Nous avons souvent abordé la question des ondes sur fileane.com. Notamment dans le chapitre La Vie après la Vie et le livre La divine Connexion du Professeur Melvin Morse qui écrit que notre conscience n’est pas dans notre cerveau et que notre corps est relié par des ondes à une source de Vie.
Dans cet article nous poursuivons “la piste des ondes” spécialement électro magnétiques puisque des chercheurs ont trouvé leurs traces et leurs influences au cours de leurs expériences.
Par ailleurs, notre lecteur sait que nous avons travaillé un moment dans un Laboratoire d’ondes acoustiques spécialisées, d’où notre curiosité toujours présente sur les ondes.
Nous recevons ces ondes ou nous les produisons notamment par le cri appris de nos ancêtres et qui existent encore dans certaines de nos régions.
Nous n’abordons pas ici les ondes négatives qui polluent et détruisent nos corps charnels.
Ce qui suit n’est pas nouveau mais les documents que nous présentons soulignent l’espoir actuel dans une nouvelle médecine. Cet article de notre Tribune prépare aussi le chapitre que nous rédigeons sur les Institutions sociales et les Services à la personne, dont la Santé.
Quatre cas sont ici présentés : la mémoire de l’eau, les effets bénéfiques des ondes du chat, la guérison ou une meilleure santé par les ondes, le cri rustique ou primordial qui identifie les peuples qui ont la même origine historique millénaire.
Document : Gabriel Combris – Lettre Directe Santé 25/08/2023
Tout est prêt pour « la nouvelle médecine … »
Le célèbre professeur Montagnier, prix Nobel de médecine, aurait découvert dans les dernières années de sa vie le secret ultime de la médecine du futur.
Trop visionnaire.
A tel point que ses travaux récents, plus importants peut-être que ceux qui lui ont valu son Nobel, pourraient être passés sous silence !
Alors que le monde de la recherche était obsédé par les molécules chimiques, le professeur Montagnier, lui, s’est intéressé à un élément naturel. Le plus simple de tous : L’eau.
Et ce qu’il a démontré pourrait changer la médecine pour toujours !
Il faut dire que, contrairement à ce qu’on imagine, les chercheurs reconnaissent aujourd’hui qu’ils ne savent « pratiquement rien sur l’eau »
Ça vous parait fou que le liquide le plus présent sur Terre soit aussi le plus mystérieux ? C’est pourtant le cas. À tel point que certaines questions restent sans réponse :
Mais voilà…
Le secret que le Pr Montagnier a découvert sur l’eau peut transformer votre santé pour toujours… En effet, sa découverte pourrait bientôt permettre de soigner des maladies très graves et répandues comme :
Alzheimer, Parkinson, la sclérose en plaques, mais aussi la maladie de Lyme, l’autisme, certains cancers et même… le vieillissement prématuré.
Je vais dans un instant vous dire comment c’est possible.
Mais avant cela, pour bien comprendre je dois vous raconter l’histoire folle qui a poussé ce scientifique à se pencher sur “la face cachée” de l’eau…
Asie du sud-est, 1956.
Dans un laboratoire militaire secret consacré au développement et à la fabrication d’armes de destruction massive,.un petit groupe de scientifiques travaille depuis plusieurs années à la création d’une arme bactériologique de nouvelle génération.
Lors d’une réunion, les discussions tournent autour des futures caractéristiques de cette arme. Lorsque soudain la réunion doit être interrompue…
Tous les participants sont conduits aux urgences à cause de symptômes similaires à ceux d’une forte intoxication alimentaire.
Le problème : l’enquête aboutit à une impasse. Dans cette salle de réunion… pas de trace de nourriture, ni de virus ou de bactérie. Les scientifiques n’ont rien consommé, en dehors de l’eau qui se trouvait sur la table de réunion.
Alors c’est l’eau qui était empoisonnée ? Non.
Après analyse, aucun élément toxique n’a été détecté… Sa composition chimique n’était que H2O. Et dans leur rapport, les médecins ont conclu que la cause de l’intoxication était due à de l’eau… ORDINAIRE !
