Les guerres menées après 1945.
Nos chers ennemis
Dossier 3: Le financement et la direction des guerres
Partie 3 les guerres organisées après 1945.
Nous l’avons indiqué au début de ce dossier 3, nous présentons une sélection des guerres financées et dirigées par l’oligarchie financière anglo-saxonne et non pas toutes les guerres qui ont eu lieu. Notre sélection doit permettre de mieux comprendre comment ils agissent et continueront d’agir dans les prochaines guerres puisqu’ils sont incapables de s’en passer parce qu’elles rapportent des profits mirifiques impossibles en temps de paix. Par exemple nous n’abordons pas ici les guerres coloniales et la libération des peuples colonisés, ni la guerre froide avec l’URSS.
Fascisme et guerre après 1945.
Document : extraits du livre de Jacques R. PAUWELS, Big Business avec Hitler, Éditions Aden, février 2013. pages 333 et suivantes
” Le big business américain sortit de la Seconde Guerre mondiale nanti d’un contrôle presque total de l’État américain. Il n’est donc guère surprenant que tant la politique nationale que la politique internationale suivies par Washington après 1945 aient systématiquement cherché à réaliser le grand objectif du big business, à savoir la maximisation des profits. Ce n’est qu’à la lumière de cette réalité qu’il est possible d’expliquer deux paradoxes de l’histoire d’après-guerre d’un pays qui se fait passer pour le vaisseau amiral du pacifisme et de la démocratie : primo, une tolérance étonnante à l’égard des dictatures fascistes et, secundo, une participation répétée dans des guerres qui ne sont que trop souvent déclenchées par les États-Unis mêmes.
Avant la Seconde Guerre mondiale, les dictatures fascistes s’étaient révélées d’extraordinaires instruments pour réaliser des bénéfices, ou pour accumuler du capital. A cet égard, le fascisme resta utile après la guerre. C’est pourquoi le gouvernement américain toléra non seulement mais soutint même activement des dictatures fascistes ou d’autres régimes autoritaires dans des pays comme l’Espagne, le Portugal, la Grèce, la Turquie, l’Iran, Taïwan, l’Indonésie, les Philippines, le Chili, l’Argentine, la Corée du Sud, le Sud-Vietnam, la République dominicaine et l’Afrique du Sud. Cette politique ” pro-fasciste ” offrit aux grandes entreprises américaines (et internationales) toutes les opportunités pour réaliser d’importants bénéfices tout comme cela s’était passé auparavant en Allemagne nazie, c’est à dire via l’élimination des syndicats, un système de bas salaires et de longues heures de travail, des commandes d’armes, etc.
…/… En 1945, après la victoire sur l’Allemagne et le Japon, on avait besoin d’urgence d’un nouvel ennemi afin de pouvoir continuer à faire la guerre. Cet ennemi fut très vite trouvé, il avait en fait toujours été là : l’Union soviétique, le pays qui, dans les années trente, avait été l’épouvantail de l’ ” Amérique des grandes entreprises ” mais qui avait été un allié très utile durant la guerre.
…/… La fin soudaine et imprévue de la Guerre froide confronta les grandes entreprises américaines à une catastrophe potentielle, à savoir la transition d’une économie de guerre extrêmement rentable à une économie de paix aux profits inévitablement plus modestes.
Cette fois il fut un peu plus malaisé de dénicher de nouveaux ennemis et d’ainsi trouver une justification au maintien de l’économie de guerre américaine, ce qu’on a appelé le ” warfare system ” ou ” Pentagon system “. Or une solution définitive, ou ” solution finale “, au manque d’ennemis, fut découverte sous la présidence de George W. Bush : les attentats du 11 septembre 2001 perpétrés à New York et Washington ouvrirent la voie à une ” guerre contre le terrorisme “. Ce nouveau cheval de bataille équivaut à un état de guerre permanent à l’échelle mondiale contre tous ceux qui, à n’importe quel moment, peuvent être qualifiés de ” terroristes ” par l’élite du pouvoir aux États-Unis.
Du ” terrorisme “, on ne peut pas s’attendre à ce qu’il capitule un jour ou l’autre. Le big business américain a donc de beaux jours devant lui, au grand détriment des américains ” ordinaires ” qui financent cette guerre de leurs impôts et de leur sang. Les grandes entreprises – notamment Halliburton, une firme de sinistre réputation, associée à l’ancien vice-président Dick Cheney – empochent les profits colossaux rendus possibles par cette guerre.
Aujourd’hui, aux États-Unis, la guerre est un instrument pour redistribuer les richesses des plus pauvres vers les plus riches, exactement comme sous le IIIème Reich hitlérien.
…/… Volontairement ou involontairement, Obama fait ce que l’élite du pouvoir attend de lui, il poursuit les guerres dont cette élite a besoin, les guerres dont le big business ne veut plus se passer. Le problème est en effet celui-ci : comment les grandes entreprises américaines pourraient-elles réaliser des bénéfices faramineux d’une autre façon que par la guerre ? “.
La guerre du pétrole.
