Notre chapitre sur les guerres et le contrôle total de l’être humain, Partie 5 de Nos Réseaux de Vie, présente cette idéologie libérale de l’oligarchie financière anglo-saxonne. Cette tribune aborde un aspect particulier de cette prétention criminelle : contrôler la sexualité des êtres humains.
Leur dogme proclame qu’il n’y a pas de société mais uniquement des marchés. Contrôler la sexualité s’inscrit ainsi dans la destruction de la société, les familles, le couple et sous prétexte de libérer les enfants des tabous religieux sur la sexualité, la question se pose de savoir s’ils ne sont pas en train de développer des addictions sexuelles pour briser la vie amoureuse des êtres humains qui conduit au développement de couples solides capables de semer l’amour et la paix autour d’eux dans des sociétés. Ce dont ils ont horreur dans la défense de leur nouvel ordre mondial !
Malinowski en 1929, dans son livre sur la vie sexuelle des sauvages des îles Trobriands, a démontré que les sociétés matriarcales avaient une supériorité sur les sociétés patriarcales, justement parce que les femmes sont les maitresses des questions sexuelles. Elles sont au cœur de cet art de vivre les valeurs fondamentales de l’humanité, l’amour et la paix. En 1936, Sigmund Freud avait fini par admettre le constat posé par son ami Malinowski et il aura le courage intellectuel pour écarter la plupart des livres de son œuvre qui célébraient le patriarcat.
En 1928. Bernays, neveu de Freud utilisa les travaux de son oncle pour mener à bien son entreprise de relations publiques. Son livre Propaganda expose cyniquement et sans détour les grands principes de la manipulation mentale de masse ou de ce que Bernays appelait la ” fabrique du consentement “.
Comment imposer une nouvelle marque de lessive ? Comment faire élire un président ? Dans la logique des ” démocraties de marché “, ces questions se confondent.
Bernays assume pleinement ce constat : les choix des masses étant déterminants, ceux qui parviendront à les influencer détiendront réellement le pouvoir. La démocratie moderne implique une nouvelle forme de gouvernement, invisible : la propagande. Loin d’en faire la critique, l’auteur se propose d’en perfectionner et d’en systématiser les techniques, à partir des acquis de la psychanalyse.
Un document édifiant où l’on apprend que la propagande politique au XXe siècle n’est pas née dans les régimes totalitaires, mais au cœur même de la démocratie libérale américaine.
«…/… la masse est incapable de juger correctement des affaires publiques et les individus qui la composent sont inaptes à exercer le rôle de citoyen en puissance qu’une démocratie exige de chacun d’eux : bref, le public, au fond, constitue pour la gouvernance de la société un obstacle à contourner et une menace à écarter.
Cette thèse, à des degrés divers, est celle de Walter Lippmann, de Graham Wallas (1858-1932) ou de Gustave Le Bon (1841-1931), dont Bernays ne cessera de se réclamer, et elle rejoint un important courant antidémocratique présent dans la pensée politique américaine et selon lequel la « grande bête doit être domptée » – pour reprendre l’expression d’Alexander Hamilton (1755-1804).
Cette perspective était déjà celle de James Madison (1752-1836), qui assurait que « le véritable pouvoir, celui que procure la richesse de la nation », doit demeurer entre les mains des « êtres les plus capables » et que la première et principale responsabilité du gouvernement est de « maintenir la minorité fortunée à l’abri de la majorité ».
Bernays se fait l’écho de ces idées quand il écrit qu’avec « le suffrage universel et la généralisation de l’instruction » on en est arrivé au point où « la bourgeoisie se mit à craindre le petit peuple, les masses …»
Bernays, longtemps au service de John Rockefeller et des multinationales américaines, après l’âge de 60 ans jusqu’à son décès, un peu comme son oncle, déclarera qu’il s’est trompé et que les théories de manipulation des masses et que la fabrique industrielle du consentement sont des crimes contre l’humanité que nous devons combattre et éliminer.
Nous savons depuis, que ces dernières volontés de Freud et de son neveu Bernays n’ont pas été écoutées par les dirigeants de l’oligarchie financière anglo-saxonne. Au contraire, ces dirigeants ont continué à perfectionner ces théories et ces pratiques criminelles pour étendre et renforcer leur gouvernement mondial des plus riches.
Nous avons montré comment nos chers ennemis utilisent des procédés pour s’enrichir toujours plus au dépend des citoyens. Le financement et la direction des guerres ont été les moyens les plus importants pour se procurer des profits mirifiques impossibles en temps de paix. Ces guerres incessantes ont aussi permis la division des peuples soumis au système de pouvoir libéral et conservateur. Mais les objectifs de ces guerres, notamment de la seconde guerre mondiale, n’ont pas été atteints. Les dirigeants de Wall Street n’ont pas réussi à conquérir les richesses de l’empire russe parce que l’armée allemande a échoué en décembre 1941 à s’emparer de Moscou.