Rapport officiel sur la cause de l’intoxication : de l’eau ordinaire…
Ce n’est que 20 ans plus tard qu’une hypothèse a été avancée pour expliquer ce phénomène d’intoxication. L’eau aurait une « mémoire ». Elle pourrait mémoriser tout ce qui se passe dans son environnement proche. Et…
C’est la seule explication que les scientifiques ont trouvée à ce jour.
L’eau du laboratoire a pu être “contaminée” par des ondes émises dans le cadre des travaux des chercheurs pour créer une arme de destruction massive. Ça vous parait fou ?
Oui. N’importe quel esprit rationnel se dit que c’est impossible…Moi le premier. Jusqu’à ce que j’étudie les résultats de l’expérience du professeur Montagnier.
Mais juste avant de vous les montrer…
Après tout, ils transformaient l’eau ordinaire en eau curative en utilisant des récipients en argent… Et rien d’autre que le contact avec l’argent n’était utilisé. Pourtant selon la science moderne, ce n’est QUE de l’eau à l’intérieur…
Voici ce qu’explique le professeur Rustum Roy, physicien, professeur à la Pennsyvania State University, au sujet de « l’eau structurée » :
“À ce jour, l’eau structurée ou dynamique est le meilleur antibiotique qui soit. À tel point que l’armée américaine a utilisé cette eau en Irak et en Afghanistan. Il suffit d’une molécule sur 100 millions de molécules d’eau potable pour détruire tous les germes présents dans une plaie. Le président des États-Unis utilise de l’eau structurée pour se désinfecter les mains.”
Mais comme je l’ai dit, aux yeux de la science, c’est toujours de l’eau ordinaire…
Voici ce qu’ajoute le Dr Roy :
“On s’est penché sur la composition chimique de l’eau, mais à la surprise générale ça n’a abouti à rien, car la composition chimique importe bien moins que sa structure.”
C’est comme ça que fonctionnerait la mémoire de l’eau… Pas en modifiant sa composition chimique… mais en se restructurant pour mémoriser l’information envoyée par les ondes de la matière qui l’entoure ! Vous trouvez que c’est compliqué ? Je vous rassure, ça ne l’est pas du tout. Regardez plutôt la suite :
Car ce qu’il a découvert sur la mémoire de l’eau peut changer la vie et la santé de millions de malades à travers le monde. Mais trop peu de personnes s’intéressent à son travail. Et la plupart des gens ne pourront pas profiter de ses découvertes avant une bonne dizaine d’années… Maintenant voici ce qui s’est passé au cours de son expérience…
Le Pr Montagnier a placé dans de l’eau le fragment d’ADN d’un virus. Puis, il a dilué cette eau. Une première fois, une deuxième, etc. Exactement comme on procède avec les remèdes homéopathiques.
Après plusieurs dilutions, il ne reste plus RIEN de la molécule chimique dans l’eau. Et c’est d’ailleurs ce qui vaut tant de critiques à l’homéopathie…
Comment, en l’absence de toute trace de molécule, le remède pourrait-il avoir d’autre effet que le seul placebo ?
À moins que… l’eau ait bien une mémoire.
Et justement… Le professeur Montagnier a réussi à montrer qu’il restait bien “quelque chose”, mais d’un autre ordre que chimique ! En effet… Au bout de la 6ème dilution, les tubes ont émis un SIGNAL.
Un signal “électromagnétique”, qui n’avait jamais été découvert avant. L’eau a tout simplement gardé le signal de l’ADN du virus “en mémoire” !
Et ce n’est pas tout. Ce signal électromagnétique a été capté et enregistré sur un ordinateur… …puis il a été envoyé à un autre laboratoire, en Italie. Là, les scientifiques italiens ont “transmis” le signal électromagnétique reçu du Pr Montagnier… à un simple tube d’eau pure. C’est-à-dire qu’ils ont émis le signal à proximité de l’eau, pendant 1 heure. Puis, ils ont réalisé un test PCR dans cette eau.
… Et ils ont trouvé un ADN du virus identique à 98 % à celui envoyé par le laboratoire du Pr Montagnier !
Vous vous rendez compte ???? Aucune molécule n’a « voyagé », et pourtant le virus est bien là !!
