Partie 3 – L’histoire des conflits

Les désordres politiques, économiques après 1307.

à la suite de la destruction des organisations en réseaux des moines templiers.

La mise en place de l’absolutisme royal prend beaucoup de temps

Les désordres politiques, économiques après 1307 commencent dès la disparition de l’ordre du temple en Europe. La mise en place de l’absolutisme royal prit beaucoup de temps. Habitués à une gestion en démocratie directe et locale, les populations et leurs dirigeants locaux répugnent à se laisser gouverner par les nobles au service du roi.

Nous avons vu dans notre première partie l’exemple des dix villes libres d’Alsace. Ces villes ont obtenu des libertés du temps de l’organisation en réseau des moines chevaliers templiers ou teutoniques. Les rois de Germanie comme le roi de France sont dans des situations financières inextricables et nous savons pourquoi.

En France, nous l’avons dit, 90% de la propriété foncière est gérée par les ordres chevaliers et monastiques à la suite principalement des dons reçus en contrepartie de la prise en charge des populations dans les réseaux de soins, de répartition des richesses agricoles et artisanales ou les réseaux d’éducation et de formation.

La Décapole d’Alsace s’oppose à la pratique de l’engagement des richesses produites par ses villes libres.

Après 1307, les rois sont obligés de donner des compensations financières à leurs ducs, comtes et autres serviteurs qui assurent le fonctionnement du royaume. Le moyen le plus simple et commode est d’offrir à ces nobles la gestion des richesses produites par les villes. C’est la pratique de l’engagement.

En 1331, le margrave de Bade reçoit les revenus des villes impériales de Colmar, Sélestat, Obernai, Rosheim et Mulhouse. En 1336, six villes d’Alsace s’unissent pour s’entraider dans un but défensif et sécuritaire afin de contrer cette volonté de ponctionner leurs richesses au profit des princes électeurs « engagistes ». Il n’est pas surprenant que les villes les plus hostiles contre la domination de ces princes sont les villes fondées autour d’une abbaye bénédictine : Colmar, Wissembourg, Turckheim, Munster…

Ces villes devront rapidement s’entraider pour étouffer les conflits internes provoqués par les nobles locaux qui soutiennent les princes et cherchent à prendre le pouvoir à la place des dirigeants élus par les populations.

L’alliance officielle des dix villes de la Décapole date de 1354 et cette alliance ne sera détruite que lors de l’annexion de l’Alsace à la France sous Louis XIV en 1679. Cette date de 1354 n’est pas anodine, elle correspond à la naissance de la Confédération des nations iroquoises et au développement de l’empire inca.

Ces alliances et ces confédérations représentent bel et bien des entreprises pour combler la perte de l’organisation en réseau des ordres chevaliers du temps des cathédrales en Europe. Dans les Amériques, ces entreprises iroquoises et inca vont poursuivre cette organisation dans de nouveaux contextes culturels libre de toute domination théocratique et monarchique.

Les monarchies s’approprient les richesses des Biens communs

En Europe et en France, la croissance et la prospérité sont menacées depuis la destruction des Templiers le vendredi 13 octobre 1307 et les monarchies ne sont pas capables de prendre le relais. Elles cherchent à s’approprier les richesses des Biens communs en les taxant avec des impôts sinon en les pillant à travers des guerres.

Document :

Établi en 1328 par le roi de France pour recenser et donc imposer de manière plus systématique la population du royaume, l’état des paroisses et des feux mesure cette inflation des hommes : 23 671 paroisses et 2 469 987 feux couvrent alors les 320 000 kilomètres carrés que compte le domaine royal, les apanages et les grands fiefs. En adoptant un coefficient moyen de 4,5 habitants par feu, la France aurait alors compté, dans ses frontières actuelles, près de 20 millions d’habitants. Un chiffre considérable qui fait du royaume un ” monde plein comme un oeuf “, écrit le chroniqueur Jean Froissart.