La présence de Rockefeller dans le premier choc pétrolier de 1973 :
Alvin Toffler dans son livre ” la 3ème vague “ indique qu’il trouve son origine à Chicago dans une invraisemblable attitude cynique et pleine d’orgueil des dirigeants d’Exxon envers les pays arabes pour les taxer davantage et profiter encore plus de la ” manne pétrolière “.
Exxon est la suite de la Standard Oil de Rockefeller. Alvin Toffler indique comment cette provocation a été menée et le fait que ces dirigeants américains ne s’attendaient pas à la réaction des pays arabes : la création de l’OPEP qui fixera elle-même le prix du baril de pétrole. Malgré la multiplication du prix du baril par 3, les banquiers américains ne seront pas battus : ils joueront sur le cours du dollar et surtout ils vont mettre en place des conflits ininterrompus au Moyen-Orient pour retrouver la domination politique et militaire sur ces gisements de pétrole en en profitant pour améliorer leurs ventes d’armements à ces pays.
Les menaces de guerre au Moyen-Orient justifie depuis toutes les spéculations sur le cours du pétrole. Les pays occidentaux se sont développés avec un prix du pétrole faible. En 2012, les records atteints se justifient et par les menaces de guerres au Moyen-Orient et par l’élévation de la demande des pays en forte croissance : Inde, Chine, Brésil…
Il est judicieux de se demander si les consommateurs ne sont pas obligés de payer ces prix records pour le pétrole parce que les banquiers et nos maîtres du monde ont trouvé là un moyen efficace de ralentir ou de contrer le développement de ces pays émergents au développement, les obligeant, eux et leur population très nombreuse, à rester le plus longtemps possible dans la misère et le non développement, tout en captant des profits énormes lorsque ces pays dépensent leurs richesses pour acheter malgré tout ce pétrole au prix faramineux… et que les populations des pays occidentaux s’enfoncent dans la misère en ne pouvant plus payer l’énergie, le pétrole, le gaz, pour se chauffer ou se déplacer en automobiles.
La fausse révolution libyenne.
Le chef de la fausse révolution libyenne admet que Kadhafi n’a pas tué de manifestants.
Les États-Unis, (la France et la Grande-Bretagne, ndt) et l’OTAN ont mis fin à la laïcité en Libye et ont porté des extrémistes islamistes au pouvoir, qui ont commis de nombreux crimes, y compris massacrer des milliers de Libyens noirs immédiatement après la destruction du régime de Kadhafi.
Mustafa Abdul Jalil, président du Conseil national de transition à Benghazi en 2011, admet : Kadhafi n’a pas ordonné la fusillade qui a été à l’origine de la fausse révolution en Libye. Maintenant, après la destruction de la Libye, Jalil avoue au monde sur Channel One que les manifestants qui ont été tués à Benghazi qui ont été le prétexte fourni à l’ONU et à l’OTAN pour attaquer la Libye, ont été tués par un groupe d’espions et de mercenaires qui n’étaient pas de Libye.
Il admet qu’il savait la vérité à l’époque mais cela a été fait pour abattre le gouvernement libyen et briser l’État. Il admet qu’il a été informé à l’avance que cela allait se produire et que les gens de la Libye n’ont pas reconnu les manifestants morts parce qu’ils portaient des vêtements civils et qu’il n’y a eu personne qui est venu à leurs funérailles comme ils n’avaient pas de parents ou d’amis en Libye.
Comme nous l’avons dit depuis Février 2011, la soit-disant révolution en Libye était sous fausse bannière. Le peuple libyen pour la grande majorité était heureux et vivait en sécurité. Les groupes extrémistes islamiques étaient illégaux en Libye. Maintenant la Libye est contrôlée par des groupes extrémistes islamiques (d’Al-Qaïda, le Groupe islamique combattant de la Jamahiriya (GICL), les Frères musulmans, Ansar Al Sharia et autres). Le pays est divisé, il n’y a pas de sécurité, des milliers de personnes ont été illégalement emprisonnées et des centaines torturées à mort. Il n’y a pas de gouvernement, il n’y a plus de ventes de pétrole, plus de 2 millions de personnes sont toujours en exil, les psychopathes ont pris le pays et il est maintenant considéré comme un « État gris » – sans frontières et sans gouvernement.
Source : Karma justice, date de publication : Le 20 mai 2014 Par Saman Mohammadi
Question peut-être idiote : en pleine crise depuis 2007 et alors que les USA deviennent à nouveau le premier producteur mondial de pétrole avec les gaz de schistes, ne serait-il pas logique de fermer la production d’un pays producteur de pétrole ?
Le prétexte de la révolution de jasmin réussie en Tunisie peut également justifier à côté de ce pays, l’exemple inverse : une révolution arabe qui mène au chaos et reste longtemps dans le chaos. L’avantage pour l’oligarchie financière anglo-saxonne dans sa conquête d’un gouvernement mondial est que ce chaos libyen non seulement sert à calmer les ardeurs démocratiques des autres populations arabes mais aussi à faire en sorte que les dirigeants du chaos, les terroristes djihadistes, deviennent capables d’exporter leurs crimes en Europe avec leurs entrées en Italie et leur organisation du trafic d’immigrants depuis les côtes libyennes, tout en s’infiltrant dans le Sahel et l’Afrique tropicale.
