Partie 5 – L’abandon des systèmes de pouvoirs

Politique : les vendus, que veulent-ils encore nous vendre ?

Les politiques capitalistes, libérales, néo libérales dans leur pseudo démocraties, nous n’en voulons plus !

Ou comment répondre à l’appel de la république et éliminer les démocraties mises en place par le pouvoir de la finance mondiale. 

19 août 2016 mise à jour le 4 septembre et 11 septembre 2016, nouvelle présentation du 15 avril 2022.

Mes ennemis, c’est la finance

Combien fûmes-nous à réagir aux propos « mes ennemis c’est la finance » ? Beaucoup et plus encore sont aujourd’hui celles et ceux qui ont compris que ces propos justifiés furent abandonnés aussitôt les réalités du pouvoir assumées, que ce fut un enfumage magistral de la volonté citoyenne sortie majoritaire des urnes. Alors que la fin de la crise financière devenait en 2012 une possibilité réelle en combattant directement les auteurs de cette crise,ces dirigeants politiques, en se rangeant sous la doctrine libérale et le gouvernement mondial de la finance anglo-saxonne, ont démontré par ce reniement, qu’ils n’étaient que des vendus au service des nouveaux maîtres du monde.

Le rejet par les citoyens de ces politiciens de tous bords est manifeste, pourtant rien ne change dans le jeu politique alors que les citoyens ont compris depuis 2012 sinon bien avant pour certains, pourquoi la finance est notre ennemi.

Éliminer le pouvoir des banquiers correspond de nouveau à l’utilisation d’une monnaie pleine, positive, souveraine, créée par le pouvoir politique au service des citoyens et non pas créée à partir de rien par les banquiers lorsqu’ils décident seuls d’accorder ou non des crédits et de soumettre l’économie à la loi de l’endettement sans fin pour maximiser leurs profits. Cette technique monétaire et bancaire de la monnaie pleine, si elle est juste et performante sur le plan politique, économique et sociale, est cependant peu comprise par les citoyens. La technique est simple et sa mise en oeuvre est aisée. Seulement tous comprennent intuitivement qu’un changement de quelques techniques de gestion autant indispensable soit-il, ne suffit pas.

Les partis politiques, s’ils ont la capacité de comprendre cette technique monétaire de la monnaie pleine, sa portée économique et sociale vers une période à nouveau florissante, rejettent cette initiative car elle porte en elle un péril mortel pour leurs intérêts. La question, en effet, ne se limite pas à une seule réforme monétaire aussi pertinente soit-elle pour l’intérêt commun d’une société.

Cette question au coeur du pouvoir politique permet clairement de séparer deux manières d’organiser le pouvoir politique : la démocratie et la république. L’emploi de ces deux mots, de ces deux notions politiques, n’est pas neutre.

La République et notre gestion de l’intérêt général

La république est ancienne, elle a été utilisée bien avant l’instauration de la démocratie représentative telle que nous la connaissons. Elle se caractérise par l’utilisation de règles au service de l’intérêt général du groupe social. Dans le cadre d’une justice sociale et d’une culture humaniste fondée sur les valeurs économiques d’abondance, les valeurs sociales d’équité et de solidarité pour garantir la paix et l’amour, ces deux valeurs fondamentales politiques et culturelles, les règles qui garantissent le progrès social et le développement durable sont toujours les mêmes à travers l’humanité :

  • sur le plan politique :le principe de subsidiarité et l’alliance des contraires.
  • sur le plan économique : la complémentarité entre les rendements croissants et décroissants, le protectionnisme pour les nouvelles activités jusqu’à leur taille critique et leur seuil de rentabilité, l’utilisation de la monnaie pleine souveraine pour rémunérer le travail et garantir les échanges au niveau de la répartition des richesses, l’organisation des trois niveaux d’activité humaine : le travail indispensable à la vie et à la survie, la réalisation des oeuvres transmises aux générations futures et qui utilisent les richesses produites au delà de l’abondance qui assure la vie et la survie d’une génération, l’action politique.
  • sur le plan social : la complémentarité entre les trois formes de propriété, l’utilisation de la propriété commune pour le gestion des biens communs et de la propriété collective pour les biens immatériels liés à l’utilisation des savoirs, principalement l’utilisation de la solution optimale obtenue par la pratique de la subsidiarité au niveau de l’action politique.
  • sur le plan culturel : l’utilisation des deux sources de savoir disponible pour un être humain de manière à développer un savoir global capable de marier les différentes cultures sociales.

Les premières républiques ont été gérées en réseaux de Vie, par le peuple et pour le peuple.

La république s’est développée parmi les cités états, les villes libres, la démocratie locale participative, l’économie solidaire, le développement des biens communs.

La république parce qu’elle utilise le principe de subsidiarité pour obtenir la solution optimale en l’état des connaissances disponibles, se développe dans un cadre géographique local. Elle permet l’adaptation de la solution optimale aux particularités locales. Cette limite structurelle fait sa force politique, économique et social. La république est ainsi universelle dans l’utilisation des solutions optimales et elle est souveraine lorsque les groupes sociaux adaptent les solutions optimales à leurs particularités locales, là où ils vivent.