Peut-être que vous ne le réalisez pas encore… Mais les conséquences de cette découverte sont capitales.
Cela signifie que la capacité de l’eau à stocker et transmettre des informations lui fait jouer un rôle capital dans notre organisme.
Cela veut aussi dire que les simples ondes émises par les virus auraient la capacité de nous rendre malade. Voyez par vous-même ce que le Pr Montagnier en dit :
“On a pu relier la présence de signaux dans le sang à des maladies très graves et répandues comme la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques, mais aussi la maladie de Lyme, l’autisme et certains cancers.”
Donc s’il existe des ondes qui peuvent nous rendre malade… Il doit exister des ondes qui peuvent nous GUÉRIR !
Et pour le Pr Marc Henri, spécialiste de chimie et de physique quantique à l’université de Strasbourg, c’est toute la médecine qui pourrait être révolutionnée par cette idée :
“On basculera dans la nouvelle médecine, celle où on soigne avec des ondes et avec de l’eau.”
Encore faut-il que les autorités médicales acceptent d’explorer cette voie. Et là… c’est une autre histoire. Car le “gros défaut” de la médecine électromagnétique… C’est qu’elle est gratuite, ou très bon marché.
Et c’est ce qu’a bien compris le Pr Montagnier :
“Le jour où on admet que les ondes peuvent agir, c’est qu’on peut agir par les ondes, traiter par les ondes. C’est un nouveau domaine qui fait peur à l’industrie pharmaceutique. Un jour, on pourra soigner des cancers par les ondes.”
Mais vous comprenez bien que ça ne fait pas du tout les affaires des vendeurs de médicaments. Car l’industrie pharmaceutique fait son argent en créant de nouvelles molécules chimiques, brevetables.
Le Pr Marc Henri ajoute même : :
“Si on soigne avec des fréquences et non avec des médicaments, cela devient extrêmement économique.”
Et ce n’est pas tout…
Je dois vous parler d’une des conséquences de la découverte du Pr Montagnier qui a un impact direct sur votre santé. Car…
Vous ne le savez peut-être pas, mais vous vous empoisonnez la santé si vous faites ÇA…
Dans les grandes villes, l’eau courante est stockée dans des circuits fermés. Et elle y subit des processus agressifs d’épuration chimique et de filtrage… Puis elle revient dans nos maisons en gardant en mémoire les produits chimiques qu’elle a croisés et la violence qu’elle a subie !
Regardez par vous-même :
À gauche, c’est la structure de l’eau à l’état naturelle qui coule dans nos rivières. À droite, c’est la structure de l’eau qui parcourt des milliers de kilomètres de tuyaux avant d’arriver dans votre robinet, subissant au passage de nombreuse modifications toxiques.
Ces images parlent d’elles-mêmes.
Rappelez-vous de l’histoire de ces scientifiques qui se sont empoisonnés juste avec de l’eau… … Seule la structure était différente.
Et gardez aussi à l’esprit les résultats de l’expérience du Pr Montagnier ! Il a réussi à transmettre un virus dans de l’eau pure grâce aux ondes.
Alors imaginez ce que l’eau de vos robinets a gardé en mémoire après tout ce qu’elle a subi…
D’ailleurs, regardez par vous-même la différence entre de l’eau bien structurée et de l’eau mal structurée sur les récoltes.
À gauche, le fruit est plus gros et plus mûr, contrairement au fruit à droite qui n’a pas reçu d’eau structurée
On sait que l’utilisation d’une eau structurée réduit le délai de maturation des légumes et multiplie leur valeur nutritive par 6.
C’est ce qu’explique le Dr Wang Guiha, agronome chinoise :
“Lorsqu’on compare les germes traités à l’eau structurée, ils étaient longs, réguliers et forts. En revanche, les germes non traités étaient courts, fins et fragiles. »
« On constate que les plantes issues des graines qui ont été traitées sont mures tandis que les légumes dont les graines n’ont pas été traité sont encore vert. Le lien entre cette eau et la croissance des légumes et des fruits est donc établi.”
Si l’eau a un tel impact sur les fruits et les légumes… … Alors imaginez les conséquences sur votre santé entre une eau de qualité et une eau toxique.