Il est certain que si les maîtres du monde lâchent ou sacrifient un de leurs tyrans et dictateurs, c’est pour un résultat bien pire : l’instauration du chaos politique, économique, social, culturel, religieux, militaire… et les mercenaires sont payés par qui ?
En 1307, les mercenaires de Philippe le Bel ont été payés par de l’argent et de l’or qui venaient d’être volés aux banquiers juifs et c’était la coutume à ce moment là car les rois n’avaient pas d’autres moyens pour contrôler la banque et la finance : une fois qu’ils étaient devenus trop riches, le roi les spoliait.
A partir de ces pratiques certes fâcheuses, nous savons que les banquiers et financiers se sont organisés pour devenir maître de leur destin et asservir les rois et les puissants de ce monde à leur pouvoir financier jusqu’à confisquer à leurs profits le pouvoir de créer eux-mêmes de la monnaie, de la fausse monnaie mais selon la coutume instaurée par les rois, dont Philippe le Bel.
Les peuples ne complotent pas contre les financiers qui dominent les monarchies et les démocraties représentatives, c’est leur tour dorénavant de ruiner et les financiers et les démocraties représentatives corrompues par les financiers. Nous sommes ici au coeur du propos de fileane.com : quitter nos systèmes de pouvoir pour développer à nouveau nos organisations en réseaux de vie.
Nous abandonnons les maîtres du monde à leur destin, nous n’avons pas besoin d’eux pour vivre et trouver les réponses à nos raisons de vivre. Pour qu’ils cessent leurs guerres, leurs chaos, nous devons porter l’épée, vendre notre manteau pour acheter une épée selon l’exigence de Jésus afin de placer les armes sous la garde du sacré et des initiés qui ont évolué après leur chemin vers la première source de savoir initiatique et spirituelle, comme dans l’Égypte avant l’invasion Hyksos vers 1674 av JC.
Les armées secrètes de l’OTAN
Ouvrage de référence : « Les Armées Secrètes de l’OTAN : Réseaux Stay Behind, Opération Gladio et Terrorisme en Europe de l’Ouest.» Auteur : Daniele Ganser (Traduction Thomas Jamet).Broché: 416 pages Éditeur : Éditions Demi-Lune (2e Revue et corrigée – 30 août 2011) Collection : Résistances ISBN : 978-2917112007
Ce livre raconte comment, après la Seconde Guerre mondiale, la CIA et le MI6 britannique mirent en place des armées secrètes anticommunistes dans tous les pays d’Europe de l’Ouest, et par quels processus ces réseaux Stay-Behind de l’OTAN s’allièrent dans certains pays à des groupes terroristes d’extrême droite, avec des conséquences particulièrement tragiques.
L’existence de “Gladio”, l’armée secrète italienne, fut révélée par le Premier ministre Giulio Andreotti en 1990. À la suite de quoi la presse parla du “secret politico-militaire le mieux gardé… depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale” et nota que : “l’histoire semble tout droit sortie des pages d’un thriller politique”.
Depuis, ces armées secrètes de l’OTAN ont également été découvertes en France, en Belgique, au Luxembourg, en Suisse, en Espagne, au Portugal, en Allemagne, aux Pays-Bas, au Danemark, en Norvège, en Suède, en Finlande, en Autriche, en Grèce et en Turquie. Au niveau international, leurs actions étaient coordonnées par le Pentagone et l’OTAN, et leur dernière réunion connue se déroula à Bruxelles en octobre 1990.
À l’heure de la menace de l’hyperterrorisme, ce livre de référence revient sur les attentats de la gare de Bologne, de la Piazza Fontana, les attaques des tueurs fous du Brabant, l’enlèvement et l’assassinat d’Aldo Moro et demande, s’il s’agit d’actes de terrorisme sous fausse bannière, fabriqués pour accroître la stratégie de la tension.
À propos de l’auteur : Historien spécialisé dans l’histoire contemporaine et les relations internationales depuis 1945, Daniele GANSER enseigne à l’université de Bâle. Ses travaux actuels portent sur la «guerre contre la terreur» et le pic pétrolier. Invité à maintes reprises par le Parlement et la télévision nationale suisses pour partager son expertise en matière de politiques étrangère et de sécurité, Ganser voit ses livres, articles scientifiques, articles de journaux et interviews publiés dans différents pays.
John Prados, membre du National Security Archive, le considère comme un “expert des programmes stay-behind européens”.
Henriette Hanke Güttinger pour le journal suisse Horizons et débats, avance que “Ganser présente les faits de manière nuancée et aisément compréhensible pour le profane”.
Le Département d’État américain ne remet pas en cause l’existence des réseaux Gladio, citant un ancien directeur de la CIA qui décrit leur mise en place. Ils se défendent bien évidemment de l’accusation des actes terroristes constitués sans l’accord des gouvernements nationaux…
Cette étude méticuleuse et soignée, incisive, révèle pour la première fois l’ampleur, la noirceur et les implications menaçantes des armées secrètes créées par l’OTAN. La lecture de ce livre important de Ganser s’avère une urgence, particulièrement dans la période que nous traversons.» (Noam Chomsky)
Sources : Vidéo France 5 « le scandale des armées secrètes de l’OTAN.» (La Case du Siecle, mai 2011)
Les armées secrètes de l’OTAN La guerre secrète en France (12 novembre 2015, Comité Valmy)
La guerre en Syrie après 2011.