Dans cet espace bien maîtrisé par un groupe social se développe le management participatif, la gestion commune et solidaire, l’économie collaborative, les réseaux citoyens de vie. L’association des différentes républiques, villes libres, se réalise à travers de puissantes confédérations capables d’assurer paix et prospérité dans la cadre de brillantes civilisations.

Elles ont été détruites par les systèmes de pouvoir et les monarchies, les théocraties

Pourtant les républiques, les cités états de l’époque médiévale ou plus lointaines de l’Égypte ou de la Grèce antique ont été détruites par des systèmes de pouvoir militaires et monarchiques qui ont voulu étendre leur domination sur de plus vastes territoires. En effet il est possible pour un système de pouvoir comme l’oligarchie financière anglo-saxonne actuellement, de dominer le monde entier en instaurant un gouvernement mondial mais nous ne sommes plus en république, au contraire, le gouvernement de la minorité des plus riches creuse les inégalités de revenu et le patrimoine et condamne la majorité de l’humanité à vivre dans un endettement perpétuel sinon dans un nouvel esclavage économique et politique.

La République transmets ses richesses aux générations futures et à tous, la démocratie commet l’erreur de servir les intérêts d’une minorité qui en exige toujours plus pour elle seule. La démocratie vit à l’intérieur des systèmes de pouvoir pour développer la soumission librement consentie à l’élite dirigeante puisqu’il n’y a pas d’autre alternative dans un système de pouvoir. Il est grandement temps d’éliminer cet amalgame funeste entre république et démocratie au sein des états, des états-nations.

La démocratie est une notion apparue au Siècle des Lumières.

Elle a été utilisée lors des révolutions des années 1770 – 1790 : l’Indépendance des États-Unis d’Amérique du Nord et la révolution française.

Les dirigeants politiques après avoir éliminé l’absolutisme royal, ont voulu conserver la taille géographique du pouvoir monarchique et surtout le centralisme de ce pouvoir fortement hiérarchisé. En conquérant le pouvoir, les révolutionnaires ont cherché à profiter des structures politiques de l’absolutisme royal ou de celles d’un empire pour imposer en réalité leurs idées politiques fondées avant tout sur le rejet des monarchies, en méconnaissant ou en écartant volontairement les règles républicaines qui limitent la centralisation du pouvoir et le développement d’un système de pouvoir dirigé par une minorité.

Par exemple, Montesquieu a valablement pu exiger la séparation des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire pour éliminer l’absolutisme royal. Pourtant aucune république qui fonctionne sur la gestion participative de ses citoyens n’a besoin de cette séparation des pouvoirs. Celle-ci n’existe pas dans le fonctionnement des réseaux citoyens de vie, tout simplement parce que nous ne sommes plus dans un système de pouvoir et qu’il est plus judicieux et compétitif de s’organiser autrement pour développer la mission d’autorité des citoyens.

Tout dépend de la taille de l’institution qui organise et gère le pouvoir. Plus cette taille devient grande et imposante, plus le recours à des systèmes de pouvoir devient nécessaire à la minorité qui veut gouverner ce vaste ensemble de régions et de peuples. En République il n’y a pas en principe une minorité qui impose son pouvoir et ses intérêts privés au peuple ou à une nation.

Le Siècle des Lumière a ignoré le fonctionnement de la période médiévale, celle du temps des cathédrales

A l’époque médiévale, le temps des cathédrales, dernière période florissante en Europe, les assemblées communales suffisaient pour gérer les biens communs, les échanges entre la ville et ses campagnes développaient la complémentarité entre les rendements croissants de l’artisanat et du commerce avec les rendements décroissants de l’agriculture et les campagnes devinrent également riches et libres comme les villes.

L’explication est simple : le roi de France n’avait pas les moyens logistiques et encore moins financiers pour gouverner à ce moment là l’ensemble du territoire du royaume. Il administrait et tirait richesses uniquement de son domaine personnel, soit environ 10% du territoire royal.

Sur 90% du royaume, les richesses produites par le travail restaient sur place au profit des habitants puisque les assemblées communales évidemment en décidaient ainsi pour leur intérêt général, leur intérêt républicain osons-nous ajouter aujourd’hui.

Mis à part le système de pouvoir militaire de Rome avec ses routes et ses messagers, c’est à partir de l’utilisation générale des diligences qu’il redevint possible pour le roi de gérer son royaume d’une manière centralisée.

Face aux puissances des empires et monarchies voisines qui s’étaient étendues par leurs guerres de conquête, en 1789 la question ne s’est pas posée de fédérer les anciennes régions et villes libres de l’époque médiévale, période florissante qui aurait du servir de cadre de référence aux révolutionnaires mais dont le souvenir avait été perdu à cause du rejet et de l’anathème jetés après 1307 par la monarchie et les aristocrates et leurs banquiers.

