L’évolution de la civilisation au cours des dynasties égyptiennes.
Après le dernier Grand Cataclysme qui eut lieu le 27 juillet 9 792 avant J-C, les survivants et leurs descendants sont restés plus de 5000 ans dans le Sahara vert, un groupe est resté sur la côte marocaine où ils s’étaient échoués dans la région de Ta Mana et dans le Haut-Atlas, d’autres se sont installés dans le Maghreb. Cette longue période ne fait pas partie des dynasties de pharaons pourtant, pendant ces 5 000 ans, ces descendants des Survivants ont préparé minutieusement les plans, les textes, l’organisation de leur « Deuxième Cœur ».
Cette période correspond à la fin de la dernière glaciation accélérée par le Grand Cataclysme et également à la stabilisation, cinq mille ans plus tard, d’un climat propice au renouveau de la Vie partout sur la planète, après les destructions sismiques et volcaniques. Les niveaux des mers et des océans se sont élevés, les fleuves qui ont changé leur cours ont fait leur nouveau lit se taillant un chemin parmi les montagnes et les collines et ils ont déposé lentement leur limon qui ensuite a rendu fertiles les terres.
Nous allons ici suivre la conservation de ce Savoir mais aussi sa perte au fur et à mesure des périodes durant lesquelles cette civilisation s’est affaiblie ou durant lesquelles elle a retrouvé un peu de sa force et de sa splendeur avant la conquête de Rome et les destructions des temples et des bibliothèques par les évêques chrétiens fanatiques puis par les autres théocraties de cette région.
Albert Slosman dans son livre Et Dieu ressuscita à Dendérah présente l’ensemble des dynasties égyptiennes depuis l’arrivée des descendants des survivants sur les bords du Nil jusqu’à Akenaton.
Ces notes de travail pour rédiger les chapitres :
- Les survivants du Dernier Grand Cataclysme, Partie 3 de l’essai Nos Réseaux de Vie
- Les Théocraties et les dogmes religieux, Partie 2
sont le résultat de multiples heures de lecture approfondie des livres d’Albert Slosman, de pages web d’autres auteurs à partir d’autres livres, de recherche sur Wikipédia pour vérifier certains point et constater aussi l’écart culturel stupéfiant entre la littérature sur ce sujet fondée sur les textes grecs d’une part et d‘autre part les traductions des hiéroglyphes des textes gravés sur les murs des temples et des monuments de la civilisation égyptienne, rapportées par Albert Slosman et d’autres égyptologues. Nous en feront le décompte de ces quatre mois de travail quotidien pour montrer le chemin de la nouvelle culture de Nos Réseaux de Vie, sans systèmes de pouvoir et sans théocraties avec leurs dogmes religieux mais avec l’utilisation de nos deux sources de Savoir.
Nous n’avons pas souhaité intégrer cette évolution des dynasties égyptiennes dans le chapitre Les Théocraties et les dogmes religieux ni dans le chapitre Les Survivants… , de manière à ne pas augmenter le volume des textes de ces chapitres.
Nous invitons nos lecteurs, lectrices à ouvrir ensemble, le cas échéant, ces 3 pages web pour disposer des précisions sur les évènements relatés dans ces deux chapitres qui sont complémentaires.
La période des Survivants et de leurs descendants.
Du dernier Grand Cataclysme qui eut lieu le 27 juillet 9 792 avant J-C au 24 mai 4 608 avant notre ère, pendant 5 000 ans, l’histoire des Survivants et de leurs descendants a été traduite des textes gravés sur les murs et les cryptes du temple de Dendérah et Albert Slosman l’a racontée dans son second livre de la Trilogie, Les Survivants de l’Atlantide. Voir notre chapitre sur cette période dans la Partie 3 de l’essai, Les conflits entre organisations en réseaux de vie et les systèmes de pouvoir.
Le chapitre de la Partie 2 Les systèmes de pouvoir, intitulé les Théocraties et leurs dogmes religieux, utilise aussi ce livre ainsi que le suivant dans la Trilogie : Et Dieu ressuscita à Dendérah.
Pour résumer brièvement cette période, elle commence par l’utilisation des pouvoirs spirituels des deux Jumelles, Iset la reine et surtout Nekbet, grande prêtresse et épouse du Pontife.
Elles réussissent à demander directement à Ptah le pouvoir de faire revenir à la vie le corps d’Ousir, tué par son frère le jour du cataclysme et ramené sur les côtes du Maroc par sa sœur Nekbet. Iset, ce jour-là avait prié Ptah pour sauver son fils Hor, qui combattait Sit et son armée. Isolé sur un monticule entouré de coulées de magma, les pluies torrentielles déclenchées par Ptah avaient refroidi la croûte de lave et Hor avait pu rejoindre sa mère puis s’enfuir sur une mandjit avant de s’échouer sur le rivage du Maroc, près des autres groupes de Survivants.
Parmi les autres groupes qui se rassemblent à Ta Mana, un nautonier parti en expédition maritime le long des côtes de l’Afrique pour faire du commerce, donne à l’An-Nu, le chef qui administre le groupe, un vieux cadran solaire pour que celui-ci dirige géographiquement la longue marche dans le Sahara vert vers les bords du Nil en suivant le Tropique du Cancer.
Osiris et un groupe qui connaissaient les richesses minières de l’Atlas marocain se rendent à Ta Ouz pour travailler le fer, comme c’était le cas sur leur continent englouti. Ta Mana reste la capitale des Survivants pendant plus d’un millénaire. Ensuite le centre politique et religieux suit le peuple dans ses haltes du Sahara vert, région propice pour que leur peuple de Survivants se multiplie.
Albert Slosman dans son livre La Grande Hypothèse indique qu’il a fait lui-même toute cette route empruntée par les descendants des Survivants, de Ta Mana au Sahara puis à la Libye pour arriver au bord du Nil à Dendérah. Il décrit les sites des peintures rupestres rencontrés.
Deux points à signaler :
- Leur peuple se sépare et de petits groupes décident de s’installer dans le Maghreb ou le Sahara. Ils formeront les peuples Touareg, Berbère, Kabyle ou Atlante du Haut-Atlas marocain qui resteront en relation proche avec les égyptiens. Ils sauront reprendre place dans l’histoire le moment venu, lors de l’empire phénicien de Carthage puis au Xème siècle en fondant Marrakech et en mettant en place la paix almohade.
- Les expéditions maritimes et commerciales reprennent de suite pour aller voir les nouveaux contours des continents européen et africain, ainsi qu’américain, surtout l’Amérique du Sud et la région des Andes de Tiahuanaco, berceau de leur civilisation et premier refuge des voyageurs célestes qui ont du quitter leur planète devenue inhabitable.
La marine atlante très développée avait réussi l’exploit, malgré les furies de l’océan qui engloutissaient leur continent, de permettre aux fidèles de Ptah, en partie non négligeable : 144 000 survivants sur environ 60 millions d’habitants, de venir s’échouer dans la région d’Agadir au Maroc et de sauver ainsi une grand partie du Savoir de cette civilisation bien plus évoluée, à cause de ses origines célestes, que les autres peuples qui vivaient à ce moment l’âge des outils en pierre taillée.
Un évènement significatif est à noter pour la marine et le commerce des Survivants : la fondation de Byblos bien avant 5 000 ans avant notre ère, port admis par de nombreux chercheurs comme étant une véritable colonie égyptienne qui pratique le culte d’Osiris (Ousir). Byblos puis Tyr sont des ports en eau profonde qui ne subissent pas la variation du débit d’un fleuve comme le Nil. D’autre part l’arrière pays comprend d’immenses forêts de cèdre qui permettent de développer une construction navale sur place et d’envoyer ce bois en Égypte. Enfin, ces ports sont aussi des terminaux pour l’ancienne route de la soie jusqu’en Chine. La soie de Chine se retrouve dans les momies égyptienne comme le tabac d’Amérique et les feuilles de coca des Andes.
Bien plus tard les phéniciens de Byblos et de Tyr vont fonder la colonie de Carthage alors que l’Égypte connaît une période de déclin.
La première dynastie.
La soumission des troupes des descendants du clan de Sit lors de la dernière bataille sur les bords du Nil à Dendérah se poursuivit tant bien que mal.
« Cet ultime jour prévu (pour la fin des combats fratricides) était le même dans les deux camps adverses : le 24 mai 4 608 avant notre ère. Au moment même où le Soleil, suivant sa navigation rétrograde, pénétrerait dans l’influence de la constellation du Taureau, ce serait fini de toute velléité de prédominance des adorateurs du Soleil, car Osiris était devenu le Taureau céleste maître de la Mesure et du Nombre, celui qui serait en mesure de diriger ses influx bénéfiques vers les seuls Cadets issus d’Horus, son aîné, et non ceux de Set l’exécré à cause de son forfait d’assassin ! »
source : Et Dieu ressuscita à Dendérah, Albert Slosman, Robert Laffont, Paris, 1980.
Chaque clan resta dans sa région, ceux de Sit dans le nord, en aval du Nil près de son delta et leur temple principal était celui de Memphis (Le Caire) pour célébrer Ptah. Memphis a été la première capitale avec au sud, la nécropole de Saqqarah. Elle a connu une occupation ininterrompue tout au long de l’histoire de l’Égypte antique. De ce fait, tombes royales et sépultures plus modestes se côtoient et apportent de nombreux témoignages sur la vie quotidienne de l’Égypte ancienne. Onou (Héliopolis) à la périphérie nord-est de Memphis (Le Caire) était la capitale culturelle avec des temples pour tous les dieux des deux clans : Ptah, Râ. La ville était également le siège d’un culte d’Hathor, dame du Sycomore. C’est encore à Onou qu’au milieu d’un bois sacré se trouvait le légendaire perséa sacré, sur les fruits duquel Thot inscrivait les noms de chaque souverain, héritier du trône d’Horus.
Les descendants du clan d’Ousir restèrent dans le sud, plus en amont du fleuve, autour de Dendérah, le temple des suivants de Ptah qui fut dédié à Iset. Dendérah fut leur premier temple commun pour ceux d’Ousir et ceux de Sit. Tous venaient étudier dans ce premier temple les Lois divines et les Mathématiques célestes sauvées lors de la destruction d’Ahâ-Men-Ptah.
Les constructions des bâtiments sont gigantesques pour pouvoir résister à de nouveaux cataclysmes et ils comportent une partie souterraine pour conserver les connaissances secrètes des initiés ainsi que les cryptes destinées à l’initiation la plus haute des postulants en chemin vers la rencontre avec les mystères de la Vie dans la vie d’après la vie humaine.
Dans cette région du Nil, au bord du désert dont le sable est reconnu comme la meilleure protection pour conserver les bâtiments pendant des millénaires lorsqu’ils sont enfouis sous ce sable aux propriétés particulières, les savants initiés développent la transmission du savoir atlante reçu des voyageurs cosmiques.
Nous avons vu que le délai de 12 000 ans pour que l’axe de la Terre parcourt 180 degrés et revienne dans une inclinaison annonciatrice d’un nouveau Grand Cataclysme, constitue le but à atteindre pour que les peuples, à ce moment là, retrouvent ce Savoir et l’utilise pour organiser leur survie, comme ce fut le cas pour les survivants d’Ahâ-Men-Ptah. Nous sommes actuellement à l’entrée de cette période fatidique et nous pouvons constater que les découvertes archéologiques sur les bords du Nil nous dévoilent les pans de ce Savoir pour préparer notre survie.
La chronologie des dynasties égyptienne part de Ménès en 4308 avant J-C, trois siècles après la réunification des deux clans à Dendérah, et cette dynastie suit les préceptes de Ptah et la Loi Divine que nous venons de présenter.
Byblos
Au même moment Byblos aurait été fondée vers 5000 av. J.-C. Dès le IVe millénaire av. J.-C., Byblos est un centre commercial actif, négociant surtout avec l’Égypte antique le bois du Liban. Ce rapprochement avec l’Égypte a un effet durable sur l’art et la culture de Byblos, elle devient un centre religieux important où l‘on pratique le culte d’Osiris.