C’est un désastre sanitaire. Mais il risque de s’écouler des dizaines d’années avant que les travaux du Pr Montagnier soient reconnus.
Et pendant ce temps, les gens vont continuer de s’empoisonner chaque jour.
Par contre, si vous êtes encore là à me lire.
C’est que vous avez bien compris l’importance phénoménale de l’eau pour votre santé.
Et c’est pourquoi nous avons décidé de publier une enquête entièrement consacrée à cette merveilleuse substance de vie :
« L’eau qui guérit ». Le livre best-seller en version papier maintenant disponible chez VivaSanté Editions
« L’eau qui guérit » est un livre événement qui intègre les dernières recherches sur la mémoire de l’eau, et vous propose les bonnes pratiques à adopter pour profiter des pouvoirs
incroyables de l’eau.
autre documentation et video :
Le professeur Luc Montagnier et les travaux avangardistes sur la mémoire de l’eau
La Mémoire De L’Eau ! Documentaire Complet 2014
On a retrouvé la Mémoire de L’ eau , Luc Montagnier .
Document :
Pour beaucoup de personnes âgées, un animal de compagnie est une fantastique source d’amusement et de joie. Il est une présence apaisante et amicale, qui donne un but au quotidien, favorise les rencontres, mobilise son énergie sur des objectifs positifs.
Mais les animaux domestiques font encore mieux que ça. Ils prennent soin directement de notre santé… Et de façon très particulière…
Prenons le cœur, par exemple.
Dans une très récente revue d’études, il a été confirmé que le simple fait de posséder un animal de compagnie réduit significativement le risque de mourir d’une maladie cardiovasculaire.
Si vous êtes déjà atteints d’une condition cardiaque chronique, et que vous avez un chien, le risque peut être réduit de près de 61% !
Le mécanisme qui sous-tend ces résultats est encore mystérieux, mais les scientifiques croient qu’ils proviennent d’une action bénéfique sur le système nerveux parasympathique.
Cette sous-catégorie du système nerveux est responsable de maintenir le stress de l’organisme sous contrôle. Il est, en somme, le système du « zen et du cool », médié par un neurotransmetteur : l’acétylcholine. Il baisse la pression artérielle, ralentit la fréquence cardiaque, relance la digestion. Bref, il veille à ce que le corps économise son énergie et l’utilise au mieux.
Le simple fait de promener votre chien, de jouer avec votre chat ou de profiter de moments câlins avec votre lapin suffirait à potentialiser son activité, pour le plus grand bien de votre cœur, donc !
Une étude menée pendant la période de confinement en Italie, a d’ailleurs démontré que la présence d’un animal domestique diminue le stress comme l’anxiété, chez les seniors : un facteur de problèmes cardiovasculaires en moins !
Une thérapie très spéciale a été ainsi mise au point par le dr Jean-Yves Gauchet, vétérinaire, à partir du ronronnement du chat, dont certaines études suggèrent qu’il agit comme un médicament sans effet secondaire ! Lorsqu’on étudie le spectre sonore d’un chat qui ronronne, nous dit le docteur Gauchet, « on voit apparaître principalement des sons très graves, étagés sur des fréquences de 25 à 50 hertz. »
Or il s’agit de “basses”, bien connues des compositeurs de musique, car elles permettent de provoquer des émotions.
Il y aurait donc bien une action directe du son sur l’organisme. Mais peut-on la mesurer ?
Des médecins orthopédistes ont utilisé l’action de ces fréquences pour consolider des fractures, pour soigner des arthroses délabrantes. Avec pour résultats une accélération du processus de cicatrisation, de création de tissus nouveaux.
En un mot, ces basses fréquences auraient une action anabolisante.
« A fracture égale, le chat se rétablit trois fois plus vite que tout autre animal. » explique Véronique Aïache dans son livre La Ronronthérapie
Les vibrations émises par le ronronnement ont d’ailleurs été reproduites par des kinésithérapeutes pour accélérer la cicatrisation osseuse.
Et ce n’est pas tout.
Écouter le ronron du chat entraîne une production de sérotonine, l’hormone du bonheur, impliquée dans la qualité de notre sommeil et de notre humeur.