Une seule tentative : en 1787, les représentants des dix (anciennes) villes livres d’Alsace forment le collège des députés de la Décapole et établissent le cahier des doléances pour les États-Généraux convoqués par le roi de France. Ce cahier des doléances demande la reconnaissance de la confédération particulière de la Décapole avec son statut juridique utilisé de 1354 à 1679, date de l’annexion de l’Alsace à la France.

L’instauration du système électoral après 1789

Les citoyens comme partout ailleurs crurent à l’élection directe des municipalités, gage de démocratie. Mais les révolutionnaires, suite à la loi le Chapelier de 1790, abolirent toutes les structures de l’Ancien Régime, Décapole d’Alsace forcément y comprise. A la place de la fédération des villes qui développent un projet commun pour assurer paix et prospérité, la révolution met en place des communes dans lesquelles, au nom de la défense des libertés, les élections démocratiques et égalitaires légitiment les conflits entre citoyens.

Il y a le camp des pour et celui des contres qui votent. La pratique de la subsidiarité et de la recherche de la solution optimale est ignorée ou écartée. Les révolutionnaires donnent la priorité au régime des partis politiques qui cachent en réalité la lutte des intérêts entre les nouvelles classes sociales issues du développement industriel.

La dictature du parti majoritaire sur les minoritaires.

Ces conflits politiques et sociaux ne tardent pas à se développer, en premier celui qui oppose les citoyens aux anciens bourgeois exclus dorénavant de la gestion municipale par le jeu des élections justement démocratiques : la dictature d’un camp majoritaire sur un autre camp qui n’atteint pas cette majorité.

La révolution de 1789, au nom de ses idées et idéaux fut ainsi incapable de trouver dans l’histoire de France et la lecture de ses cathédrales, les règles indispensables à la paix et à la prospérité des citoyens. Nous savons le sort que lui réserva Napoléon Bonaparte pour enfin sortir de ces années terribles : l’empire, pour s’aligner sur les empires britannique, germanique, austro-hongrois, russe… Nous sommes toujours dans ce cadre de référence et cette croyance de l’utilité d’un pouvoir régnant sur la plus vaste zone géographique possible. En Europe et surtout dans les pays en cours de développement.

Les progrès des transports et des communications ont en effet permis de gouverner d’un point central des étendues de plus en plus vastes et des populations de plus en plus nombreuses, pour y parvenir les dirigeants politiques ont du légitimer leur désir de puissance à travers la nouvelle démocratie et en rejetant le fonctionnement de la république.

Aux États-Unis, l’indépendance a permis aux différentes communautés religieuses ou nationales qui avaient quitté le continent européen, de pouvoir enfin vivre en paix et prospérer selon les règles qu’elles s’étaient choisie. Ces règles étaient d’ordre culturel, souvent donné par un membre fondateur aux idées religieuses prononcées ou alors par des familles commerçantes qui cherchaient à faire fortune dans ce nouvel eldorado.

En 1790 en France, le débat a été bien plus vif entre les révolutionnaires pour savoir si le pouvoir devait être assuré par le peuple ou au contraire, si les dirigeants politiques devaient se méfier du peuple et instaurer un régime parlementaire capable d’assurer la prospérité de l’élite dirigeante.

La notion d’état supplante celles de république et de démocratie

La notion d’état a été sélectionnée pour masquer ces conflits d’intérêts entre les dirigeants et les citoyens, pour ne plus utiliser les notions de république et de démocratie.

L’état est une structure politique vide sur le plan juridique. L’état correspond à une fonction politique pour contrôler un vaste espace géographique. Les dirigeants peuvent le remplir en fonction du régime politique qui à un moment donné leur convient le mieux pour assurer le succès de leurs entreprises.

En fait l’état représente l’ensemble composé des citoyens et de leurs dirigeants qui ne sont plus forcément des monarchies mais aussi des minorités sociales, en particulier celles des plus riches. L’état justifie la présence d’un groupe de dirigeants distinct du groupe des citoyens. La fonction essentielle associée à la notion d’état est le contrôle d’une population pour qu’elle suive les directives de la minorité qui dirige le système de pouvoir.

L’état n’existe que dans le langage des systèmes de pouvoir. Dans les organisations en Réseaux de Vie, cette notion n’est pas utilisée. Il n’y a pas d’état chez elles.

L’état n’existe donc pas dans une république qui fonctionne à partir des assemblées citoyennes qui statuent sur les solutions optimales et leurs adaptations aux particularités locales. L’état est une notion très vague sur le plan juridique qui correspond davantage à une réalité socio-politique que des dirigeants veulent légitimer. Dans le cadre de l’état, la démocratie se développe sous la gouverne de la minorité dirigeante et de ses manipulations endémiques de l’opinion publique.