Elle fait aussi commerce de textile et de vêtements avec la Mésopotamie, notamment avec la ville de Mari et également avec les Minoens de Crète. Les souverains amorrites de Byblos se font enterrer dans des tombeaux avec des objets égyptiens (Tombeau d’Ahiram, roi au XIe siècle av. J.-C.)
Dès le milieu du IIIe millénaire av. J.-C., la cité-État de Byblos est colonisée par les Phéniciens et devient un centre religieux important. Le temple de Baalat Gebal était ainsi célèbre dans le monde antique. Les liens entretenus par la ville avec l’Égypte antique sont très étroits et sont à l’origine du rapide développement culturel et religieux de la cité. Byblos est aussi un port actif qui exporte le vin et les bois du Liban vers l’Égypte et importe du papyrus égyptien pour le revendre à travers toute la Méditerranée.
Les liens entre l’Égypte et Byblos étaient si étroits que certains historiens et savants affirmèrent que Byblos était pratiquement une colonie égyptienne.
La Byblos amorite, hyksôs et phénicienne
Les Amorites brûlèrent la ville lors de leur invasion en 2150 AEC. Après avoir soumis la population, ils reconstruisirent et s’installèrent dans la région. Leur contrôle de la région prit fin en 1725 AEC avec l’invasion par le peuple Hyksôs qui régna jusqu’à ce qu’ils ne soient à leur tour chassés par les Égyptiens en 1580 AEC. Les Égyptiens revendiquèrent alors la côte du Canaan.
C’est pendant la période de l’occupation égyptienne que la culture phénicienne développa sans doute sa contribution la plus importante au monde : son alphabet de 22 caractères qui remplaça le cunéiforme dans la communication écrite. Grâce au commerce, l’alphabet phénicien voyagea d’abord en Grèce autour de 800 AEC, puis se propagea à d’autres pays à travers les marchands grecs.
Les historiens ont repris l’adjectif « phénicien » pour désigner la civilisation qui s’est épanouie dans la région entre 1200 et 300 av. J.-C.
Déclin de Byblos. Entre 1100 et 725 AEC Byblos perdit en importance alors que sa ville sœur, Tyr, elle, prospéra
En 4028 la IIe dynastie suit les préceptes de Râ.
Le culte du Soleil (Râ) n’entrait pas en contradiction avec celui de Ptah qui avait créé ce soleil. Et parmi les influences célestes qui conditionnent la vie de notre planète, le soleil est bien l’astre qui a le plus d’influence sur elle. Comme nous l’avons indiqué dans le chapitre sur le monothéisme, la différence est surtout politique : pas besoin d’être initié et de suivre une démarche spirituelle pour suivre le culte de Râ.
La question politique entre les descendants d’Ousir et ceux de son frère Sit a été largement évoqué dans ce chapitre. Pour conserver l’unité parmi les descendants des survivants, les dirigeants ont-ils décidé de donner enfin le sceptre royal au clan de Sit en gage de paix ? Certainement et ceci avait peu de conséquences à ce moment car les suivants d’Ousir pouvaient garder leur liberté de culte.
Mais cette cohabitation avait un inconvénient majeur sur le plan religieux : celui de mettre au même niveau les symboles choisis par chacun des camps.
La deuxième dynastie poursuivit son histoire mais les observateurs voisins et les égyptiens peu cultivés ont pu comprendre qu’il y avait finalement deux dieux : Ptah et Râ. Or les suivants de Sit suivaient maintenant aussi les enseignements de Dendérah et ils connaissaient la Loi Divine et les Mathématiques Célestes. Cette cohabitation fut certainement jugée embarrassante. Elle pouvait indiquer aux pays voisins que le pouvoir était fragile parce qu’un conflit religieux pouvait à tout moment éclater. Or depuis le 24 mai 4 608 et la réunification des deux clans à Dendérah, l’union des deux clans restait fidèle à la famille royale d’Ahâ-Men-Ptah et aux survivants de cette famille, Nout, les jumelles Isis et Nekbeth, et les deux garçons Ousir et Sit.
Ensuite dans la IIIe dynastie à partie de 3728,
le roi porte tous les titres des Deux Clans unifiés. Avec ce Pèr-Aha, l’égalité entre tous les hommes fut une réalité et il n’y a plus aucune scène de sauvagerie dans les dessins des annales de cette période. Avec le règne de Snefrou de 3544 à 3513, la peinture et la sculpture sont au zénith de leur art.
IVe dynastie, le déclin s’amorce
car la construction des deuxième et troisième pyramide provoque des ennuis d’argent et le dernier Ahâ en 3230 céda la place à une lignée de nobles venant d’Eléphantine.
Ce commentaire bref d’Albert Slosman requiert quelques autres explications pour tenter de comprendre comment ce déclin fut inéluctable.
Slosman utilise les traductions des documents des temples et des papyrus de l’Égypte antique. Ces documents sont remarquables pour raconter l’expérience et les connaissances acquises par la civilisation d’Ahâ-Men-Ptah avant et après le dernier Grand Cataclysme. Sauf qu’aujourd’hui nous pouvons trouver plusieurs limites ou absences dans ce récit qui vont expliquer les raisons de ce déclin. Nous devons analyser la situation avec nos connaissances sur les autres civilisations présentes à ce moment là sur Terre.
Les origines célestes des fondateurs de leur civilisation
Tout d’abord, le récit des survivants gravés sur les monuments des bords du Nil, ne parle pas des origines de ce peuple dans les Andes de Tiahuanaco. Ce sont les légendes des Andes qui indiquent que le peuple des descendants des voyageurs s’est séparé en deux : une branche pour développer la civilisation en Amérique du Sud et au Mexique, l’autre branche pour développer une civilisation sur le continent de l’Atlantide, proche des côtes américaines et relié par le nord à travers ses montagnes avec les deux autres continents américain et européen..
Ensuite, le récit égyptien ne mentionne pas comme celui des Andes, l’origine des voyageurs célestes venus trouver refuge sur Terre, c’est à dire la planète Vénus.
Il est plausible d’admettre pour les survivants atlantes qu’affirmer qu’ils descendaient des voyageurs venus de Vénus, était de nature à aller au devant de certaines difficultés face aux peuples des régions où ils avaient trouvé refuge avant de s’établir sur les bords du Nil. Expliquer qu’ils étaient les descendants des survivants d’Ahâ-Men-Ptah, ce continent englouti lors du dernier Grand Cataclysme qui avait provoqué également des destructions et des changements dans les régions voisines, suffisait pour entrer en contact et vivre paisiblement parmi ces peuples.
Enfin, il est certain que les savants et les dirigeants atlantes ont constamment garder secrètes des connaissances au contenu inquiétant sinon terrible et assurément impossible à transmettre à des peuples ou des gens qui n’avaient pas le niveau de compétences pour les recevoir et les comprendre à leur tour. Parmi ces connaissances inquiétantes, il y a encore aujourd’hui, Vénus et son influence sur la vie de la Terre.
L’arrivée de Venus dans notre ciel.
La science actuelle avance grandement dans la compréhension de la vie de notre univers et des autres univers avec de puissants moyens d’étude. Dès la découverte de la première exoplanète, il est apparu que les planètes migrent, parfois sur de grandes distances, à l’intérieur des systèmes solaires. Le défi consiste depuis à modéliser ce phénomène. Nous revenons ici à la mission principale des prêtres du Cercle d’or de Dendérah et aux calculs des variations astrales à l’aide des Mathématiques célestes. La difficulté majeure résidait déjà dans la connaissance de la vie céleste des Errantes qui à un moment donné venaient elles aussi influencer le cours de notre planète.
Et proche de nous, il y a deux planètes qui ont eu des variations d’orbite avec des changements importants dans notre univers : Mars dont l’orbite a été modifiée par Jupiter, Vénus qui a modifié la vie sur Terre. Reste à savoir quand, pour ce qui est de Vénus.
Vénus est apparue dans notre ciel sous la forme d’une comète vers 3000 ans avant notre ère. En devant changer d’orbite à cause de l’influence d’un autre objet céleste, sa course lui a fait perdre sa taille et elle porte alors une chevelure provoquée par son réchauffement à l’approche du soleil. Ce phénomène a été noté en Inde, dans les tables astronomiques chaldéennes et dans la plupart des traditions des peuples à travers le monde. Les découvertes géologiques et de la glaciologie démontrent qu’à cette période il y a bien eu un nouveau cataclysme mais moins important que celui qui correspond à l’engloutissement du continent de l’Atlantide. Il est question d’un Déluge dans la plupart des traditions des peuples antiques.
Ce petit cataclysme de la période – 3000 ans intervient à un moment où le repeuplement est général sur les continents. Les descendants des survivants ont pu enfin descendre s’installer dans les plaines, au bord des fleuves. Les conditions climatiques ont changé. La fin de la dernière grande glaciation stoppe les pluies abondantes et les déserts augmentent. Les peuples de pasteurs du Moyen Orient doivent s’installer près des grands fleuves et ils viennent rejoindre les premières grandes villes construites en Mésopotamie et évidemment aussi au bord du Nil, pour ce qui nous concerne en Europe.
Le cours du Nil a changé lors du dernier Grand Cataclysme. Le soulèvement des hauts plateaux et l’effondrement du désert du Danakil, situé au nord-est de l’Éthiopie, l’activité volcanique de cette fracture du Rift africain ont obligé le fleuve à s’écouler vers la Méditerranée et à creuser sa nouvelle vallée. Il a fallu quelques millénaires avant que cette région offre de réelles possibilités pour développer une nouvelle civilisation et attirer les peuples descendus des montagnes du Caucase et des hauts-plateaux voisins de l’Himalaya. Le Nil a du déposer une certaine quantité de limon et de terre noire avant de devenir cette région très fertile.
Le développement démographique de la Terre
Entre – 4000 et -3000, les peuples sémites et les peuples de Canaan, le long de la Méditerranée à Byblos, fondent eux aussi des villes qui ont des échanges avec celles d’Égypte. Parmi ces échanges, il y a aussi celui des connaissances. Mais les gardiens du savoir des temples égyptiens n’ont pas la mission de le partager avec ces nouveaux arrivants. Leur but, nous l’avons vu, est de conserver le secret sur les origines de ce savoir et sur son utilisation dans le Cercle d’Or.
L’étude astronomique de la navigation céleste de Vénus, maintenant visible matin et soir dans notre ciel permet de compléter l’étude des combinaisons astrales dans le Cercle d’Or de Dendérah. Mais il y a un problème car ces connaissances viennent rompre le secret originel si savamment conservé pendant la civilisation atlante et depuis l’arrivée des survivants sur les rivages du Maroc. Tous observent dorénavant la troisième étoile la plus brillante du ciel visible matin et soir.
document :
« sous l’influence gravitationnelle de Vénus et Jupiter, tous les 405.000 ans, l’orbite de la Terre varierait très légèrement. Son excentricité – c’est à dire le caractère elliptique de son orbite – se trouverait très légèrement modifiée, passant d’une orbite plus proche d’un cercle à une orbite plus elliptique. Cela se traduit par un ensoleillement différent, un climat modifié et donc un changement de faune et de flore.»
Le déclin s’explique par la disparition du Cercle d’Or
Dans cette période cruciale, ce déclin s’explique aussi par un évènement significatif.
Le second roi de la IV ème dynastie est Khéops de -3484 à -3421. Comme il avait des problèmes d’argent, en martelant l’ancienne cartouche du pharaon pour y graver la sienne, il usurpa de multiples monuments dont la première grande pyramide. Albert Slosman dans La Grande Hypothèse, page 258, indique que Khéops, à Dendérah, a fait démolir le temple d’Isis pour retrouver l’entrée perdue du souterrain donnant accès au Cercle d’Or. Il échoua dans cette tentative de se rendre maître du savoir et pour faire pardonner son blasphème, il fit reconstruire le temple d’Isis encore plus resplendissant et selon les plans exacts conservés sur peau de gazelle, tracés par le Grand Architecte au temps des rois lointains des rois prédynastiques. C’est la troisième reconstruction de Dendérah.
