ancien Testament permet à la papauté d’imposer l’ancien testament au même niveau que le nouveau pour montrer que le messie de la Thora et du Talmud avait été annoncé avant la venue de Jésus. La papauté a ensuite tout de même utilisé l’exemple d’Ousir conçu directement par le Créateur, Ptah, puis ressuscité pour l’appliquer à Jésus.
Poursuivre l’oeuvre de Moïse l’égyptien puis de Jésus le nazoréen.
Nous avons à poursuivre l’œuvre de Moïse l’égyptien, de Jésus le nazoréen, encore faut-il savoir ce que ceci signifie : l’abandon des théocraties et la remise en place d’une nouvelle alliance avec le Créateur, comme ce fut le cas chez les atlantes puis chez leurs descendants égyptiens. Les prêtres du Cercle d’Or atlante puis de Dendérah entretenaient le dialogue permanent avec le Créateur et ils étudiaient la vie de la Création sur Terre et dans le cosmos.
Le salut de l’humanité tenait dans cette alliance et dans cette aide du Créateur et non pas dans un message de salut rédigé par des castes de prêtres au service d’une théocratie et d’un Dieu inventé par eux pour soumettre les peuples avec des dogmes qui séparent les bons des mécréants et des infidèles et qui promet le salut à celles et ceux qui ont suivi strictement leurs dogmes religieux.
Dans la Bible, il n’y a pas de rupture entre l’ancien et le nouveau testament, le second est la suite du premier. Les protestants ont ensuite largement utilisé les dogmes religieux de l’ancien testament pour combattre le pouvoir de la papauté catholique romaine et certains mouvements protestants ont préféré se donner comme but le retour d’une Jérusalem céleste installée en Palestine dans l’ancienne Jérusalem pour mieux combattre la papauté de Rome. Nous retrouvons ces dogmes aujourd’hui dans le sionisme chrétien des militants politique de Trump, c’est normal, ce sont des protestants évangélistes illuminés par la nouvelle Jérusalem et le nouvel Israël issu de la seule tribu de Juda…
Ce sont eux qui ont endoctriné les juifs surtout ashkénazes venant des pays de l’est pour remettre en place l’ancien royaume de Juda avec tous ses dogmes religieux.
Des ministres israéliens actuellement déclarent ne pas être concernés par l’ONU ni par les décisions des autres pays puisque le dogme suprémaciste du Talmud veut qu’ Israël soit au dessus de tous les peuples de la Terre pour les détruire afin que seul reste le royaume divin d’Israël voulu par Yahvé… et les protestants évangélistes prêchent la même chose, suivent les mêmes dogmes religieux et ils utilisent l’oligarchie financière anglo-saxonne fondée à partir des familles juives de banquiers internationaux pour nous appauvrir, nous détruire. Face aux politiciens, les sionistes ont sorti parfois l’arme fatale pour celles et ceux qui ne comprenaient pas : ils avaient avec eux le pognon… et ils pouvaient soudoyer n’importe quel politicien méfiant.
Arrivé au terme de ce bref rappel historique, nous sommes très loin, carrément à l’inverse de l’œuvre de Moïse l’égyptien, de l’homme de Galilée, des chevaliers templiers, probablement aussi des bénédictins, et de nous tous qui voulons établir une nouvelle alliance avec le Créateur de toute Vie pour tous les peuples de notre planète dans une nouvelle civilisation sans systèmes de pouvoir et sans théocraties, sans eux qui massacrent les peuples pour la seule gloire de leur Dieu national qui ne s’intéresse qu’à eux.
Nous montrerons plus loin comment dans les Réseaux de Vie s’organise ce mouvement spirituel puissant qui noue une nouvelle Alliance avec le Créateur. Nous n’aurons pas achevé l’oeuvre de Moïse, pas encore mais le chemin est tracé, jalonné, équipé, débroussaillé, nivelé…
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- Les théocraties et les dogmes religieux, présentation PDF
- Discours de Benjamin Freedman en 1961 sur le sionisme
- livres utilisés pour la rédaction de ce texte
- Le grand cataclysme, Albert Slosman
- Les survivants de l’Atlantide, Albert Slosman
- Et Dieu ressuscita à Denderah, Albert Slosman
- La grande hypothèse, Albert Slosman
- La controverse de Sion, Douglas Reed
- Un accord avec les Arabes pour vivre ensemble plutôt que la création d’un état juif
- Les survivants du dernier grand cataclysme et de la fin de l’Atlantide
- L’évolution de la civilisation au cours des dynasties égyptiennes
- Les organisations monastiques fondent la culture médiévale
- Une histoire religieuse particulière : le monothéisme
- L’ordre militaire du Temple développe le temps des cathédrales
- Le mouvement musulman, Mahomet le messager
- La Grande Loi qui lie
- La Sécurité et la Défense des Réseaux de Vie
- Tiahuanaco
- Les porteurs de Lumière et de Vie
- L’Ame des Temps