Depuis le développement des nouvelles technologies informatiques et de communication et les progrès scientifiques dans le domaine de la biologie et la génétique, le contrôle de la santé des êtres humains et donc le contrôle de la démographie, ont apporté de nouvelles possibilités pour le contrôle total des êtres humains.
Il n’est plus question d’éducation à la sexualité pour développer les naissances mais bien de son contraire : éduquer à une sexualité individualiste qui transforme l’être humain depuis son enfance en un consommateur du marché du sexe durant toute sa vie. Il n’est plus question de s’enrichir de nos amours à travers nos rencontres avec nos âmes sœurs comme dans les sociétés matriarcales dirigées par les femmes. L’objectif n’est plus de fonder des couples solides qui dirigeront leurs familles puis leurs groupes sociaux dans la paix et dans un art de vivre profondément humaniste.
Au contraire l’objectif est bien de détruire les sociétés et les familles, les couples pour appliquer le dogme libéral : il n’y a pas de société, il n’y a que des marchés. Le but ultime est connu : éliminer les valeurs fondamentales de l’humanité, l’amour et la paix pour « maintenir la minorité fortunée à l’abri de la majorité ».
Comme pour toute technique de soumission, le point de départ se situe dans la création d’une dépendance ou d’une addiction. Bernays a montré que c’était facile pour la consommation de tabac même chez les femmes. Ici l’éducation sexuelle souhaitée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) auprès des jeunes enfants avec l’intervention nécessaires d’éducateurs adultes différents des parents, présente tous les risques d’une nouvelle addiction aux pratiques sexuelles des adultes dès l’enfance.
Bien entendu, les arguments de ces serviteurs du nouvel ordre mondial sont en vitrine plutôt sympathiques :
libérer les enfants du tabou imposé sur la sexualité par les religions ou les familles conservatrices. Les progrès envisagés ne sont pas anodins :
Bref, autant de dépenses sociales fortement réduites et autant de richesses disponibles pour rembourser les déficits publiques et augmenter les revenus des actionnaires et des financiers.
document :
Les Nations Unies, dont on croyait que le rôle était d’agir en faveur de la paix dans le monde et du règlement pacifique des conflits entre États, ont donc publié le « Guide technique international sur l’éducation sexuelle ».
Page 71 de ce guide, les éducateurs sont invités à enseigner aux enfants, dès l’âge de 5 ans, « les baisers, les étreintes, les attouchements et les comportements sexuels », et il est indiqué que les enfants de 9 ans doivent être sensibilisés à l’attirance sexuelle, à la stimulation sexuelle et à la masturbation (les pédophiles qui enseignent sont aux anges, paraît-il).
Selon les promoteurs de la pédophile des Nations Unies, ce guide vise à :
– « Équiper les enfants… à développer des relations sexuelles ».
– « Aider les enfants à nouer des relations avec des partenaires sexuels ».
Pour l’OMS, si les enfants sont une cible des mortelles injections d’ARNm, ils sont également la cible des pédophiles qui la dirigent, puisque l’organisation criminelle a publié un document intitulé « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe » dans lequel il est consigné les directives suivantes :
– Les enfants de 0 à 4 ans doivent apprendre ce qu’est la masturbation et s’intéresser à leur propre corps et à celui des autres.
– Les enfants de 4 à 6 ans doivent apprendre la masturbation et être encouragés à exprimer leurs besoins et désirs sexuels.
– Les enfants de 6 à 9 ans doivent apprendre ce que sont les rapports sexuels, la pornographie en ligne, l’amour secret et l’autostimulation.
– Les enfants de 9 à 12 ans doivent avoir leur première expérience sexuelle et apprendre à utiliser la pornographie en ligne. Par ailleurs, l’OMS recommande aux écoles d’encourager les jeunes enfants à avoir des relations homosexuelles avec leurs amis.
Scène du film français « Cuties » (« Mignonnes ») diffusé en salle et sur Netflix (interdit en Turquie) et qui promeut, directement ou indirectement, la pédophilie et la sexualisation adulte des enfants
Les « Normes pour l’éducation sexuelle » édictées par les pédophiles de l’OMS et les « Directives techniques internationales sur l’éducation sexuelle » édictées par ceux des Nations Unies font déjà partie intégrante du programme scolaire officiel aux Pays-Bas.