Nous pouvons en déduire que le Cercle d’Or avait disparu sous les sables du désert depuis un certain temps. Construit vers – 4200, il est déjà mis au secret et enfoui sous les sables 800 ans plus tard où il se trouve toujours aujourd’hui.
La conséquence de cette perte des combinaisons astrales est connue : les deux pharaons suivants, Khefren et Mykherinos construisent chacun une plus petite pyramide (– 3421 à – 3293). L’objectif est de poursuivre l’oeuvre des descendants des survivants pour laisser aux générations futures des vestiges indestructibles qui résisteront aux prochains cataclysmes grands ou petits.
Le gouvernement unifié des deux régions s’est donc affaibli. Les prêtres du Cercle d’or ne sont plus en relation étroite avec le pharaon et sa cour comme le cas de Khéops le démontre. Par contre les peuples voisins se développent et se rapprochent.
Ve dynastie de 3230 à 3018, les dirigeants d’Eléphantine renoncèrent au trône et ils le cédèrent à nouveaux à ceux de Memphis et de Râ mais la querelle reprit pour remettre en place le sceptre dans les mains des suivant d’Hor. Après le règne d’Ounas (3052-3018) le clergé de Râ se sépara de la Cour royal de Memphis.
VIe dynastie de 3018 à 2819 fut très agitée avec des assassinats de l’Ahâ et le règne très long de Pépi II qui mena à l’anarchie totale. Durant 6 ans, le pays fut la proie à la décadence.
2988-2935 Merira-Pepi I règne de 53 ans. Pépi Ier a construit de nombreux bâtiments dans toute l’Égypte, consacrant la plupart de ses efforts de construction aux cultes locaux et aux chapelles dédiées au Ka du roi. À Dendérah, où une statue fragmentaire d’un Pépi Ier assis a été découverte, Pépi Ier a restauré le complexe du temple à la déesse Hathor. À Abydos, il a construit une petite chapelle creusée dans le roc et dédiée au dieu local Khentamentiou, où il est appelé Pépi, fils d’Hathor de Dendérah. Dans la même localité, Pépi Ier a peut-être aussi fait construire une petite chapelle dédiée à son propre Ka
VIIe dynastie de 2810 à 2798 fut brève et marquée par des assassinats et des vengeances.
VIIIe dynastie dura 123 ans et chaque province se gouvernait elle-même selon les vertus ou les vices de son dirigeant.
IXe dynastie, quatre rois Khêti se succèdent en 53 ans de gouvernement surtout dans le Nord. La période totale de cette dynastie est de 182 ans.
Xe dynastie dura 116 ans et elle fit rébellion dans le Sud et elle connu des luttes continuelles.
Thèbes devient la capitale
XIe dynastie de 2426 à 2334 commença par la fondation d’une nouvelle dynastie de pharaons par Mentouhotep 1(2426-2418) et il choisit Thèbes comme capitale. Ce premier pharaon de la dynastie bénéficia d’une crue abondante du Nil qui favorisa des récoltes superbes et ce fut la fin de la famine. Le culte et les temples d’Amon se développèrent.
Amon est mentionné pour la première fois dans les textes des pyramides (c. 2400-2300 av. J.-C.) en tant que dieu local de Thèbes avec son épouse Amemet.
XIIe dynastie de 2334 à 2111
commença par un premier pharaon, Amonhemes 1, qui chassa les Hycksos qui commençaient à s’infiltrer dans le Sud.
« « Il s’agit plutôt d’une immigration progressive dans le delta oriental du Nil, à partir du courant de la 12e dynastie, de populations syro-palestiniennes, peut-être des marchands levantins, dans la ville portuaire de Tell el-Dab’a » poursuit Julien Siesse. Les Hyksos se seraient donc installés dans la région plusieurs générations avant leur prise de pouvoir, et non de force comme le laisse penser la version de l’invasion.»
Sesostris 3 (2212-2167) fut le plus grand pharaon de cette dynastie et Hérodote (-484 à – 425) vantait ses combats. Il dirigea quatre campagnes militaires vers la Nubie pour défendre son royaume et chercher également l’or qui se ramassait à la pelle dans cette région. Mais son pouvoir de pharaon est faible. Ce sont le chefs des provinces qui captent les richesses. Néanmoins, l’activité économique et commerciale florissante de l’Égypte attire de nombreux travailleurs asiatiques dans la vallée, et l’influence égyptienne est plus forte que jamais à Byblos, la vieille cité amie de Phénicie.
Son fils Amenemhat III pendant son long règne, a poursuivi le travail probablement commencé par son père pour relier la dépression du Fayoum au Nil. Il construisit un complexe funéraire à Hawara dans le Fayoum, baptisé la pyramide de Hawara, complexe de grande envergure dont le temple funéraire était si vaste qu’il a été interprété par les auteurs classiques comme le prototype des labyrinthes ; elle a une base de 105 m de côté pour une hauteur de 58 m. C’est dans la pyramide de ce complexe funéraire qu’Amenemhat III sera finalement inhumé.
Hawara dans le Fayoum
Les savants grecs venus visiter Hawara et son labyrinthe confondirent souvent ces monuments avec ceux de Dendérah. Comme le Cercle d’Or de Dendérah n’existait plus et selon la tradition orale connue du temps de Khéops, qu’il avait été sauvegardé dans le secret sous le sable du désert, ces savant grecs ont imaginé qu’il avait été construit loin de Dendérah justement dans l’oasis du Fayoum. Il est probable que le labyrinthe d’Hawara a été construit selon les plans du Cercle d’Or de Dendérah dans lequel le parcours des futurs initiés était guidé par la compréhension des textes sacrés et des mathématiques célestes. Seul le postulant à l’initiation qui avait tout compris trouvait la sortie ! Mais le labyrinthe d’Hawara n’a pas tout ce savoir gravé et dessiné sur ses murs.
Les pharaons essaient de maintenir leur rang de monarque selon leurs ressources mais la richesse et la toute puissance du clergé de Thèbes fit que la royauté s’effrita une nouvelle fois, laissant la nouvelle dynastie sans base solide.
La période cananéenne commence au cours de l’âge du Bronze moyen
(première moitié du IIe millénaire av. J.-C.), qui voit une reprise de l’urbanisation après une période de crise. S’épanouit alors une civilisation urbaine fondée sur de petits royaumes et située à la croisée des influences syro-mésopotamiennes et égyptienne.
A Troie, entre 2500 et 2000 avant notre ère,
nous sommes dans le niveau archéologique II dans lequel fut trouvé le Trésor de Priam, dont les poteries identiques à celles de Tiahuanaco. Elles montrent l’étendue des relations commerciales qui n’ont jamais cessé d’exister après le dernier Grand Cataclysme. Avant lui les trois continents : américain, atlante, européen étaient réunies dans leur partie nord par de hautes montagnes et par des glaciers, puis par la dernière glaciation.
Après le cataclysme, les survivants établis dans leur nouvelle capitale à Ta Mana, cap sur la côte marocaine à 100 kms au nord d’Agadir, nous l’avons vu, ont été rejoints de suite par les marins atlantes qui faisaient du commerce, notamment le long des côtes africaines et des côtes d’Amérique du Sud puisque leur contient atlante se trouvait entre les deux. Après l’engloutissement de leur continent, ces marins qui étaient en expéditions lors de la destruction d’Ahâ-Men-Ptah, avec leur cadran solaire pour calculer leurs routes, sont partis à la recherche des côtes du continent américain pour rétablir les liens commerciaux, culturels et religieux avec les Andes de Tiahuanaco, l’origine de leur civilisation. Mais cette relation commerciale avec les Andes est encore largement controversée, tout simplement parce que la civilisation atlante puis égyptienne a été interdite d’accès par les théocraties.
Nous allons retrouver la même controverse sur l’impossibilité de trouver des objets provenant du continent américain dans le cas de l’étude, en 1976, en France, de la momie de Ramsès II qui contient du tabac dans son estomac et son corps puis lors de la découverte dans les années 1990 à Ulm des traces de coca dans les momies du musée de Munich. La coca ne pouvant se cultiver dans la nature que dans les Andes et la tabac venant d’Amérique apportés par les Espagnols.
XIIIe dynastie de 2111 à 2104 Le premier Ahâ connut une mort subite et le second une mort prématurée ce qui causa de nouveaux désordres et dans les soixante et une années suivantes, 20 rois et 2 reines se succédèrent. Dans le Nord les Hycksos s’implantaient et leurs tribus de pasteurs fomentaient les premiers troubles.
XIV et XV dynasties, la situation empira, chaque province se déclara autonome avec son roi et les luttes épuisèrent le pays. Un des envahisseurs sémites, le roi Khian se fit proclamer pharaon. Son fils éduqué en prince d’Égypte ramena la paix et la prospérité. Les juifs s’installèrent sur les bords du Nil.
Le pouvoir est exercé par les envahisseurs Hycksos.
XVI dynastie de1909 à 1747, le pays connaît le déclin suite au pouvoir exercé par les envahisseurs Hycksos. Ce sont les rois pasteurs non égyptiens. Abraham arriva en Égypte vers 1900. En 1768, il y a l’arrivée de Joseph dans la tribu des juifs durant le règne d’Apophis 1 (1783-1750). La descendance de Jacob a vécu en Égypte, jusqu’à l’époque de Moïse.
XVII dynastie dura 167 ans. Cet affaiblissement du pouvoir raviva les luttes entres les descendants d’Hor et ceux de Sit.
Survenue en 1610 avant notre ère, l’éruption minoenne du volcan de Santorin avait considérablement perturbé le climat de la Terre.
A partir de 1580, l’une des dynasties les plus longues et les plus brillantes.
XVIII dynastie commença en 1580 avec Amosis. Cette dynastie apporta de nombreux bouleversements en Égypte. Elle fut l’une des plus longues et des plus brillantes.
Amosis est membre de la maison royale de Thèbes
Le développement du culte d’Amon-Râ à Thèbes fut favorisé par trois siècles de décadence et l’invasion du pays par les Hyksos qui s’établirent sur les bords du Nil. Sous le règne d’Amosis (-1580 à 1555), les Hyksos furent chassés.
Sous le règne de son père ou grand-père, Thèbes s’était révoltée contre les Hyksôs, des envahisseurs étrangers qui régnaient sur la Basse-Égypte. Ahmôsis n’a que sept ans lorsque son père est tué au cours de ce conflit.
Durant son règne, il poursuit avec succès la reconquête du delta du Nil, qui s’achève par l’expulsion des Hyksôs. Il restaure la domination thébaine sur l’ensemble de l’Égypte et réaffirme la puissance égyptienne au-delà de ses frontières. Les anciens territoires de Nubie et de Canaan repassent sous son contrôle. Il réorganise l’administration du pays, rouvre des carrières, des mines et des routes commerciales. Il entreprend de grands projets de construction, d’une ampleur jamais atteinte depuis le Moyen Empire, et qui comprennent l’édification de la dernière pyramide d’Égypte. Le règne d’Ahmôsis Ier jette les bases du Nouvel Empire, durant lequel la puissance égyptienne atteindra son apogée.
Le papyrus Rhind illustre également la stratégie militaire d’Ahmôsis dans son attaque du delta. Entré à Héliopolis en juillet, il descend le delta oriental pour prendre Tjarou, une forteresse majeure de la frontière sur la route d’Horus qui conduit vers Canaan en évitant Avaris. En prenant Tjarou en octobre, il coupe les communications entre Avaris et Canaan. Cela implique qu’il fait le blocus d’Avaris, privant la capitale hyksôs de toute aide ou ravitaillement qui viendrait de Canaan.
Au cours de sa 22e année, il atteint Djahy, au Levant, et peut-être l’Euphrate, bien que ce soit plutôt Thoutmôsis Ier, l’un de ses successeurs, qui est crédité d’avoir été le premier à faire campagne jusque-là. Mais Ahmôsis est allé au moins jusqu’à Kedem, située peut-être près de Byblos selon un ostracon de la tombe de son épouse, Ahmès-Néfertary
Ayant enfin « saisi l’héritage de celui qui l’a engendré », Ahmôsis dote richement le temple d’Amon à Karnak. Par ailleurs, il remplace les nomarques par des hommes de confiance, rouvre les mines de turquoise ainsi que les carrières de calcaire et d’albâtre, et rétablit les échanges commerciaux avec Byblos et le Levant.