A ce jeu, la croissance à tout-va a multiplié les défrichements intempestifs et livré à la culture des terres marginales trop vite épuisées.

Dès le début du XIVe siècle, de 1315 à 1317, de terribles famines, à Bruges, à Ypres, en Angleterre, où un Anglais sur dix succombe à la faim ou à la maladie, annoncent les grincements de la machine.

source :

https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/1300-1480-les-fleaux-s-acharnent-sur-le-monde_1446842.html

fin du document.

Le désastre financier de 1345.

document résumé :

En Europe, en 1345, l’effondrement des grandes maisons bancaires florentines des Bardi et Peruzzi conduisit à une véritable désintégration financière.

Les templiers avaient développé un réseau bancaire efficace

dans lequel les populations avaient confiance. Les moines faisaient vœux de pauvreté et ne cherchaient pas à réaliser des profits importants pour développer des intérêts personnels. Après la disparition de l’ordre du Temple, les banquiers des villes états italiennes ont toute liberté pour mener leur commerce bancaire à leur guise, principalement vis à vis des rois, des empereurs et des nobles en Europe.

Les templiers étaient arrivés au point d’étrangler financièrement le roi de France mais c’était dans le but de développer leur entreprise économique et sociale organisée en réseaux. Débarrassés de la présence de la banque du Temple, les banquiers italiens soutenus par la puissance politique et militaire, navale de Venise reprirent leur commerce financier avec les rois et les princes mais pour s’enrichir eux-mêmes au dépend des rois et cette fois-ci également de leurs peuples.

Venise en 1204 organise la prise de Constantinople et se renforce considérablement

Document :

12 avril 1204, la véritable chute de Constantinople

On l’oublie souvent mais la ville dont s’emparèrent les Turcs en 1453, n’était plus que la capitale décatie et dépeuplée d’un empire moribond réduit à une peau de chagrin. Un coup de grâce en somme…

Tout autre fut la prise de Constantinople du 12 avril 1204 par les croisés excommuniés de la 4eme croisade, détournés de la Terre Sainte par les Vénitiens du rusé doge Dandolo.

Soutenus par ces derniers, les croisés s’emparèrent en effet d’une ville puissante, riche et peuplée qu’ils saccagèrent – malgré l’interdiction du Pape – avec une sauvagerie qui étonna les chroniqueurs du temps.

Pire encore, ils se partagèrent les territoires de l’Empire qui ne se remit jamais de ce terrible choc malgré la reconquête engagée par les empereurs de Nicée qui revendiquèrent la succession des basileis vaincus.

Les grands vainqueurs de l’Histoire furent les Vénitiens qui purent rediriger vers la Sérénissime les flux lucratifs du grand commerce méditerranéen.

Si l’argent n’a pas d’odeur (pecunia non olet) – selon la célèbre formule de l’empereur Vespasien – il a bien souvent une couleur : rouge sang.

Ci-dessous : après l’Empire, les États latins édifiés sur les ruines de l’Empire byzantin. Les Empires de Nicée et de Trébizonde (à l’Ouest de l’actuelle Turquie) sont les seuls territoires encore contrôlés par les Byzantins, lesquels mettront près de 60 ans pour reconquérir Constantinople.

source : Storia Mundi 11/01/2023

l'empire de Constantinople après 1204 et son partage
l’empire de Constantinople après 1204 et son partage

La quatrième croisade avait complétement échappé au pouvoir de la papauté qui en était à l’origine.