La confusion entre république et démocratie

La confusion entre république et démocratie s’est établie rapidement pour une raison simple : soit les banquiers en finançant les conflits sont arrivés de suite à imposer leurs intérêts comme ce fut le cas lors de l’indépendance des USA à travers l’exemple connu du conflit politique sur la création monétaire entre Jefferson et Hamilton, soit les révolutionnaires ignoraient les règles de fonctionnement d’une république et d’une république directe participative.

Ce fut le cas en France depuis que ces règles avaient été éliminées après 1307 par l’absolutisme royal.

La notion de démocratie a permis à des partis politiques, le plus souvent entretenus par les banquiers, de faire prospérer leurs intérêts particuliers. Pour les banquiers, il leur a suffit de troquer leur domination sur les monarques pour celle sur les partis politiques.

Pour manipuler les citoyens, l’utilisation des partis politiques s’est avérée encore plus facile.

Les financiers ont du d’ailleurs recourir à la première guerre mondiale pour éliminer les derniers empereurs récalcitrants : l’empereur d’Allemagne et surtout le tsar de Russie. Puis la seconde guerre mondiale fut une manœuvre pour tenter de s’emparer des richesses de la Russie après avoir financé la prise de pouvoir du parti nationale socialiste allemand. Sauf qu’ils ont du également éliminer le nazisme parce que le miracle économique allemand avait été financé avec Schacht par une création de monnaie souveraine indexée sur le travail du peuple allemand et non pas par des emprunts auprès des banquiers anglo-saxons, casus belli majeur bien pire que l’utopie communiste soviétique.

Les états organisés en démocraties politiques sont peu performants pour servir l’intérêt commun d’un groupe social. Les élections permettent à un camp de gouverner selon ses idées et ses intérêts et la loi de la majorité simple correspond à une véritable dictature électorale d’un camp sur l’autre.

Ainsi, des partis politiques regroupant actuellement en France moins de 2 % de la population ont toujours la prétention de vouloir gouverner le pays alors que leurs membres et dirigeants sont au mieux ignorants des règles républicaines garantissant la prospérité de tous, soit au pire des élites qui refusent de les comprendre et de les appliquer pour conserver leur pouvoir et leurs richesses.

La démocratie correspond alors à une manipulation de l’opinion publique

La démocratie correspond alors à une manipulation de l’opinion publique à travers des querelles politiciennes inappropriées et funestes pour un pays. Cette manipulation atteint son point critique lorsqu’un parti républicain commet l’imposture de se nommer ainsi alors qu’il applique certes une règle, la règle de la propriété privée des moyens de production qui permet l’enrichissement sans limites, alors que cette règle est parfaitement contraire aux règles républicaines.

Cette imposture a été mise en place aux États-Unis, il a fallu que le parti de la droite française en désespoir de cause commette également cette imposture contraire à toute notre histoire républicaine, histoire réussie du temps des cathédrales avant 1307, histoire si tortueuse et perdue dans les affres démocratiques depuis 1790 mais qui n’excuse pas cette dernière imposture scandaleuse.

En 2016, nous ne voulons plus rien accepter de ces vendus. Nos politiciens de tous bords veulent nous vendre des idées démocratiques de plus en plus populistes et racoleuses pour justifier et conserver leurs places dans ce système de pouvoir libéral. Ce qu’ils veulent nous vendre, en réalité, ce sont des prétextes pour nier l’alternative de la république,l’alternative des organisations en réseaux citoyens de vie.

Non, nous disons avec assertivité  NON !

Nous rejetons ces politiciens, principaux intervenants qui s’appliquent à collaborer à l’établissement d’un gouvernement mondial dirigé par les banquiers et qui suivent à la lettre les exigences de l’association des banquiers des États-Unis, exigences toujours actuelles et imposées de plus en plus fermement avec une effronterie égale à la hauteur de leur cupidité la plus détestable et criminelle. 

la protection du capital décidée en 1924 par l'association des banquiers de New York

Remettre en place la République et ses règles de fonctionnement.

Pour sortir de la crise financière actuelle et enfin vaincre nos ennemis de la finance, nous devons éliminer la notion de démocratie, notion fausse et inutile pour revenir au fonctionnement de la république et de ses règles qui garantissent la prospérité pour tous.

Utiliser à nouveau une Monnaie pleine.

La restauration du pouvoir citoyen sur la création monétaire à travers la monnaie pleine souveraine est ainsi le premier pas vers le retour de la république.

Ce débat fondamental et cette avancée républicaine majeure implique que cesse dorénavant l’imposture politicienne qui présente aux citoyens dans nos démocraties actuelles, un camp républicain qui utilise le mot république pour imposer ses intérêts privés et la doctrine libérale conçue pour les servir. Cet alignement des partis politiques sur la doctrine libérale correspond à l’esprit de nos démocraties. Mis à part les partis extrémistes qui cherchent des solutions populistes à travers la prise du pouvoir dans le système actuel, les partis de gauche comme de droite s’ingénient à défendre bien plus des idées politiciennes partisanes que des règles de fonctionnement politique économique et social dans une république capable de répondre à l’intérêt de l’ensemble des citoyens.