« C’est un puissant antistress, régulateur de la tension artérielle, booster des défenses immunitaires et un soutien psychomoteur ».
L’écoute doit se faire au calme, à faible intensité, le mieux étant d’utiliser un casque.
Vous trouverez sur internet de très nombreuses séances de ronron offertes par Pastel, Rouki, Minou et quelques autres (cherchez « ronronthérapie sur un moteur internet)
Mais votre compagnon poilu (ou pas) ne veille pas seulement sur votre cœur.
Il préserve aussi votre cerveau du déclin.
… un baume au cerveau, aussi !
Dans une étude conduite sur 21 individus en bonne santé, des chercheurs ont prouvé que les interactions répétées avec des animaux (dans ce cas-ci, des chiens) stimulent l’activité du cortex préfrontal. A savoir, le centre de la mémoire, du langage et du raisonnement, autant de fonctions cruciales qui peuvent être régulièrement entraînées et boostées par une présence animale quotidienne.
Une équipe de l’université de Michigan a voulu en savoir plus, et a suivi 1300 seniors pendant un certain temps. Certains avaient des animaux domestiques, d’autres non.
Et les chercheurs ont découvert, via des tests cognitifs, que ceux qui ne possédaient pas d’animal domestique voyaient leurs fonctions cognitives décliner à un rythme bien plus important que ceux qui en possédaient.
Là encore, la baisse du stress et de l’anxiété, et l’activation du système parasympathique et du cortex préfrontal, peuvent expliquer le phénomène. Mais aussi l’exercice physique régulier qu’implique l’entretien d’un animal de compagnie, ou encore les liens émotionnels que l’on noue avec lui.
Alors je conclus en leur disant un grand merci de prendre si bien soin de nous…et de nos aînés !
Santé !
source : Gabriel Combris
https://www.directe-sante.com/pastel-rouki-et-minou/#respond
Le mot « scalar » cousin de « scalaire » évoque bien sûr « énergie scalaire » ou « ondes scalaires ». Ce panel technologique futuriste encore très ésotérique pour la science orthodoxe actuelle a pourtant été découvert au19ième siècle par l’écossais James Maxwell grand mathématicien et physicien encore célèbre dans nos universités. C’est lui qui a formulé les théories sur les rayonnements électromagnétiques qui ont ensuite servi à Nikola Tesla pour inventer des machines prouvant la réalité d’une énergie scalaire universelle.
Dans les années 1900, Nikola Tesla a découvert ces nouvelles ondes électromagnétiques qui au lieu d’être transversales sinusoïdales telles que nous les connaissons, sont longitudinales de forme hélicoïdale (tire-bouchon de sens anti horaire). Leur caractéristique remarquable est qu’elles peuvent transmettre de l’énergie sans perte en ligne sur des distances infinies, sans avoir besoin de câbles, et passer à travers des objets solides aussi gros soient-ils, sans perte de puissance. Ce n’est que bien plus tard qu’elles ont été baptisées « ondes scalaires ».
Mais ce n’est pas fini, car la caractéristique majeure est qu’elles ne respectent pas la vitesse classique de la lumière de 300 000 Km /seconde (unité de mesure retenue pour les distances astronomiques) puisque sa transmission est instantanée quelle que soit la distance.
NOTA :
La pensée étant de transmission instantanée est obligatoirement de nature scalaire.
John White chercheur de haut niveau installé en nouvelle Zélande, s’étant inspiré des travaux avancés de Royal Rife et Nikola Tesla, a été le concepteur de toute une gamme d’appareils thérapeutiques Spooky 2 (Spooky est un terme d’argot anglais pour dire bizarre ou étrange.) J’ai personnellement testé très positivement autour de moi et sur moi certains de ces appareils pour lesquels j’ai ensuite édité des articles, tels le Miramate light pad et le Miramate wrist-X.
Mais cette fois, je présente le SCALAR, la perle rare que nous avons en trois exemplaires avec mon ami Laurent ingénieur et que nous avons intensivement expérimentée pendant un an et demi pour de nombreux problèmes de santé de notre famille et de notre entourage –Nous avons ainsi pu définir les limites de son efficacité dans certaines maladies lourdes face à des causalités compliquées.