Un membre du clan Kennedy révèle la vraie cause de la guerre en Syrie. 26 février 2016. Reseauinternational.net
Source :
L’avocat Robert Kennedy junior, neveu de l’ancien président américain John F. Kennedy, a révélé dans un article pour le magazine Politico les véritables causes de la guerre en Syrie.
La racine du conflit armé en Syrie, repose en grande partie sur le refus du président syrien Bachar al-Assad pour le passage d’un pipeline de gaz du Qatar vers l’Europe. « La décision américaine d’organiser une campagne contre Bachar al-Assad n’a pas commencé avec les manifestations pacifiques du printemps arabe en 2011, mais en 2009, lorsque le Qatar a offert de construire un pipeline pour 10 000 millions de dollars qui traverserait l’ Arabie Saoudite, la Jordanie, la Syrie et la Turquie »
Ce projet aurait veillé à ce que les pays arabes du Golfe aient un avantage décisif sur les marchés mondiaux de gaz et aurait renforcé le Qatar, un proche allié de Washington dans la région, a déclaré Kennedy junior.
Le président syrien Bachar al-Assad, a rejeté le projet au motif que cela nuirait aux intérêts de son allié russe, le plus grand fournisseur de gaz naturel vers l’Europe. Un an plus tard, Al-Assad a commencé à négocier avec l’ Iran pour construire un autre gazoduc qui transporterait le gaz de l’ Iran vers le Liban et le pays perse serait devenu un des plus grands fournisseurs de gaz vers l’ Europe, a expliqué l’avocat.
Immédiatement après le refus du projet initial, les agences de renseignement américaines, Le Qatar, l’Arabie Saoudite et le régime israélien ont commencé à financer la soi-disant opposition syrienne et à préparer une révolte pour renverser le gouvernement syrien, a dit M. Kennedy, qui a cité des données de divers rapports de renseignement auxquels il a eu accès.
Dans cet objectif, la CIA a transféré six millions de dollars à la télévision britannique Barada dans le but de préparer des reportages en faveur du renversement du président syrien, a-t-il ajouté. La CIA a utilisé les membres du groupe extrémiste État islamique pour protéger les intérêts des États-Unis sur les hydrocarbures et instrumentaliser les forces radicales pour réduire l’influence de (l’ancienne) Union Soviétique dans la région a conclu le jeune avocat Robert Kennedy.
Pendant ce temps, les États-Unis poursuivent leur soutien financier, logistique et militaire aux groupes d’opposition armés, qui ont échoué à renverser le gouvernement syrien, malgré cinq années de guerre. Les États-Unis essayent même d’obtenir la levée des sanctions qui empêchent l’envoi d’armes anti-aériennes au territoire syrien dans le but de renforcer le front de groupes armés qui luttent contre l’armée arabe syrienne.
Sources:http://www.politico.eu/article/why-the-arabs-dont-want-us-in-syria-mideast-conflict-oil-intervention/
http://www.hispantv.com/newsdetail/siria/216231/siria-crisis-transferencia-gas-catar-eeuu-isis
La volonté de l’oligarchie financière anglo-saxonne de soumettre les peuples à son gouvernement mondial et spécialement l’Europe.
Nous n’en avons pas fini avec ces prétendus prédestinés à gouverner le monde, la secte des puritains anglo-saxons. Ils sont pourtant démasqués reconnus et dénoncés par bon nombre de dirigeants français et européens. Reste pour nos citoyens à apprendre cette réalité oppressante et à la combattre avec un détermination farouche : “tyrans descendez au cercueil”.
« La priorité des États-Unis est d’empêcher que le capital allemand et les technologies allemandes s’unissent avec les ressources naturelles et la main-d’œuvre russes pour former une combinaison invincible. »
George Friedman, géopoliticien américain, 2015.
« Que veulent les Américains si ce n’est de provoquer une nouvelle confrontation est-ouest dont le seul but est d’affaiblir et de diviser l’Europe pour imposer leurs directives, leur économie et leur système ? »
Pierre De Gaulle, juin 2022, sur la guerre en Ukraine.
« Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort. »
François Mitterrand in Le dernier Mitterrand, Benamou, 1997
« Pour le dire sans détour, l’Europe de l’Ouest reste dans une large mesure un protectorat américain et ses États rappellent ce qu’étaient jadis les vassaux et les tributaires des anciens empires. Cette situation est assurément malsaine, pour l’Amérique comme pour les nations européennes. »
Zbigniew Brzezinsky, le Grand échiquier, 1997
« Les Américains se sont infiltrés dans tous les organes de propagandes et dans les partis. Ils ont noyauté les structures politiques. »
Charles de Gaulle in C’était De Gaulle, Alain Peyrefitte, 1994
« Pour discuter avec nos partenaires européens, nous devons aller à Washington »
Vladimir Poutine, entretien RTS, 27 juillet 2015.