Cette dernière perdit par la suite beaucoup de son pouvoir politique au profit des monarques européens en général et de l’empereur romain germanique en particulier. La République de Venise en revanche se renforça considérablement et tira le meilleur parti de cette quatrième croisade, au dépend de l’empire byzantin. Les croisades suivantes seront effectuées par des monarques séculiers.

fin des documents

Pour ce qui concerne nos propos, nous précisons que l’ordre du Temple, selon ses objectifs européens et économiques, sociaux , ne participaient pas à cette 4ème croisade organisée au départ par des nobles français, italiens et allemands qui voulaient conquérir les richesses de l’Égypte. Ce que les premières croisades n’avaient pas réussi à mener à bien. Les décideurs politiques en Europe ne voulaient plus s’engager dans de nouvelles croisades, seul les commerçants de Venise ont soutenu ce projet mais pour leurs propres intérêts : prendre Constantinople et non pas l’Égypte, trop difficile à prendre aux troupes musulmanes.

Venise pour son commerce paie avec de l’or ses fournisseurs

Venise payait son commerce avec l’orient en transférant des quantités considérables d’or et d’argent depuis l’Europe vers les pays de la Mer Noire et de l’Asie ainsi que vers l’Égypte et les pays musulmans du Moyen-Orient. Cette monnaie manquait pour le développement de l’Europe et quand le roi d’Angleterre refusa de rembourser ses emprunts aux banquiers italiens, il déclencha la crise financière et creva l’abcès.

La spéculation des banquiers sur l’or et l’argent

Venise, Florence, les autres villes républiques du nord de l’Italie avec leurs banquiers s’étaient mis à spéculer sur le cours des métaux précieux, l’or et surtout sur l’argent, métal nouveau en Europe dont nous savons qu’il fut importé massivement par la flotte templière depuis les mines du Mexique jusqu’au port de la Rochelle. Florence spéculait sur l’or alors que Venise, grâce à son commerce avait réussit à se constituer un important stock d’argent avec lequel elle parvint à faire chuter le cours de l’or et donc la puissance financière de Florence jusqu’à ce que ces manœuvres spéculatives déclenchent une grave crise financière.

La cupidité des dirigeants de Venise et de Florence.

Ce désastre financier de 1345 désorganisa l’économie des royaumes européens après plus deux siècles de prospérité.

En moins de 50 ans, les résultats constructifs de l’organisation en réseau du temps des cathédrales furent détruits par la cupidité des dirigeants de Venise et de Florence.

Lorsque nous voyons que les papes et leurs principaux cardinaux provenaient des riches familles de ces villes italiennes, une fois l’épisode terminé de la papauté d’Avignon, nous comprenons mieux comment les richesses développées sur le sol de France furent récupérées en Italie au profit de la papauté et des dirigeants catholiques de Rome. Ces villes italiennes ont mené leurs affaires avec les dirigeants des peuples de l’orient et les relations maritimes avec les Amériques, tenues secrètes du temps des templiers, ont semble-t-il été quasiment interrompues, d’où le déclin rapide des colonies vikings et templières au Mexique et dans les Andes.

source : Comment Venise orchestra le plus grand désastre financier de l’histoire, Paul Gallagher. Cet article est paru en anglais dans le trimestriel américain Fidelio (hiver 95).

Le commerce de Venise avec les Arabes et les Mongols.

document résumé :

Pour montrer un des aspects de ce déclin et de ce retour à l’obscurantisme, à la misère et aux mesures criminelles des nouveaux dirigeants, nous pouvons prendre le cas de l’esclavage qui avait été combattu par les templiers et avait été éliminé en Europe à travers leur gestion économique et sociale ( comme les pyramides, les cathédrales n’ont pas été construites avec la force des esclaves ). Les templiers rachetaient les esclaves pour les libérer, comme Mohamed le faisait en Arabie de son temps. Force est de constater que l’esclavage se développa à nouveau dès la destruction de l’ordre du Temple.

Le commerce des esclaves avec les Arabes

Les Vénitiens sont sans doute les mieux organisés et les plus riches de tous les esclavagistes du continent. Ils commerçaient avec les Arabes à qui ils vendaient divers produits dont des esclaves slaves capturés sur les côtes de Dalmatie mais aussi des chrétiens de Grèce, des Lombards etc. Ce qui rendait fou de rage le doge de Venise qui interdira, en 873, le commerce d’esclaves. Là encore, en vain.