Eunice Ingham une grande guérisseuse disait : « Toutes les maladies son guérissables, mais certains malades ne le sont pas… ». Par ailleurs, « il est utopique de croire pouvoir guérir (et pas seulement soulager) une maladie si l’on ne supprime pas d’abord la cause qui l’a créée ». Tous les soignants doivent être conscients de cela.
Le Scalar se compose de deux valises, l’une émettrice l’autre réceptrice.
Avant chaque usage, elles doivent être syntonisées entre elles à l’aide d’un potentiomètre et d’un vumètre permettant de capter un maximum de champ éthérique de vie local, et d’un bouton test permettant de vérifier la liaison effective transmetteur/receveur. Cette énergie scalaire va alors être dirigée vers la personne à soigner qui est placé entre les deux valises. Cette personne devient alors elle-même un récepteur accordé sur la « Source de vie » apte à recaler les dérives éventuelles de ses champs vibratoires biologiques génératrices de désordres de santé.
Ajoutons que les champs scalaires éthériques (appelés selon les cultures traditionnelles : orgone ou Qi ou Tchi ou Noùs, etc …) sont capables de lever les blocages d’énergies au niveau méridiens acupuncture, chakras, ou nadis, qui génèrent de nombreux troubles et des souffrances diverses.
Le Scalar spooky 2 est le premier dispositif scalaire au monde qui peut fournir 3 possibilités différentes de transmission des ondes scalaires de soin : scalaire pur, scalaire avec remèdes ajoutés et scalaire numérisé de Rife. Vous pouvez choisir à tout moment lequel de ces modes convient le mieux à vos besoins.
Mode scalaire pur en présence physique
C’est la façon la plus simple d’utiliser le Scalar pour réharmoniser énergétiquement tout l’ensemble du corps et lever les blocages.
Faire une séance par jour ou à la demande selon besoin
Mode scalaire pur à distance donc en l’absence physique
C’est très pratique pour les personnes très occupées ou qui se déplacent beaucoup ou qui vivent à distance.
Là il faut placer sur le petit rond de la valise transmetteur une référence ADN de la personne. On utilise généralement des ongles sachant qu’ils ne sont valides que 1 mois.
Mode scalaire avec remède émetteur ajouté
Peut s’effectuer en présence physique du patient comme à distance.
Il est possible de plus cibler la thérapie en plaçant des substances adéquates dans leur flacon ou dans une coupelle en verre sur le petit rond de la valise récepteur, sachant que les formes liquides me paraissent bien plus efficaces que les formes solides même en poudre, dont les teintures mères, l’homéopathie en gouttes ou en ampoules et les compositions naturopathiques liquides, peut-être des huiles essentielles mais je n’ai jamais essayé.
J’ai aussi remarqué que le Scalar, donc les champs scalaires n’aiment pas les molécules chimiques de synthèse qui n’existent pas dans la nature et ne les transmettent pas. Au moins là, nous n’aurons pas de problèmes avec Big Pharma pour entrave à leurs ventes.
Pour les affections aiguës, j’obtiens généralement un soulagement dans les 5 à 10 min… à condition d’avoir présenté le bon produit ! (le choix par kinésiologie est bien commode).
Nota : si le produit n’est pas adéquat aucun dégât n’est à craindre.
Mode scalaire avec remède virtuel ajouté
Là j’engage mon expérience personnelle et non celle du fabricant (John White) pour beaucoup de cas où l’on ne dispose pas du remède souhaité.
Ceux qui connaissent les expériences extraordinaires sur le pouvoir des mots écrits du japonais Masaru Emoto (voir son ouvrage) ne seront pas étonnés par mon option de remplacer les remèdes par une étiquette à leur nom. Mais il y a un détail à respecter : celle-ci doit être découpée dans du papier calque classique et écrite avec application au crayon de mine gras type 7B par exemple. J’obtiens les mêmes résultats et aussi rapidement qu’avec les produits réels.