« L’Europe de Bruxelles est une Europe américanisée jusqu’à la moelle. (…)
«Nous avons déclaré la guerre à l’Europe mais les spectateurs européens ne le savent pas pendant que leurs dirigeants font semblant de ne pas le savoir. »
Francis Cousin, TERROR, 2003.
« Par ce traité [Traité de Rapallo de 1922], l’Allemagne et l’URSS renoncèrent aux réparations de guerre qu’elles se devaient l’une à l’autre, mais surtout elles construisirent des relations diplomatiques et commerciales très privilégiées en mettant aussi en place une collaboration militaire secrète qui dura jusque dans les années 1930, avec notamment des camps d’entraînement allemands secrets en URSS dont une école de gaz de combat, une d’aviation et un centre d’études et d’entraînement pour les blindés.
La hantise de l’impérialisme américain, c’est cette psychose – qui demeure toujours, même enfouie – d’un intolérable Rapallo recommencé de manière étalée et renforcée, c’est la renaissance d’un bloc européen et, dans une moindre mesure, celle d’une puissance nippono-asiatique qui, affranchis de la tutelle née des défaites de 1945, pourraient reconstituer des aires de prospérité hors du giron du diktat du billet vert. Les grandes contradictions essentielles du mode de production capitaliste n’ont pas lieu présentement entre Washington, Pékin et Moscou, tout simplement parce que, au niveau des antinomies concurrentielles les plus cruciales de la crise de la technologie du taux de profit, Moscou et Pékin en sont encore à une exploitation à prédominance extensive, même si cette dernière a su récemment se réformer amplement. C’est Tokyo, Paris et Berlin qui, en tant que pôles évidents de la contemporanéité concurrentielle la plus dangereuse de la compétitivité capitalistique, posent problème à l’industrie vieillie du Nouveau Monde de la spéculation. C’est pourquoi, même s’il y eut parfois des duels militaires fiévreux entre Washington et Moscou (Viêt Nam, Cuba, Afghanistan…), ceux-ci étaient toujours bornés et contraints, quelle que soit leur intensité déconcertante de surface, à ne devoir finalement déboucher que sur des conférences d’apaisement, de conciliation et d’armistice.
L’ennemi premier de l’impérialisme américain, c’est le contre-impérialisme potentiel d’une Europe relevée et dégagée des interdits, censures, totems et tabous du 8 mai 45. Ce n’est, au demeurant, pas un détail si la Maison Blanche entendit annihiler Berlin avant de briser Tokyo. C’est pourquoi, depuis que Jean Monnet, agent d’influence au service de l’Oncle Sam, permit la fondation atlantiste de l’Union européenne américanisée, le jeu yankee n’est plus de détruire le Vieux Continent sous les bombes, mais de le faire disparaître imperceptiblement dans les processus troubles et ténébreux des décisions trafiquées de la Commission européenne ; laquelle a réduit, subrepticement et furtivement, l’Europe historique au statut de simple province boutiquière de l’expansion despotique américaine. »
Francis Cousin, février 2022.
Source : https://www.youtube.com/watch?v=LfErrViUl1o
Conclusion
sur la mise en place des guerres par l’oligarchie financière anglo-saxonne :
Le premier constat est choquant :
L’oligarchie financière anglo-saxonne de 1910 à 1945 puis avec la guerre froide jusqu’en 1991 et la chute du mur de Berlin a réussi sans difficultés à réaliser son plan en Europe pour organiser et diriger deux guerres mondiales sur plus de 80 années consécutives.
Ce plan a pour but la conquête des richesses de la Russie et le contrôle de celles de l’Europe.
Ce contrôle des richesses repose dorénavant sur la propriété des « pipes », des tuyaux d’oléoduc et de gazoducs à travers le monde par l’oligarchie financière anglo-saxonne ou par ses alliés au Moyen-Orient. C’est le cas en 2022 avec la guerre en Ukraine et la fermeture des gazoducs russes vers l’Europe dont le nouveau : Nordstream 2, tout ceci pour que les USA vendent enfin leur gaz de schiste et leur pétrole de schiste en Europe.
Les peuples, les nations ont suivi ce plan et se sont empressés le moment venu de développer leurs armements, de lancer la mobilisation générale et de partir au front.
En 1914, l’armée allemande disposait d’une supériorité écrasante en artillerie lourde alors que la France avait misé sur la reconquête de l’Alsace et de la Moselle sans artillerie lourde. Il a fallu l’avancée rapide des allemands sans être suivis de leur artillerie lourde pour que l’armée française à la bataille de la Marne puisse les stopper et les faire reculer de Paris.
En 1939 et 1940, l’armée allemande avait une supériorité complète dans tous les registres de l’armement et nous savons maintenant pourquoi, comment et grâce à qui elle obtient cette supériorité dévastatrice.