Le siècle des lumières, Voltaire et Rousseau, ont bien émis des idées démocratiques pour combattre l’absolutisme royal, force est de constater qu’ils ignoraient ou n’ont pas su retrouver les règles de fonctionnement des villes libres médiévales, des cités états de l’Antiquité ou de l’Italie du Nord du XIVe et XVe siècle. Gavroche durant la révolution de juin 1832 chantera que l’absence de république est de la faute de Voltaire et de Rousseau.

Erik Reinert dans son livre : «  Comment les pays riches sont devenus riches Pourquoi les pays pauvres restent pauvres » a bien montré comment le roi d’Angleterre, pour devenir riche à son tour, a utilisé le mode de fonctionnement économique des cités états d’Italie du Nord (la ville de Venise, Florence, Gênes…). Ensuite les autres monarchies ont utilisé la structure de contrôle nommée “état”.

Nous avons défini les valeurs de la société humaniste, ce texte pose maintenant le cap à suivre au niveau des règles qui concrétisent ces valeurs. Pour mettre fin au pouvoir de la finance mondiale anglo-saxonne, le premier pas, l’urgence est de restaurer le pouvoir citoyen sur la création de la monnaie en adoptant la monnaie pleine souveraine (positive monney, monnaie SMART…).

La monnaie n’est qu’un moyen. Ce moyen a permis à quelques banquiers internationaux de s’associer pour dominer l’économie et les états et le but de cette oligarchie financière anglo-saxonne est bien la mise en place d’un gouvernement mondial au services des plus riches. La Monnaie pleine élimine ces banquiers internationaux et cette oligarchie financière anglo-saxonne.

Pratiquer la subsidiarité et la démocratie directe locale participative

Il s’agit alors de reprendre notre histoire là où nos aînés ont du laisser leurs républiques, villes libres européenne vis à vis des monarchies et placées sous la gouvernance et la protection des ordres chevaliers dont essentiellement l’ordre des templiers, lorsque les monarchies européennes ont étendu leur système coloniale puis lorsque le système capitaliste a imposé son gouvernement mondial au service de la ploutocratie, le gouvernement des plus riches.

Les exemples historiques et connus de l’utilisation de la subsidiarité pour obtenir la solution optimale peuvent se constater  surtout, d’une part sur le plateau de Gizeh au bord du Nil avec les différentes pyramides construites jusqu’à l’obtention de la forme et des plans les meilleurs dans la Grande Pyramide, et d’autre part à travers l’exemple de la construction des cathédrales en Europe.

Rares sont les livres qui expliquent la dernière organisation en réseau de l’Europe au temps des cathédrales avant le vendredi 13 octobre 1307 qui la détruisit en France sur ordre du roi associé au pape qu’il avait fait nommer à Rome (l’ancien archevêque de Bordeaux). Les archives municipales et celles des abbayes ayant été détruites pour la plupart en 1789 en France, celles qui ont survécu sont sous la coupe des tabous et des interdits des dirigeants de nos systèmes de pouvoir actuels civils et théocratiques.

Dans nos pays voisins, particulièrement la Suisse où les destructions de guerre sont absentes, les archives liées à la fondation en août 1307 de la confédération des cantons helvétiques libres et celles plus anciennes décrivant la fondation et le développement des abbayes (comme Einsiedeln développée par des moines venus d’Alsace et qui servit de base pour la future grande ville de Zurich) peuvent montrer comment cette gestion commune des biens communs était organisée avant leur privatisation plus ou moins généralisée lorsque les nobles devinrent propriétaires des  biens communaux puis lors du développement de l’économie libérale.

En Alsace, deux livres montrent ce fonctionnement, certes après 1307 : La Décapole, dix villes d’Alsace alliées pour leurs libertés 1354 – 1679 et Belfort 1307-2007, sept siècles de courage et de liberté.

Pourtant la subsidiarité est toujours présente dans le débat actuel. Nous l’avons montré dans notre chapitre sur la démarche Qualité Totale dans les entreprises industrielles françaises entre 1980 et 1990.

Entre 1985 et 1990, dans nos entreprises industrielles, nos méthodes de résolution de problèmes de causes et de but, les cercles de qualité, la mise en place de la qualité totale pour obtenir les certifications ISO 9001 ou 9002 ont été un exemple pratique réussi de subsidiarité ascendante et descendante. En France, dans l’industrie, la non qualité est passée de 3 000 milliards de franc à 1 000 milliard de franc entre 1980 et la fin des années 1980, soit une réduction des 2/3.