Mode scalaire associé aux des fréquences de Rife
Rife et Tesla ont constaté que les pathogènes vibrent à des fréquences particulières. Seul le Scalar peut moduler ces fréquences en utilisant les ondes scalaires comme porteuses, ce qui en fait la machine de Rife la plus avancée au monde. Or cette voie particulière ouvre en plus la possibilité d’un scanner diagnostique exceptionnel par repérage de toutes les fréquences répertoriées qui sont associées à des dysfonctionnements d’organes ou de fonctions métaboliques.
Mais nous entrons dans un domaine plus complexe et plus professionnel avec un équipement et une documentation complémentaire que je n’aborderai pas ici pour en rester à l’extrême simplicité d’emploi qui nous intéresse en premier lieu.
Source : Michel Dogna
réalités et défis – entretien avec le Pr Tritto France-Soir Publié le 21 juin 2024
Le professeur Tritto, expert en microchirurgie, nanotechnologies, et microbiologie, explique comment les ondes ont été historiquement utilisées pour le bénéfice des populations et détaille également leurs dangers. Depuis les rayons X, en passant par les infrarouges et les ondes électromagnétiques ou la 5G, le Pr Tritto aborde également les technologies plus récentes comme les armes à énergie dirigée utilisées dans le cadre d’enjeux géopolitiques ou du contrôle du climat.
“La manipulation du climat par des technologies comme HAARP est une question complexe qui nécessite une approche scientifique rigoureuse et transparente.”
En analysant l’évolution de la médecine énergétique et la médecine traditionnelle, le Pr Tritto démontre la convergence possible entre ces disciplines et l’importance de comprendre l’impact des ondes sur la biologie humaine.
Ce professeur indique qu‘il est possible de détruire des virus et des structures moléculaires avec des ondes. Voir la vidéo.
Pour le Professeur Tritto, l’arme biologique est bien plus flexible et tactique que l’arme nucléaire.
document : Les Echos Par Charlotte Meyer Publié le 25 janv. 2023
extraits :
Alors que la possibilité de respecter les échéances de neutralité carbone s’éloigne chaque jour davantage, les projets de géo-ingénierie visant à contrôler le climat se multiplient. Faire pleuvoir, détourner la chaleur du soleil, capter le CO2 : ces initiatives sont pourtant porteuses de risques irrévocables.
Alors que 2022 vient d’être épinglée comme l’année la plus chaude d’Europe, la géo-ingénierie se présente pour certains comme la méthode miracle face aux difficultés à réduire nos émissions de gaz à effet de serre. Celle-ci regroupe l’ensemble des techniques ou pratiques qui visent à contrer les effets de la pression des activités humaines sur l’environnement, dont le changement climatique, des méthodes simples et répandues de reforestation jusqu’à celles d’injection d’aérosols dans la stratosphère ou d’avions faiseurs de pluie.
Mais ces dernières expérimentations, menées parfois hors laboratoire et sans aucun cadre de gouvernance international, inquiètent les scientifiques.
Depuis le XXe siècle, les Etats savent susciter la pluie en ensemençant les nuages. La technique consiste à envoyer de l’iodure d’argent dans le ciel afin d’augmenter le niveau de condensation jusqu’à faire éclater les nuages sous forme de pluie.
«C’est une technologie que nous maîtrisons depuis la guerre du Vietnam», rappelle Pierre Gilbert, conférencier et prospectiviste en matière de risques climatiques.
En 2021, l’étude « Global Trends 2040 » publiée par le National Intelligence Council des Etats-Unis présente comme probable dans les années à venir le risque de déploiement unilatéral de la géo-ingénierie solaire, de la part d’acteurs publics comme privés. « Le déploiement de la géo-ingénierie solaire pourrait perturber les précipitations, avoir des conséquences sur l’agriculture, provoquer des inondations importantes, et ainsi entraîner des tensions entre l’acteur déployant et le territoire impacté », explique la chercheuse. Ces risques sont également liés aux informations que voudront bien fournir les acteurs. « Il est possible que la géo-ingénierie soit déployée sans déclaration. Dans ce cas-là, il sera difficile d’identifier si les perturbations observées sont le résultat d’un déploiement technologique ou du réchauffement climatique.»