Les marchands de Venise avaient un réseau très bien organisé grâce aux financiers de la ville qui investissaient sans rechigner dans des navires bien armés.

Les hommes de terrain étaient de la racaille, des brigands sans foi, de mèche avec les financiers pour constituer une organisation parfaitement huilée. Lorsqu’en 1230 les cités italiennes de Florence et de Sienne prennent les armes pour s’affronter, le vainqueur florentin pille, viole, tue et réduit en esclavage le vaincu sans états d’âme.

Durant la Renaissance, les cités italiennes de Venise, Florence, Sienne ou encore Gênes et d’autres marchandaient des esclaves d’Europe orientale et du Caucase sur leur sol.

source : http://www.piankhy.com/modules/news/article.php?storyid=203

Venise son commerce maritime

Le commerce entre Venise et l’empire Mongol apporte la peste en Europe

Le commerce entre Venise, les villes républiques italiennes et l’empire mongol prit ensuite une tournure catastrophique sur le plan sanitaire.

L’empire mongol fut le plus grand de l’histoire et aussi le plus cruel

L’empire mongol fut le plus grand de l’histoire et aussi le plus cruel, réussissant à exterminer par la guerre et la maladie presque 15% de la population mondiale en l’espace d’un siècle, détruisant toutes les grandes villes florissantes depuis la Chine jusqu’en Irak à l’Ouest, la Russie et la Hongrie au Nord, y compris les centres commerciaux faisant concurrence à Venise.

Grâce à son alliance avec les Mongols et au monopole de l’or soudanais et malais, les Vénitiens eurent le monopole de la circulation monétaire au cours des décennies précédant la désintégration financière du XIVème siècle.

Dans la période allant de 1330 à 1350, la Peste noire se répandit dans la Chine méridionale, tuant 15 à 20 millions de personnes, suite et fin logique du processus de pillage des Mongols.

L’économie mongole se fondait sur d’innombrables troupeaux de chevaux qui ruinaient l’agriculture de tout l’immense domaine des Khans. Elle eut aussi pour effet de faire immigrer les rongeurs porteurs de la peste, confinés depuis des siècles dans une très petite région du Nord-Est de la Chine, aux régions du Sud et sur les routes allant vers l’Occident.

En 1346, la cavalerie mongole diffusa la peste dans des villes de la Crimée, sur la Mer noire.

En 1346, les Tatars attaquent la ville portuaire de Caffa, comptoir commercial génois sur les bords de la mer Noire, en Crimée et établissent son siège. L’épidémie, ramenée d’Asie centrale par les Mongols décime rapidement les assiégeants qui vont catapulter les cadavres de leurs morts par dessus les murs pour infecter la ville.

Le siège est rompu après l’alliance géno-tartare et les bateaux quittant la ville transmettent la peste noire à tous les ports où ils s’arrêtent : la maladie atteint Messine (septembre 1347), Gênes et Marseille (novembre 1347). Venise est atteinte en juin 1348. En un an, tout le pourtour méditerranéen est atteint.

La démographie en Europe avait stagné depuis une quarantaine d’années et la population s’était concentrée de plus en plus dans des villes où l’infrastructure sanitaire et de l’eau était très insuffisante. Les fameux ponts de Florence, par exemple, avaient tous été édifiés au XIIIème siècle, aucun au XIVème. Le niveau alimentaire s’était dégradé suite au déclin de la production de céréales.

La destruction de l’organisation sanitaire

La peste noire va détruire l’organisation sanitaire qui subsiste dans les monastères et abbayes et les moines qui vont secourir la population seront nombreux parmi les victimes. Cette épidémie nous est relativement bien connue car l’enseignement des moines a permis la mise en place d’une administration locale capable de noter et de nous transmettre des écrits sur ces évènements. Mais les décès parmi les gens instruits va précipiter d’autant les populations dans un retour de l’ignorance et de la misère.