Le contrôle du delta et de la Nubie permet désormais d’accéder à des ressources absentes en Haute-Égypte : l’or et l’argent viennent de Nubie, le lapis-lazuli des régions éloignées de l’Asie centrale, le cèdre de Byblos. Les mines de turquoise de Sarabit al-Khadim dans le Sinaï sont rouvertes.
Si l’on en croit une inscription de cette carrière, il utilise du bétail asiatique pris en Phénicie pour transporter ces pierres.
Thèbes devient effectivement le centre religieux autant que politique du pays
Mais le changement le plus important est sans doute d’ordre religieux : Thèbes devient effectivement le centre religieux autant que politique du pays, son dieu Amon étant crédité de la protection divine qui a permis à Ahmôsis de vaincre les Hyksôs. L’importance du complexe des temples de Karnak s’en voit considérablement augmentée, et celle du culte de Rê basée à Héliopolis diminuée.
Ahmôsis fera l’objet d’un culte qui perdurera longtemps après sa mort. Sa momie a été retrouvée à Deir el-Bahari, mais c’est dans son cénotaphe d’Abydos (la ville d’Osiris) que ses adorateurs entretiennent son culte funéraire.
Le travail se transforma en un esclavage pur et simple
Son fils Aménophis Ier –1558 à -1532 a cherché à rebâtir les temples, les monuments et les villes laissés à l’abandon durant les 3 siècles de décadence et toutes les populations présentes devaient travailler dur dans ces travaux. Le travail se transforma en un esclavage pur et simple, qui comprenaient les juifs et les égyptiens qui n’étaient pas des disciples d’Amon-Râ. Dès ce moment, Dendérah entra pour deux siècles dans l’oubli, jusqu’à la grande fête de 1322 ouvrant la « Nouvelle Année » de Sirius.
Le fils d’Amenophis I, Thoutmosis I fit de nombreuses campagnes militaires pour restaurer la renommée de l’Égypte dans les régions voisines. Ce qui porta à son comble l’esclavage interne de tout le peuple, c’est à dire : Égyptiens et juifs confondus.
Thoutmosis II avait du épouser Hatchepsout, sa demi-sœur bien plus capable que lui.
Moïse
Albert Slosman indique qu’en 1580, lors du sacre d’Amosis au statut de pharaon, nous trouvons la naissance de Moses (Moïse),
« nom qui lui fut donné par la belle et jeune Thermoutis qui l’avait trouvé dans les roseaux proches de la plage du palais d’été, là où elle se baignait en compagnie de ses suivantes. Car le jeune et jolie Thermoutis était la fille aînée de l’ancien pharaon, et la sœur aînée, du même père sinon de la même mère, de ce Iâmet ou Amosis. Mais, comme elle était stérile, elle n’avait pas été mariée avec lui, faute de pouvoir assurer la descendance pharaonique.
Entre sa naissance et sa fuite dans le désert du Sinaï, quatre pharaons se succédèrent à la tête de ce qui devint le plus grand empire du monde : Amosis qui tint le sceptre de 1580 à 1555 avant notre ère ; Aménophis 1er qui régna de 1555 à 1532 ; Thoutmôsis 1er, de 1532 à 1520 ; et Thoutmôsis II, de 1520 à 1500.»
Amosis accéda à la royauté en épousant Néfertatri, la « Belle Compagne ». Son nom lui-même, « Né de l’Étoile », était un appel à la neutralité entre ceux du Soleil et ceux de Ptah, afin de trouver un terrain d’entente pour achever de bouter hors d’Égypte les derniers Hyksos, ces envahisseurs impies.
L’ardeur des combattants était d’ailleurs sublimée par les légions nubiennes, ces troupes à la peau noire qui faisaient partie intégrante de l’armée égyptienne depuis que les territoires du Sud avaient été annexés au « Deuxième Cœur ». Et l’épilogue de ce long conflit eut lieu à Avaris, ou Abaris, qui était l’ultime retraire fortifiée des Hyksos.
Tout se recoupant admirablement, il est donc faux de prétendre et d’écrire, comme l’ont fait de multiples égyptologues, que les Égyptiens se représentaient les Hébreux comme des pestiférés et des esclaves car ils ont confondus ces « Ebers » et le « Peuple » que Moïse emmena presque un siècle plus tard en exode, celui qui comprenait tous les opprimés, juifs et Égyptiens confondus ».
Moïse devint le rebelle classique en entrant en lutte, d’abord clandestine, contre ceux du Bélier.
« Le malheur ou le bonheur, suivant que l’on se place dans le contexte israélite ou égyptien, voulu qu’Aménophis n’eut aucun enfant. Ce fut ce fait primordial qui déchaîna contre Moïse la toute puissance des prêtres d’Amon qui ne voulaient en aucun cas d’un pharaon élevé dans la vénération de Ptah. Aussi organisèrent-ils un véritable traquenard à son encontre afin de le discrétiser honteusement auprès de la faction importante du peuple fidèle dans ses affections traditionnelles envers la princesse Thermoutis et son fils adoptif. La réussite de ce plan fut presque totale puisque Moïse dut s’enfuir. …/… Il devint le rebelle classique en entrant en lutte, d’abord clandestine, contre ceux du Bélier ».
Après la mort d’Aménophis, les prêtres d’Amon choisirent à un demi-frère éloigné du précédent mais entièrement sous leur volonté. Thoutmôsis Ier, le « Fils de Têta », donc de Thot, laisse sous-entendre qu’il était destiné à revenir aux traditions ancestrales. Il eut une fille et un garçon. La fille était née de son épouse divine, fille elle-même d’un descendant illustre de Sit (Set). Le fils cadet était né d’une concubine sans aucune goutte de sang noble. Amenset, la fille avec son fort caractère devint la célèbre Hatchepsout. Son demi-frère était maladif et sans volonté. Ce fut lui qui à l’âge de 16 ans fut déclaré pharaon sous le nom de Thoutmôsis II. Amenset, âgée de 18 ans, fut obligée de l’épouser pour ne devenir que la « Grande Épouse Royale ».
La mort de Thoutmôsis II
« Moïse revint à Thèbes pour préparer le départ des opprimés, israélites et fidèles de Ptah confondus.
Il fut reçu en audience par Thoutmôsis II et par Amenset.
« Son époux voulant refuser le départ, elle le pressa de se débarrasser des importuns qu’elle accusait de mettre le pays à feu et à sang. Puis le roi cédant, elle lui insuffla l’idée de les poursuivre pour les exterminer. La partie était facile à jouer pour la reine, car en plus des juifs, toute une part de la population s’enfuyait en leur compagnie : celle des partisans du monothéisme de Ptah. Ils refusaient de se plier à la volonté du pharaon et d’Amon, et devaient être jugés comme impies d’une même rébellion ! Il s’agissait véritablement d’un crime de lèse-majesté qui ne pouvait rester impuni. Et comme c’était bien la dernière chance pour la future Hatchepsout de détenir le sceptre du royaume, elle fomenta la mort de son époux de cette façon en aidant les hasards de cette guerre sainte à sa discrétion. Il est donc possible d’affirmer que c’est Thoutmôsis II qui mourut bien cetet année-là, en 1500 avant notre ère, en traversant la mer Rouge.
…/… De là également le martelage, concernant le règne de Thoutmôsis II par Hatchepsout, afin d’effacer les traces de sa fin tragique en mer Rouge.
Les textes bibliques sur Moïse
… Il faut reconnaître que les textes bibliques, recueillis oralement, ont été mis par écrit, pour l’essentiel, quatre siècles après la mort de Moïse par les prêtres lévites, les plus fidèles à l’esprit mosaïque. Mais la crainte d’en laisser perdre quelque bribe véridique vitale, a conduit les rédacteurs du texte définitif à y inclure certains récits en double, ou des variantes sujettes à caution, d’autant que cela se passe au Ve siècle avant Christ, soit presque mille ans après Moïse ! C’est pourquoi ce fond spirituel du monothéisme, qui remonte de la nuit des temps, doit être lu au travers des pensées qui animaient les prêtres juifs rédacteurs du VIe et du Ve siècle, correspondant à la déportation à la déportation en Babylonie, aux longues années d’exil, et au retour avec la reconstruction du temple de Jérusalem. Il est impensable que les longues méditations à l’étranger n’aient pas influencé la rédaction d’un texte d’un exode vieux d’un millénaire, qui rappelait étrangement l’aveuglement et la décadence d’un autre peuple primitivement élu du même Dieu, dont l’origine égyptienne remontait aux temps les plus reculés.
Le document sur l’exode a donc été composé dans le but unique d’apporter des enseignements stricts, copiés sur les commandements originaux, afin qu’Israël survive en un premier temps, puis vive selon des préceptes rigoureux, en accord avec les Tables de la Loi et l’érection du temple monumental prévu.
C’est cette déformation lévitique que j’ai tenté de laisser délibérément de côté, dans le livre B1 (Moïse l’Égyptien, Laffont, 1981).
…/… Pour le fond, j’ai apporté dans les notes jointes du livre assez de preuves que les Dix Commandements existaient déjà des siècles et des siècles avant que Moïse quitte les bords du Nil, et qu’en tant que grand prêtre, il en connaissait la teneur par cœur. Mais pour la forme, il est nécessaire que je m’explique plus longuement, car ce n’est qu’après maintes hésitations, et un séjour au Sinaï, que j’ai écrit ce chapitre vital de cette façon. J’ai passé trois jours et deux nuits au sommet, seul, afin de me replonger, si faire le pouvait, dans l’espace et dans le temps où Moïse, le Rebelle épris de Dieu, s’y trouvait. La lecture m’a aussi beaucoup aidé.
…/… Le livre du très savant Jean Salvador, intitulé les Institutions de Moïse, en deux tomes, édité en 1881, m’avait fortement impressionné. …/… L’un de ces passages était incontestablement marqué du bon sens, et pouvait que les Commandements avaient bien été amenés d’Égypte :
Moïse, élevé parmi le prêtres égyptiens, savait tout de leur science. Si donc les Hébreux emportèrent leurs vêtements, des vases d’or et d’argent, des instruments pour dresser leurs tentes, Moïse emporta aussi de quoi écrire, ainsi que les lois écrites sur des rouleaux de papyrus conservés dans les sanctuaires d’Égypte.
…/… Il avait abandonné une foi antérieure, celle de Ptah, non pas parce que Ptah était un faux dieu, mais parce que ceux qui avaient lutté contre, pour accéder aux pouvoir et le conserver, avaient érigé une idole pour abattre Ptah. Ceux-ci étaient les faux hommes voués à la destruction. Ainsi en Yahvé, il permettait à tous les opprimés de ces faux hommes de prendre leur succession en un nouveau lieu.
… Douze tribus vivraient en paix avec le reste de l’univers … Un peuple élu de Yahvé naissait alors que lui mourait sur le mont Nébo !
…/… Cette fin triste de l’homme qui mourut là, solitaire, reste le symbole du Bélier renaissant sous sa forme non idolâtre en Palestine. Et le sacrifice du bélier annuel en restera l’acte le plus fervent jusqu’à la venue du Messie au début de l’ère des Poissons.
Il est temps de tirer Moïse de l’affabulation dans laquelle les premiers chapitres de l’Ancien Testament l’avait situé, pour lui redonner sa véritable dimension humaine, à la taille de la fraternité de sang qui unit étroitement juifs et Égyptiens en un même monothéisme originel, donc au-delà de tous les mouvements politiques fanatiques ».
Source : cet extrait est tiré de La Grande Hypothèse d’Albert Slosman, Robert Laffont
La dynastie s’acheva en – 1351 avec Amenophis IV.