Le rejet de la subsidiarité est maintenu pour que le marché devienne le nouveau fondement de la société. La république gérée directement par les citoyens n’étant plus adaptée pour développer les marchés, les dirigeants de l’économie libérale ont eu recours à la nouvelle notion de démocratie utilisée par les philosophes au Siècle des Lumières pour contester l’absolutisme royal. Il s’agit donc à travers notre action politique d’interdire ce qui est permis et de permettre à nouveau ce qui a été interdit. Un juriste sait faire et sait diriger ce changement de paradigme et de régime politique. C’est la principale mission d’un groupe social qui prend le pouvoir : sélectionner dans le corps de savoir ce qui est bon pour les intérêts qu’il veut satisfaire et ce qu’il interdit pour les défendre.

Nous pouvons présenter succinctement les différences entre démocratie et république dans le tableau suivant :

Les différences entre le système de pouvoir capitaliste libéral et les réseaux citoyens de vie

système de pouvoir :  CAPITALISMEorganisations en réseaux citoyens de vie
ValeursLa valeur d’échange,
La rareté
La valeur d’échange et d’usage
L’abondance
Règlesle marché
Priorité à l’économie sur la politique et donc interdiction de la subsidiarité.
Utilisation de l’argent dette sur le marché financier, dans l’économie réelle
et l’économie fictive qui repose sur la spéculation des cours en bourse.
la subsidiarité et l’alliance des contraires.
priorité du politique sur l’économie,
les valeurs humanistes sont au coeur du projet de vie en société.
utilisation de la monnaie pleine souveraine dans les échanges commerciaux.
régime politiquela démocratie
Elle est soumise aux intérêts des dirigeants économiques et financiers.
Dictature d’un parti sur l’autre selon les résultats électoraux :
les perdants n’ont souvent plus aucun pouvoir de décision.
la république
Elle sert l’intérêt de l’ensemble des citoyens.
Elle est universelle à travers la solution optimale et souveraine
lorsque cette solution optimale est adaptée aux particularités locales
par les groupes sociaux là où ils vivent.
activité humaineLimitée au seul travail indispensable
organisé pour maximiser les profits des propriétaires des moyens de production,
la réalisation des œuvres et l’action politique sont interdits.
Complémentarité entre le travail indispensable à la vie et survie,
la réalisation des oeuvres qui élèvent le niveau de vie et sont transmises aux générations futures,
l’action politique qui applique la subsidiarité au niveau local et confédéral.
prise de décisionSystème électoral
Vote sur les propositions émises par des partis politiques pour élire les représentants des citoyens
Soumission des citoyens aux règles élaborées par le Parlement.
Possibilité pour les citoyens de manifester leurs désaccords uniquement lors de nouvelles élections
à la condition qu’ils obtiennent la majorité.
Pas de participation des citoyens aux prises de décision en dehors des élections.
Processus de résolution de problème en gestion, communication et management :
Désignation des délégués qui participent au comité qui va déterminer la solution optimale,
le cas échéant tirage au sort parmi un groupe d’experts de niveau égal de compétences.
droit de propriétéSacralisation du droit de propriété individuelle,
élimination de la propriété commune,
limitation de la propriété collective reconnue à l’état.
Complémentarité entre droits de propriété individuelle,
commune et gérée par le groupe,
collective et gérée par des délégués du groupe.
source de savoirLes théocraties présentes dans les systèmes de pouvoir
imposent leurs dogmes en interdisant la source de savoir spirituelle.
Le système de pouvoir politique et économique impose une séparation entre l’état et le système théocratique,
sinon il utilise la théocratie pour renforcer le pouvoir politique.
Complémentarité entre la source individuelle et initiatique, la spiritualité,
et la source collective intellectuelle et rationnelle de savoir pour développer un savoir global
capable de marier les différentes cultures humaines nées des particularités locales, environnementales.

Sortir les citoyens de leur ignorance en politique.

Nous avons donc trois domaines de connaissances à travailler pour sortir les citoyens de leur méconnaissance voire de leur ignorance :

  1. la gestion d’une monnaie pleine à la place de l’argent dette et de la soumission à l’endettement perpétuel qui permet aux banquiers de s’enrichir sans limites et sans payer des impôts sur leur production d’argent créée à partir de rien.
  2. la gestion de la subsidiarité qui repose sur les méthodes de résolution de problèmes de causes et de but, méthodes utilisées au niveau de l’ensemble de l’activité humaine dans les réseaux citoyens de vie. la mise en avant du fonctionnement des réseaux citoyens de vie. Par exemple, montrer que la notion de marché utilisée par la doctrine capitaliste et libérale est à abandonner car elle nous interdit deux niveaux élémentaires d’activité humaine. L’activité humaine se développe sur trois niveaux : le travail indispensable à la vie et survie, la réalisation des œuvres qui élèvent le niveau de vie et sont transmises aux générations futures et dont le financement élimine les risques inflationnistes contenus dans le fonctionnement du capitalisme,
  3. et troisième niveau, l’action politique justement à travers la subsidiarité et l’alliance des contraires. La doctrine libérale supprime les deux derniers niveaux et condamne les citoyens à l’horreur économique écrite par Hannah Arendt : la soumission au travail jugé utile ou non par les dirigeants capitalistes. Autre exemple : apprendre à utiliser la complémentarité entre nos deux sources de savoir : la source individuelle initiatique spirituelle et la source collective intellectuelle et rationnelle.