La Seconde guerre mondiale n’a pas été conduite selon les règles militaires mais selon les possibilités de profits phénoménaux. Les généraux Patton et de Gaulle l’ont dit. Les percées réalisées en Normandie et surtout au mois de novembre 1944 n’ont pas été exploitées rapidement et avec force. Au contraire elles ont été d’abord interdites d’exploitation et en novembre 1944, cette interdiction a conduit directement à la prolongation des combats sur le front ouest. A chaque fois, ces 3 percées ont été réalisées par les soldats français. Ce qui s’explique puisqu’ils étaient bien plus expérimentés et motivés que les soldats alliés débarqués en Normandie après le 6 juin. La plupart d’entre eux n’avaient pas encore été aux combats et sortaient de l’entraînement, mis à part ceux qui avaient combattu en Italie où là aussi il fallut l’armée française pour percer les lignes de défense allemandes. Eisenhower et son état-major n’ont pas pris en compte cette compétence guerrière des soldats de la France Libre. Il a fallu l’ardeur farouche de de Gaulle pour faire plier Eisenhower devant les intérêts supérieurs de la France.
Ces leçons du passé n’ont pas été comprises par les peuples qui ont préféré continuer à se soumettre à ces dirigeants qui prétendent être prédestinés à gouverner le monde selon leurs principes divins. C’est choquant !
Le deuxième constat est stupéfiant :
L’organisation et le financement des guerres suivent le même procédé que les crises financières et économiques. Ce procédé est connu depuis la destruction de l’ordre du Temple et la fin de la banque des Templiers qui avait utilisé les lettres de change et l’arrivée du métal argent en grande quantité depuis les mines du Mexique et l’arrivée de l’or depuis les Andes avec sa flotte et l’aide des vikings établis sur le continent américain.
Nous l’avons présenté dans le dossier 2 les procédés utilisés par l’oligarchie financière anglo-saxonne et les crises de 1929, puis la dernière crise de 2006, 2008 à aujourd’hui.
Dès 1919, ce procédé a permis d’endetter l’Allemagne vaincue non pas tant pour qu’elle paie ses dettes de guerre et surtout sa condamnation financière mais surtout pour qu’elle accepte des crédits dans le but de déclencher une seconde guerre mondiale. Ce ne sont pas véritablement des crédits classiques bancaires mais des aides et surtout des participations dans des sociétés commerciales ou tout simplement dans des filiales de multinationales américaines contrôlées par les banquiers de Wall Street.
Nos ennemis n’ont pas besoin de changer de méthodes, ils l’utilisent à petits pas sur une longue période sachant endetter tout du long l’une ou l’autre partie sinon les deux en même temps. Et ils réussissent à tous les coups en retournant même des situations compromises au départ comme avec le pétrole et l’OPEP. C’est stupéfiant !
Le troisième constat est inquiétant :
Ce procédé pour organiser et financer les guerres est toujours présent et est utilisé pour fomenter de nouvelles guerres.
L’Allemagne en 1945 n’a pas été condamnée à verser des dommages de guerre et après le plan Morgenthau pour transformer le pays en pays rural sans industrie capable de produire à nouveau des armes, en 1947 le plan Marshall revint au plan initial : remettre l’économie allemande sur la voie du développement pour que le pays serve au moins de rempart contre l’extension de l’Union soviétique en Europe centrale avec notamment la présence de l’Allemagne de l’Est à quelques centaines de kilomètres du Rhin.
Une fois l’Allemagne réunifiée et l’Union européenne dotée d’une Banque centrale pour gérer la nouvelle zone économique de la monnaie euro, la reprise de l’offensive vers l’est a eu lieu et ces nouveaux pays reliés à l’économie capitaliste libérale ont d’abord servi pour développer le dumping fiscal et social en permettant l’emploi d’une main d’oeuvre qualifiée à faible coût.
Puis à partir des années 2000, l’objectif a été d’aller plus loin et de s’implanter en Ukraine pour la faire basculer dans l’Union européenne ou tout au moins dans l’Otan. En 2022 avec l’invasion de l’Ukraine par la Russie de Poutine, il est évident que le plan a réussi une fois de plus même si les conséquences économiques pour la Russie sont discutables car forte de ces ressources énergétiques dont le gaz, elle n’a aucun mal à le vendre ailleurs et à un prix élevé du fait de la spéculation à la hausse par les financiers anglo-saxons.
En 2022, face à la perte des livraisons de gaz venant de Russie, les financiers américains peuvent enfin livrer à l’Union européenne, le gaz de schiste dont ils ne savent plus quoi faire et ce à des prix élevés inespérés et rendus possible par le conflit en Ukraine. Pour l’hiver 2022 – 2023, les gouvernements ne peuvent d’adoucir la situation en disant que cette pénurie de gaz et ces tarifs prohibitifs non seulement d’énergie mais de denrées alimentaires, cette perte de pouvoir d’achat provoquée par l’inflation généralisée à travers le monde et ces menaces de rupture d’approvisionnements en tous genres, eh bien, permettront de lutter contre le réchauffement climatique et les émission de CO2.
Ce mensonge grossier et éhonté semble porter ses fruits du côté des écologistes radicaux bien entraînés depuis la stratégie mise au point par Goldman Sachs avec le marché du carbone et des taxes sur l’émission de CO2… par le pétrole et le gaz, mais aussi le méthane produit par les bovins, etc., etc. C’est inquiétant !