Ce programme est publié par la « School Leerplan Onderwijs » (« École du programme scolaire ») qui est l’éditeur officiel de tous les programmes scolaires du pays des tulipes et qui recommande aux enseignants d’atteindre les objectifs suivants :
– De 0 à 4 ans, les enfants doivent apprendre à tomber amoureux, à être intimes et à éprouver des sentiments sexuels.
– Les enfants de 5 ans et plus doivent apprendre les relations sexuelles, la pornographie en ligne et l’expérience de la luxure en touchant leur propre corps.
– À partir de 7 ans, les enfants doivent apprendre les différentes techniques sexuelles.« La peau d’une bite » et « manger la chatte »
Illustration du livre pour enfants « What is sex? » (« Qu’est-ce que le sexe ? ») de Channah Zwiep
Livre recommandé pour les classes des écoles primaires aux Pays-Bas. Extrait : « La peau d’une bite ou d’un vagin est également très sensible. C’est pourquoi, les gens aiment parfois se toucher à cet endroit avec leur bouche. Quand quelqu’un lèche ou suce une bite, cela s’appelle la succion. Bien entendu, une femme peut faire de même. Si quelqu’un lèche un vagin, cela s’appelle “manger la chatte ».
Dans le détail, cela donne ceci :
« Quand une petite fille de cinq ans et demi commence à vous déshabiller, c’est fantastique ». Daniel Cohn-Bendit – 23 avril 1982 sur Antenne 2
Le pédophile Dany Cohn-Bendit était un précurseur…
Selon des parents qui s’y opposent, l’école élémentaire de Den Bosch organiserait des jeux sexuels pour les jeunes enfants par groupes de 3 ou 4 enfants.
Au programme de ces jeux : « De jeunes enfants se tripotent, se touchent les parties génitales avec la bouche ou regardent sous la porte des toilettes. »
Les pédophiles du Comité international de juristes (CIJ) et ceux qui dirigent l’ONU (Nations Unies) appellent dans un rapport à la dépénalisation des relations sexuelles entre adultes et enfants.
Pour eux, les enfants peuvent consentir à des relations sexuelles et ce n’est que lorsque les enfants déposent une plainte officielle auprès de la police que l’abus sexuel doit être considéré comme un crime (on imagine un enfant de 5 ans victime d’un pédophile aller au commissariat de police pour porter plainte en Ouganda, au Maroc, ou même en France).
Pour eux, encore : « un comportement sexuel impliquant des personnes n’ayant pas l’âge minimum de consentement à des relations sexuelles prescrit au niveau national peut être consensuel… »
Le cœur du dispositif de la dépopulation de la planète voulue par les milliardaires mondialistes et leurs loufiats et sbires : l’Agenda 2030 avec l’endoctrinement des enfants à avoir une sexualité non reproductive !
Rappelons que l’Agenda 2030 des Nations Unies a pour finalité de transformer tous les aspects de l’existence humaine sur Terre, ce qui se résume à la célèbre formule du psychopathe de Davos : « Vous ne posséderez rien, mais vous serez heureux ».
Alors cela, le « Vous ne posséderez rien, mais vous serez heureux », c’est pour les gueux que nous sommes à leurs yeux, pour eux, il s’agit d’une toute autre histoire puisqu’ils auront tous les droits et qu’ils posséderont tout, y compris nos enfants, dont ils veulent, selon les directives de l’OMS, qu’ils « aient des relations sexuelles, qu’ils apprennent à se masturber et qu’ils utilisent la pornographie en ligne ».
Mais ces destructions systématiques ne concerneront que les gueux, que les « sans dents », c’est-à-dire les 90 % de l’humanité qu’ils veulent éliminer et qui n’auront plus accès à rien, et qui devront se contenter de bouffer de la farine d’insecte et de boire du lait de cafard.
Quant à eux, ils continueront à profiter de tout cela, à se régaler de homards et à boire les meilleurs whiskys à bord de leurs jets privés ou de leurs yachts.
fin du document, source privée de l’auteur.
document :
Entre 1930 et 1950, l’américain Alfred Kinsey, usant de son statut respectable de chercheur en entomologie (science des insectes), décide d’étudier la sexualité humaine. Sa légitimité en la matière est donc très faible.
Pour la sexualité adulte, sa méthode va consister à interroger sur leurs pratiques sexuelles des centaines d’adultes plus ou moins délinquants sexuels.
Pour la « sexualité » des enfants, il va pratiquer avec son équipe des centaines de masturbation forcée de nourrissons, d’enfants ou d’adolescents et récupérer auprès de pédophiles des observations à partir des viols qu’ils pratiquent
De ces observations, Kinsey écrit : « Il est certain (…) qu’il y a des enfants, hommes et femmes, qui sont tout à fait capables d’une véritable réponse sexuelle ». Page 115 du même ouvrage, il affirme que : « Certains contacts sexuels pré-adolescents ont fourni des satisfactions émotionnelles qui ont conditionné la femme pour l’acceptation d’activités sexuelles ultérieures ».