Ce travail de formation repose sur l’utilisation des exemples anciens avant et après 1307 mais ces connaissances sont aussi actuelles même si elles ont été surtout utilisées en entreprise lorsque le pouvoir était entre les mains des salariés et non pas comme depuis, au service de la dictature des actionnaires. Les portes d’entrée dans ce savoir sont donc multiples et accessibles. Cette amélioration des compétences citoyennes est indispensable pour atteindre la finalité de citoyens libres dans des républiques libres, libérées de la domination des dirigeants des systèmes de pouvoir actuels. Internet participe grandement à cette intelligence collective à nouveau humaniste et républicaine… et fileane.com également.

L’utilisation de la subsidiarité et de l’alliance des contraires est un principe de fonctionnement universel et équitable des groupes sociaux.

Cette rupture et ce changement de paradigme entraîne des conséquences radicales et fondamentales. Nous ne sommes pas en train de chercher une république idéale mais, et le lecteur, la lectrice de fileane.com l’a compris depuis au moins 2002 et la mise en ligne de ce site web, nous menons l’approche du juriste qui connaît le droit positif et les règles utilisées d’une part, mais aussi d’autre part les règles interdites par les systèmes de pouvoir actuels.

Le juriste sait que la connaissance des règles utilisées et des règles interdites est indispensable pour qui veut trouver une porte de sortie aux crises actuelles et particulièrement pour éliminer le pouvoir des banquiers et leur gouvernement mondial.

Il ne s’agit plus d’apprendre aux futurs citoyens que le mode d’influence sociale est l’autocratie et la soumission librement consentie. Il s’agit d’apprendre à notre jeunesse comment développer des contre-pouvoirs et comment établir des minorités actives capables de répondre à l’appel de la république.

La république nous appelle ! Tel est le mot d’ordre politique. Nous avons retrouvé le fonctionnement optimal d’un groupe social pour développer à nouveau une société florissante humaniste.

La république nous appelle !

Foin de toutes les discussions politiciennes pour défendre des intérêts partisans : la théorie foireuse du ruissellement des richesses, la prétention de vouloir concurrencer les pays à bas coût de salaire en éliminant notre protection sociale, en appauvrissant les salariés astreints à rembourser toujours plus de dettes privées et publiques tout en travaillant plus et en étant payé moins, en ruinant les retraités et en laissant les jeunes au chômage sans même oser évoquer la question fondamentale de la rémunération du travail avec une monnaie pleine.

Assez de privatisations et de ventes de biens publics pour rembourser l’endettement de l’État alors qu’il s’agit de financer l’économie comme avant 1973.

L’Europe des Républiques à la place de l’ Europe du marché libéral aux mains des maîtres de la finance mondiale.

La république nous appelle ! Pour répondre à cet appel, la république s’est conquise par la volonté du peuple et avec de l’audace, seule capable d’apporter de nouveaux espaces de liberté par rapport au despotisme des systèmes de pouvoir.

la république nous appelle !

Depuis novembre 2018 et la crise des Gilets-Jaunes, les États-Généraux, cet appel de la République se montre plus pressant et déterminé pour abandonner ce système libéral, son système électoral à l’américaine où le candidat élu est certainement celui qui a obtenu le budget de campagne le plus élevé de la part des banques, des multinationales et de ses militants.

Autres éléments à charge pour déterminer le groupe politique des vendus :

« Laissez moi décider et contrôler la régulation de la masse monétaire d’une nation, et je me fiche de ce qui fait les lois. » Mayer Amschel Rothschild, fondateur de la dynastie de banquiers du même nom.

« Je crois que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés qu’une armée debout. Celui qui contrôle l’argent de la nation contrôle la nation ». Thomas Jefferson.

« Je crains que les banquiers étrangers ne dominent entièrement l’abondante richesse de l’ Amérique […] ils n’hésiteront pas à précipiter les États chrétiens dans les guerres et le chaos, afin de devenir les héritiers de la terre entière » Otto Von Bismark, Chancelier de Prusse, suite à l’assassinat de Lincoln.

« Si les gens de cette nation comprenaient notre système bancaire et monétaire, je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin». HENRY FORD.

” Si l’on permet aux orgies de spéculations de s’étendre, la crise qui en viendra n’affectera clairement pas seulement les spéculateurs eux-mêmes, mais prendra le pays entier dans une dépression générale.” Paul Warburg, mars 1929.

« Le crash de 1929 n’a rien eu d’accidentel. C’est un événement soigneusement planifié. Les Banquiers internationaux ont cherché à engendrer ici une condition désespérée, de façon à devenir nos maîtres à tous ».Louis T. McFadden, Chairman of the House Banking and Currency Committee, 1933

« Nous aurons un gouvernement mondial, qu’on le veuille ou non. Reste à savoir si le gouvernement mondial sera établi par consentement ou par conquête. » James Paul Warburg, 17 février 1950, au Conseil des Relations Internationales des États-Unis.