De 1367 à 1351, Amenophis IV transforma son nom en Akhenaton. Ce ne fut plus la lutte ouverte entre Ptah et Râ mais Amon contre Aton. Akhenaton voulu détruire Amon en interdisant le culte de l’idolâtre Dieu Bélier. Il mourut d’empoisonnement.
Document :
Dès la quatrième année de son règne, le nouveau roi instaura le culte exclusif du dieu Aton, dieu solaire et créateur de l’univers, unifiant ainsi tous les cultes précédents. Aton incarnait la vérité et l’amour absolus, source de tous les bienfaits terrestres tels que l’amour, la santé, le bien-être et la beauté. Pour marquer ce changement, Aménophis IV modifia son nom en Akhenaton, signifiant « celui qui est agréable à Aton ». Cette réforme religieuse, bien que présentant une dimension authentiquement spirituelle, comportait également une dimension politique, entraînant un conflit avec le puissant clergé thébain. Akhenaton devint le seul serviteur du culte d’Aton.
Dans ce conflit avec les prêtres, il décida de déplacer la capitale de Thèbes à Akhetaton, une nouvelle ville dédiée à Aton dans le désert, marquant ainsi une rupture symbolique avec les autorités cléricales de Thèbes. Cette révolution religieuse eut un impact significatif sur l’art égyptien, le rendant plus naturaliste et réaliste.
Bien qu’il centralisât les pouvoirs temporels et spirituels, Akhenaton se voulait tout sauf un dictateur, se présentant plutôt comme un guide éclairé pour son peuple.
Les circonstances de sa mort demeurent obscures. Il aurait pu être assassiné ou empoisonné par les autorités religieuses qu’il défiait. Ses successeurs effacèrent toutes les traces de son règne, martelant ses cartouches et brisant ses statues, et sa momie demeura introuvable. Akhenaton avait tenté d’imposer un idéal trop rapidement, sa conception universelle de Dieu étant trop abstraite pour son époque.
Source : Akhenaton, en quelques lignes
autre document :
À l’époque d’Amenhotep III (1386-1353 av. J.-C.), les prêtres d’Amon à Thèbes possédaient plus de terres, disposaient de plus de liquidités et étaient presque aussi puissants que le pharaon. Amenhotep III introduisit des réformes religieuses pour tenter de limiter le pouvoir de la prêtrise, mais elles furent relativement inefficaces.
Source : https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-10203/amon/
Cette dynastie s’achève en 1314.
XIX dynastie de 1295 à 1188 avec Ramsès I, Séthi I, Ramsès II.
Ils suivent Sit, leur dieu protecteur mais ils suivent également Amon et Ptah. Ils font disparaître les traces de l’époque Armarienne tout en intégrant une partie de l’héritage solaire d’Aton .
1294-1279 Séthi Ier
est un pharaon d’Égypte de la XIXe dynastie, qui règne vers 1294 à 1279 avant l’ère commune1. Fils du pharaon Ramsès Ier, il est le père du pharaon Ramsès II.
De naissance non royale, Séthi Ier est issu d’une famille militaire noble de la région du delta du Nil, peut-être près de l’ancienne capitale hyksôs d’Avaris
Déjà âgé lorsqu’il fut couronné, Ramsès Ier désigne son fils, le futur pharaon Séthi Ier, comme prince héritier et successeur désigné. Séthi a alors des responsabilités civiles et militaires : il garde la fonction de vizir qu’il avait déjà sous Horemheb, et il devient également général
Le roi Séthi aurait d’abord pacifié Canaan avant de rencontrer les armées hittites, massées à Beït Shéan. Le roi aurait alors décidé de récupérer la région de Homs, sous domination hittite, en contournant la plaine de la Béqaâ, mais il aurait subi un échec face aux hittites.
Séthi I occupe néanmoins une place importante dans l’histoire religieuse du pays. Avant lui, le pharaon Akhenaton avait effectué une refonte totale de la religion en Égypte en instaurant le monothéisme en l’honneur du dieu solaire Aton. Ce changement a engendré le chaos dans tout l’empire. Lors de son règne (de 1294 à 1279 av. J.-C.), Seti I a grandement contribué à la restauration de l’ordre social et de la puissance de la société égyptienne.
Séthi I a érigé des temples à Abydos pour rétablir le culte des dieux anciens comme Osiris, Isis, Horus et Amon-Rê. Il y a également bâti son temple funéraire, que son fils Ramsès II a plus tard achevé. C’était un nouveau symbole de la puissance de la dynastie ramesside après les échecs d’Akhenaton. Les pharaons du Moyen et du Nouvel Empire ont ensuite apporté leurs ajouts.
Beaucoup de hauts dignitaires de l’Égypte ancienne ont émis le vœu d’être enterrées près du Temple de Séthi I, particulièrement à côté du Temple d’Osiris à Abydos, pour recevoir la bénédiction du dieu de l’ordre dans l’au-delà.
Dès le tout début du règne de Ramsès II, il est possible que les troupes égyptiennes, après avoir repoussé les Tjéhénou, se seraient lancées dans une campagne triomphante loin dans le désert à l’ouest, permettant donc aux Égyptiens de prendre le contrôle de ce territoire et initiant peut-être dès le règne de Séthi Ier ce réseau de forteresses que Ramsès II aurait mené à son terme. Les troupes égyptiennes ont en tout cas capturé de nombreux ennemis ainsi que des ressources, que le roi a destinés aux temples égyptiens, ces captifs devenant donc in fine des serviteurs des temples égyptiens.
Le Proche-Orient est un agrégat de petites royaumes et de cités soumis à l’influence des deux grands empires de l’époque : le Hatti et l’Égypte. La partie sous influence égyptienne, limitée au nord par l’Amourrou et Qadesh-sur-Oronte, est un territoire contrôlé par des élites locales égyptianisées. Cette emprise égyptienne sur ce territoire se traduit par la construction de monuments, à la fois de nature militaire et économique, dans le but d’une part de contenir la puissance hittite et de maintenir la soumission des populations locales, et d’autre part d’assurer l’approvisionnement de l’Égypte en matières premières et en main d’œuvre.
Toujours est-il que ces combats n’ont été que le prélude à de nombreux affrontements entre les Égyptiens et les populations de l’ouest coalisées parfois aux fameux Peuples de la mer.
Éléphantine, ville située sur une île au niveau de la première cataracte, représente la frontière méridionale égyptienne depuis le début de l’histoire égyptienne. Ce site devait dès cette époque servir de site défensif contre les populations nubiennes. Les temples de Khnoum et de Satet, situés sur l’île, ont été restaurés sous le règne de Séthi Ier
Proche d’Éléphantine se trouvent les carrières de granit d’Assouan, sur la rive est du Nil. Ces carrières, exploitées tout au long de l’histoire égyptienne, l’ont également été pendant le règne de Séthi Ier
Les forteresses du Moyen Empire, formant un réseau mis en place sous le règne de Sésostris III, sont modifiées au cours des règnes de Ramsès Ier et surtout de Séthi Ie
Séthi Ier est l’un des pharaons les plus actifs du point de vue de l’activité constructrice.
Ces pharaons durent combattre leurs voisins dont les empires se développaient.
Ramsès II 1304-1213 avant notre ère.
Son règne de soixante-six ans et d’un peu plus de deux mois, une durée exceptionnelle pour l’époque, couvre à lui seul près de 60 % du nombre d’années total de la XIXe dynastie
Ramsès II est surtout connu pour les combats qu’il dirigea pour défendre l’Égypte. Il eut un harem impressionnant de princesses hittites, babyloniennes, syriennes, reçues en gage pour renforcer les alliances passées avec ces royaumes voisins.
La momie de Ramsès II
« En 1976, l’État égyptien confie la momie de Ramsès II attaquée par les champignons, aux scientifiques français. La momie est reçue avec les honneurs dus à un chef d’état par le président d’alors, Valéry Giscard d’Estaing. Chargée de l’étudier, une botaniste du Muséum national d’histoire naturelle est obligée de se rendre à l’évidence : elle trouve dans l’abdomen du pharaon des minuscules fragments de feuille qui ressemblent comme deux gouttes d’eau à du tabac. Quoi ? Ce dernier n’aurait pas été ramené d’Amérique après la conquête espagnole ? Faudrait-il imaginer d’extravagantes connexions entre l’Égypte ancienne et l’Amérique ? Le tollé est général. Mais la chercheuse française ne se démonte pas et fait analyser ses échantillons par un autre laboratoire, qui confirment ses conclusions. Le mystère aujourd’hui, reste entier ».
Ces momies égyptiennes contiennent aussi de la soie de Chine venue par l’ancienne route de la soie avec comme terminal le port de Byblos puis celui de Tyr en Phénicie, ancien pays de Canaan.
Pour la traversée de l’Atlantique dans un bateau fait en papyrus :
Dix mois plus tard, Heyerdhal recommence l’expérience avec le Ra II, le 17 Mai 1970 , plus petit que son prédécesseur. Il traverse l’Atlantique depuis Safi jusqu’aux Barbades, un total de 6.100 km ( 3.270 miles nautiques) en 57 jours. Ce voyage prouve que la science moderne a une fois de plus sous-estimé les technologies aborigènes oubliées. La théorie qui voulait que les vaisseaux méditerranéens construits avant Christophe Colomb n’auraient pas pu traverser l’Atlantique est démontrée fausse.
La région de Canaan
À la suite des bouleversements qui touchent le Moyen-Orient vers 1200 av. J.-C., une nouvelle ère s’ouvre pour elles. Dégagées de la tutelle des anciennes puissances qui les dominaient (Nouvel Empire égyptien, Empire hittite), elles disposent d’une période d’autonomie qui leur permet d’étendre considérablement leurs réseaux commerciaux, puis de se lancer dans un mouvement d’expansion sur les rives de la mer Méditerranée. Les Phéniciens émigrés fondent alors des cités sur différents sites de Chypre, de Sicile, de Sardaigne, de Corse, de la péninsule Ibérique, de Grèce (Turquie actuelle) et d’Afrique du Nord.
L’âge du Bronze récent (vers 1500 à 1200 av. J.-C.) prolonge la période précédente, mais les cités cananéennes sont alors placées sous la coupe du Nouvel Empire égyptien. L’essor des échanges à longue distance profite aux cités côtières qui connaissent une période de prospérité.
L’âge du Bronze se termine au début du XIIe siècle av. J.-C. par une crise qui affecte à des degrés divers toutes les régions bordières de la Méditerranée orientale, et une partie des régions intérieures voisines. La domination égyptienne prend fin et d’importantes recompositions sociales et ethniques ont lieu, avec l’émergence de populations nouvelles qui reprennent en partie l’héritage cananéen : les Phéniciens au nord (actuel Liban), les Philistins arrivés de l’extérieur pour s’établir sur le littoral méridional, au sud et les Israélites dans les hautes terres de l’intérieur.
XX dynastie de 1188 à 1069 avec la lignée des Ramsès III à XI
La XXe dynastie pharaonique, aux XIIe et XIe siècles avant notre ère, à la fin du Nouvel Empire, est une dynastie « thébaine » dans le sens où la transition avec la XIXe dynastie s’est jouée au cœur de la cité du dieu Amon, à Thèbes .
Ramsès III est considéré comme le dernier grand roi du Nouvel Empire. Pendant un peu plus de trente ans, il tente de réorganiser le pays, il construit quelques imposants monuments (temple-reposoir dans le temple d’Amon à Karnak, début du temple de Khonsou, temple des millions d’années à Médinet Habou et sa tombe KV11 dans la Vallée des Rois). Il protège surtout victorieusement son pays contre plusieurs ennemis, les Libyens mais aussi les fameux « Peuples de la mer ». Cette coalition de peuples a déjà fait parler d’elle quelques décennies auparavant sous le règne de Mérenptah. Néanmoins, du fait des menaces extérieures, l’Égypte ne dispose plus des ressources des périodes précédentes, réduisant d’autant sa puissance .