Document : Le défi cathare, Renée-Paule Guillot, Robert Laffont, les énigmes de l’univers, 1975.
En 1934, dans le massif du Tezekka, en plein atlas marocain, l’explorateur ariégeois Norbert Casteret interroge en vain l’horizon. Nulle trace. Nulle piste, nul chamelier. Il est perdu et la nuit tombe. Et c’est le désert.
« Soudain, il me vint à l’idée, conte-t-il, de lancer un hilet pour signaler mon emplacement à ma femme qui devait se trouver dans les parages avec trois porteurs chleuhs. A mon grand étonnement le cri ariégeois qui ne s’improvise pas tant il est étrange et compliqué me fut renvoyé fidèlement mais encore guttural par un gosier indigène. Je répétai le cri en variant les modulations finales : réponse identique.
« Allant dans la direction de mon partenaire, je vis un pasteur berbère qui hélait pour la troisième fois, mais en reconnaissant un européen, mon homme disparut et ne voulut plus répondre ».
« Le hilet ariégeois, nous explique encore Castelet, consiste en une bruyante explosion aiguë qui retombe en cascade frémissante. Son caractère singulier lui vient surtout du petit tremblement que le gosier prolonge sur la syllabe hi, aussitôt après l’explosante clameur initiale. Ce n’est ni un trémolo ni la répétition d’une même note, mais cela participe des deux à la fois. Le hilet doit être jeté à pleine gorge d’une voix effilée, stridente et glapissante. Ce cri porte à une très grande distance.
Entendu dans les hautes solitudes et surtout la nuit, il est d’une étrangeté qui surprend et impressionne. »
source : Norbert Casteret, Explorations au XXème siècle, p.258 à 261.
Un cri, qui n’est donc pas pas à la portée de tout un chacun… « Et pourtant, conclut Casteret, nous avons eu l’occasion de constater que le hilet pyrénéen est connu et usité des Berbères de l’Atlas marocain ».
Cette révélation est de toute première importance. A elle seule elle prouve une parenté indéniable entre Ariégeois et Berbères. Parenté en profondeur, de race et de sang.
Car, ce que l’on appelle le cri rustique, est le verbe primordial, la vibration originelle d’un peuple. Sa marque de fabrique. Elle le distingue à jamais de toutes les autres races (dans l’espèce humaine), et c’est par lui, bien plus que par une linguistique souvent fumeuse, que se découvrent des parentés raciales insoupçonnées entre nations dont les traditions et les symboles communs se sont depuis longtemps envasés dans l’oubli.
Le cri lui est instinctif. Il se transmet tel que les ancêtres le portèrent dans leur ventre, libre de tout apport, libre d’interprétation.Depuis le temps lointain, de génération en génération.
Ce cousinage des Berbères et des Ariégeois, décelé par Casteret dans le hilet, est d’ailleurs souligné par un spécialiste de l’histoire ariégeoise, Adolphe Garrigou, qui résume ainsi les apports des millénaires :
« A la suite de luttes anciennes entre les peuples de l’Asie occidentale, un chef puissant, Abraha le seigneur, s’aventure en Lybie et y repousse (d’après les libres puniques d’Hiesal reproduits par Salluste) les fragments de vingt peuples vaincus, notamment d’Arméniens, Palestins, Perses, Mèdes et Chaldéens.
Une partie de ces peuples reste en Afrique, ce sont les Berbères. L’autre franchit le détroit de Gabès, ce sont les Ibères ».
Les Ibères sont en réalité les Tartesses, frères jumeaux des Berbères, bien antérieurs aux Ibères proprement dits, qui entreront en Espagne par le Nord, quinze cents ans plus tard et qui donneront leur nom à la péninsule : Ibérie ».
fin du document
Sur ce cri de ralliement du peuple Ibère et Berbère, pratiqué dans les Pyrénées comme dans l’Atlas marocain, je vais retrouver nos deux chats et leur ronronnements familiers. Je chercherai aussi si nous avons une coupe en argent pour y mettre de l’eau afin qu’elle change de structure… et voir si cela fait un effet curatif sur les chats et ensuite nous verrons… Il reste aussi à relire ce livre :
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