« Le capitalisme s’adresse à des enfants dont l’insatiabilité, le désir de consommer sans trêve vont de pair avec la négation de la mort.

C’est pourquoi il est morbide.

Le désir fou d’argent, qui n’est qu’un désir d’allonger du temps, est enfantin et nuisible. Il nous fait oublier le vrai désir, le seul désir adorable, le désir d’amour. » B. Maris – Houellebecq économiste.

” La dictature parfaite aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude” Aldous Huxley.

« Après 1981, je demandais à François Mitterrand : – pourquoi maintenant que tu en as le pouvoir ne fais-tu pas ce que tu avais promis ?

Il me répondait qu’il n’avait pas le pouvoir d’affronter la Banque Mondiale, le capitalisme, le néolibéralisme.

Qu’il avait gagné un gouvernement mais non pas le pouvoir.

J’appris ainsi qu’être le gouvernement, être président, ne sert pas à grand-chose dans ces sociétés sujettes, soumises au capitalisme.

J’ai vécu l’expérience directement durant 14 ans. En France, on élit, et les élus font des lois qu’ils n’ont jamais proposées et dont nous n’avons jamais voulu.

La France est-elle une démocratie ? Une puissance mondiale ? Je le dis en tant que Française : cela ne veut rien dire. » Danielle Mitterrand.

Souvenons-nous également des propos de Michel Rocard dans un entretien à Laurent Delahousse peu avant son décès. A propos de François Hollande, il disait que les propos “mes ennemis c’est la finance” ont put être une envolée incontrôlée du candidat mais qu’une fois Président, il a du prendre en compte le fait qu’il lui fallait financer son programme de gouvernement et s’adresser ainsi aux banquiers. Visiblement, l’idée et la solution optimale de la monnaie pleine souveraine ont été soit écartées soit pire, complètement ignorées chez Michel Rocard.

Il est vrai que ce sujet pourtant fondamental ne fait pas partie de l’enseignement académique d’économie et de sciences politiques et sociales dans notre pays. Les “bons élèves” en sont parfaitement ignorants et à fortiori les élites, spécialement politiques.

Les citations que nous venons de présenter montrent qu’à côté des “ignorants démocrates”, ces personnalités qui expriment leur ressentiment par rapport au capitalisme et au système démocratique représentatif dirigé par les maîtres du gouvernement mondial capitaliste et néo libéral, ont trouvé le courage, voire l’audace de montrer un espace de liberté retrouvée lorsque les citoyens se dirigent eux-mêmes en républiques.

En avril 2022, les vendus veulent nous vendre

  • Leurs vaccins contre une pandémie alors qu’ils ont financé les laboratoires de recherche pour trouver un coronavirus transmissible à l’homme.

Depuis plus de dix ans, ces organisations et sociétés qui sont spécialisées dans l’étude des virus et autres coronavirus (ainsi que toutes les personnes qui gravitent en leur sein), comme « Eco Health Alliance » et Peter Daszak, le NIH et Anthony Fauci, « Metabiota » et Nathan Daniel Wolfe, Labyrinth Global Health et ses dirigeants et fondateurs, ont œuvré à mettre en place et à organiser des laboratoires d’armes biologiques en Ukraine pour le compte et avec des fonds de l’« U.S. Department of Defense » (« Département de la Défense des États-Unis »).

En avril 2022, nous ne savons plus si ce virus provient de Wuhan ou des« Biolabs » (laboratoires d’armes biologiques) en Ukraine. Pour le moment ils préfèrent nous vendre du Wuhan que de l’Ukraine. Le pangolin semble avoir été retiré du présentoir…

  • La menace de l’extrême droite pour faire à nouveau élire Macron au second tour de l’élection présidentielle en France. C’est la seconde fois depuis 2017 et ce n’est pas prêt d’arrêter…
  • La guerre avec tous ses crimes et ses horreurs vu que l’Ukraine c’est l’Europe et demain l’Union Européenne et… l’OTAN.
  • L’inflation et peut-être l’hyper inflation pour ruiner plus vite les classes moyennes qui, pour eux, sont une menace de contre-pouvoir.
  • Le gaz et le pétrole de schistes américains et l’embargo des gaz et pétrole russes, embargo que durant la guerre froide ils n’avaient pas réussi à mettre en place.
  • La fin des états puisqu’en effet leur gouvernement mondial arrive à tout contrôler et que la structure des états nationaux est devenue inutile et dispendieuse en argent public. Ce qui est un manque à gagner important pour les actionnaires et les rentiers, les banquiers, les financiers…du néo libéralisme triomphant.

Ne pas être complice

George Orwell, "est complice celui qui élit des corrompus"

Notre lecteur a compris. Nous ne cherchons pas à lui vendre de la République contre de la Démocratie, encore mois d’être complice ou un vendu, mais nous lui proposons un choix de civilisation.

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