« Les études archéologiques ont bien établi la réalité d’un grand bouleversement en Méditerranée autour de 1200 avant J.-C., ayant entraîné la disparition de la civilisation mycénienne, ce qui a été appelé par les Égyptiens l’invasion des « Peuples de la mer ». Palais et forteresses sont détruits, les traces d’écriture disparaissent : elle n’a plus lieu d’être puisqu’elle ne servait, d’après les témoignages actuels, qu’à répondre aux besoins administratifs du palais ; une migration s’opère vers les îles du Dodécanèse et Chypre. L’unité rompue laisse place à de petits États disparates. C’est la période dite des « siècles obscurs » (1200 à 800 avant J.-C.), marquée par l’utilisation du fer à la place du bronze, l’invasion des Doriens au 11e siècle, qui s’installent dans le Péloponnèse et en Crète, et une importante émigration grecque, progressive, vers l’Asie Mineure.
La guerre de Troie
« La tradition historiographique grecque antique, qui considère que la guerre de Troie est un événement historique indiscutable, propose les dates suivantes pour les événements. L’intervalle qui fait le plus consensus se place entre 1194 et 1184 av. J.-C. D’après les calculs d’Ératosthène, la prise de Troie par les Achéens a lieu dans la nuit du 11 au 12 juin 1184 av. J.-C. lors d’une éclipse solaire ».
Le site archéologique de Troie,
« Occupé du IVe millénaire av. J.-C. jusqu’au début de l’époque byzantine (v. 600), le site se donne à voir comme une ville basse, couronnée d’une acropole lourdement enceinte et défendue, abritant les restes de palais, temples, édifices publics, au sein d’une colline artificielle fortement stratifiée, divisée en neuf niveaux principaux, numérotés du plus ancien au plus récent (Troie I à IX).
L’acropole, qui est la zone la plus fouillée du site, a livré des constructions importantes pour la connaissance des civilisations de l’âge du Bronze ancien de l’Anatolie occidentale (v. 2500-2000 av. J.-C.), notamment de Troie II qui comprend d’imposantes murailles et des bâtiments communautaires, ainsi que des trésors contenant des nombreux objets précieux (« trésor de Priam »).
Le site reste prospère durant les phases suivantes de l’âge du Bronze, jusqu’à la dernière période de celui-ci (Troie VI et VIIa), durant laquelle la ville s’accroit dans sa partie basse. C’est peut-être la capitale d’un royaume d’importance régionale mentionné dans les sources hittites, Wilusa. Cette période s’achève par des destructions qui pourraient correspondre à la phase de la guerre de Troie. Après une période de déclin de plusieurs siècles, le site gagne en importance au sortir de l’âge du fer, vers 800 av. J.-C., quand des Grecs étoliens y fondent la cité d’Ilion, qui gagne en importance durant les phases suivantes de l’histoire grecque (Troie VIII) puis sous la domination romaine (Troie IX). »
Nous rappelons que dans les ruines de Troie, Schliemann a trouvé des poteries qui sont exactement les mêmes que celles de Tiahuanaco qu’il avait vues exposées au musée du Louvre à Paris.
« Dans les ruines de Troie II, il découvre de nombreux objets précieux en or, en argent et en bronze. Cet ensemble considérable de pièces d’orfèvrerie et de bijouterie, qu’il baptise « trésor de Priam », lui fait penser que le niveau de Troie II est celui de la Troie homérique. Cependant, les niveaux de Troie II sont bien plus anciens que les datations généralement retenues pour les événements décrits par Homère, qui correspondent en réalité à la période d’occupation de Troie VII ».
« La ville de Troie VII est occupée entre 1250 et 950 av. J.-C. ; elle apparaît alors comme une grande citadelle fortifiée, surplombant une ville basse bien plus étendue. Selon Manfred Kormann, elle est pour les standards de l’époque une ville importante et loin d’être une bourgade secondaire ».
La Basse époque va des dynasties XXI à XXVI de 1070 à 525
La XXIIe dynastie pharaonique, de la Troisième Période intermédiaire, est une dynastie d’origine berbère amazighe libyque, qui gouverne l’Égypte antique en commençant à la suite de la XXIe dynastie avec Sheshonq Ier vers 943 avant J-C. ( ces documents ont pour sources les chroniques de Manéthon)
1000-883 av. J.-C. : la Phénicie devient la principale puissance commerciale du Levant.
Les marins phéniciens fondent des comptoirs en Méditerranée, à Chypre, en Sicile, en Sardaigne, sur la péninsule Ibérique et en Afrique du Nord. Ils franchissent le détroit de Gibraltar et fondent Gadès (Cadix) et Lixus au Maroc.
À partir du VIIIe siècle av. J.-C., les cités phéniciennes perdent leur autonomie, étant successivement dominées par les Assyriens, les Babyloniens, les Perses, les Macédoniens (Lagides et Séleucides), puis les Romains. Elles préservent cependant leur importance commerciale et poursuivent leur expansion.
814 av. J.-C.: Fondation de Carthage par des Tyriens.
Parallèlement, les implantations phéniciennes de la mer Méditerranée occidentale tombent sous la coupe de la plus puissante d’entre elles, Carthage.
L’accomplissement le plus connu de la civilisation phénicienne est la mise au point et la diffusion de l’alphabet phénicien, qui est sans doute à l’origine de l’alphabet grec, même s’il ne s’agit pas du premier alphabet. C’est le retour de l’écriture, écriture alphabétique cette fois, dérivée de celle des Phéniciens. Il semblerait que les Grecs aient utilisé l’écriture d’abord pour noter de la poésie. Ainsi situe-t-on Homère et ses poèmes à cette époque.
La civilisation phénicienne présente de nombreux points communs avec celles des populations qui l’ont précédée au Levant (que l’on regroupe souvent sous le terme de « Cananéens »), ce qui permet de mieux comprendre certains aspects de leurs institutions politiques et surtout de leurs croyances et pratiques religieuses.
Le 8e siècle (époque archaïque, 800 à 500 avant J.-C.) ouvre une ère nouvelle :
Les premiers jeux Olympiques naissent en 776. C’est aussi à partir du 8e siècle qu’apparaissent les cités-États (polis), structure communautaire typique du monde grec qui verra son apogée à l’époque classique (500 à 350 avant J.-C.) avec l’institution de la démocratie.»
Les Perses se décidèrent à agir lorsque Amosis demanda aux Grecs de venir en renfort
et ces Grecs introduisent une nouvelle idolâtrie. Ce qui signifia la décadence prononcée et la fragilité du pouvoir du pharaon.
Nous revenons aux livres d’Albert Slosman :
« Les annales démontrent que l’implantation hellène dans le delta du Nil débuta pendant un demi-siècle de -664 à -610. Psammétique 1er fut un roitelet chef de province qui avait de grandes difficultés pour se maintenir à son poste. Les Grecs l’aidèrent à conquérir le sceptre souverain qu’il conserva pendant cinquante ans, où le renouveau fut à l’honneur. Le commerce commença entre l’Égypte et toutes les cités grecques. Les grecs découvrirent une civilisation bien plus ancienne que la leur. Il y eut un retour général aux canons spirituels des III et IVème dynasties. On vit revivre les formes les plus anciennes de l’écriture hiéroglyphique qui remirent en honneur les services divins de Ptah et les liturgies manifestement tombées dans l’oubli. Mais ce furent surtout les érudits étrangers qui en profitèrent. …/… Ahâ-Iabra, le prédécesseur d’Amosis, avouait avoir un corps d’élite de soldats grecs de 30 000 hommes.
En 597, Sédecias, roi de Juda, lui demanda de lui envoyer son armée pour combattre Nabuchodonosor en Syrie.
Mais ce fut un grave échec, car des deux côtés se trouvaient des mercenaires grecs. Aussi quand l’armée se retira pour rejoindre la base égyptienne, Jérusalem fut prise et mise à sac. Le prophète Jérémie était parti avec les troupes d’Apriés et il resta en Égypte où il fut accueilli fraternellement.» C’est la déportation des Juifs à Babylone, entre 597 et 538.
Lors d’un conflit avec les Libyens, les mercenaires grecs des deux camps se révoltèrent pour arrêter de s’entre-tuer.
Apriès demanda au général Amosis de discuter avec les rebelles. Ceux-ci lui offrirent l’occasion de devenir le nouveau pharaon s’il réussissait à rallier à lui le reste de l’armée égyptienne. Ce qu’il fit. Il développa de bonnes relations avec tous les petits chefs des îles grecques. Polycrate, le tyran de Samos, lui envoya Pythagore à titre amical pour l’initier à la Sagesse antique. Amosis eut de cordiales relations avec Thalès de Milet. Mais Amosis ne s’intéressait pas à la religion et il ne recevait pas les prêtres. Il ne tenait aucun compte des prophéties qui se disaient à propos de l’ère du Bélier et de la fin de l’Égypte. Khnou-Iamet (-569 à -525) se nomme en grec Amosis.
586-573 av. J.-C.: Tyr détruite par Nabuchodonosor, Carthage prend son envol et Sidon domine la Phénicie.
XXVII dynastie de 525 à 359 Première domination perse avec Cambyse II, Darius I, Xerxès et elle se poursuit jusqu’à la XXX dynastie jusqu’en 343.
Document :
« A peine le dernier quart de navigation solaire le long du « Grand Fleuve Céleste » en Bélier fut-il commencé, qu’Israël et l’Égypte perdirent leurs identité dans le même temps! Les Hébreux furent déportés en Babylonie, et les Perses transférèrent 500 000 prisonniers égyptiens vers leur pays, où très peu arrivèrent vivants. Ainsi, les défenseurs de l’ère du Bélier furent balayés de leurs deux mères patries. Moise et Akhenaton n’avaient pas réalisé leur rêve d’un monothéisme défenseur des droits de chaque humain à vivre dans la paix de Dieu sur Terre.
Les cinq siècles restant à accomplir jusqu’à l’entrée du Soleil dans la constellation des Poissons virent un énorme brassage de population dans ce Proche-Orient au courant de toutes les prophéties devant s’accomplir avant l’ère nouvelle. Chaque pays faisait tout pour influer sur les évènements pour qu’ils tournent en faveur du plus fort ou du plus malin.
…/… Car les Mages persans étaient certains que si Amon-Râ arrivait à la fin de son ère du Bélier, il n’en allait pas de même de ceux qui vénéraient le Dieu-Un, sous la forme de son fils symbolisé par un taureau vivant. C’est cet Osiris qui leur faisait peur ! Il leur fallait détruire cette entité dans le même temps que les idolâtres s’ils voulaient conserver en Perse leur puissance religieuse. L’antique conception pharaonique du monothéisme ne devait sous aucun prétexte pénétrer en Perse !
A l’origine, c’était donc une guerre où le fanatisme religieux des sectaires de Zoroastre avait la prépondérance. La destruction des vestiges millénaires d’une autre vénération portant préjudice à leur fétichisme. Cela est plus qu’une opinion personnelle, car elle découle de tous les textes relatifs à cette époque. Mais aucun de ces « Mages » n’avait prévu que Cambyse deviendrait complètement fou, et ferait échouer en définitive ce pourquoi il était parti à la conquête de l’Égypte.
Pythagore était en 525 avant J-C à Dendérah, année de l’invasion perse.
En 525, Ankhrepsem, Psammétique en grec, 6 mois après avoir succédé à Amosis, fut étranglé par Cambyse dans le Palais royal de Memphis et la grande cour du temple d’Ath-Kâ-Ptah reconstruit sur l’ordre d’Amosis.
A Dendérah, Cambyse exigea d’aller dans la crypte de la résurrection d’Osiris (Ousir) alors qu’il n’était pas préparé spirituellement à une telle rencontre. Le Pontife l’emmena voir le lieu où demeure le Fils Aîné de Dieu. Il y a douze cryptes tout autour du temple. Chacune personnifie l’un des douze « Cœurs » du ciel, qui forment la grande ceinture qui régit toutes les Combinaisons-Divines. La demeure d’Osiris est celle de l’Âme du Monde, car chacune des Parcelles de cette âme est implantée dans les corps humains à leur naissance. Cambyse refusa de demander pardon pour ses crimes, il se mit à brûler (NDLR : à cause de sa torche qui, dans son agitation, avait touché ses vêtements) et se sauva. Sa vengeance fut terrible, il tua tous les prêtres et il fit détruire le temple qui ne fut reconstruit que trois siècles plus tard sous les Ptolémées.