Le quatrième constat est révoltant :
du moins pour celles et ceux qui ont compris les mécanismes du contrôle total de l’être humain.
La guerre pour soumettre les peuples, différente de la guerre pour conquérir les richesses naturelles et économiques d’un pays qualifié d’ennemi ou de terroriste par Wall Street puis par Washington, cette guerre occulte de manipulation des esprits et des comportements, est devenue prédominante et fonctionne très bien. Une des dernières preuves se trouve au niveau de la pandémie du Covid 19 depuis la fin 2019 à aujourd’hui en 2022.
Sinon le cas de la guerre en Ukraine fournit également des éléments de preuves concordants.
Les historiens diront dans quelques années ce qu’il en a été en 2022 entre la fin de cette crise sanitaire et l’imposition de la vaccination par Big Pharma contrôlé depuis ses débuts par Rockefeller et son empire industriel et financier d’une part et d’autre part l’invasion de l’Ukraine par la Russie qui prétend mener une guerre préventive pour éliminer en Ukraine les nazis et fascistes financés par l’oligarchie financière anglo-saxonne et placés au pouvoir en 2014 lors de révolution de Maïdan en février.
Nous précisons qu’après 2004 et la Révolution orange, notre site mis en ligne en février 2002 a été visité et lu par un public ukrainien devenu très nombreux vers les années 2010 jusqu’avant l’invasion russe de leur pays au printemps 2022.
L’Ukraine et ses richesses ont été un objectif des financiers anglo-saxons dès 1919 tout comme l’Union soviétique depuis le financement des mouvements communistes en Europe. Fin novembre 2013, lorsque le Président ukrainien veut suspendre la signature de l’accord d’association avec l’Union européenne, prévue une semaine plus tard, ceci pour rester en bon terme avec le gouvernement russe, les partisans du rapprochement avec l’ouest et de ce que cela comporte en terme de culture, de mode de vie et de libertés publiques, se réunissent sur la place de l’Indépendance à Kiev pour tenter d’obliger le gouvernement à signer cet accord de rapprochement avec les européens et d’éloignement avec la Russie et le système de pouvoir communiste toujours présent. Les manifestants s’organisent eux-mêmes en rejetant un contrôle des partis politiques.
La place devient un campement avec ses espaces de libertés et de restauration, d’échanges et de discussion. L’autogestion s’organise à travers des micro-groupes qui participent à la vie de l’ensemble du campement. La mobilisation révolutionnaire passe dans une phase insurrectionnelle le 19 janvier 2014 lorsque les militants veulent marcher vers le Parlement. La répression est féroce et la loi est votée le 16 janvier 2014 pour condamner les manifestants à des peines de prison.
Les 18, 19 et 20 février, l’Ukraine se souvient des trois jours les plus difficiles de la confrontation sur la place Maidan. C’est alors que les manifestants de ce qu’on a appelé par la suite la «Centurie céleste» ont été tués.
Оригінал статті – на сайті Українського кризового медіа-центру: https://uacrisis.org/fr/70912-killings-maidan-don-t-know-five-years-tragedy
Les nouvelles autorités pro-européennes d’Ukraine ont directement mis en cause la Russie et l’ancien président pro-russe Viktor Ianoukovitch dans les tirs de snipers qui ont fait près de 90 morts fin février lors de la répression des manifestations sur le Maïdan à Kiev.
Pourtant des doutes et des témoignages indiquent une autre version, celle d’un attentat commis par des snipers sous les ordres de l’opposition ukrainiennes pro européenne et spécialement sous les ordres d’officiers américains.
Document :
Que s’est-il passé depuis ? Avons-nous échappé à une guerre européenne due à l’ingérence russe dans les affaires ukrainiennes ? Et surtout, nous, Européens, nos entreprises le constatent tous les jours,nous payons le prix d’un embargo qui, depuis ce moment-là, est dirigé contre la Russie.
Ce soir, grâce à Gian Micalessin, nous vous montrons un documentaire à couper le souffle. C’est un scoop international. Gian Micalessin a retrouvé trois personnes, trois tireurs d’élite, trois responsables de ces morts qui, vous le verrez dans le documentaire, n’étaient pas pro-russes, mais étaient en contact avec des officiels et des militaires américains.
Source :
Ce false-flag du 20 février 2014 a été « découvert » dès l’autopsie des victimes, policiers et manifestants, tous tués avec les mêmes armes, ce qui est invraisemblable sauf dans cette hypothèse d’un commando de snipers venus pour créer le chaos et favoriser la prise du pouvoir par l’opposition pro européenne. Depuis ce 20 février 2014 donc jusqu’à ce futur hiver 2022-2023 sans « gaz russe » en solidarité et en aide pour l’Ukraine envahie par des russes qui veulent la dénazifier, le temps semble long mais il n’est que la poursuite du plan initial de la conquête des richesses de l’ex Union soviétique communiste par ces financiers anglo-saxon qui ont financé le communisme et la « révolution russe » pour permettre à Lénine de prendre le pouvoir.