Les pertes démographiques provoquées par la peste en Europe

Débarquée à Marseille en novembre 1347, la peste ” noire ” s’attaque alors avec gourmandise à des corps trop affaiblis pour résister au bacille de Yersin. Les historiens retiennent aujourd’hui l’estimation que Froissart faisait à chaud : “Bien la tierce partie du monde mourut.”

La seule estimation globale concerne l’Angleterre, à travers les taxes par tête qu’on y a levées au cours de la période. A la veille de l’assaut, en 1338, elle aurait compté 3 125 000 habitants. En 1377, elle n’en compte plus que 2 250 000. Au début du XIVe siècle, un peu plus de 2 millions.

Montpellier passe de 40 000 habitants avant 1348 à 10 000 au milieu du XVe siècle. En 1526, Florence n’a retrouvé que 80 à 85 % de sa population de 1328. Gand ne compte plus que 45 000 habitants à la fin du XVe siècle, contre 80 000 en 1315. En Catalogne, on recense 500 000 habitants au début du XIVe siècle, 280 000 deux siècles plus tard. 

Un tiers d’habitants en moins en Europe.

Après le krach financier et la diffusion de la peste, le niveau démographique en Europe allait diminuer sur une centaine d’années, passant de près de 90 millions d’habitants à 60 millions.

Le début des troubles religieux en Europe

L’ère des prophéties apocalyptiques

Cette période est aussi troublée sur le plan religieux. Avec les famines de 1315-1320 et la peste noire de 1348-1349 débute l’ère des prophéties apocalyptiques, sur lesquelles viennent rapidement se greffer des revendications sociales : renverser riches et puissants, s’emparer des biens de l’Église, lutter pour la mise en place d’une société égalitaire. C’est le temps des rumeurs sur l’Antéchrist.

Après trois siècles de développement et d’éducation, l’irrationnel se déchaîne pour tenter de donner un sens aux malheurs qui se produisent à nouveau. La disparition aussi rapide qu’étrange de l’ordre du Temple, la survenance des misères, des guerres et des spéculations financières, bref les méfaits causés par les riches et les puissants sont des signes annonciateurs de la fin des temps et du règne du mal, de l’Antéchrist. Les prophètes de malheur sont légion. De 1378 à 1417, il y a deux papes : un à Rome, l’autre à Avignon.

La fin du temps des cathédrales

Ainsi, en moins de cinquante ans, l’époque florissante du temps des cathédrale fut détruite. La perfidie d’un roi de France qui trahit l’organisation en réseau des moines chevaliers, la soif d’or et d’argent des banquiers italiens débarrassés du réseau bancaire templier, la volonté de puissance des villes républiques italiennes qui développèrent le commerce avec des empires et des régions sans tenir compte des risques, l’ignorance et la corruption reprirent la direction des affaires pour mener les peuples au désastre.

Les royaumes avaient certes été affaiblis par l’organisation en réseau mais au lieu de rétablir rapidement de nouveaux réseaux, les royaumes préférèrent développer des états nations et des systèmes de pouvoir centralisés qui allèrent durant de longs siècles se faire des guerres pour tenter de dominer les autres.

La première des guerre entre royaumes va durer une bonne centaine d’années entre la France et l’Angleterre, deux pays qui avaient pourtant été organisés en réseaux par les moines bénédictins et les chevaliers templiers.

Source :http://www.solidariteetprogres.org/article4457.html

Remarques : ce document date d’une dizaine d’années avant 2022, les liens avec les documents n’existent plus mais nous avons conservé l’adresse initiale. Certains articles disponibles alors n’existent plus aujourd’hui ou alors leur contenu est devenu payant.

Dans les sources que nous mentionnons ci dessous, nous présentons d’autres documents sur ces sujets.

Poursuivre la lecture