Quand le roi perse Cambyse envahit et conquit l’Égypte en 525 av. J.-C, la colonie militaire juive d’Éléphantine, abandonnant le service des Pharaons saïtes, se rallia immédiatement aux autorités perses. Cette colonie s’appelait « l’armée juive » ou « la garnison juive » (hailâ yehudaiâ), établie dans la forteresse d’Éléphantine.
Les **lettres d’Éléphantine**, découvertes en Égypte et datées de 400 avant J.-C., décrivent une communauté juive installée sur l’île d’Éléphantine, avec un temple en dehors de Jérusalem. Ce fait est en contradiction avec la Torah, qui interdit formellement de tels temples.
Cette communauté pratiquait un culte polythéiste ou, plus exactement, monolâtre, vénérant Yaho, Anath, et Ashim. Comment expliquer que des Juifs, censés suivre la Torah, n’en respectaient pas les règles ? Simple : la Torah, dans sa version actuelle, n’existait probablement pas à l’époque.
Un message vieux de -400 ans inscrit sur un morceau de poterie pourrait non seulement être le premier exemple connu d’une ancienne malédiction populaire, mais aussi la première preuve directe de l’existence de femmes prêtresses dans des temples juifs. L’inscription en douze mots, rédigée en araméen ancien, fut mise au jour en 1925 sur le site d’un ancien temple juif sur Éléphantine, une île de la vallée du Nil, dans le sud de l’Égypte.
332 av. J.-C.: Alexandre le Grand s’empare de la Phénicie. Tyr, qui résiste, est détruite
La seconde domination perse va de 342 à 332
Les souverains macédoniens de 332 à 305 avec Alexandre le Grand.
« Alexandre le Grand commença la restauration des lieux de culte. Les véritables monothéistes (fidèles de Ptah) s’assemblèrent en une population spirituelle différente, qui garda le patronyme de « Cœur de Dieu » : Kâ-Ptah, qui devint Koptos en grec et copte en français.
Leur signe de ralliement fut un poisson gravé sur un scarabée dans l’œil d’Isis, pour tromper ceux qui voulaient leur perte en les empêchant de se réunir. A l’entrée de l’ère des Poissons, le Messie apparut. Et le poisson devint le symbole des premiers chrétiens.»
source : la Grande Hypothèse, Albert Slosman, Robert Laffont, 1982
La fin de Carthage
264-241 av. J.-C.: 1ère guerre punique
218-202 av. J.-C.: 2ème guerre punique
L’écrivain classique qui a décrit des phénomènes célestes inhabituels, tels que des « boucliers de feu » et des « torches enflammées » volant dans le ciel, est Tite-Live (59 av. J.-C. – 17 apr. J.-C.), l’un des plus importants historiens romains. Dans son chef-d’œuvre, Ab Urbe Condita (Histoire de Rome depuis sa fondation), Tite-Live rapporte plusieurs événements extraordinaires qui ont été interprétés comme des présages ou des prodiges par les anciens Romains.
En particulier, Tite-Live décrit des observations de « boucliers ardents » (clipei ardentes) et de « torches enflammées » (faces ardentes) apparaissant dans le ciel. Ces phénomènes étaient souvent associés à des événements historiques importants, tels que des guerres ou des changements politiques, et étaient considérés comme des signes divins ou des messages des dieux.
Par exemple, dans le livre XXI de son œuvre, Tite-Live mentionne l’apparition de boucliers ardents dans le ciel pendant la deuxième guerre punique (218-201 avant J.-C.), un événement que les Romains ont interprété comme un présage lié à la menace d’Hannibal.
149-146 av. J.-C.: 3ème guerre punique : Carthage est rasée en 146
Hannibal séjourna 15 ans sur le sol romain. Il cherchait un accord avec Rome. L’ancienne civilisation égyptienne qui avait développé la colonie de Byblos devenue la Phénicie puis Carthage, raisonnait encore pour établir des alliances et développer des relations commerciales et culturelles. Le but de Rome était tout différent et elle voulait conquérir avec ses légions un empire le plus vaste et imposant.
Ce sont deux visions du monde qui se sont affrontées :
- une civilisation fondée sur des réseaux d’alliances et un Savoir remarquable fondé sur nos deux sources de connaissances et transmis par les Survivants du dernier Grand Cataclysme
- un nouveau système de pouvoir militaire entièrement orienté vers la conquête des peuples et leur mise en esclavage puis la transformation de leurs régions en colonies et en provinces romaines comme ce sera le cas pour l’Égypte.
Depuis cette victoire de Rome sur Carthage, l’Europe vit toujours sous des systèmes de pouvoir, y compris en dernier le système de pouvoir économique capitaliste libéral associé aux théocraties judéo-chrétiennes-musulmanes.
65 av. J.-C.: Les cités phéniciennes passent sous contrôle romain
Les Ptolémées vont de 305 à 30.
« La présence de Rome en Égypte était en fait antérieure à Jules César et à Octave.
Les riches terres d’Égypte devinrent la propriété de Rome après la mort de Cléopâtre VII en 30 avant notre ère, ce qui marqua la fin de la dynastie des Ptolémées qui régnait sur l’Égypte depuis la mort d’Alexandre le Grand en 323 avant notre ère.
Les Romains avaient été périodiquement impliqués dans la politique égyptienne depuis l’époque de Ptolémée VI, au IIe siècle avant notre ère. L’histoire de l’Égypte, depuis l’éviction des Perses sous Alexandre jusqu’à l’arrivée de Jules César, en passant par le règne des Ptolémées, vit une nation souffrir de conquêtes, de troubles et de luttes intestines. Le pays survécut pendant des décennies sous l’égide d’une famille régnante de langue grecque. Bien que centre culturel et intellectuel, Alexandrie soit restée une ville grecque entourée de non-Grecs. Les Ptolémée, à l’exception de Cléopâtre VII, n’avaient jamais voyagé en dehors de la ville, et encore moins appris la langue du pays. Pendant des générations, ils s’étaient mariés au sein de la famille, le frère épousant la sœur ou l’oncle épousant la nièce.»
Vidéo : Égypte – L’Odyssée de la Conscience | Le Message des Pierres – Épisode 1 Guilhem Cayzac – Regard Essénien
Remarques additionnelles
Pour mener du mieux possible ce travail de rédaction du chapitre Les Théocraties et les dogmes religieux,
nous avons utilisé 5 livres.
Les 4 livres d’Albert Slosman sur ce thème de la civilisation atlante puis égyptienne.
| Le grand cataclysme, les énigmes de l’univers, Robert Laffont, Paris, 1976, | 317 pages |
| Les survivants de l’Atlantide 1978, | 325 pages |
| Et Dieu ressuscita à Dendérah 1980, | 261 pages |
| La Grande Hypothèse d’Albert Slosman 1982, | 302 pages |
| soit un sous-total de | 1205 pages |
| Le livre de Douglas Reed, la Controverse de Sion | 636 pages |
| Total des pages lues et étudiées | 1841 pages |
Dans la première partie du chapitre qui relate la civilisation atlante puis égyptienne, nous avons copié un certain nombre d’extraits parce que le livres d’Albert Slosman sont rares même si de nouvelles éditions apparaissent chez un éditeur.
Ces extraits sont indispensables pour montrer d’une manière précise ce que fut le Savoir de cette civilisation fondée sur l’utilisation de nos deux sources de savoir. Leurs présences ici permettent de sortir cette civilisation, brillante de l’oubli et de sa censure imposés par les systèmes de pouvoir et spécialement les théocraties babylonienne, perse, puis romaine et judéo-chrétiennes jusqu’à aujourd’hui.
Nous invitons nos lecteurs et lectrices à acheter le livres d’Albert Slosman. Nous n’avons montré que quelques calculs astronomiques simples, bien d’autres sont cités par Albert Slosman qui fut également professeur de Mathématiques.
Dans la seconde partie du chapitre qui retrace la théocratie juive des Lévites présents dans la tribu de Juda, exclue d’Israël dès les années mille avant notre ère, La Controverse de Sion de Douglas Reed est téléchargeable gratuitement sur internet en format PDF. C’est pourquoi nous n’utiliserons que les extraits les plus indispensables. Les résumés suffiront et nos lecteurs et lectrices pourront télécharger ce livre en format PDF d’accès gratuit sur Internet. Cette deuxième partie est donc bien plus courte que la première sauf à y ajouter le temps de lecture du livre en PDF.
La lecture des 636 pages est longue et, à notre avis, se fait petit à petit, chapitre après chapitre, soit sur une durée d’un mois ou plus.
Douglas Reed, en tant qu’excellent journaliste américain, a mené un travail de documentation énorme. La controverse de Sion « est le fruit de plus de trois années de recherches approfondies et intensives, menées en grande partie à la bibliothèque centrale de New York, à partir de sources difficilement accessibles ». Nos lecteurs verront que la direction centrale du mouvement juif et sioniste est maintenant à New York après avoir été auparavant à Berlin, Moscou. Et à la fin de la rédaction de ce livre, devant la « Vérité » qu’il venait de mettre à jour, il hésita à publier ce manuscrit. C’est deux ans après sa mort qu’il fut publié en 1978.
Dans notre confrontation entre la civilisation atlante puis égyptienne avec la théocratie juive de la Tribu de Juda qui fut reprise dans l’Ancien Testament de la Bible chrétienne, nous n’avons pas besoin d’entrer dans les détails de cette aventure politicienne insensée dans le but de persuader les puissants de ce monde de se ranger à la volonté de la théocratie juive.
Les dogmes religieux de cette théocratie sont tout le contraire de l’Alliance entre le Créateur et son humanité. Ce n’est pas parce que la civilisation atlante affiche son origine extra terrestre dans les Andes puis sur le continent englouti lors du dernier Grand Cataclysme, que son haut niveau de développement et son Savoir spirituel et intellectuel, scientifique, doivent perpétuellement être rejetés, condamnés à l’oubli définitif.
Et ce n’est pas également parce que la petite tribu de Juda, exclue d’Israël, ne s’est pas soumise à l’évolution des autres peuples, qu’elle doit être reconnue pour ses dogmes suprémacistes, ségrégationnistes, racistes et sa volonté de détruire leurs autres peuples incapables de suivre ses directives divines recueillies auprès de son Dieu particulièrement vengeur… et qui, visiblement ne s’intéresse pas à la création du Créateur parmi les univers.
Les théocraties qui ont développé la culture occidentale judéo-chrétienne en détruisant et en laissant dans l’oubli la civilisation atlante puis égyptienne, n’ont pas leur place dans notre nouvelle civilisation fondée sur Nos Réseaux de Vie et l’utilisation de nos deux sources de Savoir.
Pour terminer nos remarques sur ce long travail
jamais entrepris pendant si longtemps depuis 23 ans et la création de notre site web fileane.com, ajoutons quelques anecdotes plus personnelles.
Jour après jour, comme toujours, nous utilisons nos correspondances et notre dialogue de l’âme pour l’âme.
Il y a plus de quatre mois déjà, nous avons compris que pour enfin commencer la rédaction des Institutions culturelles de Nos Réseaux de Vie, après environ trois années à sauver notre site construit, depuis février 2002 , avec Frontpage puis HTML pour l’installer dans un pack WordPress chez un nouveau hébergeur, nous devions commencer, en Partie 2 de l’essai, le fonctionnement des systèmes de pouvoir, par expliquer les théocraties et leurs dogmes religieux, qui n’ont pas de place dans la Culture de notre nouvelle civilisation humaniste florissante.
Puis nos correspondances nous ont indiqué que, plutôt que critiquer même longuement et ardemment la liste impressionnante des méfaits, des crimes contre l’humanité et des génocides commis par ces théocraties au moins depuis trois mille ans, la meilleur solution pour nous était de cadrer nos propos dans une confrontation directe entre la civilisation florissante atlante puis égyptienne d’une part et la théocratie instaurée par les Lévites présents dans la tribu de Juda bien après l’exclusion de cette tribu par Israël vers l’an mille avant notre ère.