Plus loin, Kinsey explique qu’il faut banaliser le fait que des adultes aient des enfants comme « partenaires » sexuels. Autrement dit, banaliser la pédophilie.
Enfin, Kinsey affirme ce qui va sous-tendre le discours du Planning familial dans les « Droits sexuels » et les « Standards pour l’éducation sexuelle » :
« Il est difficile de comprendre pourquoi un enfant, à l’exception de son conditionnement culturel, devrait être perturbé par le toucher de ses organes génitaux, ou perturbé encore plus par des contacts sexuels spécifiques. En outre, les contacts adultes sont une source de plaisir pour certains enfants, et parfois peuvent éveiller l’enfant érotiquement ».
Tout est dans cette dernière phrase. Pendant que toutes les cultures du monde protègent l’enfant et l’adolescent des effractions psychiques que sont la pornographie et le discours trop précoce sur les pratiques sexuelles adultes, Kinsey et ses successeurs ont choisi la sexualisation de l’enfant.
A qui profite cette approche ? Indéniablement à ceux qui souhaitent des pratiques sexuelles avec des enfants c’est-à-dire les pédophiles.
Qui est détruit par ces procédés ? Assurément, les enfants sexualisés dont l’enfance est volée et qui voient leur psychisme atteint de manière grave.
Cette tribune est d’abord une illustration complémentaire des procédés utilisés par le nouvel ordre mondial dans sa prétention à soumettre les peuple à son contrôle total de l’être humain, évidemment au départ, toujours pour le bienfait des populations et la libéralisation des modes de vie selon les standards de l’oligarchie financière anglo-saxonne libérale.
Les articles et documents présentés ci dessous dans les liens Sources indiquent les éléments positifs et dangereux de cette règlementation de l’ONU et de l’OMS. Nous n’allons pas ici commentez ces discussions mais nous vous invitons à les lire ou le cas échéant, à les découvrir.
Nos positions sont connues et elles sont déjà rappelées plus haut : le matriarcat comme chez les Moso ou chez les indigènes des îles Trobriands ou encore chez tant d’autres peuples premiers, organise la sexualité sous l’initiative et le contrôles des mères, le clan des mères.
Le but est de montrer que la sexualité, l’extase amoureuse à partir de la fusion des corps charnels, est la voie la plus simple pour un être humain dans son cheminement personnel initiatique et spirituel. L’utilisation de notre première source de savoir pour rencontrer les mystères de la Vie et trouver nos réponses à nos raisons de vivre n’utilise pas que la voie de l’extase amoureuse, nous le savons et le présentons sur fileane.com.
Le système de pouvoir libéral avec ses dogmes et ses théories absconses et sulfureuses, voire criminelles, interdit l’utilisation de notre première source de savoir et tout développement de notre spiritualité. Quitter ces systèmes de pouvoir est pour nous un préalable nécessaire et indispensable.
Cette question de l’éducation sexuelle imposée par l’OMS et les gouvernements du système néo libéral, spécialement à travers les programmes scolaires, représente un sujet de discussion que nous approfondirons dans la Partie 1 des Réseaux de Vie, au niveau des Institutions culturelles. Cette tribune est un premier pas dans cette direction. Nous présenterons alors le fonctionnement de ces Institutions culturelles.
Nous avons déjà abordé cette question du développement spirituel à travers l’utilisation de notre dimension sexuelle pour rencontrer les mystères de la Vie dans notre roman d’Éleusis à Dendérah, l’évolution interdite. Les lignes directrices sont clairement déterminées.
Sur ce nouveau site en WordPress, nous n’avons pas encore remis en ligne tous les 50 épisodes. Mais dans les épisodes 5 à 7, le week-end à Baden-Baden, les personnages se réunissent pour définir les activités de leur nouveau club de rencontres et de développement spirituel. La question de l’école d’Amour est abordée.
Épisode 5 Le week-end à Baden-Baden
Épisode 6 La veillée dans la nuit du samedi au dimanche matin
Épisode 7 Le bain romain-irlandais et la célébration de leur communion
Nous combattons résolument cet “important courant antidémocratique présent dans la pensée politique américaine et selon lequel la « grande bête doit être domptée »” Nos lecteurs le savent et le comprennent depuis mars 2002 et la mise en ligne de fileane.com. Le poète ne peut pas se confondre avec le dompteur d’une grande bête !
Sources du document utilisé sur le guide d’éducation sexuelle publié par l’ONU
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