Aujourd’hui nous sommes en France contrôlés par tous les média pour nous préparer à réduire notre consommation d’électricité, notre chauffage au gaz, au fioul, nos consommations de produits alimentaires. Sans oublier l’eau vu la sécheresse et le dérèglement climatique. Nous devons être prêts pour des coupures de courant, des pénuries en toutes sortes. Finies l’abondance et l’insouciance pour nous les simples, les gueux appelés autrefois à verser l’impôt du sang pour les plus extraordinaires profits des banquiers anglo-saxons et des puritains prédestinés à gouverner le monde. C’est révoltant !
Cette oligarchie financière anglo-saxonne depuis plusieurs siècles organise et finance les guerres et actuellement engrange des profits mirifiques surtout pour les pétroliers et les producteurs d’énergie.
Le britannique Shell enregistre un bénéfice net multiplié par cinq au deuxième trimestre 2022, à 18 milliards de dollars. Le groupe espagnol Repsol voit son résultat net bondir de 165% par rapport à l’an dernier. Côté français, Total Energies a plus que doublé son bénéfice, à 5,7 milliards de dollars.
Nous arrêtons ici nos propos dans ce dossier 3 chers ennemis, l’organisation et le financement des guerres. La guerre en Ukraine, non achevée en 2022, sera présentée dans le dossier 4 Les Affaires actuelles.
Parce qu’à côté des guerres, comme nous l’avons déjà mentionné à propos des crises sanitaires, des coup d’état, ils dirigent d’autres affaires moins visibles que des guerres mais toujours dans le but de soumettre les peuples à leur gouvernement mondial.
Autre conclusion possible :
«la défaite [de la révolution prolétarienne] vouerait la société à une longue période de barbarie et […] cette alternative est condensée dans ce moment historique que sera la Troisième et dernière Guerre mondiale» [Cornelius Castoriadis, “Capitalisme moderne et révolution I”, Paris, éditions 10/18, 1979, p. 345].
Une conclusion plus pessimiste :
«Je ne sais pas quelles armes seront utilisées pour la troisième guerre mondiale, si elle a lieu. Mais la quatrième se réglera à coups de massues» [Albert Einstein].
Une conclusion qui se veut optimiste :
Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, cette lettre a été trouvée dans un camp de concentration nazi, contenant le message suivant adressé aux enseignants :
« Cher professeur, je suis un survivant du camp de concentration. Mes yeux ont vu ce que personne n’a besoin de voir.
Chambres à gaz construites par des ingénieurs qualifiés.
Des enfants empoisonnés par des médecins qualifiés.
Des bébés tués par des infirmières qualifiées.
Femmes et enfants tués et brûlés par des anciens élèves.
Alors, j’ai mes soupçons sur l’éducation.
Ma demande : Aidez les étudiants à devenir des êtres humains. Vos efforts ne devraient jamais produire des monstres entraînés ou des psychopathes expérimentés. La lecture, l’écriture et la connaissance de l’arithmétique ne seront importantes que si elles rendent nos enfants plus humains. »
Il reste la tradition française, quelque fois et trop rarement utilisée :
«Les peuples n’ont jamais que le degré de liberté que leur audace conquiert sur la peur» Stendhal Henri Beyle.
Français nous avons souvent fait preuve d’audace reste à savoir sous quelques drapeaux et quelles bannières. Pour notre part et notre lecteur ne s’en étonnera pas, nous avons un sévère penchant pour la croix templière, celle qui envers et contre tous les seigneurs francs et leur monarchie, contre souvent la papauté, permit notre temps des cathédrales, une période médiévale florissante européenne, la dernière sur notre continent…
L’audace de l’armée française au cours des combats de la libération en novembre 1944, nous venons de le voir, a réussi le deux seules percées du front depuis la mer du Nord jusqu’à la frontière suisse. Ces percées ont été l’objectif principal du plan allié. Pourtant toutes deux ont été écartées, inexploitées par l’état-major et spécialement par le général Eisenhower contrairement à l’art de la guerre qui cherche à créer des percées puis surtout à les exploiter le plus fortement et rapidement possible.
Devons-nous prévoir de nouvelles percées commandées par des français vers Moscou puis vers Washington ou vice versa, si possible sans coups de massues ?
Pour en finir une bonne fois pour toute avec ces guerres organisées depuis des siècles par ces banquiers devenus l’oligarchie financière anglo-saxonne ?
Sauf qu’ils ne s’enrichissent pas uniquement à coup de guerres, ils utilisent aussi d’autres affaires que nous allons voir dans le dossier 4 de nos chers ennemis.
- Oligarchie financière: les huit familles derrière le cartel banquier privé international
- 1914 – 1918 : le pétrole déjà
- Les Nobel et la saga du pétrole russe
- chers ennemis qui sont-ils ?
- chers ennemis les procédés qu’ils utilisent
- les crises économiques et financières
- les guerres et le contrôle total de l’être humain
- le financement et la direction des guerres
- le management de la seconde guerre mondiale par les banquiers
- La veuve du lieutenant FFI
- La Monnaie pleine
- La Sécurité et la Défense des Réseaux de Vie
- L’ordre militaire du Temple
- documents à télécharger pour votre lecture
- Le diagnostic externe pour la remise en place de notre monnaie pleine
- Les secrets de la réserve fédérale