Après avoir rédigé en début d’année 2024 le chapitre sur Les survivants du dernier Grand Cataclysme à partir du livre d’Albert Slosman, cette perspective fut une suite logique. Sauf que je devais approfondir ses livres que j’avais parcourus superficiellement mais sans m’enfoncer ici dans des détails superfétatoires, pour rester concis et clair.
Ce long travail n’a pas été le moins du monde pénible, au contraire, comme à chaque fois en empruntant ce dialogue de l’âme pour l’âme, il a été le lieu de magnifiques rencontres ou le lieu pour sortir de ma mémoire des rencontres qui m’ont profondément marqué et qu’enfin je comprenais mieux.
Permettez-moi de vous en présenter quelques unes parmi tant d’autres.
Victor Hugo a dit que nous n’écrivons jamais seul et pas uniquement pour le temps présent. Oh que c’est vrai ! Et il s’y connaissait admirablement Victor comme Alfred que nous citons également pour ce vers à la portée universelle, dieu parle, il faut qu’on lui réponde ! Grâce à ces rencontres, nous n’avons fait que cela !
Commençons par cette première rencontre chez nous avec ces deux éminents bâtisseurs de temples et de monuments parmi les dynasties égyptiennes.
L’un s’est présente avec son nom commençant par P, un fidèle de Ptah et l’autre avec son nom commençant par S, un fidèle de Sit.
J’introduisais dans le roman D’Éleusis à Dendérah, l’évolution interdite, pour la première fois un texte que je rédigeai avec le livre d’Albert Slosman Et Dieu ressuscita à Dendérah. Quelques années auparavant, par le libraire de la Table Émeraude, 21 rue de la Huchette Paris Vème, j’avais appris le décès de l’auteur suite à une chute dans les escaliers de Radio France. Je me posais sérieusement la question si cela valait la peine de prendre autant de temps pour maîtriser ce domaine de connaissances.
Ma rédaction restait hésitante lorsque je sentis derrière mon épaule leurs deux présences. Ils savaient que j’avais réussi mon initiation lors de ma rencontre avec les Mystères de la Vie et comme eux, j’étais finalement revenu sur Terre dans mon corps charnel avec lequel j’avais pourtant coupé tous les liens. Nous avions tous les trois les mêmes pouvoirs de sortir de nos enveloppes charnelles pour établir une fusion de nos énergies de Vie et nous voir dans nos présences dématérialisées. Aucune gène et encore moins aucune peur n’existaient entre nous. Ils sont restés pas mal de temps et ils s‘étaient placés au dessus du canapé du salon. Ils attendaient mes questions mais j’étais encore bien ignorant sur cette civilisation, leur personnalité et ce qu’ils avaient accompli.
Après m’avoir rassuré en m’affirmant qu’ils restaient à ma disposition, que je devais travailler pour me documenter sur ce qu’ils ont accompli, ils sont partis pour sortir de la maison, calmement dans leur imposante silhouette diaphane et translucide. Au fond du couloir, la porte d’entrée venait de s’ouvrir et une de nos enfants rentrait de l’école. Les deux se sont précipités dehors en empêchant notre fille de rentrer. Puis elle est venue me demander ce qui venait de se passer et qui était sorti devant elle. Elle avait senti ces deux présences sans les voir. Plus tard j’ai expliqué à ma famille ce qui s’était passé et que je devais travailler sur Dendérah !
Aujourd’hui, à travers cette rédaction, j’ai compris que la guerre des deux frères Ousir et Sit dont Albert Slosman fait pas mal de cas dans ses livres, n’avait peut-être pas eu cette importance vitale. En réalité, ils étaient obligés de s’entendre à travers un consensus minimal : autour d’eux, les peuples vivaient à l’âge de la pierre taillée. Aujourd’hui encore, mis à part le fait que ce Savoir est interdit par les théocraties, malgré nos connaissances actuelles scientifiques dans tous les domaines, nous ne comprenons pas tout de cette civilisation.
Les initiés de cette civilisation connaissaient les deux questions critiquent qui allaient alimenter pendant des millénaires l’incompréhension des non initiés, voir comme chez Cambyse et tant d’autres, la fureur pour détruire un tel mouvement spirituel capable d’établir une Alliance avec le Créateur afin de comprendre l’évolution des combinaisons astrales qui influencent notre planète.
Ce sont bel et bien l’origine extra-terrestre de la civilisation des Andes et d’Ahâ-Men-Ptah, puis le fait qu’à travers cette relation directe avec le Créateur, il nous réponde, en nous donnant à deux occasions, son fils engendré par lui pour nous aider à survivre à l’avant dernier Grand Cataclysme puis au dernier Grand Cataclysme, ce sont bien ces deux évènements incompréhensibles pour un non initié aux Mystères de la Vie, qui ont conduit cette civilisation florissante jusqu’à sa destruction par les nouvelles théocraties obscurantistes puisque celles-ci interdisent l’utilisation de notre première source de savoir pour défendre leurs dogmes religieux.
Je n’ai pas eu besoin de demander leur intervention pour me confirmer la validité de mon approche. Il suffit de revoir tous ces moments de ma propre initiation, sans déranger d’une manière inopportune celui qui vit en nous et est le même en chacun d’entre nous, et ce jour là en chacun de nous trois.
Sans refaire comme Albert Slosman toute la longue route des Survivants, en cinq mille ans, entre Ta Mana, Ta Ouz et finalement Dendérah, au moins deux ou trois occasions ont fait sortir de ma mémoire des souvenirs.
Le groupe d’ouvriers provenant des montagnes de l’Atlas marocain.
Dans notre entreprise de la métallurgie qui fabriquait du matériel électroménager, au service Presses, nous avions une équipe de nuit composée exclusivement de marocains venant du même village de l’Atlas. Ils travaillaient sans encadrement hiérarchique durant leur équipe de nuit et ils décidaient de tout entre eux, à l’unanimité après souvent quelques échanges vigoureux… mais il n’y avait personne dans l’usine sauf le gardien qui faisait ses rondes de nuit.
Un jour, j’ai constaté une belle effervescence à l’atelier Presses. Nous venions de recevoir enfin les premiers feuillards électro zingués venant de Florange, en Lorraine. Jusque là ces tôles spéciales étaient réservées au matériel militaire, à l’aviation et surtout à la construction automobile.
En écoutant la discussion entre la Direction de l’établissement et les cadres du service Presse, je fus stupéfait d’entendre que les premiers essais avec ces nouvelles tôles se feraient dès la nuit prochaine avec l’équipe de nuit. Nous devions attendre l’équipe de nuit avec ces marocains pour les laisser voir comment travailler ces nouvelles tôles et régler la Presse hydraulique à action unique pour emboutissage de métal 1700 tonnes. Leur dynamique d’équipe de travail, leur niveau élevé de communication de groupe et leur ancienneté dans l’équipe de nuit de l’Atelier Presses ont permis d’utiliser de suite ces tôles, la mise au point de l’emboutissage d’un seul coup sans aucun défaut a pris un peu plus de temps aux techniciens des deux équipes de jour.
Aujourd’hui, une question me taraude : étaient-ils des descendants des forgerons d’Hor de Ta Ouz ?
Les anciennes mines de Ta Ouz et les collectionneurs actuels de minéraux.
L’élève originaire de Kabylie
Une fois, en fin de cours de l’après-midi, après que je venais de raconter ma dernière sortie dans le Valais Suisse avec le Club Alpin de notre ville, une élève a attendu la sortie de la classe pour venir me voir. Elle était une excellente élève mais très discrète et qui refusait de se mêler à la vie des autres élèves au Lycée.
Le calme revenu, sur un ton bien assuré, elle me dit qu’elle a bien aimé mes propos sur la haute montagne et les plaisirs que nous avons sur leurs sommets. Mais, si elle ne doutait pas de la splendeur des montagnes du Valais suisse, pour elle, chaque jour, elle revoyait ses montagnes à elle de plus de 3 000 mètres d’altitude, chez elle en Kabylie. Elle était certaine que je les connaissais pas mais que je devais les découvrir. D’après elle, j’allais de suite les aimer, tant elles sont irrésistibles !
Je lui ai promis de les découvrir et nous avons poursuivi notre discussion. Oui, elle ne voulait pas se mêler à la vie de la classe. Il lui suffisait d’être parmi les meilleurs de la classe. C’était normal pour elle d’être dans ce groupe des meilleurs. Elle m’explique aussi que c’est la place dévolue à son peuple, les Kabyles, de par ses origines lointaines. Elle confie dans son sourire, qu’elle appartient à un peuple « de gris, encore plus gris que les plus gris », spécialement en Algérie et surtout à Alger. Sans nous dans nos montagnes, là-en bas, la situation serait bien pire. Heureusement pour eux que nous sommes là !
J’avais lu Albert Slosman mais pas autant qu’aujourd’hui. Je lui ai répondu que je connaissais aussi les peuples du Haut-Atlas marocain, les Touaregs. J’ai essayé de prolonger notre discussion mais elle devait partir et elle m’en avait déjà assez dit.
Je conserve quelques photos de la Kabylie sous la neige rencontrées sur Facebook et aujourd’hui je crois bien que je pourrais lui organiser, rien que pour elle, une conférence sur les Survivants du dernier Grand Cataclysme et les origines du peuple Kabyle.

Elle est la seule parmi les nombreux élèves et étudiants que j’ai rencontrés, à m’avoir procuré un tel effet : belle, souriante, secrète, une maturité exceptionnelle et une fière assurance en elle et dans le destin de son peuple. Elle savait que sa vie allait être compliquée en tant que fière Kabyle parmi, comme elle m’avait dit, ces arabes de la plaine et d’Alger qui n’utilisent leur Coran que pour justifier les crimes qu’ils commettent pour conquérir toujours plus de pouvoir et de richesses sur les peuples qu’ils soumettent à leur théocratie sanguinaire.
A ce moment là, ils n’osaient pas monter vers les sommets de la Kabylie. J’ose espérer qu’ils sont toujours restés en bas !
Nos combats se sont rejoints, nous partageons le même but : éliminer ces théocraties et leurs dogmes religieux, pour vivre libre sans eux ! C’est aussi pour elle que nous menons ce combat.
Le calcul égyptien de la hauteur du pôle.
La rencontre évoquée dans le chapitre sur les Théocraties entre le calcul égyptien de la hauteur du pôle et notre équipe qui a mis au point le compresseur d’ondes acoustiques du calculateur de l’altimètre radar du satellite Topex-Poséidon, est suffisamment décrite pour simplement la mentionner ici.
En guise de conclusion de cette annexe documentaire
Le Savoir de la civilisation atlante puis égyptienne, à chaque fois, a été sauvé, préservé pour nous être transmis. Nous avons essayé de montrer qu’il repose sur l’utilisation de nos deux sources de Savoir.
Sans une rencontre avec les Mystères de la Vie, comprendre ensuite le Mystère de l’Apocalypse n’est pas envisageable par manque de connaissances spirituelles.
Tout au long des millénaires, la pratique de la source initiatique spirituelle explique la nouvelle Alliance des êtres humains avec le Créateur et ses interventions « divines » pour nous permettre de survivre aux périls de la Vie de la création.
Celles et ceux qui ont déjà fait le voyage aller-retour dans leur condition humaine avant le dernier aller simple comme prévu pour chacun de nous sur Terre, ne peuvent en aucun cas se soumettre à la tyrannie des théocraties avec leurs dogmes religieux, obscurantistes, faux et criminels envers notre humanité associée à son Créateur.
Ils ont été nombreux dans les civilisations fondées sur nos deux sources de savoir et ils savent venir vers nous pour nous aider à bâtir une civilisation semblable à la leur. Trois millénaires de théocraties et de systèmes de pouvoir ont fortement réduit leur nombre sans pouvoir les éliminer de la Terre. Mais ils sont là parmi nous et nous en avons rencontrés quelques uns, comme vous certainement. Le combat continue…